Face au développement de la société Progil – Rhône-Poulenc et au besoin de main d’œuvre les deux sociétés adoptent une politique de construction de logement à destination de leurs ouvriers : logements collectifs vers 1930, et habitations individuelles avec accès à la propriété à partir de 1950. Francolor est à l’origine de deux cités ouvrière la cité Berthelot érigée en 1930 aux abords de l’usine réunit 22 maisons de quatre logements réservés aux ouvriers ; La seconde cité édifiée en 1952 est composée de 18 maisons, localisée sur le plateau de Glay, dans une zone agricole et distante de 2 km du site chimique.La construction des cités ouvrières intervient en trois temps : avec un éloignement progressif par rapport à l’usine, 24 logements répartit en 8 bâtiments sont bâtis à proximité du site de production dès 1928, puis ce sont les 16 « chalets » qui forment en 1950 le clos Champin, suivi en 1962 de 8 maisons de contremaître.

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