Dossier d’œuvre architecture IA69004157 | Réalisé par
Guégan Catherine (Rédacteur)
Guégan Catherine

Chercheuse au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel (2006-...)

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  • inventaire topographique, Inventaire de la Ville de Lyon
  • enquête thématique régionale, Patrimoine des lycées
Collège moderne de jeunes filles, dit collège Juliette-Récamier, actuellement lycée Juliette-Récamier
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Ville de Lyon

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Lyon Urgences
  • Commune Lyon 2e
  • Adresse 57 rue de la Charité
  • Cadastre 1999 AX 44
  • Dénominations
    collège, lycée
  • Genre
    de filles
  • Appellations
    Juliette Récamier
  • Parties constituantes non étudiées
    cour, parc de stationnement

Les plans de Payen, 1954

Les plans du lycée dessinés par l'architecte Emmanuel Payen sont conservés aux Archives municipales de Lyon. Les transformations réalisées jusqu'à nos jours ayant modifié assez profondément certaines parties, ces documents permettent de mettre en évidence les choix du projet d'origine.

Plan du rez-de-chaussée bas, par E. Payen, 1954 (AC Lyon, 838 WP 001)Plan du rez-de-chaussée bas, par E. Payen, 1954 (AC Lyon, 838 WP 001)Plan du 2e étage, par E. Payen, 1954 (AC Lyon, 838 WP 001)Plan du 2e étage, par E. Payen, 1954 (AC Lyon, 838 WP 001)

Ils montrent une organisation à la fois rigoureuse et moderne des espaces, conçus pour s'adapter au mode de vie de l'après-guerre. Ainsi une entrée est ménagée côté Rhône avec une rampe d'accès menant à un garage à vélos (actuellement débarras), s'inscrivant dans l'axe de l'entrée principale côté rue de la Charité. Le réfectoire, de petites dimensions, précède les cuisines dans le corps de bâtiment principal, auxquelles succèdent la lingerie et la buanderie. Le gymnase et les logements de fonction sont placés dans les pavillons érigés à l'extrémité de chaque corps de bâtiments et desservis par des escaliers secondaires, disposition qui perdure. Les classes et lieux de vie scolaires occupent les niveaux supérieurs. Le rez-de-chaussée haut (actuel 1er étage) accueille, en arrière du perron d'entrée, un vaste hall dans le prolongement duquel se développent à l'est, des salles de jeux tranquilles et d'étude, à l'ouest des salles de classe et d'étude. Un préau couvert d'un marquise ferme la composition au sud. Dans les étages supérieurs, les salles de classe et de sciences sont disposées côté cour, bénéficiant ainsi d'une vue dégagée et d'une luminosité importante, et desservies par de longs couloirs placés côté rue. Le parti le plus intéressant est celui retenu pour les 2 gymnases du pavillon sud, qui s'élèvent chacun sur deux niveaux : leur superficie permet de ménager de grands plateaux de travail, largement éclairés par des baies vitrées verticales orientées à l'est. Il convient de noter qu'au-dessus des gymnases était installée la salle de musique (actuelle salle d'arts plastiques). Cette localisation en bout de couloir et en position relativement isolée par rapport au reste des classes est fréquente dans les établissements scolaires pour cette catégorie d'enseignement.

État actuel

Construits sur un sous-sol en béton de granulat de galets grossier, avec sol en terre battue ou recouvert d’une dalle de ciment, les deux corps de bâtiments se distinguent par des niveaux d’élévation différents : 7 niveaux et 33 travées pour le corps principal, côté rue de la Charité, 4 niveaux et 23 travées pour celui en retour d’équerre, côté rue Duhamel. Des pavillons en saillie, à l’intérieur desquels se développent les circulations verticales, marquent les angles de la composition. Les niveaux d'élévation reposent sur un soubassement en béton texturé rustique. La composition est fortement marquée, horizontalement par un bandeau mouluré en ciment à fort débord séparant le rez-de-chaussée du 1er étage, puis par des bandeaux prolongeant les appuis des fenêtres en longueur, verticalement, par des encadrements de baies en ciment au large débord. Au niveau des pavillons, ces encadrements se prolongent sur toute la hauteur, rompant avec la régularité un peu monotone des élévations. Des corniches très saillantes en ciment moulé couronnent les élévations sur tout le pourtour de l’édifice. L’utilisation de peintures de couleurs différentes, appliquées selon un rythme qui varie en fonction des étages, permet d’animer les façades.

