Dossier d’œuvre architecture IA73004355 | Réalisé par ;
Guibaud Caroline (Rédacteur, Enquêteur)
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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  • inventaire topographique, Inventaire du Parc naturel régional du Massif des Bauges
Mairie-école
Œuvre monographiée
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Parc naturel régional du Massif des Bauges

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Hauts de l'Albanais
  • Commune Épersy
  • Lieu-dit Épersy
  • Cadastre 1907 A4 558  ; 2015 A5 403
  • Dénominations
    école primaire, mairie
  • Destinations
    mairie

Historique

La mairie-école mixte (1863-1866)

En 1863, la commune décide de construire une école mixte avec mairie ; en effet l'école est située dans un bâtiment de location, et la commune espère bénéficier d'un secours de 10 000 F de l'État pour ce projet (une lettre du préfet du 23 avril 1863 confirme cette somme). Le programme est détaillé ainsi : "La maison commune et d’écoles comprendra : au rez-de-chaussée, deux écoles, l’une pour 45 garçons et l’autre pour 45 filles ; une cour attenante, un cabinet d’aisances servira de dépendances à chacune des écoles et de lieu de récréation. Au premier étage, une salle de mairie avec dépôt d’archives, un logement d’instituteur composé de trois pièces et un logement d’institutrice composé de deux pièces. L’on arrivera à cet étage par une galerie et deux escaliers extérieurs en bois, abrités par la saillie du toit ; la galerie sera divisée par une cloison, l’un des escaliers servira pour l’instituteur et l’autre pour l’institutrice. Un comble, accessible par une échelle, servant de retirage pour les deux logements couronnera l’édifice. Il sera divisé en deux compartiments que les instituteurs se partageront. L’on y arrivera de chacun des logements par un trapon pratiqué dans le plafond et un escalier dit de meunier". Les matériaux doivent être transportés depuis Aix-les-Bains, Grésy-sur-Aix et Cusy (chez François Fort et Brachet) comme pour les matériaux de l'église en cours de reconstruction. Les plans et devis sont dressés le 6 juin 1863 par l'architecte chambérien Joseph Samuel Revel (15 911 F ou 16 007,92 F) ; selon la demande de l'inspecteur d’académie, deux caveaux ont été ajoutés sous les deux escaliers.

Le préfet et l'inspection d'académie s'opposent à la commune sur le choix de l'emplacement : en effet la commune prévoit d'acquérir un terrain appartenant à Bonaventure Arnaud situé en face du cimetière, ainsi "la construction n'en sera distante que de 4 ou 5 mètres, et au plus, l'église presque achevée dominera tellement la maison d'école qu’elle lui apportera trop d'ombre". Le préfet, puis le juge d'Albens lors de l'enquête commodo et incommodo (délibération du conseil du 4 octobre 1862), désignent la propriété de François Clerc-Renaud comme plus adéquate (mieux située, mois chère). Mais la commune persiste dans le choix de l'emplacement et propose seulement de déplacer l'implantation sur le terrain Arnaud (délibération du conseil du 1er juin 1863).

En novembre 1864, la maison d'école est en cours de construction par Joseph (ou Giuseppe) Aymone, entrepreneur à Albertville, adjudicataire le 18 juin 1864. Une plus-value de 950 F doit être financée car une partie de l'extraction et transport des matériaux, ainsi que des travaux de fouilles, n'a pas été assurée par la commune comme cela était prévu, ce qui va causer un différent entre la commune et l'entrepreneur. Un procès-verbal de réception provisoire est dressé le 10 janvier 1866. Un décompte des travaux est établi le 15 juillet 1968 (9 728 F) : la pierre de taille à la grosse pointe est extraite des carrières d’Antogier (Grésy-sur-Aix), les cloisons doubles sont en brique de chant enduite sur les deux faces, la cheminée de la cuisine et celle de la mairie sont en molasse avec tablette en bois dur, un potager en molasse et à trois trous, compris le cendrier, est posé, des dalles en molasse pour poêle sont taillées, les voûtes des caveaux sont en maçonnerie, les portes et fenêtres ont des arcs de décharge en brique, les escaliers et galeries extérieures sont en sapin. Le toit était prévu en ardoise de Bonvillaret (la commune les trouve de très mauvaise qualité et souhaite leur remplacement par de l'ardoise de Saint-Julien).

En août 1866, une lettre du préfet signale que la mise en demeure adressée à l'entrepreneur pour l'achèvement des travaux dans un délai de 15 jours est restée lettre morte, or la cheminée de l’institutrice est tombée et a causé des pertes d'ardoises et des fuites d'eau. Devant le défaut de l'entrepreneur, les travaux sont achevés en régie par les entrepreneurs Aimé Guichard (traité de gré à gré en date du 4 septembre 1867, 558, 50 F) et Pierre Galetto (618,05 F). La réception définitive a lieu le 4 septembre 1867.

