Dossier d’aire d’étude IA42001493 | Réalisé par
Guibaud Caroline
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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  • inventaire topographique
Présentation de la commune de Chalain-le-Comtal
Copyright
  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

  • Aires d'études
    Montbrison
  • Adresse
    • Commune : Chalain-le-Comtal

Complément d'historique et de description

La fontaine Saint-Urbain, ou Saint-Aubrin, à Beauplan (1985 ZM 87).

Édicule maçonné couvert d´une pyramide en maçonneries, autrefois surmontée d´une statue (de saint Aubrin ou saint Urbain), remplacée après la Révolution par une croix en pierre, puis une croix en fonte. Cette fontaine était la principale source d´eau potable des habitants du Bourg. La légende attribue sa création à un miracle de saint Aubrin, saint patron de Montbrison (voir Barou, Grange, p. 23, 24).

Fermes non repérées

- 1984 YB 29. La Gravelle. Ancienne ferme. Type A1. Logis avec cuisine et chambre au rez-de-chaussée, grenier à l´étage (escalier quart tournant en bois dans la cuisine). Grange-étable dans le prolongement d´un côté, cellier avec chaudière pour la cuisson des aliments du bétail de l´autre. Hangar et porcherie (détruits). Puits. Murs en pisé enduit, encadrements en mâchefer, toit à longs pans en tuile plate mécanique. Ferme édifiée en 1917, hangar dès 1913 ; exploitation arrêtée milieu 20e siècle (renseignements oraux).

- 1984 YD 5. Le Bancillon. Ancienne ferme (et maison du garde-chasse du château de la Pommière ? renseignement oral). Type B2. Logis de trois travées, chambres à l´étage. Hangar puis grange-étable en retour d´un côté, porcheries de l´autre. Puits. Murs en pisé enduit, encadrements en brique, toit à longs pans. Ferme édifiée à la fin du 19e siècle ou au début du 20e ; l´exploitation a été scindée par le tracé de l´autoroute en 1984 (renseignement oral).

- 1985 ZM 62, 75. Beauplan. Ancienne ferme. Type A. Logis avec grenier à l´étage. Pigeonnier de plan carré à toit chauffoir à un versant (type A1) inclus dans la cour. Datable de la 1ère moitié 19e siècle (en 1812 : parcelle A 211, maison et bâtiments ruraux appartenant à Antoine Lachèze). Dénaturé.

- 1985 ZR 25. Montazy. Ancienne ferme. Type A. Logis à un étage. Porcherie dans la cour. 2e moitié 19e siècle.

Le village de Chalain-le-Comtal

Edifices disparus

Le château comtal

Chalain était une châtellenie comtale, souvent donnée aux filles du comte de Forez (Forez pittoresque...). En 1296, il est tenu par la famille Lavieu-Feugerolles, puis, à partir du milieu du 15e siècle, Lévis-Couzan, puis Goulard des Landes. Il ne reste aucun vestige visible de l´ancien château comtal de Chalain ; celui-ci faisant partie des chefs-lieux de châtellenie qui n´ont pas été représentés dans l´Armorial de Guillaume Revel, il n´est quasiment pas documenté. L´abbé Vachet rapporte que le château aurait été pillé en 1595, pendant la Ligue, par le marquis de Saint-Sorlin. L´abbé Valendru a recueilli à la fin du 19e siècle les derniers témoignages permettant de donner une idée des dispositions de l´édifice, construit sur une motte artificielle posée sur un petit relief naturel, et constitué d´une enceinte quadrangulaire bordé de fossés, avec des tours aux angles nord-est (encore existante en élévation en 1899, en maçonnerie de galets), sud-est (dans la maison de Jacques Claude Peyron, secrétaire de mairie âgé d´environ 70 ans, démolie par son grand-père, donc dans le 1er quart du 19e siècle ?) et sud-ouest (fondations repérées par le maçon Peyron lors de la construction de l´étable du presbytère, vers 1890). Le mur de l´enceinte était encore partiellement visible sur les côtés nord et est (au niveau du chemin de Sourcieux) ; au nord, il servait d´assise au mur d´un édifice appelé « grenier du château », qui correspond sans doute à la parcelle C 5 du plan de 1812 (1985 C1 119, 120. La maison C1 119 a un étage et un toit à croupes ; elle a été très restaurée au milieu du 20e siècle). L´abbé Valendru le date du 16e siècle ; construit en pisé, il a des « fenêtres basses et très larges défendues par des barreaux de fer entrecroisés » ; la porte d´entrée, côté sud, donne sur un escalier "dont les degrés sont faits de blocs de bois équarris", permettant l´accès à l´étage par une trappe. Au sud, dans l´axe du chemin de Fontannes, se trouvait la porte de l´enceinte, défendue par un pont-levis, qui aurait encore fonctionné à la fin du 18e siècle.

Lors de la construction de la mairie, on a exhumé de la place "une cheminée d´assez grande dimensions en pierre sculptée". Le tracé de la rue de la Doua suit sans doute encore le tracé curviligne des anciens fossés.