En avant du corps de bâtiment principal, rue de la Charité, une petite cour en longueur, fermée par une grille en fonte posée sur un muret en ciment texturé à l’identique des soubassements, fait le lien entre les deux pavillons d’angle. L’entrée principale est placée à l’extrémité nord de cette cour. Une marquise en ciment moulé portée par deux piliers de béton de section rectangulaire aux angles adoucis, abrite le perron ; l'entrée se fait par trois portes à deux vantaux à châssis métallique vitré. Deux autres portes sont placées sur ce côté : celle des cuisines, à deux vantaux et châssis de tympan métalliques et vitrés et flanquée de deux fenêtres en hublot, en milieu de bâtiment, et une entrée secondaire située à l’opposé de l’entrée principale, ouvrant sur l’escalier sud et sur le réfectoire. Toutes les baies du rez-de-chaussée sont équipées de grilles métalliques identiques.

Côté cour, les élévations reprennent les dispositions générales des élévations sur rue, avec quelques variantes. Dans le pavillon sud, les baies qui éclairent les deux gymnases s’élèvent sur deux niveaux couvrant chacun deux étages ; elles surmontent un ancien préau, protégé par une marquise en ciment de plan rectangulaire, à l’intérieur duquel ont été aménagées les salles des services médico-sociaux. Ce préau reposait sur une terrasse à laquelle on accède par un escalier droit ; elle couvre en partie le réfectoire, éclairé par cinq baies rectangulaires oblongues et un hublot. Une deuxième terrasse, également protégée par une marquise en ciment, est édifiée en avant du bâtiment nord : de plus vastes proportions, elle relie la cour au grand hall du 1er étage, percé de 6 portes-fenêtres.

La surélévation du niveau de la cour, due à la construction d’un parking public en sous-sol, a modifié l’organisation et les circulations originelles. Le rez-de-chaussée s’en trouve semi-enterré, la hauteur des escaliers conduisant aux terrasses a été diminuée, et les anciennes entrées côté cour du bâtiment nord supprimées ou condamnées : porte secondaire desservant les appartements de fonction, et accès à l’ancien garage à vélos depuis la porte ménagée dans le mur de clôture du quai Gailleton. Le mur de soutènement de la cour surélevée, érigé parallèlement au bâtiment nord, délimite un passage par lequel se fait la sortie piéton du parc de stationnement, empiétant sur les espaces dévolus initialement au lycée.

Le vestibule, carrelé en mosaïque de petits carreaux de grès cérame, est à l'intersection des bâtiments ouest et nord (désignées par la suite bâtiments rue de la Charité et rue Duhamel). Une porte métallique à deux panneaux fixes et deux vantaux, avec châssis de tympan vitré et poignées en aluminium, fait face à l’entrée : elle ouvre sur une pièce servant de débarras qui communique avec la cour. Sur le mur sud, une peinture murale est occultée par des panneaux de contreplaqué ; dans ce même côté s'ouvre le couloir des cuisines menant au réfectoire, situé dans le pavillon sud, sous le gymnase. Il prend son jour de fenêtres ouvrant sur la rue de la Charité et sur le mur pignon sud, cours Verdun, ainsi que de baies hautes horizontales côté cour ; le remaniement de cette dernière, surélevée, confère au réfectoire un aspect semi-enterré. Son plafond est soutenu par des piliers de béton qui ponctuent le volume de la salle.

