Dossier d’aire d’étude IA42001385 | Réalisé par
Guibaud Caroline
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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  • inventaire topographique
Présentation de la commune de Roche
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  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

  • Aires d'études
    Montbrison
  • Adresse
    • Commune : Roche

Des traces d´occupation péri gallo-romaine ont été identifiées par des observations anciennes à Château-Gaillard, Seynaud et Pivadan (Lavendhomme, p. 180, ou Lugnier, p. 14) mais la commune n´a pas fait l´objet de fouille récente. La paroisse de Roche a sans doute été créée dans le courant du 12e siècle. La plupart des hameaux sont mentionnés dans la documentation (chartes du Forez et terriers) entre le dernier quart du 13e siècle et le 3e quart du 14e siècle (d´après Dufour). A. Lugnier a fait la synthèse des documents concernant la commune au Moyen Âge, et pointé l´intérêt de l´acte d´agrandissement de la châtellenie de Montbrison aux dépens de celles de Marcilly et de Châtelneuf, en 1442 (AD Loire, série B : 2047 ; Lugnier, p. 17 et 88), qui dénombre les feux de la paroisse par lieu-dit : A. Lugnier a constaté que les mêmes lieux sont habités et par le même nombre de foyers en 1440 et 1940 (sont réunis à la justice de Montbrison : le bourg, le Montet, Champ, le Vernay, Glizieux, Montvadan, la Griotte, la Fougère, Rochéberanne, le Creux, Lathéry, Seynaud, le Bouchet ; restent dans le justice de Châtelneuf : Chaudabrit, Foin, Néel, le Supt, les Cognières, les Amaruts, la Côte). Le comte de Forez, les seigneurs du Chevallard (Essertines-en-Châtelneuf), la Guillanche (Essertines-en-Châtelneuf), Ecotay et Curraise (Précieux) possédaient des domaines (tenures) à Roche. Une quinzaine d´édifices de la commune présentent des parties datables du 16e siècle (et de très nombreux autres édifices remploient des encadrements d´ouvertures montrant des moulurations de cette époque ; voir aussi la tabatière en os de cerf, de la fin du 16e siècle, dessinée par C. Beauverie, Bull. Diana, 1890), période faste pour la construction, durant laquelle sont également érigées une dizaine de croix de chemin (conservées intégralement ou fragments : trois au village de Roche ; deux à Champ et à la Fougère ; une au Vernay, à Rochéberanne et à la Marèche). Le 18e siècle constitue une seconde époque de prospérité. Enfin, on constate la recrudescence des constructions ou re-constructions au milieu du 19e siècle. Au 16e siècle, la moitié des fermes est tenue par une communauté familiale (Lugnier, p. 33, 174 ; ce chiffre ne cesse de décroître par la suite, le système disparaissant au 19e siècle). La plupart des habitants sont des propriétaires-cultivateurs, avec quelques fermiers pour des domaines appartenant à des propriétaires "forains" (p. 28, 29). L´utilisation des hautes chaumes comme pâturage d'estive a constitué l´une des richesses de la commune, en permettant la production des "fromages de Roche" ou fourmes. D´abord d´usage indivis (voir l´abenevis de la montagne de Roche (c'est-à-dire la montagne de Bazanne) en 1566, à trois habitants des villages des Cognières, la Côte et Glizieux, qui se réservent la possibilité de s´associer d´autres bénéficiaires et sont au nombre de 24 en 1679), la montagne est peu à peu privatisée par les co-propriétaires qui y construisent des granges-étables pérennes, jouissant d´un captage d´eau et d´un pré fumé par le troupeau : lors d´un procès en 1804, la demande de partage de la montagne de Bazanne, qui oppose 20 co-propriétaires obligés de redescendre tous les soirs avec leur troupeau, à une trentaine de co-propriétaires possédant une jasserie, n´aboutit pas. La montagne est finalement partagée dans la 2e moitié du 19e siècle (voir A. Lugnier, p. 127 à 136, pour les détails de l'évolution de la propriété des hautes chaumes) : le communal du Cognet (68 ha) est partagé en 1845 entre 11 ayant-droit ; celui du Puy de Glizieux (35 ha), en 1861 et entre 30 propriétaires de la Griotte, Glizieux et Montvadan ; surtout, les 1152 ha de la montagne de Roche sont partagés en lots égaux entre 59 usagers en 1875, date à partir de laquelle ont pu être construites de nouvelles jasseries, comme s´en fait l´écho une délibération du conseil municipal de 1881 (Barthélemy Clairet, propriétaire à la Griotte, "fait construire une grange dans la montagne"). A la fin des années 1990, la commune comptait encore 31 petites ou moyennes exploitations agricoles, essentiellement tournées vers la production de lait, et deux entreprises artisanales de transformation du bois (fabrique de chaises et entreprise de menuiserie-charpente).