Anciennes croix de chemin, et croix du cimetière (?)

L´abbé Valendru indique avoir trouvé dans l´ancien cimetière, près de l´église, les débris de deux croix du 16e siècle ; il fait placer le croisillon de l´une d´elle, qu´il dit avoir autrefois occupé l´emplacement du poids public, sur le mur de clôture de la cour du presbytère. Ce croisillon aurait été orné de "nodosités" (terme employé par l'abbé Valendru) : peut-être les boules en relief, appelées localement argnats, généralement identifiées comme des représentations symboliques de bubons de peste (voir croix de Roche, IA42002287, et d´Essertines-en-Châtelneuf, IA42002532), ou des écots simulant une branche d'arbre. Dans le dernier quart du 20e siècle, le croisillon est déposé par la mairie. Il n´a pas été retrouvé lors de l´enquête en 2007.

La mairie-école (de filles ; 1985 C1 717), l´école de garçons (1985 C1 608)

Les cartes postales montrent encore l´ancienne mairie-école de filles, autrefois située au milieu de la place principale. Il s´agit peut-être la maison avec jardin appartenant à la fabrique achetée en 1852 par la commune pour y faire une école, qui accueille également la mairie.

Dans le dernier quart du 19e siècle, conformément aux lois scolaires, la commune doit construire une école de garçons. En décembre 1879, elle projette l´acquisition de la maison de François Blein, joignant le bourg, qui comprend une cave en sous-sol, une salle de classe, réfectoire, salon et cuisine au rez-de-chaussée, un cabinet et trois dortoirs au 1er étage, une chambre et un grenier au 2e étage, avec jardin, mare, une belle vigne et des arbres fruitiers (8000 F). En 1882, l´architecte Favrot donne un plan et devis de travaux pour l´édifice, jugé trop cher par l´administration ; il fait une seconde proposition en 1884. L´adjudication des travaux a lieu le 22 février 1885, en faveur d´Eugène Aguy, entrepreneur à Montbrison. Un préau et des latrines sont construits à l´école de garçons en 1911 (plan et devis de Sarre, puis de Thévenet, architecte à Montbrison traité de gré à gré avec Pierre Chapot, secrétaire de mairie).

En 1905 et 1934, la commune propose d´échanger les écoles de garçons et de filles (projet non abouti).

En 1937, vu l´état de vétusté des écoles publiques, la commune projette de construire un groupe scolaire sur l´emplacement de l´école de garçons et demande des plans à Gapiand, architecte à Montbrison. Le projet n´est pas réalisé et est repris en 1953 : Malécot, architecte à Saint-Etienne, dessine les plans en 1955 ; la réception définitive des travaux du groupe scolaire a lieu en septembre 1958.

L´école des filles est démolie peu après, vers 1958-1959.

Le four communal

En 1856, la commune fait le constat du manque de four à pain au Bourg, qui n´a pas de boulanger. Un four est donc adossé à la maison que la commune vient d´acheter pour y installer la mairie et l´école (en 1857, parmi les fourniture des travaux de l´école, on achète une bouche de four). En 1871 et 1891, l´assurance des bâtiments communaux comprend « la maison commune et le four banal » (ou la « maison d´école des filles y compris le four public et ses aisances ».

La place publique et la maison Muron

En 1867, le conseil municipal décide le déblayement et nivellement de la place de l´église et de la mairie. Dans ce cadre, il projette la démolition de la maison Muron, qui encombre la place, est inhabitée, en mauvais état, et placée juste en face de l´entrée de l´église. Le projet est déclaré d´utilité publique le 7 octobre 1868. Un procès-verbal d´estimation de la maison est dressé le 15 novembre 1867 (rédigé par Thomas Monin, régisseur demeurant à Sourcieux, Jean-Claude Peyron charpentier au bourg et Jean-Baptiste Dubeau entrepreneur de maçonnerie à Montbrison) : c´est une maison en pisé sur des fondations en cailloux et mortier de chaux, avec une chambre au rez-de-chaussée dont le sol est en terre battue, « ayant une porte pleine sur la rue et une fenêtre une cheminée simple dont le manteau est en bois » ; une chambre au 1er étage, un petit grenier dans le comble ;, une petite écurie pour deux ou trois animaux en contrebas de la maison, avec au-dessus un fenil ; un petit jardin clos ; contre le mur de derrière de la maison, un petit hangar formé de deux poteaux et d´une légère charpente en bois brut. Les travaux de la place sont achevés en 1873.

Le pont bascule (1985 C1 572)

La bascule est installé en 1882 : elle est achetée à Favereau frères constructeurs, 11 rue de Lyon à Saint-Etienne (bascule de 10 000 kg à double romaine), et installée dans une maisonnette en brique construite par le maçon Peyron. La bascule occupait l´angle de la rue de la Doua et du chemin de Fontannes.

Le travail à ferrer était situé à proximité, devant 1985 C1 139.

