Dossier d’aire d’étude IA42001387 | Réalisé par
  • inventaire topographique
Présentation de la commune de Moingt (associée à Montbrison)
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  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

  • Aires d'études
    Montbrison
  • Adresse
    • Commune : Montbrison
      Lieu-dit : Moingt

« L´association sur le même site des deux édifices publics conservés (théâtre et thermes), auxquels il faut sans doute ajouter un lieu de culte, ainsi que la présence de sources thermales, permet d´identifier sa fonction de façon cohérente avec son nom déjà très évocateur : il s´agit très probablement d´un vaste ensemble thermal et cultuel (Mérimée n° IA42003623), qui appartient à une catégorie très bien représentée en Gaule Lyonnais. Le culte de Segeta, divinité éponyme, à dû d´ailleurs revêtir un caractère civique chez les Ségusiaves, comme le laissent penser plusieurs documents épigraphiques » (BLIN, O., LE BARRIER, Chr., THIRION, Ph., 1991.). L´agglomération antique de Moingt comporte un théâtre (Mérimée n° IA42003627), un ensemble cultuel et thermal (Mérimée n° IA42003624), des bâtiments publics et des habitations luxueuses. Elle a été identifiée, dès le 19e siècle, à une station représentée sur la Table de Peutinger sous le nom d´Aquae Segetae par les historiens locaux (J. Roux, 1851, et V. Durand en 1875). Située sur la bordure occidentale de la plaine du Forez, ce site antique est établie en limite des coteaux des monts du Forez, à une altitude moyenne de 400 m, le long du ruisseau le Moingt et à proximité de l´antique voie reliant Feurs à Rodez. Le sous-sol est caractéristique des bordures de la plaine du Forez : il s´agit d´une formation tertiaire de sable et d´argile sableuse. Plusieurs sources minérales y jaillissent. La répartition des vestiges suggère une étendue minimum de l´agglomération sur 15 ha. Les diverses fouilles ou découvertes mises au jour, puis les premières interprétations sont l´oeuvre d´un certain nombre d´historiens et d´érudits du 19 siècle tels que Vincent Durand, Thomas Rochigneux, Félix Thiollier, Révérend Du Mesnil... Dès 1970, plusieurs archéologues du service archéologique régional, et de l´INRAP (institut national de recherche archéologique préventive) relancent un certain nombre de fouilles sur la commune (Olivier Blin, Christian Le Barrier, Philippe Thirion) permettant d´affiner certaines hypothèses. Les dossiers de compte-rendu de fouille et La carte archéologique de la Gaule synthétisent ces différentes recherches. (p. 133 à 140) Du Bas-Empire, seules quelques monnaies en bronze en témoignent. Concernant le Haut Moyen Âge, le bourg castrale mentionné en 1223 (Mérimée n° IA42003628), et notamment l´église Saint-Julien-d´Antioche, citée en 1096 (Mérimée n° IA42001381), conservent plusieurs éléments datables de cette période. Le château et mandement de Moingt furent donnés par Guy IV, comte de Forez, au chapitre de l´église Notre-Dame de Montbrison, qu´il avait fondé dans le premier quart du XIIIe siècle. Ce chapitre conserva cette seigneurie jusqu´à la fin de l´ancien régime. Il ne subsiste de cet ancien château que de profonds fossés, une portion de remparts et une porte d´entrée ogivale flanquée d´une haute tour cylindrique. En 1225, le prieur de Savigneux, qui dépendait lui-même de l´abbaye de la Chaise-Dieu, était collateur de la cure de Moingt, dont l´église était dédiée à saint Julien d´Antioche. A la fin de l´ancien régime, Moingt était : bourg, paroisse et seigneurie dans le Forez, archiprêtré, élection et baillage de Montbrison. Le prieur de la Chaise-Dieu nommait à la cure et le chapitre de Montbrison était seigneur de la paroisse. Les textes anciens mentionnent à Moingt plusieurs églises. En dehors de cette église Saint-Julien, qui fut sans doute l´édifice paroissial primitif, on trouve une église Saint-Jean (Mérimée n° IA42003625) en 1316 (qui est dite paroissiale dans la visite pastorale de 1614) et l´église Saint-maurice, 1369, peut-être simple chapelle de la Léproserie ( ?) qui se trouvait près des vignes de Plantiers. Enfin la maison de Saint-Lazare, citée en 1418, est peut-être l´établissement appelé Infirmerie et Léproserie par d´autres textes (Voir annexe : synthèse de la documentation concernant la « maladrerie » ou « léproserie », l´église Saint-Maurice). « A la fin du XI siècle, avant de partir pour la croisade, le comte de Forez Guillaume III fonde un hôpital pour les « pauvres passants » dans l'enceinte de son château de Montbrison. Au siècle suivant, la ville, qui est devenue la capitale du comté, se développe entre le château comtal et le Vizézy, autour de l'église Saint-André. Vers 1215, l'hôpital est transféré sur la rive sud de la rivière, près du Grand chemin de Forez, sur le territoire de la paroisse de Moingt qui s'étend alors jusqu'à la rivière. Dix ans plus tard, le comte Guy IV fonde, tout près de l'hôpital, l'église collégiale Notre-Dame. Autour de ces deux établissements se forme un nouveau quartier modestement peuplé. L'Hôtel-Dieu possède une petite chapelle, Sainte-Anne, située au bord du