Dossier d’œuvre architecture IA69006292 | Réalisé par
  • inventaire topographique, Inventaire de la Ville de Lyon
Théâtre dit École des mœurs républicaines, puis Théâtre des Variétés, puis Théâtre des Célestins
Œuvre monographiée
Copyright
  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Ville de Lyon

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Lyon Jacobins
  • Commune Lyon 2e
  • Lieu-dit Jacobins
  • Adresse place des Célestins , rue Charles-Dullin , rue Gaspard-André
  • Cadastre 1999 AI 143
  • Dénominations
    théâtre
  • Appellations
    École des mœurs républicaines , Théâtre des Variétés , Théâtre des Célestins

A la suite de la disparition de l’ordre des Célestins en 1785, la société de la Compagnie des Célestins est créée et achète le terrain du couvent. Le promoteur André Devouges fait le choix de construire dix-sept immeubles qui entourent une place centrale et qui sont limités à l’ouest par le quai de Saône. Il est prévu qu’un îlot d’immeubles comporte une salle de spectacle. Un premier théâtre conçu par l’architecte Jean-François Colson est construit à partir de 1789. Il est inauguré le 9 avril 1792. Après avoir été nommé l’École des mœurs républicaines et le Théâtre des Variétés, le théâtre prend le nom de Théâtre des Célestins. Le Dictionnaire historique de Lyon précise que le théâtre est acheté par la Ville après le 22 mai 1834 : « L’accord est finalement conclu sur une somme voisine de 330 000 francs, décors compris, tradition entérinée par le Conseil municipal dans la séance du 18 octobre 1838 ». Le politicien André-Paul Sain-Rousset, propriétaire, accepte ce jour l’achat de la salle par la Ville de Lyon. Il s’agit désormais d’une propriété de la commune. Un incendie se déclare dans la nuit du 1er avril 1871 quelques heures après la représentation de La femme d’un Prussien. Le théâtre étant détruit, dès le mois de janvier 1872, un concours est mis en place. Le projet prévoit que la salle reçoive 1600 spectateurs, ait un « péristyle couvert » en façade et un grand foyer au premier étage qui pourra être également utilisé comme « salle de concert ». Présidé par Antoine-Marie Chenavard, le concours est remporté par l’architecte Gaspard André. Ce dernier propose deux projets portant la devise « Carrément ou de guingois ? ». L’un est conforme à la demande du jury, mais c'est le second, dont la façade du théâtre est perpendiculaire à l’axe de la place, qui est choisi. Il permet ainsi d’avoir une plus grande profondeur de scène, très utile pour les nombreux genres donnés. « L’auteur a montré, par l’étude de guingois, que les dispositions générales de son projet pouvaient s’adapter au périmètre du programme » souligne F. Muller, critique du Journal de Lyon. L’architecte réalise là son premier édifice à seulement 33 ans. Les travaux ont lieu de 1874 à 1877. Les spectacles se déroulent alors au petit Théâtre des Variétés situé près de l’actuelle place Kléber aux Brotteaux. Le théâtre est inauguré le 1er août 1877. L’architecte Bissuel qualifie le projet de « remarquable du point de vue artistique et du point de vue pratique ». Gaspard André reçoit une ovation à la découverte de sa création. En outre, plusieurs reproductions de la façade du théâtre sont réalisées pour le conseil municipal tandis que des relevés de la façade figurent à l’Exposition universelle de 1878. Une similitude est notable entre l’œuvre de Gaspard André et l’Opéra de Charles Garnier à Paris datant de 1861 qui sert de modèle du point de vue technique concernant le chauffage et l’installation de l’éclairage électrique, mais aussi ornemental. Le théâtre est à nouveau victime d’un incendie dans la nuit du 25 au 26 mai 1880 qui « détruisit la salle et la scène » à la suite de la représentation des Canotiers de la Seine. Gaspard André reproduit le théâtre à l’identique à la demande de la Ville. Dès l’automne 1881, le théâtre est achevé. Désormais, les conditions de sécurité sont renforcées par la pose d’un rideau de fer entre la salle et la scène et par l’arrivée de l’électricité en septembre 1888. La saison théâtrale débute le 18 octobre 1881 et le répertoire évolue. En effet, différents genres sont joués au théâtre : le drame, la comédie, le vaudeville et la féérie (genre dramatique composite dont les plus grands succès ont lieu au XIXe siècle en France ; genre mêlant la musique, le chant et la danse, la pantomime et l’acrobatie). De nombreuses créations y sont produites. L’architecte André s’inspire du projet pour le théâtre de Genève (1872) lorsqu’il réalise à nouveau le théâtre après l’incendie de mai 1880. Cette conception à l’italienne du théâtre prévaut depuis le XVIe siècle. A la suite des théories sur la perspective des architectes Brunelleschi, Alberti et Palladio, une délimitation entre la scène et la salle, donc entre les acteurs et le public, est notable. Ce type d’architecture se retrouve dans d’autres théâtres contemporains de l’époque de Gaspard André dont le théâtre de Constantine par l’architecte Gion, le théâtre de Reims par Gosset et le théâtre de Nantes par Fleury.