La commune de Roche se situe sur le versant oriental des monts du Forez, dont la ligne de crêtes partage les hautes chaumes avec la commune de Saint-Anthème, dans le Puy-de-Dôme (région Auvergne) ; les autres limites communales suivent en grande partie les cours du Vizézy, de la Trésaillette et du Probois (communes frontalières : Essertines-en-Châtelneuf, Lérigneux, Saint-Bonnet-le-Courreau et Châtelneuf). Il s´agit de la plus grande et de la plus haute des communes du canton de Montbrison : la superficie est de 2233 ha, l´altitude se situe entre 1420 m (à la Roche Gourgon, fig. 41 à 44) et 756 m (amplitude : 662 m). La moitié est de la commune, dont l´altitude tourne autour de 800-1000 m, concentre l´implantation de l´habitat permanent : le village de Roche (fig. 11 à 13) est établi à 940 m, sur une terrasse au fond d´un cirque glaciaire, surplombé à l´ouest par les pics du Bouchet (1049 m), et de Chaudabrit (1077 m, fig. 14). En limite de cette zone se trouvent des habitations isolées ou des hameaux qui selon les époques ont fait partie de l´habitat permanent ou saisonnier (jasseries intermédiaires) : par exemple au Cognet, à Grimard, au Clos ou à Pivadan. L´habitat est semi dispersé en de nombreux petits hameaux (de deux à six fermes), souvent formés à partir de la division et agrandissement d´un édifice primitif (par exemple, à Foin) ; seul de rares fermes sont restées isolées jusqu´au 20e siècle (Latéry, la Côte, le Supt, le Cognet). Liste des hameaux de la commune : Montet (à côté du village), Seynaud, Lathéry, Champ, Foin, le Vernay, Néel, le Supt, les Cognières, Glizieux, Montvadan, la Griotte, la Fougère, Rochebéranne, le Creux, la Côte, les Amarut, le Cognet, le Bouchet, Chaudabrit. La moitié ouest de la commune (fig. 25 à 60), comprise entre 1200 et 1400 m d´altitude, est une pénéplaine, avec des combes occupées par des tourbières, qui forment la source de plusieurs rivières importantes qui irriguent la plaine (Lignon, Vizézy, Trésaillette), des cheminées basaltiques (la grande Pierre Bazanne, fiG 32 à 39 ; la Roche Gourgon...), et des pâturages d´été (environ 1000 ha) parsemés de fermes d´estive, avec leur captage d´eau et leur pré fumé, ou jasseries, en partie abandonnées (seul le pâturage est encore utilisé pour des bêtes sans lait) ou converties en plantations de conifères dans les années 1970 (fig. 58). 30 jasseries ont été repérées ou étudiées dans la commune, cinq n´ont pas été repérées car trop en ruine (fig. 65, 66 par exemple) et cinq dont l´existence était encore visible sur le plan cadastral n´ont pas été vues, faute de chemin d´accès la plupart du temps. A. Lugnier donne une description très complète de la maison paysanne et de ses dépendances (p. 91-100), dont il résume l´évolution p. 93 : "d´abord, aux XVe et XVIe siècle, maisons basses, sans étage, avec une seule pièce d´habitation et étable juxtaposée, le tout d´aspect pauvre ; ensuite, aux XVIIe et XVIIIe siècles, maisons déjà plus spacieuses, avec un premier étage desservi par escalier extérieur et balcon de bois, étable et grange contiguës, d´équerre ou en le prolongement dans la cour fermée ; enfin, pour les XIXe et XXe siècle, habitations nettement plus vastes, plus hautes, plus gaies ; le grenier est au 2e étage, sauf pour le grain entassé dans une pièce du premier, façade de l´ombre, avec le charnier et les chambres des domestiques". Les maisons contemporaines de Lugnier (fin du 19e siècle, première moitié du 20e, l´auteur étant né en 1883) se répartissent selon lui en trois catégories, les "maisons élémentaires", le plus petit module ne comprenant souvent qu´une seule pièce au rez-de-chaussée, deux ou trois chambres à l´étage, un grenier dans le comble, souvent déclassées en dépendance au 20e siècle (au village de Roche, au Montet, à Glizieux, la Griotte, Champ... ; les jasseries sont une déclinaison de ce type de ferme) ; les exploitations moyennes, dont les bâtiments sont déjà plus importants ; et "les plus vastes exploitations", qui se distinguent souvent par la présence d´un grand logis de volume plus ou moins cubique sous un toit à croupes, et de toute la variété des dépendances (cuvage, fournil...). A. lugnier donne le plan-type des logis des deux derniers types (p. 97-98) : "Par la porte, double parfois, on entre dans un vestibule face à l´escalier du 1er [étage], et donnant accès dans la grande cuisine-salle commune, dallée de granite, de ciment ou planchéiée (...) la haute cheminée face à l´entrée, et, au fond, une série de placards couvrant tout le côté de la pièce, face à la fenêtre (...). De là on passe dans la pièce suivante, placée derrière la cheminée et dite « bretagne »". Cette pièce, présente dans la moitié des 94 maisons visitées par A. Lugnier, est une salle à manger servant ordinairement de chambre pour les parents ou grands-parents. Ce type de plan, complété par une ou deux caves, semi enterrées et souvent voûtées (pour le vin, les légumes et en particulier, à partir de 1796 (Lugnier, p. 236), la pomme de terre), derrière les pièces du rez-de-chaussée, qui est souvent en fait un étage de soubassement, a été repéré dans de nombreuses fermes au Bouchet, aux Amaruts, aux Chambons, à la Fougère... Au premier étage se trouvent des chambres desservies par un couloir médian, les moins bien exposées étant données aux domestiques, et dont une est souvent aménagée en fruitier, charnier ou grenier. Le second (ou le comble) est un grenier débarras ; dans une dizaine de maisons, un angle est cloisonné de planches pour faire un pigeonnier. Il y a souvent une porte faisant communiquer directement la salle commune, ou le vestibule, à l´étable. En 1920, une délibération du conseil municipal concernant la fabrication du pain de seigle à façon par le boulanger indique que la plupart des fours à pain de la commune ne sont plus utilisés et sont "en grande partie détruits ou en mauvais état".

