Dossier d’œuvre architecture IA69004074 | Réalisé par
  • inventaire topographique, Inventaire de la Ville de Lyon
Maison dite villa Debrousse, puis maison des parents
Œuvre monographiée
Copyright
  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Ville de Lyon

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Lyon Urgences
  • Commune Lyon 5e
  • Adresse avenue Debrousse
  • Cadastre 1832 X 68, 69, Sainte-Foy-lès-Lyon 1823 D 253 et 254 ; 1999 BY 37
  • Dénominations
    maison
  • Genre
    de négociant
  • Appellations
    villa Debrousse, puis maison des parents
  • Parties constituantes non étudiées
    enclos, communs, cour, écurie, remise, logement, manège, jardin d'agrément, grotte artificielle, rocher artificiel, jardin d'hiver, bassin, terrasse en terre-plein, allée

HISTORIQUE

En 1824 le terrain était constitué de deux parcelles de vignes : 253 et 254 de la section D dite de Fontanière, à Sainte-Foy-lès-Lyon (AD Rhône, 3 P 202-1, section D ; 3 P 202-5, folio 728). En 1871, le percement du chemin vicinal ordinaire n°1 de Sainte-Foy-lès-Lyon, aujourd'hui avenues Valioud et Debrousse, divisent l´ensemble en deux (AD Rhône, 3 P 202-5, diminutions 1871) : une partie demeure en la possession du propriétaire, Jean-Marie Morel orfèvre à Lyon, tandis que l'autre, côté ouest, est acquise par Paul Julien Bredin, négociant teinturier lyonnais ; l'année de mutation indiquée sur les matrices cadastrales est 1874. Cependant, si l'on tient compte du décalage entre année d'achat et année d'imposition, décalage de un an à plus, Paul Bredin serait devenu propriétaire entre 1871 et 1873. Les dépendances sont achevées en 1873 (AD Rhône, 3 P 202-5, augmentations, 1876) et la villa en 1874 (AD Rhône, 3 P 202-5, augmentations, 1877).

En 1891, Marie Joseph Gabriel Falcon de Longevialle devient propriétaire de la demeure (AD Rhône, 3 P 202-6, folio 835). Ce rentier et sa femme Elisabeth Amélie Marie Jeanne Dugas-Vialis ont 15 enfants. Gabriel de Longevialle meurt en 1912 et le 29 juin, la propriété est vendue aux enchères lors d'une audience des criées du Tribunal civil de Lyon, au prix de départ de 50 000 frs. L'avoué qui suit la succession de Jeanne Falcon de Longevialle et de ses enfants est P. Reynaud (Frécon). C´est l'Assistance publique de Paris qui s´en porte acquéreur (AD Rhône,Pré-inv., plan 1912). Dans cette vente, est compris le bail de Mme Moreau, qui loue une partie des dépendances depuis le 5 juillet 1911, bail qu´elle conservera jusqu'au 24 juin 1917.

Des travaux sont entrepris immédiatement (AH HCL : 2 O 22) : du 29 septembre au 4 octobre 1913, le remplacement du dallage des couvertures en terrasse des vérandas nord et sud par l´entreprise L´Asphalte, ainsi qu´une révision de toute la menuiserie en 1914 par l´entreprise François Brunet. Le 9 décembre 1919, le directeur de l'APP autorise "la réfection des planchers hauts des 2 chambres demi-circulaires du rez-de-chaussée à la villa Debrousse", louée à M. Bros. En effet, le plafond de "la chambre demi-circulaire de droite" (anciennement véranda nord) s´est effondré, suite à la vétusté du lambourdage, et la chambre demi-circulaire de gauche présente de nombreuses lézardes au plafond (AH HCL : 2 O 22). Le 23 mai 1921, les HCL font parvenir à l´APP les devis des divers travaux exécutés, dont la réfection des plafonds, et de nouveau un asphaltage des deux terrasses.

De 1922 à 1924, des réparations sont faites dans les dépendances, louées aux Laboratoires réunis des Préparations Monavon et Vacheron : travaux de zinguerie sur les toitures (tuiles mécaniques, lambrequin, cheneaux...) par l´entreprise J. Bernard, consolidation d´une panne de charpente par les Charpentiers de Lyon et réparation du mur de clôture en pisé de terre mitoyen avec l´hôpital Debrousse par L´Avenir (AH HCL : 2 O 22). Un courrier du 18 juillet 1924 signale l´abandon litigieux par le Capitaine Mignot (un locataire ?) du manège et des locaux du 1er étage situés dans les dépendances (AH HCL : 2 O 24).

