Dossier d’œuvre architecture IA74002619 | Réalisé par
Guibaud Caroline (Rédacteur, Enquêteur)
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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  • inventaire topographique, Inventaire du Parc naturel régional du Massif des Bauges
Eglise Notre-Dame de la Visitation
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Parc naturel régional du Massif des Bauges

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Hauts de l'Albanais
  • Commune Chainaz-les-Frasses
  • Lieu-dit Chainaz
  • Cadastre 1732  ; 1891 B1 131  ; 2016 B1 109
  • Dénominations
    église paroissiale
  • Vocables
    Notre-Dame de la Visitation

L'église avant les travaux d'agrandissement (15e siècle - milieu 19e siècle)

L’église est visitée par Jean de Bertrands, évêque de Genève, le 4 juillet 1411 : il constate que « le mur de devant et le mur nord s’effondrent » et que la couverture de la nef défectueuse, puis, lors de sa seconde visite, le 26 juin 1414, qu’il manque des vitres et des portes et que l’église est en mauvais état. Lors de sa visite pastorale en 1606, François de Sales note qu’il faut "couvrir l’inférieure partie du chœur et de la nef, l’avant-toit de la nef et le couvert des cloches" (AVRA, n°5, p. 24). On ne peut pas déduire grand-chose de ces minces renseignements, l’église et son couvert ayant été très modifiée par la suite ; on peut cependant relier à ce premier état de l’édifice (14e ou 15e siècles) l’élévation du chœur, avec son chevet plat, sa fenêtre en arc brisé du côté sud et son voûtement.

Ce chœur était précédé de trois travées de nef au moment de l’édification du clocher, en 1722 (date portée). La pierre sur laquelle est inscrite cette date porte également une inscription reprenant le verset de l’Evangile de saint Luc qui raconte l’épisode de la Visitation (Luc, I, 40 : et intravit in domum Zachariae, et salutavit Elisabeth : peu après l'Annonciation, Marie visite sa cousine Elisabeth, femme de Zacharie, qui est enceinte ; lorsque Marie la salue, l'enfant que porte Elisabeth, le futur Jean Baptiste, tressaille ; Elisabeth s'écrie alors : "Tu es bénie entre les femmes, et le fruit de tes entrailles est béni"), ce qui permet d’attester le vocable actuel de l’église au moins à cette date. La nef était sans doute dès cette époque couverte d’un plafond en lambris de forme cintrée (cité par l’enquête de 1864, qui mentionne également le coq au sommet du clocher, déjà couvert en ardoise ; on apprend par ailleurs, dans des documents concernant les travaux au presbytère (voir dossier) que les vieilles tuiles de l’église ont été conservées après les travaux d’agrandissement pour servir au presbytère, indiquant qu’une autre partie de la toiture de l’église était en tuile ; AD Haute-Savoie, 2O : 2166, lettre de l’archevêque Alexis au préfet, 1er mars 1869).

Lorsque reprennent les visites pastorales, au début du 19e siècle, l’église est considérée comme "propre et assez grande" (visite de l’archevêque François-Marie Bigex, 22 juin 1826), sentiment que ne partage pas le recteur dans un inventaire rédigé en 1839, qui donne l’église et sa sacristie pour "mauvaises" (AVRA, n°5, p. 24). Des travaux sont exécutés en 1842, sur devis du géomètre mesureur estimateur Pavie, comprenant la réfection de la porte principale ("grande porte de l’église en bois noyer à panneaux avec encadrement, l’espace cintré vitré fermant à deux volets, le tout solidement ferré"), des planchers du chœur et de l’entrée de la nef, en châtaignier, l’élargissement de la porte de la sacristie (remplacement du linteau, du seuil et du vantail, en noyer) et une journée de couverture en chaume (pour le toit de la sacristie ? total : 300 L ; AD 74, 6FS : 1151, 1er août 1842, délibération du conseil double). La date 1842 est gravée sur le linteau de la porte extérieure de la sacristie.