Vizézy et un cimetière. » (BAROU, Joseph. L´église et la paroisse Sainte-Anne de Montbrison) D´autres sites de la commune ont fait l´objet de découvertes fortuites ou programmées (Chézieux, Saintinieu, Ruffieu). Concernant les autres sites de la commune de Moingt, Dufour dans son dictionnaire topographique du Forez, pointe plusieurs localités citées dans les documents des 13e et 14e siècles : le Bruchet (1250, Cartulaire des francs-fiefs), Montagneux (1345, terrier Bruni), Peurelles (1246, La Mure), Surizet (1216, Charte du Forez). Le cadastre ancien de 1809 nous renseigne sur le parcellaire des village et hameaux, de leur étendue, de leurs propriétaires, de la sociologie de la population, et également sur la nature des terrains agricoles. Le tableau d´assemblage nous montre l´existence de deux routes rectilignes, partant de Montbrison, et encadrant le bourg de Moingt, la première au sud, s´intitule Grande Route d´Ambert, la seconde Grande Route de Montbrison à Saint-Etienne. Hormis le village de Moingt, très peu d´habitat sur le reste du territoire : au nord le Domaine des Granges, propriété du sieur DAVID (section D) ; à l´est le hameau de Bruchet (section C1), constitué de quatre grandes fermes avec jardins, péchoires, et pigeonniers ; au centre (section B2) le Domaine de Montagneux et, proche du Bourg,, le hameau de Surizet composé d´un ensemble d´une dizaine de fermes regroupées ; et à l´ouest (section B1) la ferme de Cindrieux. Concernant la nature des sols un grand croissant situé à l´est de la commune, positionné entre la limite de la commune de Montbrison, contournant par l´ouest le Bourg de Moingt et redescendant jusqu´aux limites de la commune de Lézigneux, est couvert de vignes (petites et nombreuses parcelles) et de loges, mêlées de petites parcelles de terre. Les matrices cadastrales de 1809 recensent 71 loges de vignes. Notre recensement en dénombre 82, toutes majoritairement du milieu du 19e siècle (Dossier collectif des cabanes dites loges, Mérimée n° IA42001299). Au milieu de ce croissant, une petite bande de rochers encadrant le Moingt, à l´ouest de la Grande Route d´Ambert, abrite un ensemble de carrières de pierres et quelques maisons de carriers (Ensemble communal des carrières de granite, Mérimée n° IA42003619). Le restant du territoire, à partir du Bourg et jusqu´aux confins du territoire, est composé de grandes terres et pâturages ponctués des quelques fermes précédemment citées. A l´est des deux goutes (ruisseaux) de Grumar se jetant dans la rivière d´Ecotay, se trouvent cinq étangs (plus aucun ne subsiste aujourd´hui). La section A1 du cadastre dit napoléonien a été étudiée plus spécifiquement dans le cadre de l´étude du bourg de Moingt ((Mérimée n° IA42003628, avec ses bâtiments publics, l´évolution de son parcellaire) ; il possédait également, un peu excentrée du bourg, une école tenue par des religieuses, dans la première moitié du 19e siècle, qui avait la particularité de n´accueillir que des enfants sourds et muets (Mérimée n° IA42002797), l´école disparaît dès 1962 pour laisser la place en 1971 / 1972, à l´association départementale des amis et parents de personnes déficientes intellectuelles (ADAPEI).). Deux moulins sont signalés, le premier : le moulin de la Roche dit d´en Haut, n´existe plus à ce jour, hormis quelques traces du bief ancien, deux autres moulins, du 19e siècle sont construits plus en aval, l´un portant le même nom : moulin de la Roche (Mérimée n° IA42002785), l´autre, en amont (Mérimée n° IA42002786) ; le second moulin du cadastre ancien, nommé le moulin d´en Bas, plus en aval, et proche du hameau de Surizet existe encore partiellement (Mérimée n° IA42003612). Dans la seconde moitié du 19e siècle, les étangs jugés insalubres sont supprimés et les travaux concourant à l´irrigation de la plaine du Forez conduisent à l´établissement dans les année 1970 du canal d´irrigation du Forez, géré jusqu´en 1965 par le département puis par le Syndicat Mixte d´irrigation et de mise en valeur du Forez (S.M.I.F.). Ce canal est présent au nord du chemin départemental n°8 (route de Montbrison à Saint-Etienne), serpentant dans la plaine. Les archives communales de Moingt nous livrent quelques renseignements sur certains métiers exercés par leurs habitants : * 7 novembre 1840. Etablissement d´une tuilerie projeté par M. Giroudon. * 12 février 1847. Il y a beaucoup de journaliers malheureux dans la commune ; il faudrait créer un atelier pour les employer (réparation de chemins vicinaux). * 7 février 1849. Demande d´un facteur rural, parce que l´ouvrier a des correspondances avec sa famille et avec le patronat, ce qui n´est pas le cas des cultivateurs. Population ouvrière de la commune : - 60 ouvriers dans les carrières de pierre à bâtir (effectif en temps de travail) ; - 20 ouvriers dans les ateliers d´armes de guerre (fusil) sous le patronage de M. Chenevier arquebusier de Saint-Etienne, qui peut augmenter son atelier et y occuper sous peu 40 ouvriers - 2 usines à huile - 2 moulins à blé (un grand et un petit). - 3 cafés, 9 aubergistes, 2 maréchaux, 2 boucher, 2 boulangers.

