Dossier d’œuvre architecture IA74001066 | Réalisé par
  • enquête thématique régionale, Patrimoine hydraulique des Pays de Savoie
Centrale hydroélectrique de Vallières
Œuvre monographiée
Copyright
  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Assemblée des Pays de Savoie

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pays de Savoie - Rumilly
  • Hydrographies le), Fier Inférieur Fier
  • Commune Vallières
  • Lieu-dit Tovay
  • Adresse 750 route du Barrage
  • Cadastre OC 1 3, 743, 749, 132, 834
  • Dénominations
    centrale électrique
  • Parties constituantes non étudiées
    usine, barrage, remise, logement, barrage, canal

En 1834, plusieurs compagnies de Gaz se partagent la production et la distribution d´énergie dans la ville de Lyon. Certaines fusionnent pour donner naissance en 1897 à la Compagnie du Gaz de Lyon qui détient le monopole de la distribution du gaz dans une partie de la ville. Elle participe entre autre à l´éclairage de la rive droite du Rhône de cette cité. La demande en gaz et en énergie électrique ne se dément plus à la fin du XIXème siècle et les investisseurs et industriels lyonnais commencent à racheter des chutes d´eau dans les Alpes afin d´aménager des usines hydroélectriques. Ce phénomène de concentration dans la production et la distribution de l´énergie électrique va avoir une incidence sur l´aménagement et le développement des chutes d´eau se trouvant en Val du Fier en Haute-Savoie. Dans ce secteur, une chute d´eau aiguise l´appétit des barreurs de chute. En 1903, un projet de valorisation d´une chute d´eau dans la commune de Vallières est en cours de gestation. Par une pétition à M. le Préfet de la Haute-Savoie, en date du 20 août 1903, MM. Jules Barut ingénieur demeurant à Annecy et M. Emile Ripert architecte demeurant à Lyon demandent l´autorisation de capter les eaux du Fier, sur la rive droite de cette rivière, à 300 mètres environ à l´aval de l´embouchure du ruisseau de Merlud sur le territoire de la commune de Vallières et de les conduire, par un canal souterrain, à l´emplacement d´une usine hydro-électrique protégée vers la confluence de la Morge et du Fier sur le territoire de la commune de Sion. Ce projet ne verra pas le jour. De nouveaux investisseurs s´intéressent à l´aménagement de cette chute d´eau. La Société d´Energie SAVOIE ET DAUPHINE dont le siège social est à Lyon, 31 rue Ferrandière, représentée par M. Menjou son directeur, adresse la 14 décembre 1923, une demande de concession pour l´aménagement d´une usine hydroélectrique. Cette société est autorisée par le Ministre des Travaux Publics le 13 février 1925 à ouvrir une demande d´utilité publique pour cet aménagement. Le Ministre des Travaux Publics autorise cette société à commencer, à ses risques et périls, les travaux d´aménagement de