Un moulin et un battoir appartenant à Joseph Milliet (noble) apparaissent sur la mappe sarde de 1728 (parcelles 142 et 143). Le moulin est visible sur le cadastre napoléonien de 1809 (section C, feuille 2, parcelle 592). A cette date, il existe non loin de là un bâtiment utilisé comme pressoir à huile (parcelle 298). Les deux sites appartiennent à Maurice Gerbaix de Sonnaz (noble). Le moulin est mentionné dans le tableau sur l'utilisation agricole et industrielle des cours d'eau de 1889 (FR.AD073, 38SPC7). A cette date, il comporte une paire de meules animées par une roue par-dessus. Sur le premier cadastre français de 1890, le moulin (section C, feuille 4, parcelle 1205) est exploité par Louis Courtois, ingénieur à Grenoble. En 1905, le moulin appartient à Joseph Blondet. A priori il n'est plus en activité au début du XXe siècle car il n'apparaît pas sur le recensement des moulins de 1917. Actuellement, le moulin est occupé par un logement.