Les puits et le lavoir

L´approvisionnement en eau était un problème du Bourg de Chalain. Il y avait un puits communal sur la parcelle 1985 C1 620, à l´entrée du Bourg côté chemin de Sourcieux (vers 1985 C1 740) et sur la place du village. Un nouveau puits, avec abreuvoir, est creusé sur la place publique en 1893 (plan dressé par Etienne, architecte à Saint-Etienne). Il remplace peut-être le puits visible sur une photographie ancienne de l´église (voir IA42001495), sans doute déplacé pour permettre la construction de la nouvelle église.

En 1896, un traité de gré à gré pour la construction d´un puits est conclu avec Jullien et Tricaud, entrepreneurs associés de Chazelles-sur-Lyon (Loire), sur un plan dressés par l´architecte Bernard. Une pompe est encore visible sur la place du village (inscription, des deux côtés : SAUZAY FRERES / AUTUN SNE & LRE.

Le lavoir (détruit) se trouvait vers la rue des Mathauds. Il avait été édifié en 1949 (Claudius Peyron pour le terrassement, Baudet menuisier, Jean-Baptiste Raymond maçon).

Edifices non repérés

Les maisons sont généralement en pisé, avec des encadrements en brique (qui peuvent être des réfections, les encadrements étant traditionnellement en bois ou en granite), un toit à longs pans en tuile plate mécanique. Elles n´on souvent qu´un étage ou un comble à surcroît, occupé par un grenier. L´intérieur de l´ancienne enceinte étant très réduit, et dévolu aux édifices publics (église, mairie-école, presbytère), il comptait peu de maisons, essentiellement situées sur le côté est (1985 C1 127, C1 128 : anciennes petites maisons de journaliers ou fermes, avec peut-être à l´origine une galerie) ; l´espace des anciens fossés était occupé par des jardins clos (bien visibles sur les vues aériennes du milieu du 20e siècle. Peu de maisons (très remaniées) peuvent être datées d´avant le 19e siècle ; certaines présentent des toits à croupes (1985 C1 119, C1 132, C1 553, C1 691). Les constructions se sont développées en périphérie de ce noyau, le long des chemins qui suivent les axes des directions cardinales (chemin de Sourcieux à l´est, de Fontannes au sud, de Magneux au nord, de Montbrison à l´ouest).

Les anciens commerces

1985 C1 120. Ancienne poste.

1985 C1 139. Ancien café Spéry, puis Chapuis.

1985 C1 129. Ancien café, boulangerie et épicerie.

1985 C1 718. Ancienne épicerie.

1985 C1 130. Ancien bureau de tabac.

1985 C1 578. Ancienne épicerie.

1985 C1 612. Ancien café et épicerie.

1985 C1 612. Correspond à l'ancienne "tuerie" (abattoir-boucherie) Barailler, établie en 1923 (voir plan de la série 5M : 201 aux AD Loire)

Les anciennes maisons d´artisans

1985 C1 625. Maison d´un maçon

1985 C1 650. Maison d´un cantonnier

1985 C1 143. Maison d´un menuisier. Passage couvert vers le jardin, sur l´arrière.

Les anciennes fermes

Type A : 1985 C1 618 ; 1985 C1 620 (dénaturée) ; 1985 C1 622 ; 1985 C1 719 ; 1985 C1 167 ; 1985 C1 577; 1985 C1 591.

Type C : 1985 C1 158 ; 1985 C1 159 ; 1985 C1 490 (puits).

- 1985 C1 618 (1808 B 105, maison et bâtiments ruraux appartenant à Thomas Attendu). Ferme, Type A. Cour fermée (portail), logis de deux travées avec un étage, logement dans le prolongement d´un côté, étable de l´autre, grange-remise en face. Murs en pisé, toits à longs pans. 19e siècle (peut-être parties plus anciennes).

- 1985 C1 691, 695 (1808 A 299, maison et bâtiments ruraux de la veuve Michel Portier, avec A 298, jardin et vigne). Ferme, Type C. Cour fermée (portail). Dans l´habitation : cheminée de la cuisine sur un corbeau taillé en oblique et chanfreiné, datable du 16e siècle ( ?) ; dans une autre pièce du rez-de-chaussée, cheminée à décor de coquille, limite 18e siècle 19e siècle ; étage : saloir et pigeonnier ; puits. Dénaturé.

