• inventaire topographique, Inventaire du Parc naturel régional du Massif des Bauges
Restaurant dit chalet-restaurant du Mont-Revard, puis hôtel de voyageurs dit Chalet PLM, actuellement hôtel de voyageurs dit Le Chalet Bouvard
Œuvre monographiée
Copyright
  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Parc naturel régional du Massif des Bauges

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Plateau de la Leysse
  • Commune Les Déserts
  • Lieu-dit le Revard
  • Cadastre 1864 N  ; 2014 AB 12
  • Dénominations
    restaurant, hôtel de voyageurs
  • Appellations
    chalet-restaurant du Mont-Revard, Chalet PLM, Le Chalet Bouvard
  • Parties constituantes non étudiées
    garage

En 1892, les concessionnaires du chemin de fer à crémaillère complètent la construction de la ligne par celle d’un restaurant, implanté à mi pente entre la gare d’arrivée et le sommet du Revard (voir Station du Revard). C’est l’architecte genevois Henri Juvet qui en dresse les plans : le bâtiment, établi sur un terrain aplani, comprend un corps central doté d’un rez-de-chaussée et d’un étage de comble encadré de deux ailes en rez-de-chaussée. Cette construction, qui abrite des cuisines (rez-de-chaussée du corps central), une salle à manger (rez-de-chaussée de l’aile nord), un restaurant (rez-de-chaussée de l’aile sud) et des chambres pour le personnel (rez-de-chaussée et étage de comble du corps central), assure le service de restauration des deux hôtels (occupés uniquement par des chambres) édifiés à une centaine de mètres (voir Grand Hôtel du Revard) ainsi que l’accueil des visiteurs de passage. L’établissement est appelé « chalet-restaurant du Mont-Revard ».

La campagne de travaux menés en 1924-1925 par la Compagnie du Revard pour rénover la station (voir Station du Revard) puis la construction en 1928 d’un nouveau bâtiment appelé La Gaillarde (voir La Gaillarde) permettent de transformer l’établissement en hôtel. En effet, en 1925, les deux hôtels sont agrandis et dotés de leurs propres cuisines et salle à manger libérant celles du restaurant. Afin de loger le personnel supplémentaire nécessaire, les ailes du chalet-restaurant sont exhaussées d’un étage d’après des plans dessinés par l’architecte annécien Fleury Raillon et un chantier confié à l'entreprise aixoise Léon Grosse. C’est probablement à cette date que des piliers extérieurs ont été construits sur la hauteur du rez-de-chaussée pour renforcer le plancher du premier étage. En 1928, la construction de La Gaillarde pour abriter le personnel permet de réaffecter à la clientèle les chambres créées en 1925. A la fin des années 1930, l’établissement cesse d'être une simple annexe et devient le "Chalet PLM" d’une classe inférieure par rapport au Grand Hôtel (voir Grand Hôtel du Revard).

Lors de la vente morcelée de la station en 1953 (voir Station du Revard), l’établissement est acquis par Charles Bouvard et désormais appelé « Le Chalet Bouvard ». La construction d’un porche d’entrée intervient probablement rapidement après. L’hôtel est agrandi en 1969 par la construction d’un corps de bâtiment contre le pignon sud entraînant la démolition de la petite chapelle (élevée en 1909 d'après une source orale) consacrée en 1933. L’apparition de balcons filants au premier étage fait probablement suite à ces travaux qui permettent d’unifier l’ensemble.

Ainsi, le premier bâtiment de la station subsiste encore aujourd’hui et, malgré les modifications effectuées, son architecture reste bien lisible. A l’intérieur, l’organisation de la salle à manger et du salon situés au rez-de-chaussée de l’aile nord est demeurée identique à celle des années 1930.

  • Période(s)
    • Principale : 4e quart 19e siècle , daté par source
    • Principale : 1er quart 20e siècle , daté par source
    • Principale : 3e quart 20e siècle , daté par source
  • Dates
    • 1892, daté par source
    • 1925, daté par source
    • 1969, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Juvet Henri
      Juvet Henri

      Architecte suisse

      Biographie établie par Jean-Pierre Petit, (architecte CAUE 73):

      Architecte suisse né et décédé dans le canton de Genève. Élève de L’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris (matricule 2973), plusieurs fois primé et diplômé en 1882, avec Louis Jules André comme maître, mais aussi élève à l'École des arts décoratifs en 1875. Il réalise quelques immeubles locatifs et maisons particulières en France, mais c'est surtout en Suisse, où il fut aussi plusieurs fois primé en concours publics, qu'il opérera, souvent en collaboration avec son neveu Henri Garcin, créant l'un des cabinets les plus connus et occupés de Genève. Ses principales réalisations sont un ensemble d'immeubles sur les Quais de l'Arve à Genève ; des établissements industriels et scolaires ; le conservatoire botanique Ariana à la Console ; et l'asile d'aliénés de Bel-Air près de Genève. Il obtient mention honorable au Salon des artistes français à Paris en 1883. Membre de nombreuses sociétés et institutions, il préside notamment la Section des Beaux-arts de l'Institut national genevois, et est déclaré en France officier d'Académie. Amené au Revard par les grands entrepreneurs et administrateurs de la Société genevoise de chemin de fer à voie étroite, devenus concessionnaires de la ligne à crémaillère du Revard, on lui doit assurément les deux chalets hôtels et le chalet restaurant construits en 1893.

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    • Auteur :
      Raillon Fleury Jacques Joseph
      Raillon Fleury Jacques Joseph

      Architecte annécien

      Biographie établie par Jean-Pierre Petit (architecte, CAUE 73):

      Architecte français né à Bourgoin-Jallieu. Élève récompensé plusieurs fois et diplômé de L’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris en 1893 (matricule 3761), ayant eu pour maître Paul Blondel. D'abord établi à Grenoble, puis à Annecy où il devient Architecte départemental de la Haute-Savoie, de 1894 à 1938 ; architecte des Monuments historiques, à partir de 1898 ; architecte de l'École nationale d'horlogerie de Cluses ; et architecte des Hospices civils et militaires d'Annecy. Ses principales réalisations sont l'hôpital Dufresne-Sommelier à Bonattrait ; une dizaine de groupes scolaires ; les hôtels de ville de Cluses et de Cruseilles, l'hôtel des postes d'Annecy. Membre de divers Conseils et Commissions départementales, il est déclaré officier d'Académie en 1903, chevalier de la Légion d'honneur, et officier de l'Instruction publique en 1910 ; il obtient également la Grande Médaille d'argent de l'architecture privée de la Société centrale des architectes en 1934. La Compagnie des chemins de fer P.L.M. qui a racheté dans la même année 1923 les grands hôtels du Revard et Le Mont-Blanc de Combloux, construit aussi par un investisseur Suisse, confie à Raillon l'agrandissement et la modernisation de ces deux bâtiments pour en faire deux hôtels palaces sur sa Grande Route des Alpes.

      l’architecte F. Raillon dresse les plans et devis de l'église de Viuz-la-Chiésaz en 1901.

      L'architecte F. Raillon suit les travaux d'agrandissement de l'école de Gruffy (74) en 1899.

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    • Auteur :
      Léon Grosse (1856 - )
      Léon Grosse

      Entreprise de maçonnerie créée par Léon Grosse en 1881, en Savoie. En 1901, acquiert le procédé de construction en béton armé Hennebique et s'oriente vers des activités de travaux publics.

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    • Personnalité :
      Société anonyme des chemins de fer de montagne et régionaux
      Société anonyme des chemins de fer de montagne et régionaux

      Société fondée le 3 septembre 1891 à Annemasse (74) pour construire et exploiter le chemin de fer à crémaillère du Revard. Les membres de son conseil d'administration sont genevois : Basile Tronchet (premier président du CA), M. Didier (conseiller de la ville de Genève), Henri Juvet (architecte), M. Megevet (Négociant à Genève), M. Jules Dupont Buëche (négociant à Genève). Certains d'entre eux sont également administrateurs de la Société genevoise des chemins de fer à voie étroite qui construit plusieurs tramways à Genève et alentours entre 1888 et 1900 (en 1900, cette société est absorbée par la Compagnie genevoise des tramways électriques).

      L'objet social de la société ne limite pas son action au Revard qui ne doit constituer qu'une première opération. Jules Dupont Buëche, Basile Tronchet et Claudius Petit apportent au capital de la Société, la concession du chemin de fer à crémaillère qui leur est concédée par la loi du 25 juin 1891. Par vente aux enchères en 1909, la Société devient propriétaire de l'ensemble du domaine foncier du Revard et des constructions qui y ont été édifiées, jusqu'alors restés en copropriété entre différents membres fondateurs. L'entreprise qui n'avait jamais fait de gros profits, se trouve en fortes difficultés financières à cause de la Première Guerre mondiale. En 1920, la société est mise en vente par son principal actionnaire, le baron Denaint. L'acquéreur, l'ingénieur Ernest Lafargue, se révèle être un escroc. La Société est mise en faillite, puis sous administration judiciaire. Elle est liquidée par décision des actionnaires du 22 mars 1923. L'ensemble de ses actifs est alors vendu à la Compagnie du Revard.

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    • Personnalité :
      Compagnie du Revard
      Compagnie du Revard

      Société créée par la Compagnie de chemin de fer Paris-Lyon-Méditerrannée (PLM) en 1923. Son siège se situe à proximité de la maison mère, 88 rue Saint Lazare à Paris. Elle achète le domaine du Revard à la Société des chemins de fer de montagne et régionaux le 22 mars 1923 par acte passé chez Me Vallet à Aix-les-Bains. Elle fusionne le 22 mai 1930 avec la Société Hôtelière et Touristique (SHT) de la Cie PLM en lui apportant tous ses actifs.

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    • Personnalité :
      Société Hôtelière et Touristique du réseau Paris-Lyon-Méditerranée (SHT-PLM)
      Société Hôtelière et Touristique du réseau Paris-Lyon-Méditerranée (SHT-PLM)

      Société fondée en 1921 par la Compagnie de chemin de fer Paris-Lyon-Méditerranée (PLM) « afin de venir en aide sous forme de participations, à des entreprises hôtelières exploitant certains centres touristiques dont le développement intéressait tout particulièrement le trafic ferroviaire. La Société ne pouvant subsister qu'avec des ressources venant en contre-partie d'investissements dont il était difficile d'attendre une rémunération, la gérance de l'hôtel Terminus de Marseille lui fut tout d'abord confiée, puis celle de l'hôtel Terminus de Lyon… et enfin celle du Terminus de Briançon et du Chalet du Lautaret. Elle fut, d'autre part, amenée à absorber deux sociétés : la Société des hôtels et automobiles des Alpes françaises, propriétaire de l'hôtel de Combloux, et la Compagnie du Revard ». Son siège social se situe au 86 rue Saint Lazare à Paris. Elle absorbe la Compagnie du Revard par acte du 22 mai 1930 avec tous ses actifs et reçoit la concession du chemin de fer à crémaillère du Revard par décision ministérielle publiée au JO du 7 janvier 1930. Elle devient ainsi l'acteur majeur du renouveau du Revard entre 1930 et 1953.

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Le bâtiment, implanté sur une terrasse en terre-plein bordée d’un garde-corps en bois interrompu par plusieurs piliers en pierre de faible hauteur, se situe dans une grande épingle formée par la route. L'accès automobile, signalé par un grand panneau, se fait par le haut. L'établissement est également accessible depuis le bas par un escalier en pierre qui démarre au niveau de l'ancienne gare du chemin de fer (voir Gare d'arrivée du chemin de fer). Il tourne le dos à la pente et il est orienté vers l'est et le panorama des montagnes offert depuis la terrasse qui le précède.