A partir du milieu du 19e siècle, l’église est mentionnée comme trop petite par les visites pastorales et le projet de l’agrandir par l’ajout de chapelles pour former une croix latine prend forme (visites de 1848 et 1854 ; AVRA, n°5, p. 24). Une lettre de l’archevêque Alexis Billiet au préfet de Savoie reprend cet argument en août 1863 (le projet d'agrandissement est alors déjà engagé) : l'église est trop petite pour les 505 habitants, elle n’a que 14 pieds d’élévation ce qui la rend malsaine, le clocher menace ruine (lettre de l’archevêque Alexis Billiet au préfet, 1er août 1863, AD Haute-Savoie, 2O : 2166).

L'agrandissement de l'église (1865-1870)

Le projet d’agrandissement de l’église s’organise à partir de 1863, avec la mise en place du financement, grâce à un subside accordé par l’Etat (800 F) ; la commune vote une somme supplémentaire de 700 F et demande sa participation (le tiers des dépenses) à la commune des Frasses (délibération du 1er mars 1863, AD Haute-Savoie, 2O : 2166) ; en outre un habitant de Chainaz a donné 1000 F pour ces travaux avec stipulation d’un délai pour la date d’engagement. La rédaction des plans et devis est confiée dès le 3 avril 1863 à Camille Ruphy, architecte du département (lettre au maire de Chainaz, 30 avril 1863, ibid.) ; ils sont acceptés par le conseil municipal en session extraordinaire le 18 décembre 1864.

Le rapport dressé par l’architecte diocésain du département de Savoie, Joseph Samuel Revel, le 4 janvier 1865 (voir annexe), donne une description détaillée du projet, d’un montant total de 8546,08 F. Pour l’agrandissement et la restauration de l’église, Ruphy prévoit d’édifier deux chapelles latérales reliées à la nef par des arcs doubleaux percés dans ses murs, établir "en brèche quatre baies" dans les murs de la nef, construire deux contreforts latéraux au droit des fenêtres actuelles, exhausser les murs de la nef et le mur portant sur l’arc doubleau agrandi à l’entrée du chœur, construire des voûtes pour remplacer le plafond de la nef, refaire l’enduit intérieur, le crépi extérieur, le plafond sous la tribune, exhausser le comble, réparer la tribune et réparer les planchers ; les réparations à faire au clocher consistent à construire un étage supplémentaire, refaire le beffroi et le comble ainsi que les crépis, enduits et badigeons. Le projet a pour avantage de mettre "en accord les styles de la nef et des chapelles avec celui du chœur", mais Revel préconise quelques modifications : remplacer le couvrement en dalle des contreforts par de la maçonnerie de pierre de taille, préciser les dimensions des encadrements des baies en molasse, surélever la couverture du choeur.

L’étape suivante du projet, l’adjudication des travaux, prend du retard du fait de l’absence de soumission, le devis étant jugé insuffisant par les entreprises, et de la dissolution des conseils municipaux de Chainaz et des Frasses préalable à la fusion des deux communes, qui empêche de voter le devis augmenté nécessaire avant de proposer un marché de gré à gré pour le chantier (lettre du maire au préfet, 12 mars 1866, ibid.). Celui-ci est passé le 19 juin 1866 (délibération du conseil municipal, ibid.) avec l’entrepreneur piémontais Laurent Michel Allara qui propose de réaliser les travaux pour 9600 F et s’engage à exhausser les murs du chœur à hauteur de ceux de la nef (lors d’un premier examen des soumissions, le 13 mai 1866, c’est celle de Joseph Brunier, de Héry-sur-Alby, qui avait été acceptée, avec 2000 F en sus du devis, rabais de 150 F et travaux en 7 mois ; les autres soumissionnaires étaient Policarpe Anselmino : 2200 F en sus, et Deplace, 2500 F en sus). Il est prévu que le surplus de 1054 F soit couvert par des promesses de dons. En effet, on trouve au dos d’une lettre conjointe des deux maires de Chainaz et des Frasses au préfet (23 novembre 1865, ibid.) un état du financement du projet avant augmentation (voir annexe) qui montre l’importance des dons et souscriptions dans le budget, dont ils représentent près de 40 %.

