Cadastré en 1823 comme maison, sol, cour et jardin, le bâtiment d'origine est de plan rectangulaire formé de quatre corps entourant une cour fermée ; la configuration de la porte cochère sur rue, portant un écu à la clef, permet de dater de la fin du 17e siècle les vestiges de cette maison, appelée la Barbière, dont le logis (corps ouest) conserve des éléments datables du 18e siècle (cheminées) ; divisée en 1834, elle fait l'objet à cette date d'une adjonction de construction, puis d'une reconstruction partielle entre 1845 et 1848 pour Joseph Buchet, affineur, enfin d'une nouvelle augmentation en 1868-1869 (le bâtiment passe de 19 à 30 ouvertures), correspondant au corps de logis actuel ; vers 1840 et jusqu'en 1848, l'ancienne maison est louée aux ursulines qui y tiennent un petit pensionnat, modifiant la distribution ; les dépendances, converties en atelier depuis une quinzaine d'années, sont dénaturées par des remaniements importants, le puits a été détruit, la cour couverte.
- inventaire topographique
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- © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Trévoux
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Commune
Trévoux
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Adresse
24, 26 boulevard Poyat
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Cadastre
1823 C 13, 15 ;
1984 AH 313, 314
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Dénominationsmaison
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Genrede maître
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Appellationsmaison la Barbière
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Destinationspensionnat, maison
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Parties constituantes non étudiéescour, terrasse en terre-plein, jardin, communs, dépendance
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Période(s)
- Principale : 4e quart 17e siècle , (incertitude)
- Principale : 2e quart 19e siècle
- Principale : 3e quart 19e siècle
- Secondaire : 18e siècle
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Dates
- 1834, daté par source
- 1848
- 1869
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Auteur(s)
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Auteur :
maître d'oeuvre inconnumaître d'oeuvre inconnuCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
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Auteur :
Bâtiment en pisé sur solin de calcaire, composé d'un corps de logis de plan allongé bordant la rue (numéro 24) , dans le prolongement de corps de plan en U (numéro 26) entourant une cour fermée ; en élévation sur rue, le corps antérieur conserve une porte cochère couverte d'un arc segmentaire chanfreiné en pierre dorée, à clef ornée d'un écu en relief méplat, ouvrant sur un passage couvert ; ce corps de deux niveaux, couvert de tuiles creuses, contenait l'écurie surmontée du fenil ; sous-sol voûté en plein-cintre ; le corps de logis présente peu d'ouvertures sur rue ; la façade principale ordonnancée, précédée d'une terrasse, donne sur le jardin : trois niveaux, cinq travées, bandeau d'étage, chaînes d'angle à refends, chaînages encadrant la travée axiale, baies rectangulaires surmontées de corniches à modillons ; toit à longs pans à croupes, tuiles plates mécaniques ; un corps en rez-de-chaussée (appentis à croupes, couverture en matériau synthétique) adossé à gauche, abrite une salle à manger d'été.
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Murs
- pisé
- enduit
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Toitstuile creuse, tuile plate mécanique, matériau synthétique en couverture
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Étagessous-sol, 2 étages carrés, comble à surcroît
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Couvrements
- voûte en berceau plein-cintre
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Élévations extérieuresélévation ordonnancée
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Couvertures
- toit à longs pans
- appentis
- croupe
- noue
- croupe polygonale
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Escaliers
- escalier de distribution : escalier tournant à retours avec jour
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Typologiesfaçade tournée sur le jardin ; accent sur la travée axiale
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État de conservationrestauré
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Techniques
- sculpture
- menuiserie
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Représentations
- écu
- ornement géométrique
- pinacle
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Précision représentations
écu ; ornement géométrique ; pinacle" § "sujet : écu vide, support : clef de l'arc de la porte cochère ; sujet : chambranles des baies en accolade avec pinacles néo-gothiques et lambris de demi revêtement, support : salle à manger d'été
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Statut de la propriétépropriété privée
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Éléments remarquablesporte
- © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
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