Le 18 juin 1837, le conseil municipal de Montbrison demande à ce que les communes de Moingt et de Savigneux soient réunies à Montbrison, car Moingt n'a plus d'octroi depuis 1831 ; le territoire de Savigneux appartient en majorité aux habitants de Montbrison et n'a que quelques domaines épars, pas d'agglomération. Le projet n'a pas abouti, et le 31 mars 1946 celui de rattacher Moingt à Montbrison reçoit un avis nettement défavorable de la population moingtaise. La commune de Moingt est associée à celle de Montbrison le 1er janvier 1973. La fusion simple des deux communes a été prononcée par un arrêté préfectoral du 14 mai 2012, elle est effective à partir du 1er janvier 2013. Moingt est situé à l´est du canton, limitrophe à l´est avec Saint-Romain-Le-Puy, au nord avec Savigneux et Montbrison (respectivement au nord-ouest, et nord-est), à l´est avec Ecotay-l´Olme et enfin au sud, d´ouest en est avec les communes de Lézigneux et Saint-Thomas-La-Garde. Elle possède une mairie annexe, la superficie de son territoire est d´environ 9 km². Située en bordure des coteaux des monts du Forez et de la plaine du même nom, l´altitude de la commune est comprise entre 370 m et 574 m (Bois d´Hatier). Son territoire est traversé par le ruisseau le Moingt qui prend sa source au sud-ouest de la commune (au carrefour des communes d´Ecotay-l´Olme, Lézigneux et Moingt), et le traverse en diagonale pour rejoindre la commune de Savigneux au niveau du hameau de Brioude. A l´est de la commune, trois petits ruisseaux de Grumard se rejoignent au niveau du hameau du Bruchet puis va se jeter dans le Moingt plus au nord-ouest. Aujourd´hui la population est relativement importante : 3846 habitants en 2011 (pour suivre l´évolution de la population : http://fr.geneawiki.com/index.php/42147_-_Montbrison#L.E2.80.99histoire_de_Moingt). Sa proximité, et son rattachement à Montbrison ont permis aux habitants de cette dernière de trouver des espaces encore libres de toute construction, avec le risque d´étalement du pavillonnaire aux périphéries du village et des hameaux. Le territoire affiche deux configurations bien distinctes. La première se situe à l´est de la ligne la Fournière (au sud) / les Granges (au nord), la seconde à l´ouest de cette même ligne. Schématiquement le même espace qui, en 1809, était recouvert de petites parcellaires de vignes et terres se pare de nombreux espaces occupés par du pavillonnaire et (depuis la seconde moitié du 19e siècle) d´établissements industriels ; une nouvelle zone d´activité est créée au lieu-dit Sous les Vignes, tout un symbole. Ainsi le pavillonnaire se retrouve autour des hameaux et sur une grande majorité du territoire des sections AB, AC, AD, AE (qui comprend le Bourg), AH (avec ses anciennes entreprises GéGé à partir du deuxième quart du 20e siècle (Mérimée n° IA42003621) et sa cité ouvrière réalisée en deux fois à partie du milieu du 20e siècle (Mérimée n° IA42003622), Nourrisson de la fin du 19e siècle (Mérimée n° IA42002788), son ancien centre de loisir le chalet des Sports du début du 20e siècle (Mérimée n° IA42002789), son stand de tir construit en 1914 (Mérimée n° IA42002787) utilisé alors par la caserne de Montbrison (détruite) et aujourd´hui transformée en espaces associatifs et ses industries périphériques, son établissement de mise en bouteille d´eau minérale du milieu du 19e siècle (Mérimée n° IA42002790)), AI et son cimetière transplanté dès le deuxième quart du 19e siècle (Mérimée n° IA42002795), AK et ses quelques entreprises, AL avec sa nouvelle zone d´activité, AR avec les hameaux le Surizet, Saintinieux et le Domaine de Montagneux, et enfin AS. Les autres sections (AM, AN, AO, AP) conservent de vastes espaces ouverts aux, champs, prés et pâtures. Ici ou là, quelques petits lieux-dits constitués d´une ou de deux fermes, et le petit hameau le Grand Bruchet avec ses cinq fermes rapprochées. Les fermes de la plaine sont asses vastes, étendues, construites en pisé, tandis que celles situées aux abords des coteaux utilisent le granite comme matériau de construction et son plus petites et fermées par une cour.