En 1879, des travaux de réparation sont projetés. Ils concernent la reconstruction de la galerie et des montées extérieures conduisant aux logements des instituteurs et institutrices, pour laquelle un devis est dressé par Louis-Marie Blanc, menuisier à Epersy : il doit augmenter de deux le nombre des colonnes montant au toit servant à soutenir la galerie, avec "balustrade" [garde-corps] en fer et non en fonte, "balustres" de 5 cm de circonférence et 10 cm d'espacement, menuiserie en châtaignier (440 F). Les travaux comprennent également la construction d'un arc en brique à deux fenêtres des classes et la consolidation d'un angle, par le maçon Laubès, et la réfection du dessus des deux portes du rez-de-chaussée et du 1er étage au midi, ainsi que de planchers, papier peint, crépi (350 F). Une convention d'exécution est passée avec Antoine Pianta, entrepreneur domicilié à Albens, le 8 mai 1881.

Le groupe scolaire (1891-1899)

Fin 1881, malgré les travaux récemment effectués, la commune déclare que la maison d'école est sur le point de tomber en ruine et vote la construction d'une nouvelle école pour "participer à l'élan patriotique de l’instruction publique en France" (délibération, 18 décembre 1881) ; l'architecte Joseph Samuel Revel est choisi pour ce projet. Le 18 janvier 1883, une lettre de l'inspecteur primaire à l'inspecteur d'académie indique cependant que les locaux scolaires existants sont assez grands et qu'une restauration avec agrandissement des cours et des couverts est suffisante ; une visite de Grisard, architecte de la Ville d'Aix-les-Bains, donne la même conclusion le 20 février 1885 (l'école n’a pas besoin d’être reconstruite mais appropriée avec agrandissement des cours et création d’espaces couverts). Grisard a été désigné à la place de Revel, la commune craignant que ce dernier ne soit finalement pas favorable à la reconstruction d'un bâtiment dont il est l'auteur. Dans le rapport qu'il adresse au préfet le 24 février 1885, Grisard affirme que l'école est en mauvais état d'entretien mais peut être réparée ; il propose de créer des cages d'escalier fermées qui consolideront les murs, de renforcer la charpente et de réparer les planchers et les cheminées.

Le 10 août 1884, le conseil municipal décide que l'école sera reconstruite selon le plan dressé par Jules De Bons, architecte à Aix-les-Bains.

Les plan, devis et cahier des charges pour la maison d'écoles, dressés par Jules De Bons, pour 31 000 F, sont approuvés, avec vote d'un emprunt, par délibération communale le 16 août 1891. Le devis descriptif et cahier des charges, dressé le 16 août 1891 et revu le 21 février 1894, prévoit des fondations en béton, des murs en moellon de rocher du pays hourdis au mortier de chaux hydraulique, avec têtes des murs, angles, piédroits des portes, placards et grands vides en moellon de rocher du pays équarris à la pointe, de la molasse du pays pour les encadrements, avec un appareil par crosses et lancis, de la pierre dure (roche du pays ou pierre d'Antogex) pour les tablettes, croisées des classes, avec arêtes supérieures arrondies, en taille propre fine boucharde ; les escaliers intérieurs sont en bois dur au 1er niveau, en sapin au second, le parquet dit "pont de navire" est en chêne au rez-de-chaussée et en sapin au 1er ; les portes des appartements sont à un vantail, avec deux panneaux et frise en partie inférieure, embrevés partie supérieure à jour en deux parties pour grilles en fer, avec moulures d'encadrement grand cadre, corniche d'attique moulurée ; les portes des classes sont à un vantail, avec cinq panneaux embrevés dont une frise de centre, attique fixe, corniche d'attique et jet d'eau, plates bandes sur panneaux quarts de rond et pointe de diamant ; les portes intérieures sont en sapin ; pour la serrurerie, les rampes d’escalier sont en fuseaux en fer de 18 mm, rosaces fonte fixées sur limon, pilastre de départ en fonte comprenant une pomme en porcelaine, la grille du portail d’entrée est également en métal ; les éviers de cuisine sont en fonte émaillée ; des cheminées marbre sont prévues dans la mairie et les appartements (tablette, frise, côtés et pilastres en marbre, capucines simples, revêtement faïence et cadre fer ; chenets, foyère et garniture intérieure en molasse). Le mobilier comprend des tables et bancs pour les élèves en sapin, le bureau de maître, une bibliothèque en bois dur ; un puits à margelle de pierre, avec plateau et bouchon en pierre dure, deux bassins en ciment et deux corps de pompe sont prévus.