Une lettre de l'économe de l'hôpital Debrousse datée du 13 janvier 1941 signale que les locaux inhabités (dépendances ?) de l'avenue Valioud se délabrent, et qu'il faut prendre des mesures de conservation (AH HCL : 2 O 22).

A partir de 1950, le logis devient le logement des Soeurs hospitalières de l´hôpital Debrousse (témoignage oral). Celles-ci sont attachées au service de l'hôpital par une charge de l'acte de vente du 6 août 1907, de la Société civile des Facultés Catholiques de Lyon à Marie-Félicie Debrousse (Libéralités, p. 82-83). Par la suite, des chambres accueillent des infirmières et des médecins étrangers venus parfaire leur connaissance pédiatrique à l'hôpital Debrousse (témoignage oral). En 1988, les Hospices civils de Lyon décident d'aménager le logis en structure d'accueil pour parents d'enfants hospitalisés, désormais appelé Maison des Parents. Le rez-de-chaussée du logis étant très abîmé, une des vérandas est menacée de destruction, ce qui attire la mobilisation de l'association la Renaissance du Vieux Lyon. Après intervention de l'architecte des Bâtiments de France en 1990, la véranda nord est restaurée, ainsi que la véranda sud, mais le décor du rez-de-chaussée est en partie détruit : boiseries, stucs, parquets... La Maison des Parents conserve cette fonction depuis 1991, et accueille également des bureaux médicaux.

DESCRIPTION

Le terrain est fortement incliné. Les dépendances bordant la rue, sont en partie creusées dans la pente (cf. Ill.). Sur le côté sud, un vide très étroit est formé par l´interstice laissé entre le mur sud des bâtiments et le passage qui relie l´avenue Valioud au parc de l´hospice Debrousse.

Au midi de cette impasse, un escalier reliait l´avenue Valioud à l´hospice Debrousse. Il est indiqué sur le plan d´ensemble de 1909 par Blachier comme "passage sur Sainte Foy" (cf. dossier). [Ce raccourci est donc au moins contemporain de la construction de l´hospice, malgré la propriété Falcon de Longevialle qui existait déjà. Peut-être ce passage a t´il été aménagé pour permettre un accès aux quatre angles de la propriété, et éviter un détour au personnel de l´hospice jusqu´à la conciergerie (bâtiment 15, cf. dossier) pour sortir avenue Valioud à Lyon.]

Le logis repose sur un terre-plein, très élevé par rapport au niveau de la rue. Cette dénivellation occasionne une mise en scène de l´accès. Depuis le portail sur l'avenue Valioud, trois cheminements mènent au logis : deux contournent par la gauche et la droite un mur de soutènement en rocaille percé de deux grottes (cf. Ill.). Au centre, entre les deux grottes, un escalier de service souterrain aujourd´hui condamné aboutit au sous-sol du logis (témoignage oral) où se trouvait l´office, les caves, la cuisine.

Sur la terrasse à l'est, en façade principale, un perron conduit à la porte d'entrée (cf. Ill.).

La rocaille de l´entrée avenue Valioud devait se prolonger dans le parc d´agrément, avec fontaine, allée de platanes, et petite constructions en rocailles d´après les vestiges encore en place. Le jardin paysager est aujourd´hui majoritairement boisé, faute d´entretien (cf. Ill.).

Le logis comprend un sous-sol à demi enterré, un rez-de-chaussée surélevé et deux étages carrés. Il est couvert en terrasse, bordée primitivement par une balustrade en pierre de taille.

Les souches de cheminées, aujourd´hui en briques, étaient à l´origine en pierre de taille (cf. Ill.).

Le décor d´élévation est sculpté : des consoles feuillagées à tête de femme soutiennent les balcons de plan chantourné. Les baies sont surmontées d´agrafes ornées de coquilles ailées et de fleurs. Ce décor se simplifie du rez-de-chaussée au deuxième étage.