Le choix de l’entrepreneur va également occasionner du retard sur le chantier : en effet, une lettre de Ruphy au préfet du 26 avril 1867 (ibid.) indique que l’entrepreneur est originaire du Piémont, où il passe ordinairement l’hiver ; il est parti en novembre, est revenu en avril et a repris les travaux, mais vu les modifications faites et les difficultés d’exécution, les délais prévus ne seront pas tenus. En effet un devis de travaux supplémentaires est nécessaire, d’un montant de 1901,01 F qu’Allara s’engage à exécuter pour 1600 F, la commune se chargeant du transport des ardoises et des briques pour l’arc du clocher depuis la gare d’Albens (délibération du conseil du 15 mai 1867, ibid.). La réception définitive est prononcée le 7 avril 1870 (pour un total de 11 300 F ; ibid.). La date de 1861 inscrite sur le linteau de la porte de la chapelle sud pose question (erreur ou remploi ?).

Les travaux ultérieurs (1870-1925)

En mai 1870, Camille Ruphy donne un devis pour l’agrandissement du chœur, prévoyant la démolition du mur du fond du chœur actuel, avec ouvertures de fenêtres en pierre de taille, voûtement à nervures en pierre et voûtains en tuf ou en brique creuse, vitraux verres de couleur (AVRA, n°5, p. 26). Ce projet n'a pas été réalisé.

En 1883, des travaux de moindre importance sont réalisés par Claude Conversy, entrepreneur à Héry-sur-Alby, selon le devis du géomètre Cuissin du 7 novembre 1884, les travaux étant suivis par l’architecte diocésain Eugène Dénarié, avec réception définitive le 2 avril 1884. Ils consistent en la reconstruction totale de la tribune (escalier en chêne avec "balustre" (garde-corps) à barreaux ronds en fonte avec astragale en zinc, main-courante, le pilastre (départ du garde-corps) en fonte, plancher en sapin et galerie peinte), la réfection des planchers de l’église en châtaignier, soubassement en ciment autour des murs de l’église, avant-toit sur la porte latérale, remplacement d’un claveau en pierre de taille à la porte de l’église et de trois angles du clocher, consolidation du clocher par des clefs en fer, réparation du sommet de la flèche et de la croix qui était cassée (Rapport de l’architecte diocésain Eugène Dénarié, 3 août 1882, adjudication du 20 mars 1883, procès-verbal de réception définitive le 2 avril 1884 ; AD Haute-Savoie, 2O : 2166. Le devis comprend également des travaux au presbytère, voir dossier).

Le 30 août 1891, la foudre tombe sur la flèche et endommage l'église : la croix est "entièrement courbée", la façade est fissurée. L'église est restaurée dans les années suivantes : le géomètre Louis Gaime donne un devis de travaux le 6 octobre 1897 (crépis extérieurs et intérieurs, badigeons, ardoises, chéneaux, passer la boiserie en noyer de la chaire à l’huile bouillante… plus des interventions au presbytère), exécuté par Joseph Ramaz maître plâtrier à Albens adjudicataire du marché de gré à gré le 21 novembre 1897, avec réception provisoire le 6 décembre 1897 et définitive le 31 janvier 1899 (ibid.). Le 12 juin 1900, la visite pastorale de Monseigneur Hautin constate que l’église a été "complètement restaurée au-dedans et au dehors en 1897" (AVRA, n°5, p. 26).

La toiture de l’église est réparée en 1922-1923 (devis le 12 juin 1921 par Gaime, à Héry-sur-Alby, 15 167,61 F : ardoise d’Angers, plus-value pour la dentelure des voliges au porche de l’entrée principale, plus-value pour le redressement de la croix du clocher, avec fixation solide à la pièce maîtresse de la charpente ; AD Haute-Savoie, 2O : 2166). Les travaux sont réalisés par l’entrepreneur Marcellin Viviand (adjudicataire le 12 février 1922). Le décompte des travaux est réalisé le18 novembre 1923, puis la réception définitive le 6 décembre 1923, par Montillet, géomètre à Albens, architecte des travaux après la mort de Gaime ; des travaux en régie sont réalisés à l’occasion de ce chantier : scellement et pose de consoles au porche d’entrée ; garnitures en ciment : toiture autour du clocher, corniches et croisées.