Quelques vestiges préhistoriques (époque néolithique ou âge du Bronze) ont été mis au jour sur le territoire communal. Le principal vestige gallo-romain était deux cippes qui servaient de supports aux bénitiers de l´église (Valendru) ; seul l´un d´entre eux est actuellement connu, remployé en base de croix de chemin (voir IA42003505, croix des Tardillons). Quelques lieux-dits de la commune (en plus du Bourg, avec le château cité en 1294) ont laissé des traces dans la documentation avant le 18e siècle : Fontannes et Sourcieux (à partir de 1255), la Pommière (1444 ; appelé "Château", hameau, sur la carte de Cassini) et peut-être les Rayons (que l´abbé Valendru propose de d´identifier au toponyme chez Riom, où aurait existé une chapelle au 17e siècle) (Dufour) ; la chapelle du cimetière n´est mentionnée qu´au 17e siècle également, mais est sans doute de construction antérieure (13e siècle ? voir IA42001496) ; le Bréat apparaît dans la 2e moitié du 18e siècle sur la carte de Cassini ("le Briat", maison). La population de la commune (entre 400 et 500 habitants au tournant des années 1800) augmente de façon presque constante jusqu´au début du 20e siècle (700 habitants vers 1900), puis décroît jusqu´aux année 1980 et retrouve tout juste son maximum (en 2011). Ici l´action des grands propriétaires du 19e siècle (familles Balaÿ, Forissier), et le passage du canal du Forez n´ont pas entraîné de développement important de la commune.

La commune de Chalain-le-Comtal (1836 ha) est située au coeur de la plaine du Forez, avec une altitude comprise entre 338 et 383 m seulement ; la commune est riveraine de la Loire, comme Magneux-Haute-Rive, et son territoire a subi de fortes inondations (celle de 1846 emporte une partie des archives de la commune) avant la domestication du cours de la Loire. Sur la quarantaine de parcelles en nature d´étang listées sur la matrice de 1812, il en reste 12 en 1854, et aujourd´hui la commune ne compte plus que deux grands étangs (l´étang Richard, ZN 8 i, et l´étang Matelot ou Matelas, ZM 36 b ; l´étang Bardoire, sur la section ZS, n´est plus cadastré). L´habitat est dispersé et formé presque uniquement de fermes isolées, avec des grands domaines administrés par des propriétaires aristocratiques, puis bourgeois, possédant en général plusieurs fermes tenues par des fermiers ou grangers. En dehors du Bourg, il n´y a qu´un seul véritable hameau, situé sur la grande route Montbrison-Lyon, à Fontannes (où on trouvait une auberge, puis un café, 1985 C3 63) ; au Bourg comme à Fontannes étaient regroupées plusieurs petites maisons d´ouvriers agricoles (au Bourg : 1985 C1 540, 567, 618, 719... ; Fontannes : 1985 C3 318, 320, 750...). En 1977, 22 fermes produisaient du lait dans la commune. Les fermes sont en pisé, avec des encadrements d´ouverture en granite (plus rarement en bois), on en brique à partir de la fin du 19e siècle. Les toits sont à longs pans, en tuile creuse puis en tuile plate mécanique. L´habitation des grangers ou fermiers est fréquemment limitée au rez-de-chaussée du logis, qui a un étage ou un comble à surcroît à usage de grenier (avec parfois une chambre), signalé par une porte haute (disposition notée par l'abbé Valendru).

Documents d'archives

  • AD Loire. Série O : 894. Liasse 38, 1837-1883. Ecoles communales. - 5 décembre 1837, extrait des délibérations du conseil municipal : location d´une maison au bourg pour l´école et le logement de l´instituteur. - 4 avril 1838 : Jean-Pierre Ferret a donné à la commune une maison au bourg, qui pourrait être réparée pour servir d´école (devis de 999,25 F). - 22 août 1852, extrait des délibérations du conseil municipal : un décret du 27 avril autorise la commune à acheter une maison avec jardin appartenant à la fabrique pour y faire une école, mais la commune manque d´argent pour faire les travaux nécessaires. - 17 octobre 1867, brouillon d´une lettre du maire au préfet : demande que le projet d´agrandissement de l´école soit déclaré d´utilité publique. - 20 février 1867 : lettre de l´inspection académique de la Loire au préfet : le projet d´agrandissement de l´école présenté par la commune est rejeté : en effet la commune a plus de 500 habitants donc doit avoir une école spéciale de filles (loi de 1850).

  • AD Loire. Série O : 894. Liasse 38, 1837-1883. Place de la mairie et de l´église. - 20 octobre 1868 : lettre du préfet autorisant la commune à acquérir une maison appartenant aux mineurs Muron pour dégager les abords de la place, projet déclaré d´utilité publique le 7 octobre 1868 ; un procès-verbal d´estimation de la maison, rédigé le 15 novembre 1867 par Thomas Monin, régisseur demeurant à Sourcieux, Jean-Claude Peyron charpentier au bourg, Jean-Baptiste Dubeau entrepreneur de maçonnerie à Montbrison, est joint : maison en pisé sur des fondations en cailloux et mortier de chaux ; une chambre au rez-de-chaussée dont le sol est en terre battue, ayant une porte pleine sur la rue et une fenêtre... une cheminée simple dont le manteau est en bois ; escalier en bois blanc, une chambre au premier étage avec une fenêtre, plancher en sapin, petit grenier dans le comble éclairé par un petit jour ; au rez-de-chaussée, à côté de la chambre d´habitation, en contrebas, une petite écurie pour deux ou trois animaux ; au-dessus un fenil avec une ouverture fermée par un volet dormant donnant sur le petit jardin ; contre le mur de derrière de la maison, un petit hangar formé de deux poteaux et d´une légère charpente en bois brut. Jardin clos (à côté du jardin de la commune). - 30 novembre 1873 : lettre du maire au préfet, les travaux de la place sont achevés.