la chute. Elle verse alors une somme de 20 000 francs représentant un quart du cautionnement. La Compagnie du Gaz de Lyon cherche à diversifier ses activités, elle se lance alors dans la production d´énergie électrique en créant la Société hydro-électrique de Lyon. Sa filiale fournit alors une garantie bancaire de 80 000 francs égale à la totalité du cautionnement et obtient la concession des travaux d´aménagement de cette chute d´eau aux dépens de la Société d´Energie SAVOIE ET DAUPHINE. Cette dernière demande alors réparation auprès du Ministre des Travaux Publics. Par décret du 10 août 1934, les ministres des travaux publics et de l´agriculture approuvent la substitution des deux entreprises dans les droits et obligations relatifs à l´aménagement du complexe. Par un décret du 31 juillet 1928, la Société anonyme Hydro-Electrique de Lyon obtient la concession de la force hydraulique de la chute de Vallières. La durée de la concession est de 75 ans. Cet aménagement est déclaré d´utilité publique. Par arrêté préfectoral du 19 janvier 1929, la Société Hydro-électrique de Lyon est autorisée à mettre en service, à partir du 15 janvier 1929, l´usine hydroélectrique de Vallières. Elle se trouve alors directement en concurrence avec la Société Anonyme des Forces Motrices du Fier qui dispose en aval des centrales hydroélectriques de Chavaroche (Commune de Chavanod) et de Brassilly (Commune de Poisy). Le 11 juillet 1932, la Société Anonyme L´Energie Industrielle, domiciliée au 29 rue de Rome à Paris fusionne avec la Société Hydro-Electrique de Lyon (S.H.E.L.). La Société Anonyme L´Energie Industrielle récupère la gestion des deux plus importantes usines hydroélectriques aménagées sur le Fier. La centrale hydroélectrique des Portes du Fier construite en 1913 par la S.H.E.L et l´usine de Vallières. A cette époque, la totalité de cette énergie est vendue à la Compagnie du Gaz de Lyon (C.G.L.), à la Société Anonyme L´Energie Industrielle pour ses réseaux de banlieues Est et Ouest de Lyon et aux Etablissements MARECHAL à Saint-Priest. Deux lignes électriques d´une longueur de 217 km permettent de transporter la production de ces deux usines du Fier à l´usine thermique de la Mouche à Lyon appartenant à la Compagnie du Gaz de Lyon. En 1946, Electricité de France, service d´Etat, obtient le monopole de la production et de la distribution de l´énergie électrique. Dans le Fier, les centrales gérées par la Société l´Energie Industrielle et la Société Anonyme des Forces Motrices du Fier sont regroupées dans un seul groupement. L´aménagement de Vallières en constitue la pièce centrale. Depuis 2012, un chantier de rénovation des installations de la centrale a été lancé, le barrage a été modernisé. Le changement des groupes hydroélectriques interviendra dans les prochaines années.