En 1992, à l'occasion du bicentenaire du théâtre, des rénovations sont opérées. Dans le foyer du public, trois tableaux représentant Sganarelle, Arnolphe et Alceste sont peints par-dessus d'anciennes peintures réalisées au début du XXe siècle. Ils sont signés et datés "Myck 1992". Dans la salle, entre 1978 et 1993, la majorité des baignoires flanquant le parterre sont désinstallées.

En 2003, une importante rénovation est réalisée. En effet, le théâtre doit être conforme aux normes de sécurité, d'accessibilité et être rénové au niveau des espaces scéniques, techniques et publics. La machinerie d'époque à l'italienne est alors transformée en machinerie moderne au niveau de la cage de scène. En outre, une nouvelle salle appelée la Célestine est construite à 3m20 sous le niveau de la rue. Le théâtre rouvre ses portes au public en 2005.

Ce théâtre est construit sur un terrain plat sur la presqu’île dans le deuxième arrondissement de Lyon. Le bâtiment est limité par la place des Célestins à l'est et bordé par deux rues : la rue Gaspard-André au sud et la rue Charles-Dullin au nord. Il est mitoyen des vestiges du cloître des Célestins à l’ouest. Ce théâtre s’inscrit dans un plan presque carré dans lequel la façade est perpendiculaire à l’axe de la place. Le bâtiment est construit sur un soubassement. Le théâtre est composé d’une façade principale à trois étages. Au centre, le bâtiment principal est en avant-corps surmonté d’une corniche et d’un dôme très aplati. Le rez-de-chaussée comprend trois arcades. Entre le rez-de-chaussée et l'étage principal est compris un étage intermédiaire : trois portes-fenêtres ouvrent sur trois larges et profonds balcons donnant sur la place des Célestins. A l’étage noble se trouvent trois grandes baies cintrées. Ce « bel étage » est richement composé. A cet étage, les trois arcs dit « à la Palladio » ont été réalisés par les sculpteurs Roche et Vaganay. Le sculpteur François-Édouard Clauses exécute la sculpture « ornementale », en particulier les frontons. Au-dessus du « bel étage », l’entablement se compose d’une architrave, d’une frise et d’une corniche. La corniche à modillons soutient des chéneaux de pierre de Calissane (Bouches-du-Rhône). La partie centrale sur laquelle est indiqué le mot « théâtre » est surmontée du fronton qui abrite deux sphinges flanquant un masque de la Comédie antique. Le fronton est sommé d’un vase dont deux serpents composent les anses. Le peintre Nicolas Sicart aurait réalisé un dessin indiquant la posture des sphinges. Les espaces de services comme les circulations sont compris dans les deux ailes latérales basses. Aux angles de la façade, au niveau de l’étage noble, sont sculptés les initiales « R. F. » à gauche, et les mots « LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ» à droite sur des cartouches entourés de branches de laurier et d’ornements ; les années 1874 et 1877 sont gravées sous les inscriptions. Les façades de la rue Gaspard-André (anciennement rue des Célestins) et de la rue Charles-Dullin (anciennement rue d’Egypte) sont homogènes et présentent huit travées. Les fenêtres du rez-de-chaussée et de l’entresol sont couvertes d’arcs segmentés. Les 1er et 3e étages carrés s’ouvrent par des fenêtres carrées. Des pilastres doriques rythment la façade au niveau des 2e et 3e étages carrés. La porte surmontée d’un fronton rue Gaspard-André est pourvue d’une plaque sur laquelle est écrite « Parterre – 3e galerie » tandis que celle de la rue Charles-Dullin affiche « Parquet 1-2 galerie ». A l’étage, la fenêtre est flanquée de colonnes demi-engagées d’ordre ionique. Elle est couverte d’un fronton cintré rompu auquel une guirlande de fleurs est suspendue. Deux pilastres corinthiens encadrent l’ensemble. Cette travée est en léger avant-corps et est couronnée d’un fronton cintré dans lequel un griffon est fièrement dressé. Le fronton est sommé d’une palmette. Rue Charles-Dullin, la travée axiale, ornée d’un masque agrémenté d’une guirlande de fleurs, de fruits et de feuilles de houx et d’olivier, éclaire la cage d’escalier. « Administration – Entrée des artistes » est inscrit au-dessus de la porte.