  • AD Loire. Série O : 894. Liasse 38, 1837-1883. Four communal. - 17 février 1856, extrait des délibérations du conseil municipal. Le presbytère ni l´école n´ont de four à pain, or la commune n´a pas de boulanger. Vote de 60 F pour construire un four. - 11 octobre 1857, réparations à faire à l´école : il faut acheter une clef, chaux et sable pour le crépi, des tuiles, une bouche de four.

  • AD Loire. Série O : 894. Liasse 38, 1837-1883. Pont bascule. 5 mars 1882, extrait des délibérations du conseil municipal : approbation des traités passés avec MM. Favereau frères constructeurs, 11 rue de Lyon à Saint-Etienne, constructeur de bascule, et M. Peyron, entrepreneur de maçonnerie à Chalain-le-Comtal, devis joint : Peyron doit construire la fosse et une maisonnette en brique, Favereau fournit une bascule de 10 000 kg à double romaine (1950 F).

  • AC Chalain-le-Comtal. Etat de classement des propriétés bâties et non bâties de la commune de Chalain-le-Comtal, 1812.

  • AC Chalain-le-Comtal. Registre de délibérations du conseil municipal. 10 novembre 1845-13 septembre 1891. Délibération du 18 avril 1848. Etat des archives. Registre de délibération de 1832 perdu dans l´inondation (d´octobre 1846). Le registre nouveau commence au 11 novembre 1845. Atlas cadastral de 1812, avec matrice cadastrale de 1822, état de classement ou état de section de 1826 à 1848.

  • AC Chalain-le-Comtal. Registre de délibérations du conseil municipal. 10 novembre 1845-13 septembre 1891. Etangs et fossés métraux. 15 janvier 1854. Enquête préfectorale sur la suppression des étangs. Observations d´un seul propriétaire : Mme Goulard de Curraise, épouse de M. Désarnaud, qui veut conserver ses pièces d´eau, réservoirs et étangs : le conseil est d´accord sauf pour l´étang de Bayle (A ? 183) qui doit être supprimé car malsain. Le conseil énumère ensuite les étangs déclarés malsains par mi les étangs et réservoirs des propriétaires de la commune : - M. Lachèze : A 156 (étang d´Uzor) - Philibert Peyron : aucun étang malsain. Étang Perrache (A 167, 168) - Mme Bourgeade : tous ses étangs sont malsains, notamment celui situé au nord du chemin de Chalain à Montbrison ; le conseil est d´avis de maintenir la pièce d´eau qui joint les bâtiments. - M. de Vazelhes : A 169, A 171, 151, 97 et 98 - M. Chantemerle : A 155 bis - Mme Goulard de Curraise, épouse de M. Frédéric Durand : A 153 (étang Carol) - M. de Mongenest ( ?) : A 176 et A 177 - M. Dugas : C 329 - M. Balaÿ : C 275.