Documents d'archives

  • AC Montbrison. Fonds de l´Hôpital de Montbrison. Archives concernant la maladrerie de Moingt Boîte 89. Hôpital de Sury-le-Comtal. Maladrerie de Grézieux. Léproserie de Moingt. Chemise Maladrerie de Moingt.

  • AC Montbrison. Fonds de l´Hôpital de Montbrison. Boîte 61, série C. Chemise C 3. Chapelle Sainte-Anne.

  • THIOLLIER, Félix, Noël. Art et archéologie dans le département de la Loire. Saint-Etienne, 1898.. In Centre d'études foréziennes. Edit : Publication de l'Université de Saint-Etienne, 1970

  • THIRION, Philippe (sous la direction de). Les thermes antiques d´Aquae. Montbrison - Moingt (Loire). 1991. DRAC, SRA, Lyon (rapport de fouilles)

  • THIRION, Philippe, BLIN, Olivier, HURTIN, Stéphanie, LE BARRIER, Christian. Les thermes antiques d´Aquae Segetae et le prieuré médiéval de Sainte-Eugénie à Montbrison - Moingt (Loire). DRAC, SRA, Lyon, 1993 (rapport de fouilles)

  • VOYEZ, Christophe , DUMOULIN, François. Moingt / Bourg castral / Sondages octobre 1990. Service Régional d'Archéologie Rhône-Alpes. Dépôt de fouilles départemental de Roanne. ms., 1990.

Bibliographie

  • BAROU, Joseph. L´église et la paroisse Sainte-Anne de Montbrison. http ://claude.latta.pagesperso-orange.fr/printem2.html

  • DUFOUR, J.-E. Dictionnaire topographique du Forez et des paroisses du Lyonnais et du Beaujolais formant le département de la Loire. Mâcon : imprimerie Protat frères, 1946.

  • FUNDAKOWSKA, Olivier. Recherche d´archives / sur le vieux bourg de Moingt. Service Régional d'Archéologie Rhône-Alpes. ms., Saint-Étienne, novembre 1990.