Les vérandas présentent six baies formées par des arcs surbaissés portant sur des colonnes, entre lesquelles s´intègrent des fenêtres (cf. Ill.).

Inscriptions

Des monogrammes aux initiales P.B. (Paul Bredin) sont encore en place sur le portail de la maison,

au-dessus de la porte d'entrée de la façade est, et sur la porte de service en façade ouest.

Distribution du logis : un couloir central dessert quatre pièces au rez-de-chaussée, 7 aux étages.

CONCLUSIONS

Le nom de l´architecte n´est pas connu. Pourtant il ressort que cette demeure privée est de bonne facture architecturale. Le plan chantourné des balcons est rare à Lyon. Il se retrouve sur deux immeubles situés 94 et 70, rue du Président-Edouard-Herriot ; le premier, la maison Marix, a été édifié entre 1860 et 1864 par l'architecte Casimir Julien Charles Echernier, et l'autre pourrait être du même architecte. Les balcons de la villa Debrousse se rapprochent du motif de l´accolade, contrairement aux motifs des balcons des deux immeubles comparés, plus chantournés. La maison Marix est particulièrement intéressante car elle présente des consoles feuillagées à têtes humaines comme la villa. Ce ne sont toutefois pas des indices suffisants pour attribuer la villa à Echernier.

L´Assistance publique de Paris n´a pas confiée la gestion de la demeure aux HCL comme le reste de l´établissement ; en effet, l´achat de cette propriété est postérieure à l´acte de donation de l´hospice en 1907, et ne tombe donc pas sous la clause du testament de Mme Debrousse de la même année, qui règlemente le service de l´hospice par les HCL (cf. dossier). Après la guerre de 1914-1918, l´APP remet l´hospice Debrousse aux HCL par la convention de 1920 (cf. dossier), sans cette propriété qui n´était pas couverte par la libéralité de la Fondation Debrousse. La villa ne partage donc pas le même régime que le reste de l´établissement : l´APP continue de décider et régler les dépenses des travaux sur cette propriété, toujours par l´intermédiaire d´un architecte des HCL.

C´est pourquoi la villa est louée jusqu´en 1950, date à laquelle le logis prend une fonction plus hospitalière (logement des soeurs).

En 1941 les dépendances sont inhabitées et délabrées, risquant de provoquer un accident. Elles seront démolies à une date ultérieure ; elles figuraient encore en 1974-75 sur le plan général de la ville de Lyon (cf. Ill. dossier) (mais elles étaient peut-être déjà en ruines).

En 1950, les Soeurs hospitalières de Debrousse, qui logeaient dans les combles du bâtiment B (cf. dossier) s´installent dans le logis de la villa (témoignage oral).

Dans les mémoires, le détail des travaux exécutés renseigne sur l´aspect extérieur et la distribution intérieure des dépendances et du logis. Ainsi les travaux de menuiserie de 1914 permettent de reconstruire une image plus complète de l´intérieur de ce dernier et de dégager des caractéristiques générales. Toutes les pièces de la maison avaient des boiseries et des parquets. Le chêne était majoritairement utilisé pour les parquets et les volets, pour les portes d´entrée, palières, dans les pièces importantes (boiseries), plus systématiquement aux rez-de-chaussée et premier étage. On utilisait le sapin pour les pièces secondaires, les portes de communication et de manière plus générale au deuxième étage (boiseries).

Les travaux de menuiserie signale la présence de treillages dans les vérandas, confirmant leur rôle de jardins d´hiver, avant d´être transformées en chambres, pendant la location de M. Bros en 1919 (AH HCL : 2 O 22).