Le spectateur entre dans le porche dans-œuvre surélevé par une des trois entrées depuis la place des Célestins. Ce porche, souvent appelé à tort péristyle, est prolongé par des salles « de queue ». Le visiteur accède ensuite au vestibule d’où partent les escaliers conduisant aux galeries distribuant la salle de spectacle. Le vestibule est couvert d’une voûte plate ovale et ses ornements sont dus aux décorateurs Flachat et Cochet. Les sculpteurs Antoine et Louis Berthet, dans le vestibule et les escaliers, effectuent les « imitations de Cruaz poli en grandes surfaces unies en stuc à la chaux ». Le sculpteur Jean-André Delorme réalise la statue de La Vérité appelée également La Vérité railleuse placée dans le vestibule, statue qui n’est plus en place depuis une date indéterminée. L’intérieur de l’édifice s’articule entre la salle, la scène, le foyer du public, le foyer des artistes ainsi que les espaces techniques et de services. Le volume de la salle occupe toute la hauteur du bâtiment. Les espaces techniques et de services se trouvent à tous les niveaux : les services secondaires, vestiaires, cabinets, le foyer des machinistes, le corps de garde des pompiers, le foyer des « comparses », les habilloirs des figurants, le dépôt des décors et le magasin des accessoires. Le foyer des musiciens est au rez-de-chaussée. Le cabinet du régisseur, le foyer des artistes, les loges de premiers sujets sont au premier étage. Le foyer du public et les loges d’artistes se situent au second étage où se trouve également à ce niveau une buvette. Au troisième étage se trouve l’appartement du directeur. Enfin, le cabinet et l’atelier du décorateur sont sous les combles. A ce niveau ont été installés également des réservoirs d’eau. La salle est hiérarchisée : elle est composée de trois niveaux de galeries. Ainsi, de bas en haut, les divisions sociales sont clairement séparées et identifiées. Comprenant 697 places, la salle à l’italienne est en forme de fer à cheval. L’ensemble de l’ossature de la salle – les piliers et la structure des balcons, la charpente, la coupole et la cage de scène – est métallique. Le parterre se trouve sur un plancher de bois en pente. L’ensemble des balcons témoignent du rôle du théâtre par sa structure : les spectateurs venaient au théâtre pour voir la pièce mais aussi pour être vus. Une balustrade intermédiaire sépare en deux parties la première et la deuxième galerie. Le poulailler, ou troisième galerie, se compose de plusieurs niveaux derrière les arcades. La frise du plafond couronne le rythme régulier des arcades. La décoration de la salle renaissance et baroque conduite par le décorateur de la ville de Lyon Jean-Baptiste Genivet a été réalisée par les ateliers Flachat et Cochet de Lyon. Les matériaux employés sont le stuc, le plâtre, le bois doré ainsi que la peinture et la dorure. Les modèles des colonnes de la salle en fonte ont été conçus par le sculpteur Leandro Bonioli. Jean-Baptiste Genivet conçoit le rideau de scène et le lambrequin ainsi que les seize décors du « répertoire courant ». L’ensemble de la salle est peint par Alexandre Gayetti qui effectue également les dorures. Sur l’arc de scène, les noms de Molière, Racine et Corneille sont inscrits dans des cartouches. Ces derniers sont encadrés par les trophées de la Tragédie (main de justice, couronne et sceptre) et de la Comédie ou de la Musique (flûte de Pan, flambeaux, marotte ou masque de Fou). Le volume de la scène est trois fois plus grand que celui de la salle. En effet, l’espace scénique inclut la fosse d’orchestre, le plateau, les dessous et les dessus. Tous les services en lien avec la scène sont groupés au même endroit. La capacité de la fosse d’orchestre est de cent musiciens. Le plateau comprend le trou du souffleur à l’avant-scène et un monte-charge à l’arrière-scène. Les dessous composés de trois niveaux sont équipés d’une machinerie classique à l’époque de la construction. En effet, d’importants travaux ont eu lieu entre temps en 2005. Les dessus en structure métallique sont composés de deux niveaux de machinerie en bois. Le foyer du public, de forme rectangulaire, se situe sur l’aile latérale sud du théâtre au second étage. Couvert d'une voûte en berceau en anse de panier à lunettes, il est pourvu d’une cheminée monumentale composée d’un trumeau surmonté d’un fronton cintré rompu et orné du portrait de Molière peint par Joanny Domer. Le même artiste a réalisé les personnages des comédies de Molière (cf IM69002017). La décoration permet de mettre en valeur la voûte et ses retombées ainsi que l’ensemble de la composition architecturale. Frédéric Giroud, avec Jean-Baptiste Genivet effectue « les peintures décoratives du foyer du théâtre des Célestins, moins les figures et l’application de l’or » sur des toiles collées. « L’ornementation en carton pierre à exécuter dans le foyer principal du théâtre des Célestins » est de Leandro Bonioli. Une figure peinte de la Vérité est située au-dessus du portrait de Molière, au plafond. Les représentations des parois murales ont pour thème le monde moderne tandis qu’au plafond est symbolisé le monde ancien. En effet, une idée de progression entre les deux mondes est notable ainsi qu’avec l’unité décorative.