Documents d'archives

  • AD Loire. Série 3P : 1377. Etat de section. Commune de Roche. Etat de classement des propriétés bâties. Tableau indicatif des propriétaires, des propriétés foncières et de leur contenance. 1818.

  • AC Roche. Registres de délibérations du conseil municipal, 20 août 1848-24 décembre 1876. Délibération du 1er août 1852. Remise des archives au nouveau maire Jean-Marie Viallard, par l´ancien maire Georges Vial ; trois registres des délibérations : le premier depuis le 1er janvier 1808, le second depuis le 7 août 1821 jusqu'au 5 octobre 1834, et le troisième égaré ; un quatrième a été recommencé le 30 juillet 1848.

  • AC Roche. Registres de délibérations du conseil municipal, 20 août 1848-24 décembre 1876. Délibération du 24 décembre 1876. Projet de création de cinq nouvelles foires à Montbrison : le conseil municipal de Roche approuve car Roche "n'a pas d'autre marché que celui de Montbrison... pour l'écoulement de ses denrées, notamment pour la vente du beurre et des fromages connus sous le nom de formes qui se fabriquent ici...".

  • AC Roche. Registres de délibérations du conseil municipal, 11 février 1877-27 mai 1894. Demande de sursis des 28 jours de Jean-Baptiste Clairet, fils de Barthélemy Clairet, propriétaire à la Griotte, qui est "affligé d'une jambe" et "fait construire une grange dans la montagne". 1881.

  • AC Roche. Registres de délibérations du conseil municipal, 11 février 1877-27 mai 1894. Délibération du 1er mars 1884. Jean Bouleau, 65 ans environ, maçon originaire du Puy-de-Dôme, travaille soit à Roche soit dans les communes environnantes ; logé dans une auberge de Lérigneux (chez Chatain, au bourg).