Préalablement à la vente de 1912, un article du journal Le Salut Publique (AD Rhône, Frécon) décrit la demeure, ce qui permet de connaître la fonction des pièces du logis. Le sous-sol abritait cinq caves voûtées, la cuisine et l'office. Le rez-de-chaussée était constitué d'une salle à manger, d'un grand salon, d'un petit salon et d'un cabinet de travail. Le grand salon et la salle à manger, aujourd'hui divisés, se trouvaient respectivement à gauche et à droite de l'entrée principale. Le revers conservé des portes permet cette restitution : les portes du grand salon présentent un décor néo-Louis XV, très chantourné. Jusqu'en 1990, on pouvait encore y observer des lambris en stuc peint, des trophées musicaux dans la voussure du plafond (cf. Ill.) et des médaillons au monogramme PB « sur le registre supérieur » (Pré-inv. N° 19, p. 168). Une photographie du Pré-inventaire du Rhône présente également une rosace de plafonnier assez originale, avec enfants portant corbeilles de fleurs (cf. Ill.), certainement dans le grand salon. La salle à manger présentait des boiseries de chêne (Pré-inv. N° 19, p. 168). Le petit salon, pièce aux quatre angles coupées, garde intacte ses boiseries de bois exotique, en partie noirci (cf. Ill.), ainsi que sa cheminée d'angle. Le cabinet qui lui fait face de l'autre côté du vestibule, était aussi une pièce à angles coupés, avec une cheminée en marbre, mais ses boiseries en chêne sont moins travaillées. Le cabinet de travail est de dimension plus modeste que le petit salon ; la différence de dimension ménage un espace d'accès au water-closet de la tourelle, présent à chaque étage. L'alimentation en eau se faisait par un « réservoir de la Compagnie » (AD Rhône, Frécon), placé très certainement dans la partie haute de la tour.

Le premier étage comprenait 5 chambres et une salle de bains à l'angle nord-ouest (AH HCL : 2 O 22). Le cabinet de toilettes reliant les deux chambres nord-est et sud-est n'est pas mentionné, ni à cet étage, ni au second. Les chambres en question sont les plus soignées à chaque étage ; ces pièces abritaient certainement les chambres de Monsieur et de Madame au premier étage, et des chambres d'amis au deuxième. La chambre nord-est devait avoir un parquet marqueté, puisqu´il est fait mention, lors des travaux de menuiseries de 1914 (AH HCL : 2 O 22), de pièces acajou et érable formant étoiles. Les boiseries de cette ancienne chambre sont conservées, comme celles de la chambre en pendant : plusieurs essences de bois, un plafond avec mouluration en voussure où figurent des décors en plâtre de fleurs et de trophées musicaux (cf. Ill.). Une porte de communication reliait les deux belles pièces du premier aux antichambres (?), dont les lambris sont simples mais les cheminées restent soignées (cf. Ill.).

Le deuxième étage abritait 6 chambres (AD Rhône, Frécon). Les boiseries du vestibule et des chambres sont plus simples qu'au premier. Les deux pièces intéressantes de cet étage sont les chambres les plus à l'est, à l´aplomb des chambres des maîtres (cf. Ill.). Les manteaux de leurs cheminées sont de forme très répandue à l'époque, mais personnalisées par des carreaux de faïences à l'emplacement du rétrécissement ébrasé (cf. Ill.) ; les modèles de ces carreaux sont produits par la firme anglaise Minton and Co à la même époque : le carreau au motif de croix est produit vers 1870 (PLUIS, p. 148 et 177), et la frise de fleurs à partir de 1880 (PLUIS, p. 478).

Avec 5 et 6 chambres aux deux étages, l'article de la vente en 1912 nous montre une destination des pièces correspondant à la vie très familiale des propriétaires Falcon de Longevialle (15 enfants). Mais la distribution originelle devait répondre aux conventions de l'époque : distribution inchangée pour le sous-sol et le rez-de-chaussée de réception, mais les premier et deuxième étage devait être occupés primitivement par les appartements des maîtres et appartements d'amis.

Paul Bredin, négociant teinturier lyonnais, devient propriétaire de vignes entre 1871 et 1873 à Sainte-Foy-lès-Lyon et fait construire une demeure, dont les dépendances et le logis sont achevés respectivement en 1873 et 1874. En 1891, la maison devient la propriété de M. Marie-Joseph-Gabriel Falcon de Longevialle. Après la mort de celui-ci, elle est mise en vente par licitation le 29 juin 1912 et acquise par l'Assistance Publique de Paris, propriétaire mitoyen de l'hospice Debrousse. L'APP loue la villa et les dépendances à des particuliers, puis à partir de 1950, se sont les Soeurs hospitalières de l´hôpital qui occupent le logis. Les dépendances sont aujourd'hui détruites. La maison accueillera progressivement d'autres pensionnaires : infirmières, médecins étrangers, jusqu'au déménagement des Soeurs dans le bâtiment B en 1990-91. Depuis 1991, la villa Debrousse comporte des chambres pour accueillir les parents d'enfants hospitalisés et des bureaux médicaux.