Le 23 août 1896, une délibération du conseil indique que le balcon d’accès aux logements de l'école menace toujours ruine (planches et consoles) et que l'avant-toit est à refaire. Le projet de reconstruction fait des aller-retours entre la commune et l'architecte ; il est examiné par l'architecte Lathoud, pour le Département, les 2 sept 1893, 13 mars puis 22 novembre 1894, et 24 mai 1895 ; le conseil des bâtiments civils émet également des observations. De nombreux échanges ont lieu sur les modifications à apporter au projet : mur de clôture, emplacement des cheminées, nombre de fenêtres, emplacements des lits... Jusqu'en 1896, l'inspection académique revient sur l'emplacement, jugé trop proche du cimetière ; la commune pense à déplacer le cimetière (projet de Jules De Bons, examiné le 11 juin 1893, pour 3640 F), mais ce sera pas réalisé : une délibération du 30 janvier 1896 indique qu'en plus du manque de moyens, la commune se heurte à l'hostilité de la population sur le déplacement du cimetière. L'arrêté de subvention est réceptionné par la commune le 1er avil 1897, pour 21 775 F (sur total de 29 000 F, soit 31 000 F moins 2000 F pour la salle de mairie qui est à la charge de la commune).

Le procès verbal d'adjudication est dressé le 10 juillet 1897 en faveur de Joseph Ravazio, entrepreneur à Aix-les-Bains (13 % de rabais) (autres soumissions : Jean Huboux, entrepreneur à Silingy (74), Charles Trabbier, à La Rochette (73), Etienne Daviet, à Mûres (74), Charles Sella Piazza, à Aix-les-Bains, Antoine Lucca, à Chambéry, Antoine Fontana, à Saint-Pierre d'Albigny). La démolition de l'ancienne école n'ayant pas trouvé preneur, la commune demande à pouvoir traiter avec Ravazio, l'entrepreneur du groupe scolaire, qui en offre 520 F. Pendant les travaux, des locaux sont loués pour l'école : un premier bail est passé avec Jean Louis Besson (deux chambres au rez-de-chaussée pour les classes, en face de la maison d’école actuelle ; un second bail est passé avec Louis Grillet, cultivateur domicilié à Saint-Ours, pour une maison avec rez-de-chaussée (cuisine, salle à manger, cave) et étage (2 chambres à coucher) pour le logement des instituteur et institutrice.

Un devis supplémentaire, financé avec le rabais de l'adjudication, est dressé le 15 juillet 1898 ; il comprend le déplacement de la fontaine publique au-devant du groupe scolaire, l'achat de deux petites parcelle pour faciliter l'accès et agrandir les cours, la construction d'un mur en moellon de ciment moulé.

Le procès-verbal de réception définitive est signé le 29 août 1899.

Depuis 1999, l'école a été intégralement relocalisée à Mognard. Des agrandissements ont été édifiés dans le prolongement du bâtiment, côté nord (salle des fêtes) en 2005-2006.

Description

Le bâtiment est totalement symétrique, l'école des filles (partie sud) étant l'exact miroir de l'école des garçons (partie nord). Il présente un corps central de deux travées surmontées d'un comble avec façade en pignon, flanqué d'ailes de deux travées également. Il comprend un sous-sol sous le corps central, dont chaque partie est divisé en un bûcher, avec escalier d'accès (tournant, en pierre), et une cave. Au rez-de-chaussée, le corps central est occupé par les deux escaliers (tournant, avec jour et paliers aux étages, en bois avec rampe à barreaux de métal) sur l'avant et par la salle de mairie sur l'arrière, tandis que les ailes sont occupées par les salles de classe. Au 1er étage, le corps central comprend les escaliers et les cuisines, les ailes deux chambres chacunes. Les murs sont enduits au ciment ; les encadrements sont en molasse, avec appuis ou seuils en calcaire (appuis en ciment à l'étage), linteau en arc segmentaire au rez-de-chaussée (droit à l'étage) et arrêtes abattues ; les encadrements des jours de cave, en façade arrière, sont en calcaire. Les portes sont précédées de perrons en calcaire. Le toit est en ardoise, à longs pans et croupes, avec épis de faîtage et débord de toiture sur tout le pourtour.

Inscriptions : plaque en marbre rapportée entre les fenêtres du rez-de-chaussée sur l'aile nord (gravée) : J. DE BONS ARCHITECTE / J. RAVAZIO ENTREPRENEUR / 1898 ; lettres métalliques rapportées en façade : MAIRIE ECOLE / EPERSY.

l'arrière de la parcelle est aménagé en terrasses, avec des degrés.