Le sol a été refait en carreau de grès émaillé dans le 4e quart du 20e siècle.

Les murs du choeur peuvent dater du 14e ou du 15e siècle. Le clocher porte la date de 1722. L'église est agrandie et restaurée entre 1865 et 1870 par l'entrepreneur piémontais Laurent Michel Allara, sur les plans et devis de l'architecte départemental Camille Ruphy : la nef est remaniée (réfection des ouvertures, remplacement du plafond par des voûtes d'arêtes), deux chapelles formant transept sont ajoutées, ainsi qu'un niveau supplémentaire au clocher ; les couvertures sont refaites avec exhaussement du comble et mise à niveau de la toiture du choeur, le tout en ardoise. Les dates 1842 et 1861 (ou 1867 ?) sont gravées respectivement sur les linteaux de la porte extérieure de la sacristie et de la chapelle sud.

  • Période(s)
    • Principale : 15e siècle
    • Secondaire : 3e quart 19e siècle
  • Dates
    • 1722, porte la date
    • 1842, porte la date
    • 1861, porte la date
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Ruphy Joseph Camille, dit Camille
      Ruphy Joseph Camille, dit Camille

      Petit-fils et fils des architectes annéciens Thomas Dominique Ruphy (1760-1840) et Jean Louis Ruphy (1791-1859) (source : notice Wikipédia de Thomas-Dominique Ruphy).

      Architecte départemental de Haute-Savoie, actif en 1861 (AC Gruffy M1, presbytère), 1865 (AD Haute-Savoie, 2O 2166, travaux à l'église de Chainaz-les-Frasses), 1873 (AC Gruffy, 1D1, église paroissiale Saint-Pierre-aux-Liens), 1886 (AD Haute-Savoie, 2O 2414, cimetière de Cusy), 1877 et suivants (AD Haute-Savoie, 2O 2411, Construction groupe scolaire-mairie de Cusy), 1880 (Ecole nationale d'horlogerie de Cluses ; PERRIN, Narcisse, 1902, p. 124), 1883 (AD Haute-Savoie, 2O 2413, église paroissiale Saint-Christophe).

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      architecte départemental attribution par source
    • Auteur :
      Allara Laurent Michel
      Allara Laurent Michel

      Entrepreneur d'origine piémontaise, réalise l'agrandissement de l'église de Chainaz-les-Frasses entre 1866 et 1870 (AD Haute-Savoie, 2O : 2166).

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      entrepreneur attribution par source
    • Auteur :
      Cuissin Alphonse
      Cuissin Alphonse

      Cité lors de travaux à l'église de Chainaz-les-Frasses (74) en 1883 (AD). Réalise les plans de travaux au cimetière de Gruffy en 1880 (AC Gruffy), est nommé successivement géomètre, à Alby et architecte.

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      géomètre attribution par source
    • Auteur :
      Conversy Claude
      Conversy Claude

      Entrepreneur à Héry-sur-Alby (74), cité lors de travaux à l'église de Chainaz-les-Frasses (74) en 1883 (AD) et de l'école d'Héry-sur-Alby (74) en 1880 (AC, AD).

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      entrepreneur attribution par source
    • Auteur :
      Gaime Louis
      Gaime Louis

      Louis Gaime géomètre-expert à Héry-sur-Alby (Haute-Savoie), né en 1861. Membre de l'Union Syndicale des Géomètres-Experts de la Haute-Savoie en 1896, membre honoraire en 1922/07/01, décédé en 1923 (source : http://www.geo-anse.com/geo/base_geometres/GAIME_Louis.htm)

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    • Auteur :
      Viviand Marcellin
      Viviand Marcellin

      Entrepreneur, cité lors de travaux à l'église de Chainaz-les-Frasses (74) en 1883 (AD).