Au nord, une double porte à deux vantaux ouvre sur le grand escalier, qui dessert l'ensemble des étages. C'est un escalier tournant à 2 volées droites (1 volée centrale et deux volées parallèles en retour), rampe sur rampe, avec mur noyau ajouré. La cage est éclairée par six fenêtres avec garde corps intérieur en métal, menuiseries en bois et châssis ouvrant en partie haute. La première volée de chaque révolution est équipée d'une double rampe centrale constituée de tubes métalliques soudés. Les marches et contremarches sont recouvertes de marbre beige. A droite de l'escalier, une porte ouvrant sur un sas donne accès à l’extérieur (porte de droite) ; la porte de face débouche sur un escalier en béton qui conduit aux caves.

Au 1er étage, un vaste hall, carrelé en grès cérame aux motifs géométriques, est éclairé au sud par des portes vitrées ouvrant sur une terrasse donnant accès à la cour par un large escalier. Comme dans le réfectoire, des piliers cylindriques en béton portent le plafond. Dans le prolongement du hall vers l’est se trouve le foyer des élèves : les motifs du carrelage diffèrent de ceux du hall. Le grand escalier dessert tous les étages des bâtiments nord et ouest, dans lesquels se trouvent essentiellement les salles de classes ; dans le bâtiment côté rue de la Charité, le 1er étage abrite les bureaux de l’intendance, puis des classes, le deuxième la salle des professeurs et le Centre de documentation et d'information ; ces derniers sont en enfilade et sans couloir de distribution.

Les pavillons qui ferment les extrémités des bâtiments nord et ouest abritent pour leur part les logements de fonctions, à l’est, les gymnases et la salle d’arts plastiques au sud. Chacun de ces pavillons comprend un escalier rampe sur rampe à mur noyau ajouré, avec marches en ciment, repos carrelés en marbre et paliers carrelés en grès cérame. Les couloirs des classes sont éclairés par des fenêtres hautes horizontales à châssis métallique et cadre bois avec châssis supérieur ouvrant et verre cathédrale. A l’origine, les classes étaient éclairées en second jour par des baies hautes horizontales, dont la plupart sont aujourd’hui obturées ; on entre dans ces dernières par un sas étroit qui fait transition avec le couloir.

Les deux escaliers secondaires placés dans les pavillons desservent également l’ensemble des niveaux, comble compris. Ils sont conçus sur le même principe que le grand escalier : en béton, rampe sur rampe mais avec un seul mur noyau ajouré. Les marches sont traitées en ciment brut avec décor de lignes ondulées dans la masse pour l’escalier nord, avec contremarches en marbre, et en marbre pour l’escalier sud, avec contremarches en ciment. Les repos sont carrelés de marbre de deux tons de beige, les paliers en grès cérame beige avec frise rectiligne bleue. Des rampes d’un dessin similaire à celles du grand escalier sont placées le long de chaque mur. Les cages sont éclairées par trois baies hautes de même profil que celles du grand escalier.

L’escalier sud dessert les deux gymnases qui s’élèvent sur quatre niveaux, au sud du bâtiment rue de la Charité. La lumière est apportée côté est par de grandes baies vitrées disposées sur toute la hauteur. Chaque salle du gymnase s’élève sur deux niveaux, celle du 1er étant par ailleurs coupée par une mezzanine qui permet de répartir les espaces de travail destinés aux élèves-danseurs. Cette mezzanine, créée au début des années 2000 lorsqu’a été ouverte une option « danse » dans l’établissement, est portée par des corbeaux placés au niveau des piliers de béton portants. Les vestiaires sont situés côté ouest. Leur sol est carrelé de cassons de grès cérame polychromes.

