La ferme repérée faisait partie d’un ensemble de trois maisons mitoyennes, les deux autres ayant disparu après 1937. En 1892, le cadastre ancien indique en effet la présence de trois constructions sous les numéros 752 (ferme actuelle, propriété de Lanternier François, charpentier chez Bâton), 754 (Davoine Étienne, charpentier chez Bâton) et 755 (Davoine François, cultivateur chez Bâton). Une fontaine (n° 753), encore existante, appartenait à François Davoine et Lanternier François.
L’accès aux logis des numéros 752 et 754 s’effectuait par un escalier droit, comme c’est encore le cas pour l’ancienne ferme repérée.
En 1937, la parcelle ancienne 752 était divisée entre deux personnes (numéros 1055 et 1056), et inversement, les parcelles anciennes 754 et 755 était la propriété d’une seule personne (parcelle 604)
Aujourd’hui plusieurs ouvertures ont été percées dans le mur pignon sud (du fait de la destruction des bâtiments mitoyens), et un décor au ciment rapporté encadre les baies.
Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )