Le plan cadastral de 1813 ne figure aucun aménagement particulier à cet emplacement. A l'état des sections cadastrales de 1824, cette parcelle est mentionnée comme « terre labourable », appartenant à « Bigonnet Joseph dit Grelet », lequel possède également une autre parcelle de « terre labourable » et des parcelles de « landes » et de « pâture » situées à proximité.
La construction de ce rucher, dit « apié » en provençal, ne paraît pas antérieure au milieu du 19e siècle.
La tradition orale rapporte que des vignes étaient cultivées aux alentours, jusqu'au début du 20e siècle.