Le bâtiment sis rue Duhamel abrite dans les étages les classes et laboratoires scientifiques d’une part, les logements de fonction, dans le pavillon est, d’autre part. Ces derniers ont une entrée indépendante située rue Duhamel, marquée par un perron avec emmarchement de 5 degrés abrité par une marquise en ciment. Les marches sont couvertes de dalles de calcaire irrégulières. Un vestibule de plan carré donne accès à gauche, par une porte à deux vantaux, aux logements de fonction desservis par l’escalier nord. Des hublots situés sur le mur sud de la cage d’escalier ouvrent sur l’intérieur des logements de fonction au niveau des salles de bains. Les portes palières sont en chêne. Dans le prolongement de la porte d'entrée, le vestibule ouvre sur un couloir permettant de rejoindre l'entrée sur cour. Cette dernière débouche actuellement sur le passage public du parc de stationnement, et est condamnée par une grille coulissante en fer. Elle est marquée, à l'identique de celle sur rue, par un perron avec emmarchement de deux degrés surplombé par une marquise semi-circulaire portée par deux pilastres et éclairée par un plafonnier. La porte à châssis métallique et un seul vantail est vitrée d’un seul tenant sur toute sa hauteur.

Les classes et salles de sciences sont situées dans les étages de ce bâtiment ; elles communiquent entre elles par des portes intérieures et s’organisent d’ouest en est comme suit : salle de biologie et trois salles de classe de biologie en enfilade au 2e étage, classe de physique, salle de physique puis deux salles de classe dont la dernière en amphithéâtre au 3e étage. Un sas vitré avec paillasse fait jonction entre la salle de physique, où est conservé le matériel pédagogique, et la classe de physique, côté ouest. Dans les salles de biologie et de physique, des armoires vitrées contiennent du matériel pédagogique, parfois ancien (quelques exemples étudiés, voir dossier IM69001825) : microscopes, trébuchet, modèles d’atomes, squelettes d’animaux et moulages de crânes humains, collections de minéralogie. Le comble a été aménagé en section des sciences de l'ingénieur, dont les salles occupent tous le niveau. La charpente, apparente, est en béton armé, sauf au droit du toit du pavillon est, où elle est en bois.

En 1955, la Ville décide de construire un collège, dit Collège moderne de jeunes filles sur une parcelle située à proximité de la gare de Perrache et autrefois occupée par une manufacture de tabacs, démolie en 1938. Le projet est entériné le 28 février 1955 par délibération du conseil municipal. La maîtrise d’œuvre est assurée par l'architecte E. Payen et le gros œuvre attribué à l'entreprise Pitance et Cie. Les autres entreprises attributaires sont : Anciens établissements Fèvre et Cie pour la pierre de taille, René Margueron pour la charpente bois, Agglos Vosgiens pour les carrelages, D. Janin pour la menuiserie, Perraudin pour la menuiserie métallique et serrurerie. Le procès-verbal de réception définitive des travaux est signé le 26 janvier 1959. Le coût total s'élève à 3 202 860,69 francs (AC Lyon, 838 WP 01). Le 15 janvier 1957, le collège prend le nom de Juliette-Récamier (Ibid., arrêté du Ministère de l’Éducation nationale, de la jeunesse et des sports). Entre 1963 et 1969 la grande cuisine est réaménagée (AC Lyon, 422 WP 097 et 845 WP 05). En 1992, un parc de stationnement souterrain est créé sous la cour du lycée, côté quai Gailleton (permis de construire : AC Lyon, 1781 W 25), après concession de la Région à la Courly pour une durée de 60 ans. Cette construction modifie largement l'aspect des bâtiments sur cour dans les niveaux inférieurs.

Le lycée Juliette Récamier occupe une parcelle bordée à l'est par le Rhône et le débouché de l'autoroute A7, au sud par les voies de circulation de l'échangeur de Perrache et les voie ferrées desservant la gare de Lyon Perrache. Il est de ce fait à la fois visuellement dégagé par son ouverture sur le Rhône et la rive gauche du fleuve, et spatialement enclavé par la coupure induite par ces multiples voies de circulation.