  • AC Roche. Registres de délibérations du conseil municipal, 27 mai 1894-3 septembre 1911. Délibération du 8 juin 1902. Demande de rejet du projet de boisement de la commune de Roche : la montagne de Roche n'a jamais été plus boisée qu'elle ne l'est actuellement ; la montagne de Roche est partagée depuis longtemps, elle a été achetée et toutes les parcelles sont indispensables aux propriétaires pour servir de pâturage, avec les jasseries qui sont la meilleure ressource des habitants de la commune.

  • AC Roche. Registres de délibérations du conseil municipal, 29 octobre 1911-22 juin 1952. Délibération du 9 août 1914. Réunion exceptionnelle. Mesures pour assurer la rentrée et le battage des moissons. Il n´y a pas de main d'oeuvre industrielle dans la commune ; 82 hommes (au-dessus de 15 ans) et 25 femmes capables de moissonner. La commune fait une demande pour dix hommes et une femme, pour dix jours. Roche possède trois petites moissonneuses qui ne peuvent guère rendre service car le pays est trop montagneux, et il y a une machine à battre.

  • AC Roche. Registres de délibérations du conseil municipal, 29 octobre 1911-22 juin 1952. Délibération du 26 septembre 1920. Un contrôleur des farines déclare au boulanger qu'il ne doit plus faire le pain de seigle des cultivateurs récoltants et que ces derniers doivent le faire eux-mêmes. Le conseil municipal répond que "les fours qui existaient dans les maisons sont en grande partie détruits ou en mauvais état... une très faible partie de la population seulement consomme du pain blanc".

  • Bibl. Diana, Montbrison. Albums Gras. Album n°4. Commune de Roche, lieu-dit à Cantons (?)... Pont Saint-Martin : il y avait un petit saint dans le bachat ; petite chapelle. Croix des Argnats à côté du bourg. A l'église, confrérie de saint Martin enfant. Tableau représentant le diable habillé en pauvre.

Bibliographie

  • BAROU, Joseph. Le pont d'Amoind à Roche : "aide-toi et le ciel t'aidera". [La Gazette du 22 février 2008]. Accès internet : <URL : http ://forezhistoire.free.fr/58-ph-pont-amoind.html>

  • BOUTEILLE, Michelle. De la Pierre Bazanne à Savigneux : les moulins du Vizézy. Montbrison : Villages de Forez, 1998 (Villages de Forez ; supplément au n° 73-74)

  • DEMARIAUX, Georges. [Présentation de la commune de Roche-en-Forez], texte rédigé pour la revue Coursières, communiqué par l'auteur ; dactyl., [s. d.], 1er quart 21e siècle.

  • DUFOUR, J.-E. Dictionnaire topographique du Forez et des paroisses du Lyonnais et du Beaujolais formant le département de la Loire. Mâcon : imprimerie Protat frères, 1946.

  • Forez Histoire [réd. BAROU, Joseph]. Villes et villages : Roche. Accès internet : <URL : http ://forezhistoire.free.fr/roche-en-forez.html>

  • LAVENDHOMME, Marie-Odile. Carte archéologique de la Gaule 42 - La Loire Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1997

    p. 180
  • LUGNIER, Antoine. Cinq siècles de vie paysanne à Roche-en-Forez, Loire (1440-1940). Réimpression de l'édition de l'Imprimerie Dumas de 1962

  • THIOLLIER, Félix. Le Forez pittoresque et monumental, histoire et description du département de la Loire et de ses confins, ouvrage illustré de 980 gravures ou eaux-fortes, publié sous les auspices de la Diana... Lyon : Imprimerie A. Waltener, 1889 (2 vol.)

    p. 285, 286

Périodiques

  • BEAUVERIE, [Charles]. Poire à poudre et bassin de pierre provenant de Roche. Chapiteau provenant de Saint-Martin de la Celle. Bulletin de la Diana, t. 5, octobre-décembre 1890

    p. 323-329

Documents figurés

  • Tableau d'assemblage de la commune de Roche à l'échelle d'1 à 10,0000 [Plan cadastral de la commune de Roche]. / 1 dess. : mine de plomb, encre noire et bistre, lavis rose sur papier. Echelle 1:10000. [s. d.], 1er quart 19e siècle. AD Loire, 1682VT16_05.