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Eglise à plan en croix latine, chevet plat, clocher porche de plan carré. La sacristie est adossée au nord du choeur.

Murs en maçonnerie de pierre calcaire enduite, angles et soubassement, bandeaux (boudin entre les deux premiers niveaux, plat entre les niveaux 2 et 3) sous les deux derniers niveaux du clocher en pierre de taille. Encadrements de baies en calcaire, sauf les fenêtres de la nef, en molasse ; fenêtre en arc brisé à tore dans le mur sud du choeur, porte chanfreinée dans le transept sud, fenêtres à linteaux segmentaires sur le clocher (sauf dernier niveau : fenêtres géminées en arc brisé), portail en arc en anse de panier ; contreforts entre les deux travées de la nef, contreforts angulaires aux chapelles. Toit en ardoise, à longs pans sur la nef et le choeur, flèche carrée puis polygonale sur le clocher. Croix sommitale et coq en métal. Auvents en charpente sur consoles en fer forgé, bordure à lambrequin en bois, couverture en ardoise, au-dessus du portail ouest et de la porte du transept sud.

L'intérieur est voûté d'ogives retombant sur des culots moulurés à tore, avec une tribune en charpente dans la travée de clocher. Deux niches en cul-de-four sont aménagées dans le mur oriental des chapelles ; un autre est placée au-dessus de la porte de la sacristie, au-dessus d'un culot de pierre.

Inscription gravée sur une pierre insérée dans le clocher : 1722 / INTRAVIT / MA [tilde, pour : MARIA] IN DOMU [tilde : DOMUM] / ZACHARIA ET SA / LUTAVIT ELISABETH / LUC . I . Citation du texte de la Vulgate, Luc, I, 40, qui relate l'épisode de la Visitation.

Inscription gravée sur le linteau de la porte de la sacristie (côté extérieur) : 1842

Inscription gravée sur le linteau de la porte de la chapelle nord : 1861.

  • Murs
    • calcaire moellon enduit (incertitude)
  • Toits
    ardoise
  • Couvrements
  • Couvertures
    • toit à longs pans
    • flèche polygonale
  • Autres organes de circulation
    carto PLUI
  • Techniques
    • ferronnerie
    • sculpture
  • Représentations
    • coq, croix latine, sainte Thérèse
  • Précision représentations

    Niche en cul de four avec statuette de sainte Thérèse au-dessus du portail.

    Croix sommitale du clocher : en fer forgé, ajourée, extrémités trilobées, rayon entre les bras ; coq en tôle fiché sur le bras supérieur.

  • Statut de la propriété
    propriété de la commune

Documents d'archives

  • AD Haute-Savoie. Série 6FS : 1151. Fonds sarde, affaires communales : Chainaz.

    AD Haute-Savoie : 6FS : 1151
  • AD Haute-Savoie. Série 2O : 2166. Chainaz-les-Frasses. Travaux aux édifices religieux. 1861-1937.

    AD Haute-Savoie : 2O : 2166

Bibliographie

  • MARECHAL, Yves. PERSOUD, Pierre. SALOMON, Marie-José. Chainaz-les-Frasses (Patrimoine du Canton d'Alby-sur-Chéran ; 5e cahier). Rumilly : Les Amis du Vieux Rumilly et de l'Albanais (AVRA) / Imprimerie Ducret, 2013. Ill. en coul., 48 p.

    p. 23-26

Documents figurés

  • 1 Chainaz.-L’Eté / Editions Union des Œuvres. 1 impr. photoméc. (carte postale), noir et blanc. Datée 1919 au verso (AP Payet-David).

    Collection particulière

Annexes

  • Documents concernant le chanier d'agrandissement de l'église de Chainaz-les-Frasses (AD Haute-Savoie. Série 2O : 2166)
Date d'enquête 2016 ; Date(s) de rédaction 2019
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Parc naturel régional du Massif des Bauges
Guibaud Caroline
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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