Les piliers du foyer des artistes sont ornés de cartouches dans lesquels sont peints, de la gauche vers la droite depuis l’entrée du foyer, les noms de Fournier, Lureau, Lamy, Genin, Dupré, comédiens du XIXe siècle. En outre, un buste de Molière occupe le trumeau de la cheminée.

L’édifice du XIXe siècle a été organisé et conçu en lien avec les progrès de son époque. Ainsi, le théâtre possède de nombreux dégagements, du chauffage et de la ventilation. Un système de conduits permet la réception de l’air frais puis l’évacuation de l’air chaud dans la salle.

A gauche de l'élévation antérieure, au niveau du soubassement, est visible une belle section de nautile.

  • Murs
    • calcaire pierre de taille
  • Toits
    ardoise, zinc en couverture
  • Plans
    plan régulier
  • Étages
    entresol, 3 étages carrés
  • Couvrements
    • voûte plate
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie
  • État de conservation
    bon état
  • Techniques
    • sculpture
    • peinture
  • Statut de la propriété
    propriété privée
    propriété de la commune
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Protections
    inscrit MH, 1997/03/21
  • Référence MH

Documents d'archives

  • DRAC Rhône-Alpes, CRMH. 69 - Lyon 2e, théâtre des Célestins, 1 I 09 MHAAA-99-460