  • GARDES, Gilbert (dir.). Grande encyclopédie du Forez et des communes de la Loire. T. 4. Montbrison et sa région. Le Coteau : Horvath, 1985

    p. 94-96
  • GRAND, Jean-Pierre. Moingt à l´époque gallo-romaine. Edit. : J.-P. Grand, 1976.

  • LA MURE, Jean-Marie de, chanoine. Histoire ecclésiastique du diocèse de Lyon. Lyon : Marcellin Gautherin, rue Confort, à la Justice, devant l'Hôtel-Dieu, 1671.

  • LATTA, Claude. Histoire de Montbrison. Lyon : Horvath, 2e éd., 1994.

  • LAVENDHOMME, Marie-Odile. Carte archéologique de la Gaule 42 - La Loire Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1997

  • RENAUD, Jean. MOINGT. Aquae Segetae 'Le Vichy des Ségusiaves'. In Centre d'études foréziennes. Edit : Publication de l'Université de Saint-Etienne, 1970

  • THIOLLIER, Félix. Le Forez pittoresque et monumental, histoire et description du département de la Loire et de ses confins, ouvrage illustré de 980 gravures ou eaux-fortes, publié sous les auspices de la Diana... Lyon : Imprimerie A. Waltener, 1889 (2 vol.)

  • VACHET, Adolphe (abbé). Les paroisses du diocèse de Lyon : archives et antiquités. Abbaye de Lérins ; Imprimerie M. Bernard,1899. 752 p. ; 27,5 cm.

Périodiques

  • BERNARD, Auguste. Notice sur le théâtre antique et les autres monuments historiques du bourg de Moind (près de Montbrison). Paris : Impr. d'E. Duverger, 1849.

  • REVEREND DU MESNIL, Clément-Edmond. Rapport sur l'excursion archéologique faite par la société de la Diana à Moingt, Champdieu, Chalain-d'Uzore et Montbrison, les 6 et 7 juillet 1879, Bulletin de la Diana, t. 1, n°6, 1880

  • ROCHIGNEUX, Thomas. Découvertes archéologiques à Moingt. Bulletin de la Diana, t. III, 1886, p. 308-317.

  • ROCHIGNEUX, Thomas. Fouilles de Moingt. Congrès archéologique de la France, LIIe session, Montbrison, 1885 ; Paris, 1886, p. 117-130.

Documents figurés

  • AD Loire. 1682VT12_42. --42- / Commune de Montbrison / Commune de Moingt. / Section C dite du Bruchet / 2e et dernière Division / - / échelle de 1 à 2500. 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

  • Plan de situation des sites archéologiques de Moingt. In BOUVIER, Alégria, SAVINO Véronique.Montbrison-Moingt (Loire) : 6 rue de l'ancienne mairie. Lyon : Service de l'archéologie Rhône-Alpes, août 2003

  • Table de Peutinger (détails) / 11 dess. : encre sur parchemin (folios d'environ 34 cm de haut, longueyr totale 6,74 m). 1265 (Musée national d'Autriche). <Accès URL : http ://www.euratlas.net/cartogra/peutinger/1_gallia/gaule_7_3_fr.html> ; <URL : http ://www.onb.ac.at/ >

    Document réalisé en 1265 par un moine de Colmar, découvert en 1494 par Conrad Meissel, alias Celtes et remis en 1507 à Conrad Peutinger, antiquaire à Augsbourg.

  • AD Loire. 1682VT12_36. --42- / M. Ducolombier Préfet / M Payan Directeur / M. Bouboissel Ingénieur / Mr Costaing Géomètre du cadastre / Cadastre Parcellaire / du Département de la Loire / - / Arrondissement de Montbrison / Commune de Moingt / Tableau d´assemblage / Echelle de un à 5000 / - / Commencé par le géomètre du cadastre soussigné / Achevé par le Sr Durieux, géomètre secondaire. 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

  • AD Loire. 1682VT12_37. --42- / Moingt / Section A1 / Du Bourg / Première Division à L´Echelle d´un à / 1250. Levée par Mr Costin Géomètre de 1ère classe. 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

  • AD Loire. 1682VT12_38. --42- / Cadastre Parcellaire / du Dépt. De la Loire / - / Arrondissement & Canton de Montbrison / Commune de Moingt. / - / Section A dite du Bourg / 2e Division / - / Commencé par le géomètre du cadastre soussigné / Achevé par le Sr Durieux, géomètre secondaire. / Echelle de 1 à 2500. 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