La source du Fier se trouve à 2 400 mètres d´altitude au pied du Mont Charvin, il coule globalement d´est en ouest jusqu´à sa confluence avec le Rhône en aval de Seyssel. Son bassin versant couvre 768 km² à la prise d´eau. D´Annecy à la prise d´eau de Vallières, il reçoit le Thiou, exutoire du lac d´Annecy, le Chéran et bien d´autres affluents qui lui apportent ainsi toutes les eaux de la cluse d´Annecy et de l´avant pays savoyard. Ce bassin versant est recouvert de bois, de prairies, de pelouses et de rochers aux altitudes les plus fortes. Après les Gorges du Fier, le Val du Fier ouvre sur un paysage plus vallonné ou les plateaux agricoles sont traversés par les méandres de la rivière qui creusent des gorges et des valles profondes. L´aménagement de Vallières est le troisième pallié aménagé sur les abords du Fier. En effet, quatre centrales hydroélectriques se succèdent : l´usine de Brassilly (Poisy), la centrale de Chavaroche (Chavanod), l´usine du Val du Fier (Vallières) et la centrale des Portes du Fier (Motz). Le barrage de Vallières construit sur le Fier, un affluent de la rive gauche du Rhône, a été mis en eau en 1928. Long de 46 m et haut de 19,75 m, il offre une réserve d´eau d´environ 800 000 m3 en aval d´Annecy. La retenue est alimentée essentiellement par des eaux de pluie et par les eaux de fonte des neiges au printemps drainées par le Fier et le Chéran. Ce complexe est situé en aval de la confluence du Fier et du Chéran. L´usine hydroélectrique de Vallières, qui jouxte le barrage du même nom, est une centrale de basse chute. À la suite des aménagements de Brassilly et de Chavaroche en amont, la centrale turbine les eaux du Fier sous une chute de 18 m à partir de la retenue du barrage. L´eau turbinée est ensuite restituée au Fier pour être utilisée une dernière fois par la centrale de Motz, en aval, avant de se jeter dans le Rhône. La centrale fonctionne en « éclusées », un mode de gestion qui permet de suivre la variation de la consommation. Ce complexe comprend un barrage de retenue établi à proximité du confluent de la Morge et du Fier. Il comporte un seuil fixe, en maçonnerie, formant déversoir, surmonté d´un barrage métallique mobile. En aval, une lame aménagée dans le lit de la rivière évite les remous pouvant endommager le déversoir du barrage lors des lachées. Avant les travaux de rénovation de 2012-2013, ce barrage mobile était composé d´une série de vannes du type semi-cylindriques à tourbillons horizontaux, montées sur palées métalliques. Elles peuvent être mues manuellement ou électroniquement. Grâce à son seuil maçonné, la prise d´eau se fait directement sur le Fier en amont de l´usine. Cette chambre d´eau est directement prolongée par l´usine orientée suivant un axe sud-est, nord-ouest. Un jeu de grilles avec dégrilleur automatique permet, de part et d´autre de cette prise d´eau, de filtrer les eaux du Fier avant de les injecter dans la chambre des turbines. Cette chambre est équipée de deux groupes de turbines Francis et d´un goupe Kaplan qui permettent de turbiner 100 m/cube/seconde. Dans la salle des machines trois générateurs développent une puissance de 15 MW. Réalisé entièrement en béton, le bâtiment de la centrale hydroélectrique, de plan régulier se caractérise par la pureté de ses lignes. D´extérieur, les larges baies vitrées avec arc en plein cintre assurent un éclairage optimal dans les salles des machines et la chambre des turbines. Elles ont été conçues pour supporter les inondations en cas de fortes crues, les vitres résistent à la pression de l´eau. Cinq des six travées aménagées sur la façade antérieure font face au canal de fuite entièrement maçonné dans le lit de la rivière et qui coure sur plus de 200 mètres. La confluence de la Morge et du Fier a été réaménagée. Ainsi, sur plusieurs mètres, le lit de la Morge a été déplacé, une galerie de dérivation de la Morge, amène les eaux de cette dernière dans ce canal de fuite. Une large baie permet d´accéder depuis la plate forme extérieure à la salle des machines. Adossé à l´usine sur la façade antérieure, le poste des transformateurs se caractérise d´extérieur par la singularité de ces ouvertures : les baies. Accessible depuis la route du Val de Fier, il faut ensuite emprunter la route du barrage qui conduit à une plate forme surmontant le Fier. Aménagé sur plusieurs terrasses, ce complexe comprend les annexes avec bureaux et parking sur la terrasse supérieure. Plus à l'est, la seconde terrasse s´articule autour d´une cour intérieure jouxtée par l´usine au sud. Le quai est formé par les murs de soutènement du canal de fuite et par la remise au nord. Il est possible d´accéder aux rives du fier plus au nord en longeant le canal de fuite.