  • AC Chalain-le-Comtal. Registre de délibérations du conseil municipal. 10 novembre 1845-13 septembre 1891. Ecoles communales. - Délibération du 6 juillet 1851. Il n´y a pas de maison convenable à louer et la commune n´a pas les moyens d´une construction. Le maire s´est entendu avec la fabrique pour qu´elle lui vende la maison et le jardin attenant dont elle n´a pas l´utilité (500 F). - Délibération du 9 novembre 1851. Le conseil a demandé une modification dans le projet de construction [réparation] d´école : en effet l´adjudication du 19 octobre a échoué car les prix étaient trop faibles. Le conseil demande à l´architecte d´augmenter les prix et de diminuer la longueur du bâtiment. - Délibération du 2 janvier 1853. Emprunt pour solder les dépenses de la maison d´école, 4640 F, après procès-verbal de réception. - Délibération du 26 avril 1857. Réparation aux portes de l´école, dont celle de la cave. - Délibération du 24 novembre 1861. Au départ de l´instituteur communal, le maire expose qu´il est dans l´intérêt de la commune que l´école primaire soit dirigée par des religieuses et propose de payer une subvention équivalent à leur traitement pendant 3 ans ; voté. - Délibération du 1er octobre 1865. Projet de construction d´un mur autour du jardin de l´école. La classe est trop petite : il faudrait acheter la maison contiguë, qui appartient à Antoine Muron, pour la démolir et construire un agrandissement en harmonie avec l´école. Antoine Muron demande 2000 F pour sa maison le conseil pense l´exproprier. - Délibération du 12 mai 1867. Des membres du conseil proposent le déblayement et nivellement de la place de l´église et de la mairie. Le seul accès entre la maison commune et le côté opposé est obstrué par la maison Muron, qui dépasse l´alignement de 11 m, est inhabitée, en mauvais état, et placée juste en face de l´entrée de l´église. Elle doit être achetée et démolie. - Délibération du 7 juillet 1872. Lettre du préfet rappelant à la commune qu´elle doit créer une école spéciale de garçons (refus). - Délibération du 23 novembre 1879 : lettre de Favrot, architecte de l´arrondissement, du 18 novembre : il a commencé à travailler à un plan et devis pour construire une maison d´école de garçons (15 500 F non compris l´achat du terrain). Le conseil est d´avis d´arrêter ce projet trop coûteux (on arrivera à 18 000 ou 20 000 F) et d´acheter plutôt une maison très bien construite, avec les aisances nécessaires, située à 250 m de l´église (hors du bourg), dont l´achat et les réparations coûteraient 10 à 12 000 F. - Délibération du 21 décembre 1879 : projet d´acquisition de la maison de François Blein, joignant le bourg, pour l´école de garçons. Elle comprend une cave sous le sol de la maison ; au rez-de-chaussée : salle de classe, réfectoire, salon et cuisine ; 1er étage : cabinet et trois dortoirs ; 2e étage : une chambre et un grenier. Jardin avec mare, une belle vigne, des arbres fruitiers. 8000 F. - Délibération du 18 juillet 1880 : présentation des plan et devis avec réparations et constructions projetées pour la maison d´école de garçons 18190 F. - Délibération du 22 août 1880 : liste des élèves gratuits pour 1881 : 75 noms, les 65 derniers seront admis gratuitement. Parmi les professions des parents : deux cantonniers, quatre cabaretiers, des cultivateurs. - Délibération du 7 mai 1882 : plan et devis de Favrot [pour la maison d´école de garçons]. Total 27 450 F (avec les 8 000 F d´achat de la maison). - Délibération du 10 avril 1884 : le projet d´école de garçons approuvé par le conseil le 7 mai 1882 a été jugé trop cher par l´administration. Nouveau projet de Favrot. Total 18 000 F (achat compris). - Délibération du 22 février 1885 : adjudication des travaux de la maison d´école de garçons. Plans et devis de Favrot du 25 mars 1884. Adjudication à Eugène Aguy de Montbrison. - Délibération du 13 février 1887 : devis supplémentaire pour l´école de garçons établi par Favrot le 3 février 1887 (1400,52 F). - Délibération du 12 février 1888 [mairie, école de filles] : Antoinette Morlon supérieure de soeurs demeurant à Chalain demande à être déchargée de l´impôt foncier parce que la commune occupe une partie de son immeuble (pour la mairie). Approuvé.

  • AC Chalain-le-Comtal. Registre de délibérations du conseil municipal. 15 novembre 1891-2 mai 1915. - Délibération du 7 septembre 1902. Réparation à l´école des filles. Il faut repeindre et nettoyer les deux classes et la cuisine, le corridor et une partie de l´escalier. Le conseil demande le report de la laïcisation de l´école, tenue par trois religieuses depuis 40 ans (le traitement de deux institutrices coûterait trop cher). - Délibération du 12 février 1905. Transfert des écoles publiques. Les filles doivent être transférées dans l´école de garçon où deux salles de 39 et 35 m² peuvent être aménagées, et des garçons dans l´école de fille où les deux salles actuelles seront réunies en supprimant le galandage qui les sépare de façon à former une salle de 44 m². Le transfert engendrera d´autres travaux : construction et aménagement d´une cour de récréation pour les garçons à la place de l´ancien cimetière qui attenant à l´actuelle école de filles ; réparation de l´actuelle école de filles qui menace ruine ; réparation et aménagements à l´école de garçons. Devis estimatif du 9 février 1905 dressé par M. Valentin, secrétaire de mairie à Chalain, 1494,74 F. - Délibération du 2 juillet 1911. Construction d´un préau et de latrines à l´école de garçons. Plan et devis par Sarre, traité de gré à gré avec Pierre Chapot (secrétaire de mairie), le 1er juillet 1911 ; 1500 F votés. - Délibération du 12 novembre 1911. Construction d´un préau et de latrines à l´école de garçons. Un projet a été dressé le 30 septembre 1911 par Thévenet architecte à Montbrison, car l´intervention d´un architecte est nécessaire.

  • AC Chalain-le-Comtal. Registre de délibérations du conseil municipal. 20 juin 1915-28 avril 1960. - Délibération du 9 décembre 1934. Echange des locaux scolaires entre les écoles de filles et de garçons. - Délibération du 30 mai 1937. Vu l´état de vétusté des écoles publiques, projet de construction d´un groupe scolaire sur l´emplacement de l´école actuelle de garçons ; Gapiand architecte à Montbrison est choisi pour dessiner le plan. - Délibération du 22 juillet 1953. Projet de construction d´un groupe scolaire. - Délibération du 17 avril 1955. Plan et devis du groupe scolaire par M. Malécot, architecte à Saint-Etienne, 14 879 600 F. - Délibération du 5 août 1958. La réception définitive des travaux du groupe scolaire doit avoir lieu fin septembre.

  • AC Chalain-le-Comtal. Registre de délibérations du conseil municipal. 10 novembre 1845-13 septembre 1891. Four communal. - Délibération du 23 novembre 1871. L´assurance des bâtiments communaux comprend la maison commune et le four banal compris, maison curiale et écurie. - Délibération du 13 septembre 1891. Assurance des bâtiments communaux : maison d´école des filles y compris le four public et ses aisances ; (rayés) presbytère avec hangar et dépôt fermé, église avec sacristie, clocher, 2 cloches, horloges et autres dépendances.

  • AC Chalain-le-Comtal. Registre de délibérations du conseil municipal. 15 novembre 1891-2 mai 1915. Puits et abreuvoirs. - Délibération du 22 octobre 1893. Puits et abreuvoir sur la place publique. Le conseil approuve le plan de construction et plan des lieux dressés par Etienne architecte à Saint-Etienne le 15 septembre 1893, et le vote 1000 F pour ces travaux. - Délibération du 27 mai 1896. La commune achète une pièce d´eau (A 76) pour servir d´abreuvoir aux animaux du bourg, 100 F (bien légué à la fabrique le 9 novembre 1822 par Pierre Ferret). - Délibération du 4 octobre 1896. Marché de gré à gré pour la construction d´un puits conclu avec Jullien et Tricaud, entrepreneurs associés de Chazelles-sur-Lyon (Loire). Plan et devis dressés par Bernard, architecte, budget voté de 2000 F. - Délibération du 18 mars 1906. Réparation à l´abreuvoir communal en bordure de l´étang Bardoire qui appartient à M. Forissier, de 6 m de long par 4 de large, qui sera perrayé [sic] en moellon de Moingt.

  • AC Chalain-le-Comtal. Registre de délibérations du conseil municipal. 20 juin 1915-28 avril 1960. - Délibération du 2 octobre 1949. Une demande d´autorisation d´emprunt a été faite par délibération du 13 juin 1948, pour construction d´un lavoir et réparation du toit de la cure. Lavoir ; devis de 1766,50 ( ?) F, Claudius Peyron pour le terrassement, Baudet menuisier, Jean-Baptiste Raymond maçon.

  • Bibl. Diana, Montbrison. Série 1 F 42 : 35, n°8. Exemplaire annoté par l'abbé Valendru du Questionnaire historique, archéologique et statistique (Maurice DUMOULIN, Bulletin de la Diana, 1898), entrelardé de feuilles quadrillées où sont écrites ses réponses (son nom est noté sur la 1ère page avec la date 1899, une étiquette "Paroisse de Chalain le Comtal Loire" est collée sur la couverture).

Bibliographie

  • Département de la Loire. Etangs insalubres de la plaine du Forez. Saint-Etienne : J. Besseyre et Cie, imprimeurs de la préfecture, 1882.

  • DUFOUR, J.-E. Dictionnaire topographique du Forez et des paroisses du Lyonnais et du Beaujolais formant le département de la Loire. Mâcon : imprimerie Protat frères, 1946.

    col. 46, 140, 141, 350, 620, 732, 783, 786, 957
  • GRANGE, Marie. BAROU, Joseph. Un village de la plaine, il y a 100 ans. Chalain-le-Comtal, d'après les notes de l'abbé Valendru. Village de Forez, supplément au n°63, 1995.

  • LAVENDHOMME, Marie-Odile. Carte archéologique de la Gaule 42 - La Loire Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1997

    p. 38
  • THIOLLIER, Félix. Le Forez pittoresque et monumental, histoire et description du département de la Loire et de ses confins, ouvrage illustré de 980 gravures ou eaux-fortes, publié sous les auspices de la Diana... Lyon : Imprimerie A. Waltener, 1889 (2 vol.)

    p. 272
  • VACHET, Adolphe (abbé). Les paroisses du diocèse de Lyon : archives et antiquités. Abbaye de Lérins ; Imprimerie M. Bernard,1899. 752 p. ; 27,5 cm.

    p. 74

Documents figurés

  • Département de la Loire. Tableau d'assemblage commune de Chalain le Comtal [Plan cadastral de la commune de Chalain-le-Comtal] / Chaland (géomètre) ; Rousset (géomètre) ; Laurent (géomètre). 1 dess. : encre noire, lavis jaune, vert et rouge sur papier. Echelle 1:10000. [s. d.], 1er quart 19e siècle [1808-1812] (AD Loire. 1682VT4_01). Suite du cartouche : "Arrondissement communal de Montbrison, canton de Montbrison. Construit à l´échelle de 1 à 10,000. Monsieur Jacques Peiron maire de la commune. MMr Chaland, Rousset et Laurent géomètres du cadastre".

  • Chalain le Comtal. Section A de Beauplan [Plan cadastral de la commune de Chalain-le-Comtal] / 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et vert sur papier. Echelle 1:5000. [s. d.], 1er quart 19e siècle [1808-1812] (AD Loire. 1682VT4_02).

  • Chalain le Comtal. Section B des Rameaux Levée par Mr [laissé en blanc] géomètre [Plan cadastral de la commune de Chalain-le-Comtal] / 1 dess. : encre noire, lavis rouge, gris et vert sur papier. Echelle 1:5000. [s. d.], 1er quart 19e siècle [1808-1812] (AD Loire. 1682VT4_03).

  • Chalin [sic] le Comtal. Section C du Bourg et Fontanes Levée par Mr Laurent géomètre de 1ère classe [Plan cadastral de la commune de Chalain-le-Comtal] / Laurent (géomètre). 1 dess. : encre noire, lavis rouge, jaune, bleu et vert sur papier. Echelle 1:5000. [s. d.], 1er quart 19e siècle [1808-1812] (AD Loire. 1682VT4_04).

  • Département de la Loire. Arrondissement Montbrison. Commune de Chalain le Comptal [sic]. Section D. des Rayons [Plan cadastral de la commune de Chalain-le-Comtal] / 1 dess. : encre noire, lavis rouge sur papier. Echelle 1:2500. [s. d.], 1er quart 19e siècle [1808-1812] (AD Loire. 1682VT4_05).

  • 1808. Département de la Loire. Arrondissement Montbrison. Commune de Chalain le Comptal [sic]. 1ère division de la section E, dite de la Loire [Plan cadastral de la commune de Chalain-le-Comtal] / 1 dess. : encre noire sur papier. Echelle 1:2500. 1808 (AD Loire. 1682VT4_06).

  • Commune de Chalain le Comtal. 2ère division [sic] de la section E dite de la Loire [Plan cadastral de la commune de Chalain-le-Comtal] / 1 dess. : encre noire sur papier. Echelle 1:2500. [s. d.], 1er quart 19e siècle [1808-1812] (AD Loire. 1682VT4_07).

  • Chalain-le Comtal. Sections E et D (arpentage des rives de la Loire fait par Relave) [Plan cadastral de la commune de Chalain-le-Comtal] / Relave (géomètre). 1 dess. : encre noire, lavis rouge, gris et vert sur papier. Echelle 1:2500. [s. d.], 1er quart 19e siècle [1808-1812] (AD Loire. 1682VT4_08).

  • 1° Plan à 1/500 des terrains, immeubles et constructions dans un rayon de 50 mètres autour du lieu où doit être installée la tuerie particulière de Mr Barailler Claudius [marchand de bestiaux] au bourg de Chalain-le-Comtal (Loire) / 1 dess. : encre noire et rouge, crayon marron, bleu et rouge. Ech. 1:500. 34,2 x 20,4 cm. 15 mars 1923 (AD Loire. Série 5M : 201. Cote 7 sup 585 / 02167).

  • 2° Plan des dispositions intérieures de la tuerie à 1/200 avec nature des immeubles contigus au bâtiment renfermant la tuerie et leurs destinations actuelles / 1 dess. : encre noire et rouge, crayon marron, bleu et rouge. Ech. 1:200. 34 x 20,5 cm. 15 mars 1923 (AD Loire. Série 5M : 201. Cote 7 sup 585 / 02167).

  • Département de la Loire. Arrondissement de Montbrison. Commune de Chalain-le-Comtal. [Projet de puits et bassin couverts]. Plan et élévation ; coupe. / Eugène Etienne (architecte). 1 dess. : encres rouge et noire, crayon bleu sur claque. Ech. 1:50. 21 x 32 cm. 1893 (AC Chalain-le-Comtal). "Dressé par l´architecte soussigné, Saint-Etienne 15 septembre 1893 [signé] Etienne".

  • CIM [Vue aérienne du bourg de Chalain-le-Comtal, depuis le sud]. [Au verso] CHALAIN-LE-COMTAL (Loire). 33-76 A - Vue générale aérienne. Editions aériennes COMBIER IMP. MACON (S.-ET-L.) Photographie véritable - Reproduction interdite / CIM (éditeur), Combier (imprimeur). 1 impr. photoméc. (carte postale) : N&B. 1ère moitié 20e siècle (Coll. Part. L. Tissier).

  • CIM [Vue aérienne du bourg de Chalain-le-Comtal, depuis le sud-ouest]. [Au verso] CHALAIN-le-COMTAL (Loire) S 21 - 41 A - Vue générale aérienne - COMBIER IMP. MACON (S.-ET-L.) « CIM » - 24 - Photographie véritable - Reproduction interdite / CIM (éditeur), Combier (imprimeur). 1 impr. photoméc. (carte postale) : N&B. 1ère moitié 20e siècle (oblitérée en 1955) (Coll. Part. L. Tissier).

Date(s) d'enquête : 2006; Date(s) de rédaction : 2010
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Conseil général de la Loire
Guibaud Caroline
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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