Il comprend deux corps de bâtiments en L de niveaux d'élévation différents (7 à l'ouest, 5 au nord) ; deux pavillons ferment la composition à l'est et au sud. La cour est fermée côté Rhône par un haut mur de clôture courbe faisant la jonction entre les deux corps de bâtiment. Côté cour, un parterre de jardin a été aménagé le long de ce mur. Réalisé en béton de gravier de rivière armé et ciment laitier, pierre de taille pour les marches d'accès au perron, aux terrasses, et pour le seuil de la porte d'entrée, l'édifice possède une charpente bois pour les pavillons en saillie aux extrémités des façades, et une ferme et faîtage en béton armé pour les corps centraux, l'ensemble portant une couverture en tuile mécanique. Les circulations verticales (escaliers en béton, rampe sur rampe avec mur noyau ajouré, et ascenseur) sont situées dans les pavillons d'angle.

  • Murs
    • béton béton armé enduit
    • ciment
  • Toits
    tuile mécanique
  • Plans
    plan régulier en L
  • Étages
    sous-sol, 6 étages carrés
  • Couvrements
    • charpente en béton armé apparente
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à deux pans croupe
    • pignon couvert
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours sans jour en maçonnerie
  • Autres organes de circulation
    ascenseur
  • Jardins
    parterre
  • État de conservation
    bon état
  • Techniques
    • sculpture
    • peinture
  • Représentations
    • ornement géométrique
  • Précision représentations

    Les façades sont animées par des jeux de panneaux rectangulaires peints dans des tons de blanc et d'ocres qui viennent rompre la monotonie de la modénature.

  • Statut de la propriété
    propriété publique (incertitude), Propriété de la Métropole ?
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler

Le mauvais entretien de la cour, qui relève de la responsabilité du concessionnaire du parc de stationnement, nuit au bon fonctionnement des espaces de récréation dévolus aux élèves.

Documents d'archives

  • AC Lyon. 838 WP 001. Collège moderne de jeunes filles. Travaux de construction, marché et suivi de chantier, avec plans, 1951-1962

    AC Lyon : 838 WP 001
  • AC Lyon. 838 WP 002. Collège moderne de jeunes filles. Travaux de construction, dossier béton armé avec plans, 1951-1962

    AC Lyon : 838 WP 002
  • AC Lyon. 838 WP 003. Collège moderne de jeunes filles. Travaux de construction, dossiers des entreprises lots 1 à 6, 1955-1961

    AC Lyon : 838 WP 003
  • AC Lyon. 838 WP 004. Collège moderne de jeunes filles. Travaux de construction, dossiers des entreprises lots 7 à 12, 1955-1961

    AC Lyon : 838 WP 004
  • AC Lyon. 838 WP 005. Collège moderne de jeunes filles. Travaux de construction, dossiers des entreprises lots 13 à 19, 1955-1961

    AC Lyon : 838 WP 005
  • AC Lyon. 1781 W 25. Permis de construire un parc de stationnement souterrain sous la cour du lycée Juliette-Récamier, 1992

    AC Lyon : 1781 W 25

Documents figurés

  • [Collège moderne de jeunes filles : plans, coupes, élévations] / E. Payen. 15 tirages ozalyd, annotés et rehaussés au crayon de couleur, 1954 (AC Lyon. 838 WP 001)

    AC Lyon : 838 WP 001
  • [Lycée Juliette Récamier, Lyon 2e. Plans, coupes et élévations] / AGATE, géomètres-experts. 20 Dess. numériques. 2012 (Région Auvergne-Rhône-Alpes, Direction de l'immobilier des lycées)

    Région Auvergne-Rhône-Alpes, Direction de l'éducation et des lycées
Date d'enquête 2015 ; Date(s) de rédaction 2015
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Ville de Lyon
Guégan Catherine
Guégan Catherine

Chercheuse au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel (2006-...)

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