L’édifice se compose d’un corps central (rez-de-chaussée, un étage carré, un comble à surcroît) encadré de deux ailes (rez-de-chaussée, un étage carré, un étage de comble) placées en retrait. Un toit à deux versants en bac acier couvre chacun des ces trois corps de bâtiment. D'après l'iconographie ancienne, l'édifice, qui repose sur un soubassement en moyen appareil de pierres, est construit selon une structure poteaux-poutres en bois, visible sur les parties supérieures, hourdie de briques. L’ensemble est complété au sud par une construction en béton (rez-de-chaussée et deux étages carrés) couverte d’un appentis à très faible pente. Un bandeau vertical de pavés de verre éclaire l'escalier de distribution intérieur. Les balcons filants de la façade ouest faisant retour sur la façade sud sont repris au premier étage de chacune des ailes rythmées par cinq travées de baies. Le porche d'entrée se situe dans l’angle formé par la saillie du corps central et de l’aile sud. Le premier étage de l’édifice est occupé par des chambres desservies par un couloir longitudinal central ; le bar, la cuisine, le salon et l’escalier de distribution sont logés au rez-de-chaussée du corps central ; le rez-de-chaussée de l’aile sud abrite le logement des propriétaires et celui de l’aile nord la salle à manger.

  • Murs
    • pierre moyen appareil
    • bois pan de bois
    • brique enduit
    • béton enduit
  • Toits
    métal en couverture
  • Étages
    rez-de-chaussée, 2 étages carrés, 1 étage de comble, comble à surcroît
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à deux pans
    • appentis
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours en charpente
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée

Édifice étudié dans le cadre de l'exposition "Aix côté Montagne - Le Revard - Les Corbières" en 2016.

Image non consultable

Documents d'archives

  • AC Les Déserts. Permis de construire accordé à Charles Bouvard, 27 novembre 1968.

    AC Les Déserts
  • AP Entreprise Léon Grosse. Boîte n°49. Dossier n°23.135. Cie PLM. Agrandissement et transformation de l'hôtel du Mont-Revard, 1923.

    AP Entreprise Léon Grosse : Boîte n°49. Dossier n°23.135
  • AP Entreprise Léon Grosse. Boîte n°58. Dossier n°24.71. Cie PLM. Hôtel du Mont-Revard : surélévation de l'annexe, 1924.

    AP Entreprise Léon Grosse : Boîte n°58. Dossier n°24.71.
  • AP Association Genevoise du Musée des Tramways (AGMT). Ensemble de plans et de documents sur le chemin de fer à crémaillère du Revard et sur les premiers bâtiments construits, 1892-1893.

    AP Association Genevoise du Musée des Tramways (AGMT)

Bibliographie

  • FOUGER, François. Le Chemin de fer à crémaillère. Aix-les-Bains / Le Revard. Aix-les-Bains : 2000. 160 p. multigr. : ill. ; 22 cm.

    NB: L'ouvrage a été complété et édité une seconde fois, en 2013.

  • PETIT, Jean-Pierre. « L’urbanisme du Revard : la conquête du sommet », in Le Revard. Aix-les-Bains : Société d’Art et d’Histoire, 1996. (coll. Arts et Mémoire, n°6).

    pp. 100-114

Documents figurés

  • Cie du Revard. Chalet Restauration. Etat actuel [Plans, coupes et élévations] / Bureau d’études de l’EGLG. juillet 1924. Ech. 1 : 100. 1 plan sur calque rehaussé : encre ; 72 x 107 cm (AP Entreprise Léon Grosse. Boîte n°49. Dossier n°23.135. Dossier d’exécution)

    AP Entreprise Léon Grosse : Boîte n°49. Dossier n°23.135. Dossier d’exécution
  • Revard. Chalet-Restauration [Plans] / [Bureau d'études de l'EGLG]. [Aix-les-Bains], décembre 1924. Sans éch. 1 tirage de plan bleu ; 57 x 40 cm (AP Entreprise Léon Grosse. Boîte n°58. Dossier n°24.71)