Cf. synthèse

  • Murs
    • pierre
    • enduit
    • moellon
  • Étages
    étage de soubassement, rez-de-chaussée surélevé, 2 étages carrés
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • terrasse
  • Escaliers
    • escalier hors-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour suspendu, en maçonnerie
  • État de conservation
    bon état
  • Techniques
    • sculpture
  • Représentations
    • coquille
    • coquille Saint-Jacques
    • tête de femme
  • Précision représentations

    Consoles feuillagées à tête de femmes sous les balcons. Baies surmontées d´agrafes ornées de coquilles ailées et de fleurs.

  • Statut de la propriété
    propriété d'un établissement public communal
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    lambris, jardin d'agrément

Documents d'archives

  • Arch. dép. Rhône : 3 P 202-1. Atlas cadastral parcellaire du territoire de la commune de Sainte-Foy-lès-Lyon, section D de Fontanière, parcelles 253 et 254, 1823

  • Arch. dép. Rhône : 3 P 202-5. Matrice cadastrale de Sainte-Foy-lès-Lyon Non-Bâti n° 480 à 832, 1823-1914

  • Arch. dép. Rhône : 3 P 202-6. Matrice des propriétés, Commune de Sainte-Foy-lès-Lyon, 1823-1914

  • Arch. dép. Rhône : 2 MI 2, Rouleau 13. [Dossiers bleus du Fonds Frécon, vol. VII : généalogie et articles de journaux sur les Falcon de Longevialle], s. d

  • AH HCL : 2 O 22. Aménagement et amélioration, 1913-1951

  • AH HCL : 2 O 24. Dépendances, Plan, 1924

  • HCL, Service du Contentieux. Les libéralités, section VIII : La Fondation Debrousse, ca 1980, p. 81-96

  • Arch. dép. Rhône. [Dossier sur la villa Debrousse conservé au Pré-inventaire du Rhône], [ca 1990]

Bibliographie

  • PREINVENTAIRE DES MONUMENTS ET RICHESSES ARTISTIQUES. Sainte-Foy-lès-Lyon. Département du Rhône, 1990. 253 p. ; 23 cm.

  • PLUIS, Jan. De Nederlandse Tegel decors en benamingen. Leiden : Nederlands Tegelmuseum, 1997. 696 p. ; 25 cm

Documents figurés

  • Plan parcellaire d'alignement du chemin vicinal ordinaire n°1 de Lyon / Chassy. 1 : 500. 24 mai 1887 (AC Sainte-Foy-lès-Lyon)

  • Propriété des héritiers Falcon de Longevialle sise à Ste Foy les Lyon (Rhône) acquise le 29 juin 1912 par l´Administration Générale de l´Assistance Publique à Paris. Copie d´un plan fourni par Ern. Dumontier / [Ernest Dumontier]. [ca 1912]. 1 : 500 (Photocopie consultée aux Arch. dép. Rhône, Pré-inventaire du Rhône : dossier villa Debrousse)

  • Plan du 1 er étage. / [signé : Desbonneau ?, géomètre du Domaine de l'A. P.]. 1 : 50. 20 mai 1924. 1 tirage de plan ; 60 x 86 cm (AH HCL : 2 O 26)

  • Plan général de la ville de Lyon, parcelle 244. 1926 (Arch. mun. Lyon : 2 MI 42, 2 MI 35)

  • Debrousse vu de Lyon / S. Farges. [ca 1909-1920]. 1 photogr. pos. (épreuve sur papier) ; 11,3 x 16,2 cm (Musée HCL : AF VIII-11)

  • [Détail de la vousssure du grand salon de la villa Debrousse]. [ca 1990]. 1 photogr. pos. (épreuve sur papier) ; 12,9 x 17,8 cm (AD Lyon, Pré-inventaire du Rhône)

  • [Rosace de plafond du grand salon (?) de la villa Debrousse]. [ca 1990]. 1 photogr. pos. (épreuve sur papier) ; 12,9 x 17,8 cm (AD Lyon, Pré-inventaire du Rhône)

Annexes

  • Annexe n°1
Date(s) d'enquête : 2005; Date(s) de rédaction : 2005
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Ville de Lyon