  • Département de la Loire. Arrondissement de Montbrison. Commune de Roche. Section A dite du Gourgon [Plan cadastral de la commune de Roche]. / 1 dess. : mine de plomb, encre noire, lavis bistre, rose et bleu sur papier. Echelle 1:5000. [s. d.], 1er quart 19e siècle. "Nota les numéros rouges sont les numéros définitifs". AD Loire, 1682VT16_06.

  • Département de la Loire. Arrondissement de Montbrison. Commune de Roche. Section B de la Grande Bazanne [Plan cadastral de la commune de Roche]. / 1 dess. : mine de plomb, encre noire, lavis bistre, rose et bleu sur papier. Echelle 1:5000. [s. d.], 1er quart 19e siècle. "Nota les numéros rouges sont les numéros définitifs". AD Loire, 1682VT16_07.

  • Département de la Loire. Arrondissement de Montbrison. 1e division de la section C. 3e division de la section C [Plan cadastral de la commune de Roche]. / 1 dess. : mine de plomb, encre noire, lavis bistre, rose et bleu sur papier. Echelle 1:2500. [s. d.], 1er quart 19e siècle. Mentions : "La série des numéros se termine par 154", "La série des numéros commence par 676 et se termine par 746" et "Nota les numéros rouges sont les numéros définitifs". AD Loire, 1682VT16_08.

  • Département de la Loire. Arrondissement de Montbrison. 2e division de la section C [Plan cadastral de la commune de Roche]. / 1 dess. : mine de plomb, encre noire, lavis bistre, rose et bleu sur papier. Echelle 1:2500. [s. d.], 1er quart 19e siècle. Mentions : "La série des numéros commence par 155 et se termine par 675" et "Nota les numéros rouges sont les numéros définitifs". AD Loire, 1682VT16_09.

  • Département de la Loire. Arrondissement de Montbrison. Commune de Roche. Section D de Vernay [Plan cadastral de la commune de Roche]. / 1 dess. : mine de plomb, encre noire, lavis bistre, rose et bleu sur papier. Echelle 1:2500. [s. d.], 1er quart 19e siècle. "Nota les numéros rouges sont les numéros définitifs". AD Loire, 1682VT16_10.

  • Roche. Section E du Bourg. Bourg de Roche. Echelle de 1 à 1250 [Plan cadastral de la commune de Roche]. / 1 dess. : mine de plomb, encre noire, lavis bistre, rose et bleu sur papier. Echelle 1:2500 et 1:1250. [s. d.], 1er quart 19e siècle. "Nota les numéros rouges sont les numéros définitifs". AD Loire, 1682VT16_11.

  • Département de la Loire. Arrondissement de Montbrison. Commune de Roche. Section F de Chaudabry et du Bouchet [Plan cadastral de la commune de Roche]. / 1 dess. : mine de plomb, encre noire, lavis bistre, rose et bleu sur papier. Echelle 1:2500. [s. d.], 1er quart 19e siècle. "Nota les numéros rouges sont les numéros définitifs". AD Loire, 1682VT16_12.

  • Département de la Loire. Arrondissement de Montbrison. Commune de Roche. Section G de Coignet [Plan cadastral de la commune de Roche]. / 1 dess. : mine de plomb, encre noire, lavis bistre, rose et bleu sur papier. Echelle 1:2500. [s. d.], 1er quart 19e siècle. "Nota les numéros rouges sont les numéros définitifs". AD Loire, 1682VT16_13.

  • Département de la Loire. Arrondissement de Montbrison. Commune de Roche. Section H dite de Glizieux (barré) la Griote [Plan cadastral de la commune de Roche]. / 1 dess. : mine de plomb, encre noire, lavis bistre, rose et bleu sur papier. Echelle 1:2500. [s. d.], 1er quart 19e siècle. "Nota les numéros rouges sont les numéros définitifs". AD Loire, 1682VT16_14.

Annexes

  • Edifices non repérés
  • Parcelles bâties listées dans l'Etat de section de la Commune de Roche, état de classement des propriétés bâties de 1818
Date(s) d'enquête : 2005; Date(s) de rédaction : 2010
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Conseil général de la Loire
Guibaud Caroline
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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