  • Murs
    • béton
  • Toits
    béton en couverture
  • Plans
    plan régulier
  • Étages
    2 étages de sous-sol, 3 étages carrés
  • Énergies
    • énergie hydraulique
  • Statut de la propriété
    propriété privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler

Construite en 1918, ce barrage de basse chute est représentatif des centrales hydroélectriques construites dans les années 1920. Son style épuré en fait un parfait exemple d'architecture harmonisée. Elle s´inscrit dans une chaîne d´aménagements hydroélectriques qui jalonnent les abords du Fier. Il s´agit du quatrième pallié aménagé. A la sortie des Gorges du Fier, le Val de Fier est aussi un site paysager remarquable. Après cette installation, les eaux sont rendues à la rivière et partent en direction des Portes du Fier. Cette usine avec la centrale hydroélectrique de Motz témoignent de l´histoire industrielle. Pensée et construites par des industriels lyonnais, cette centrale démontre le caractère régional de ce type d´édifice.

  • Photo aérienne 2011, Conseil général de la Haute-Savoie/ Direction des Affaires Culturelles/ SIG/ BDORTHO® - BDCARTO® - © IGN - copie et reproduction interditesPlan

    CAH Haute-Savoie
  • Département de la Haute-Savoie. Projet d´utilisation des forces motrices naturelles du Fier. Plan général du tunnel. 1 :1000. Annecy, 20 octobre 1903Plan

    AD Haute-Savoie : 6 S 264
  • Département de la Haute-Savoie. Projet d´utilisation des forces motrices naturelles du Fier. Plan général du tunnel. 1 :1000. Annecy, 20 octobre 1903 et reproduction interditesPlan

    AD Haute-Savoie : 6 S 264
  • Département de la Haute-Savoie. Projet d´utilisation des forces motrices naturelles du Fier. Dessins du barrage. 1 :200. Annecy, 31 mai 1904 et reproduction interditesPlan

    AD Haute-Savoie : 6 S 264
  • Service de l´hydraulique, rivière du Fier. Communes de Vallières et de Sâles. Construction d´un barrage et établissement d´une dérivation au lieu-dit «Sous-Merluz », Carte. 1 :80 000. Annecy, 6 mars 1905 et reproduction interditesPlan

    AD Haute-Savoie : 6 S 264
  • Service de l´hydraulique, rivière du Fier. Communes de Vallières et de Sâles. Construction d´un barrage et établissement d´une dérivation au lieu-dit «Sous-Merluz », Plan général. 1 :2 000. Annecy, 6 mars 1905 et reproduction interditesPlan

    AD Haute-Savoie : 6 S 264
  • Chute de Vallières, Plan d´ensemble des ouvrages. Lyon, 21 février 1925.Plan

    A DDEA Haute-Savoie : carton Vallières
  • Chute de Vallières, Plan d´ensemble des ouvrages. 1:500. Lyon, 21 février 1925.Plan

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  • Chute de Vallières, Profils en long (Fier et Chéran). 1:10 00, 1 : 500 . Lyon, 21 février 1925.Plan

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  • Chute de Vallières, Prise d´eau et chambre d´eau. 1:500. Lyon, 15 avril 1925.Plan

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  • Chute de Vallières, Plan général. 1:1000. Lyon, 1er mai 1925.Plan

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  • Chute de Vallières, Coupe transversale de l´usine suivant l´axe d´un groupe. 1:10. Lyon, 4 mai 1925.Plan

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  • Chute de Vallières, Barrage. Plan, élévation et coupes. 1:500. Lyon, 14 mai 1925.Plan

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  • Barrage de Vallières, Limite du Remous, lits du Chéran et de la Néphaz d´après le levé tachéométrique des 21, 23, 25 et 27 août 1926, 1 : 5000. Lyon, août 1926.Plan

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  • Chute de Vallières, Canal de fuite, 1 : 500. Lyon, 5 avril 1928.Plan

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  • Chute de Vallières, Usine, coupe transversale, 1 : 100. Lyon, 12 mai 1928.Plan

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  • Chute de Vallières, Prise et chambre d´eau, 1 : 500. Lyon, 12 mai 1928.Plan

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  • Chute de Vallières, Barrage, coupe transversale, élévation et plan, 1 : 10, 1 : 500. Lyon, 14 avril 1928.Plan

    A DDEA Haute-Savoie : carton Vallières
  • Chute de Vallières, Plan d´ensemble des ouvrages, 1 : 200. Lyon, 22 mars 1928.Plan

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  • Vue du torrent du Fier et de l'usine prise depuis la rive gauche Pilastre de l'ancien four à réverbèrePhoto

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  • Autre vue du torrent du Fier et de l'usine prise depuis la commune de Lornay Pilastre de l'ancien four à réverbèrePhoto

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  • Elévation nord-ouest du bâtiment des machines Pilastre de l'ancien four à réverbèrePhoto