    AP Entreprise Léon Grosse : Boîte n°58. Dossier n°24.71
  • Compagnie du Revard. Surélévation de l'annexe. Plan et coupes de la toiture. 8411 / Bureau d'études de l'EGLG. Aix-les-Bains, septembre 1924. Ech. 1 ; 100. 1 plan sur calque ; 35 x 70 cm (AP Entreprise Léon Grosse. Boîte n°58. Dossier n°24.71)

    AP Entreprise Léon Grosse : Boîte n°58. Dossier n°24.71
  • 327. Panorama de la chaîne du Mont-Blanc pris du Revard [Chalet-restaurant et chalets-hôtels en construction] / Paris : ND photo, [1892]. 1 carte postale : n. et b. ; 18 x 27 cm (AC Aix-les-Bains. 11 Fi 0413)

    AC Aix-les-Bains : 11 Fi 0413
  • [Le Revard. Chalet-restaurant en construction et gare d'arrivée de la crémaillère] / S.n. [Le Revard], [1892]. 1 photogr. : n. et b. ; 18 x 24 cm (AC Aix-les-Bains. 11 Fi 2466)

    AC Aix-les-Bains : 11 Fi 2466
  • [Le Revard. Chalet-restaurant et chalets-hôtels vus depuis la terrasse du chalet-restaurant] / S.n. [Le Revard], [fin du XIXe siècle]. 1 photogr. : n. et b. ; 24 x 30 cm (AC Aix-les-Bains. 11 Fi 2320)

    AC Aix-les-Bains : 11 Fi 2320
  • [Chalet-restaurant pris depuis la voie ferrée] / S.n. [ca. 1930]. 1 photogr. : n. et b. (Musée Savoisien Chambéry. GEP4063-001)

    Musée Savoisien Chambéry : GEP4063-001
  • 72. Plateau du Mont-Revard – Le restaurant et les chalets hôtels / Paris : ND photo, [ca. 1895]. 1 carte postale : n. et b. ; 13 x 9 cm (AC Aix-les-Bains. Cp49_015)

    AC Aix-les-Bains : Cp49_015
  • La chaîne des Alpes. Vue prise du Mont-Revard / Paris : ND photo, [fin du XIXe siècle]. 1 carte postale : n. et b. (AP Eric Surrel)

    AP Eric Surrel
  • Plateau du Mont-Revard – L'Observatoire et le restaurant / Paris : ND photo, [fin du XIXe siècle]. 1 carte postale : n. et b. (AP François Fouger)

    AP François Fouger
  • Plateau du Mont-Revard – Le restaurant / Paris : ND photo, [fin du XIXe siècle]. 1 carte postale : n. et b. (AP François Fouger)

    AP François Fouger
  • Le Mont-Revard sur Aix-les-Bains. Hall du chalet annexe / S.l.: S.n., [2e quart du XXe siècle]. 1 carte postale : n. et b. (AP Eric Surrel)

    AP Eric Surrel
  • Le Mont-Revard sur Aix-les-Bains. Le salon de thé du chalet annexe / S.l. : S.n., [2e quart du XXe siècle]. 1 carte postale : n. et b. (AP Eric Surrel)

    AP Eric Surrel
  • Le Mont-Revard sur Aix-les-Bains. La terrasse du chalet restaurant / S.l. : S.n., [2e quart du XXe siècle]. 1 carte postale : n. et b. (AP Eric Surrel)

    AP Eric Surrel
  • [Le Revard. Chalet Bouvard : façade principale] / Mâcon : Cim, [2e quart du XXe siècle]. 1 carte postale : coul. (AP Eric Surrel)

    AP Eric Surrel
  • [Vue aérienne du Revard : le chalet Bouvard, la Gaillarde et les chalets de la boucle de l'Observatoire] / Saint-Maur-des-Fossés : La Pie, [3e quart du XXe siècle]. 1 carte postale : n. et b. (AP Eric Surrel)

    AP Eric Surrel
Date(s) d'enquête : 2014; Date(s) de rédaction : 2016
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Parc naturel régional du Massif des Bauges