Bibliographie

  • ANDRE, Gaspard. L´oeuvre de Gaspard André. Lyon : A. Storck et Cie, imprimeurs-éditeurs, 1898, Théâtre des Célestins

  • AUDIN, Marius. VIAL, Eugène. Dictionnaire des artistes et ouvriers d'art du Lyonnais. Paris : Bibliothèque d'art et d'archéologie, 1919

    T. 1
  • BEAUFORT, Jacques. L'architecture à Lyon. Lyon et le Grand Lyon de 1800 à 2000. Jean-Pierre Huguet, Editeur, tome II, 2001, 308 p.

    p. 48-51
  • BEGHAIN, Patrice, BENOIT, Bruno, CORNELOUP, Gérard, THEVENON, Bruno. Dictionnaire historique de Lyon. Lyon : éd. Stéphane Bachès, 2009. 1503 p.

    Région Auvergne-Rhône-Alpes, SRI, site de Lyon : 69-LYON DIC
    p. 1285-1289
  • CARLIER, Sylvie. CHANTRENNE, Damien. Théâtres et cafés. Peintures et décors à Lyon (1840-1930). Catalogue de l'exposition, musée Paul-Dini, Villefranche-sur-Saône, 12 octobre 2014 - 8 février 2015, 2014

    p. 60, 70
  • CHARVET. Lyon artistique, architectes Lyonnais, notices biographiques et bibliographiques. Lyon, 1899. 436 p. : ill. ; 28 cm

  • CHOMARAT, Michel (dir.). Les Célestins, du couvent au théâtre. Catalogue d'exposition, Théâtre des Célestins. Lyon : Mémoire active, 2005. 284 p.

    BM Lyon : 6900X5CEL
  • PUITSPELU, Nizier du. Les Vieilleries lyonnaises. Lyon : Jean Honoré Editeur, 1980, (première édition en 1891)

    p. 255, 261
  • ROUX, Jean-Luc. Le Café-concert à Lyon (XIXe siècle et début XXe siècle). Lyon : Éditions lyonnaises d'Art et d'Histoire, [1996], 149 p. ill.

    Région Auvergne-Rhône-Alpes, SRI, site de Lyon : 69 L CULTU ROUX
    p. 22, 25, 29, 31-32

Périodiques

  • PAIN, Cyril. "Le théâtre classique, l'exemple des Célestins à Lyon". La Pierre d'Angle, n° 34, octobre-novembre 2003.

    Région Auvergne-Rhône-Alpes, SRI, site de Lyon
    p. 13-15
  • RICHAUD, Gilbert. "Le théâtre et la cité au XIXe siècle". La Pierre d'Angle, n° 34, octobre-novembre 2003.

    Région Auvergne-Rhône-Alpes, SRI, site de Lyon
    p. 15-17

Documents audio

  • ROUSSELLE, Bruno. SAVAY-GUERRAZ, Hugues. TRITENNE, Dominique. Étude géo-patrimoniale du secteur des Jacobins. 2017 - 2018

Annexes

  • DRAC Rhône-Alpes, CRMH. Note de synthèse (par Bernard Gautheron ?, 1992). Historique
  • DRAC Rhône-Alpes, CRMH. Avis de l'Architecte en chef des Monuments historiques, 20 janvier 1992
  • DRAC Rhône-Alpes, CRMH. Avis de l'Inspecteur des Monuments historiques, 16 décembre 1996
  • DRAC Rhône-Alpes, CRMH. Avis de l'Architecte en chef des Monuments historiques, 16 décembre 1996
  • ANDRE, Gaspard. L'oeuvre de Gaspard André. Théâtre des Célestins. Lyon : A Storck et Cie, imprimeurs-éditeurs, 1898, p. 11-14
  • BARD, Joseph. "XIIIe bulletin monumental et liturgique de la ville de Lyon", La Revue du Lyonnais, 1851, t. 2
Date(s) d'enquête : 2004; Date(s) de rédaction : 2004
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Ville de Lyon