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  • Détails : les travées du bâtiment des machines Pilastre de l'ancien four à réverbèrePhoto

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  • La barrage adossé au bâtiment des machines Pilastre de l'ancien four à réverbèrePhoto

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  • Autre vue du bâtiment des machines Pilastre de l'ancien four à réverbèrePhoto

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  • Vue du canal de fuite Pilastre de l'ancien four à réverbèrePhoto

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  • Vue de l'usine prise depuis le canal de fuite Pilastre de l'ancien four à réverbèrePhoto

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  • Le barrage mobile constitué d'une série de vannes du type semi-cylindriques à tourbillons horizontaux Pilastre de l'ancien four à réverbèrePhoto

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  • Salle des machines Pilastre de l'ancien four à réverbèrePhoto

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Documents d'archives

  • AD Haute-Savoie : 6 S 188, Travaux d'aménagement de la chute de Vallières sur la rivière du Fier par la société d'Energie Savoie et Dauphiné, par la société énergie industrielle puis par la Société hydroélectrique de lyon. 1924 - 1934.

  • AD Haute-Savoie : 6 S 188, Prise d'eau dans la rivière du Fier au lieu dit Sous Merluz pour la mise en feu d'une usine hydroélectrique par MM. Jules Barut et Rippert Emile. 1903

  • AD Haute-Savoie : 6 S 264, Communes de Vallières et Sales, le Fier. Construction d'un barrage et établissement d'une dérivation au lieu-dit "Sous Merluz" par MM. Barut Jules et Ripert Emile pétitionnaires. 1903 - 1905.

  • AD Haute-Savoie : 6 S 264, Demande de substitution de la Société de l'Energie industrielle à la Société Hydroélectrique de Lyon dans les concessions de la chute des Portes du Fier et la concession de la chute de Vallières sur la Fier. 1931 - 1932.

Bibliographie

  • CHAMBERT, Descriptif, monumental et industriel de la ville de Lyon et de ses environs. Paris : P.Paris libraire, 1860, 372 p.

    p. 213
  • DAUMAS Jean-Claude, Le capitalisme familial : logiques et trajectoires. Actes des journées d'études de Besançon du 17 janvier 2002. Besançon : Presse Universitaires franc-comtoises, 2004, 172 p.

    p. 127
  • DESJARDINS Bernard, LESCURE MIchel, Le Crédit lyonnais 1836-1986. Genève : Droz S.A, 2003, 461 p.

    p. 474
  • HOSPITALIER Edouard, L'Industrie électrique. In Revue de la science électrique et de ses applications industrielles. Paris : A. Lahure, 1905, n.p.

    p 25 - 28
  • JOLY Hervé, Des barrages, des usines et des hommes. L'industrialisation dans les Alpes du Nord entre ressources locales et apports extérieurs. Etudes offertes au professeur Henri Morsel. In Histoires industrielles. Saint-Martin-d'Hères : PUG coll., 2002, 392 p.

    p. 355
  • MORSEL Henry, Rhône-Alpes, terre d'industries à la Belle Epoque : 1899-1914. Paris : Crédit lyonnais - Le Monde Ed. Association d'économie financière, 1998, 448 p.

    p. 306
  • Société de géographie (Lyon) , Bulletin de la Société de géographie de Lyon. Lyon : Société de géographie de Lyon, 1923, n.p.

  • VUILLERMOT Catherine, Pierre-Marie Durand et l'énergie industrielle : l'histoire d'un groupe électrique, 1906-1945. Paris : CNRS Ed., 2001, 504 p.

    p.229

Documents figurés

  • Cadastre 2011, Conseil général de la Haute-Savoie/ Direction des Affaires Culturelles/ SIG/ BDORTHO® - BDCARTO® - © IGN - copie et reproduction interditesPlan

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Annexes

  • Annexe n°1
Date d'enquête 2011 ; Date(s) de rédaction 2011
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Assemblée des Pays de Savoie