Le bâtiment existant a été édifié entre 1897 et 1899 par l’entrepreneur Joseph Ravazio, d’Aix-les-Bains, selon le plan dressé en 1891 et revu en 1894 par Jules De Bons, architecte à Aix-les-Bains. Il remplace une école édifiée entre 1863 et 1866 par Joseph (ou Giuseppe) Aymone, entrepreneur à Albertville, sur un projet de l'architecte Joseph Samuel Revel.

  • Période(s)
    • Principale : 3e quart 19e siècle
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Revel Joseph-Samuel
      Revel Joseph-Samuel

      Architecte de Chambéry (architecte pour l'administration sarde puis architecte diocésain), a travaillé à la réfection de l'église de Saint-Offenge-Dessous (73) en 1861 et à la reconstruction de celle d'Épersy entre 1859 et 1864. Restaure la façade de l'église Notre-dame de Chambéry en 1864.

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      architecte départemental
    • Auteur :
      De Bons Jules
      De Bons Jules

      Architecte suisse "nouvellement installé à Aix-les-Bains" lorsqu'il donne un projet de groupe scolaire pour Montcel (non réalisé) en 1882. Construit le 1er groupe scolaire de Trévignin (vers 1890), celui d'Epersy (plan en 1894, achevé en 1899), l'école de Saint-Offenge-Dessus (1899), participe à la réfection de l'église de Saint-Offenge-Dessous (73) en 1902.

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Ravazzio Joseph
      Ravazzio Joseph

      Entrepreneur en maçonnerie à Aix-les-Bains, il a réalisé le groupe scolaire d'Epersy en 1897 et l'école de filles (actuellement mairie) de Saint-Offenge-Dessous en 1900.

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      entrepreneur attribution par source
  • Murs
    • calcaire moellon enduit
  • Toits
    ardoise
  • Étages
    sous-sol, rez-de-chaussée, 1 étage carré
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans croupe
  • Escaliers
    • escalier intérieur : escalier tournant à retours avec jour en charpente
  • Statut de la propriété
    propriété privée

Documents d'archives

  • AD Savoie. Série 2O : 1332. Épersy. Ecole. Presbytère.

    AD Savoie : 2O : 1331
  • AD Savoie. Série 2O : 1333. Épersy. Ecole. Construction d’un groupe scolaire 1881-1899. Affaires diverses comptabilité 1884-1901.

    AD Savoie : 2O : 1333

Documents figurés

  • Plan du terrain que la commune D’Epersy se propose d’acquérir pour la construction d’une maison d’école / Chaix (agent-voyer). 1 dess. : encre et lavis (gris, rose) sur papier. Éch. 2 :1000. 21,5x33,6 cm. 8 juillet 1863. L’agent voyer soussigné Chaix (AD Savoie. Série 2O : 1333).

    AD Savoie : 2O : 1333
  • Canton d’Albens. Commune d’Epersy. Projet de construction d’une maison commune et d’écoles. Façade principale. Façade latérale, Coupe suivant AB. Plan du rez-de-chaussée. Plan d’ensemble. Plan du 1er étage. Plan des caveaux. Coupe d’un caveau / Joseph Samuel Revel (architecte cantonal). 1 dess. : encre noire, lavis rose et brun sur papier calque jauni. Ech. 1:100 et 1:200 (plan et coupe des caves). 46,5x59. cm. Dressé par l’architecte cantonal soussigné, Chambéry le 2 mai 1863 (AD Savoie. 2O : 1332).

    AD Savoie : 2O : 1332
  • Commune d'Epersy canton d'Albens. Projet de maison d’école avec mairie. Plan local. Plan général. Plan du sous-sol. Plan du rez-de-chaussée. Plan du 1er étage. Façade principale. Façade pignon. Coupe transversale s/ centre / Jules de Bons, architecte. 1 dess. : encre et lavis (gris, rose, rouge) sur toile huilée. Éch. 1:2000 (plan local) ; sans éch. 77,5x51 cm. Dressé et modifié par l’architecte soussigné, Aix-les-Bains le 26 mars 1895 (AD Savoie. 2O : 1333).

    Annotation : plan modifié 26 mars 1895.

    AD Savoie : 2O : 1333
  • Commune d’Epersy. Groupe scolaire. Plan général / Jules de Bons, architecte. 1 dess. : encre et lavis (rose, bleu) sur toile huilée. 22,5x31,7 cm. Ech. 1:200. Aix-les-Bains le ... 1898 (AD Savoie. 2O : 1333).

    AD Savoie : 2O : 1333
Date d'enquête 2015 ; Date(s) de rédaction 2017
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Parc naturel régional du Massif des Bauges
Guibaud Caroline
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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Articulation des dossiers
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