  • AD Loire. 1682VT12_39. -42- / Cadastre Parcellaire / du Dépt. De la Loire / - / Arrondissement & Canton de Montbrison / Commune de Moingt. / - / Section B dite du Surizet / 1ère Division / - / Commencé par le géomètre du cadastre soussigné et / Achevé par le Sr Durieux, géomètre secondaire. / Echelle de 1 à 2500. 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

  • AD Loire. 1682VT12_40. -42- / Cadastre Parcellaire / du Dépt. De la Loire / - / Arrondissement & Canton de Montbrison / Commune de Moingt. / - / Section B dite du Surizet / 2e Division / - / Commencé par le géomètre du c[adastre soussigné et] / Achevé par le Sr Durieux, [géomètre secondaire. / Echelle de 1 à 2500.] 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

  • AD Loire. 1682VT12_41. --42- / Cadastre Parcellaire / du Dépt. De la Loire / - / Arrondissement & Canton de Montbrison / Commune de Moingt. / - / Section C dite du Bruchet / 1ère Division / - / Commencé par le géomètre du cadastre soussigné et / Achevé par le Sr Durieux, géomètre- Arpenteur.[ / Echelle de 1 à 2500.] 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

  • AD Loire. 1682VT12_42. --42- / Commune de Montbrison / Commune de Moingt. / Section C dite du Bruchet / 2e et dernière Division / - / échelle de 1 à 2500. 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

  • AD Loire. 1682VT12_43. --42- / Cadastre Parcellaire / du Dépt. De la Loire / - / Arrondissement & Canton de Montbrison / Commune de Moingt. / - / Section D dite des Granges / 1ère Division / - / Commencé par le géomètre du cadastre soussigné et / Achevé par le Sr Durieux, géomètre secondaire. / Echelle de 1 à 2500. 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

  • [Vue cavalière simplifiée réalisée à l'occasion d'un procès soutenu par le chapitre de Montbrison. Plan de Montbrison et de Moingt]. Anonyme, 1732. Papier, encre sépia, lavis jaune, rouge, bleu. Ss éch., 60,5 x 101 cm. Ss éch., 60,5 x 101 cm. Lég., tampon. Texte en marge. (A. Diana, Montbrison)

    B Diana Montbrison
    Vue partielle de la commune de Montbrison en 1732. Vue cavalière (A. Diana)
  • MOINGT. - Vue générale Edition Mertens et Jabouley / Mertens et Jabouley (éditeur). 1 impr. photoméc. (carte postale) : N&B. 1er quart 20e siècle [1909, tampon de la poste] (Coll. Part. L. Tissier).

  • Institution V. de Laprade. Monplaisir - Le Temple / Cl. H. Teissaire / Phototypie COMBIER MACON. Combier : imprimeur, Teissaire : photographe, phototypie. (carte postale) : N&B. 2e quart 20e siècle [1931, tampon de la poste] (Coll. Part. L. Tissier).

  • Carte de Cassini. La carte de Cassini ou carte de l'Académie est la première carte générale et particulière du royaume de France. Il serait plus approprié de parler de carte des Cassini, car elle fut dressée par la famille Cassini, principalement César-François Cassini (Cassini III) et son fils Jean-Dominique Cassini (Cassini IV) au XVIIIe siècle. Mort en 1784, César-François Cassini ne verra jamais l'achèvement des levés. Son fils, Jean-Dominique finit les travaux de son père. L'échelle adoptée est d'une ligne pour cent toises, soit une échelle de 1/86 400 (une toise vaut 864 lignes). Les levés ont été effectués entre 1756 et 1789 et les 181 feuilles composant la carte ont été publiées entre 1756 et 1815.

  • MOINGT. - Pont des Carrières sur le Moingt / Edition Girard, tabacs - Cliché Teissaire. Girard : éditeur, Teissaire : photographe, 1 impr. photoméc. (carte postale) : N&B. 1er quart 20e siècle. [Coll. Part. L. Tissier)

Annexes

  • Annexe n°1
  • Annexe n°2
  • Annexe n°3
  • Annexe n°4
  • Annexe n°5
Date(s) d'enquête : 2006; Date(s) de rédaction : 2010
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