• enquête thématique régionale, Eglises paroissiales du 20e siècle
Ensemble religieux : cité paroissiale Sainte-Trinité
Œuvre monographiée
Copyright
  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Ville de Lyon

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Lyon
  • Commune Lyon 8e
  • Adresse 111 avenue Jean-Mermoz
  • Cadastre 1999 AN 112
  • Dénominations
    ensemble religieux
  • Vocables
    Sainte-Trinité
  • Parties constituantes non étudiées
    salle de spectacle, presbytère, salle paroissiale

HISTORIQUE

En juillet 1955, le cardinal Gerlier, archevêque de Lyon sollicite du maire de la ville, Edouard Herriot, un emplacement afin de fonder une nouvelle paroisse dans le quartier Mermoz dont l'urbanisation est projetée sur le territoire de l'archiprêtré de Saint-Maurice de Monplaisir. Il charge l´abbé Robert Largier, alors vicaire à la paroisse Saint-Martin d´Ainay, de la création de la nouvelle paroisse Sainte-Trinité, le 2 septembre 1958 (AC Lyon. 4M3Cp134, Echo-Liberté, 7/01/1959).

L'abbé Largier loue une villa de cinq pièces, impasse Genton, au directeur d'une ancienne usine de fabrication de bouteille de thermos. Deux salles de catéchisme, une chapelle de quinze personnes, une cuisine et une chambre y sont aménagées (AC Lyon. 4M3Cp134, Echo-Liberté, 7/01/1959).

Les locaux étant exigus, l´abbé Largier se met en quête d´un terrain pour édifier une chapelle provisoire en attendant que celui promis par la municipalité de Lyon soit dans les mains du diocèse. Le terrain, proche du carrefour Mermoz-Pinel, est encore trop excentrique pour y construire une église en attendant que les procédures d´expropriation aboutissent.

Il obtient, le 26 novembre 1958, de l´ancien directeur d´usine la possibilité d´édifier cette chapelle sur le terrain vague, 22 rue Genton, attenant à l'usine.

Les travaux commencent le 8 décembre 1958. L'aide de la paroisse d'Ainay, marraine de celle de Sainte-Trinité, permet l'achat d'un bâtiment métallique préfabriqué. Le journaliste O. Portier écrira dans un article intitulé L´église de la Sainte-Trinité publié le 23/02/1986 que "cette baraque de fer a été le cadeau de départ fait au vicaire d´Ainay" (AC Lyon. 4M3Cp134, Echo-Liberté).

Le 15 décembre, le sol en béton est terminé et la semaine suivante la charpente métallique est montée.

La chapelle provisoire de 120m² est inaugurée lors de la messe de minuit du 24 décembre 1958.

Cette installation va servir pendant cinq ans. En 1961, le journaliste de l'Echo-Liberté, Laurent Forest, en donne la description suivante : "Une baraque de chantier c'est l'église ; un appentis minable et un autocar miséreux sans roues ni moteur, les salles de catéchisme. A l'entrée, une modeste bâtisse sans étage, à usage de bureau, presbytère, patronage, etc... Au premier plan, une pauvre croix métallique au sommet d'une tige de bois, une vénérable cloche monacale (de 1769) posée sur un très rustique campanile, et au niveau du sol, une très belle Vierge à l'Enfant, signée de Fabisch, provenant du Passage de l'Hôtel-Dieu et constamment fleurie par les paroissiens" (AC Lyon. 4M3Cp134, Echo-Liberté, 14/06/1961).

Le 20 novembre 1959, l´abbé Largier proposa à ses fidèles un projet d´église élaboré en collaboration avec son ami, l´architecte lyonnais Pierre Genton. Le programme correspond au programme de construction des églises des années 1955-1965 : simplicité du plan, absence de décor, programme architectural fondé sur le symbolisme. Ce plan est approuvé le 31 mars 1961 par la Commission technique de l'Office diocésain des paroisses nouvelles.

Le 12 novembre 1960, le cardinal Gerlier prend l'ordonnance d'érection de la paroisse Sainte-Trinité, dont les limites sont en partant du sud, l´axe du boulevard Pinel de son croisement avec la rue Laennec à celui de l´avenue Pierre-Millon, puis cette avenue et l´axe de la rue Saint-Priest (avenue du Général-Frère) ; les limites suivent ensuite l´axe de la rue du Professeur-Jean-Pierre-Morat et du chemin de la Plaine (rue Professeur-Joseph-Nicolas) jusqu´au boulevard Ambroise-Paré ; elles se poursuivent par la rue Jean-Marie-Bataille et la rue Laennec jusqu´au boulevard Pinel. Il est à noter que les habitations des deux côtés de l´avenue Pierre-Millon et de la rue Saint-Priest restent à la paroisse de l´Assomption, tandis que celles de la rue du Professeur-Jean-Pierre-Morat, du boulevard Ambroise-Paré, y compris celles de l´impasse Jean-Jaurès, et des rues Jean-Marie-Bataille et Laennec continuent d´appartenir à la paroisse Saint-Alban.

Dans le même temps, le diocèse faisait l'acquisition du terrain nécessaire à la construction de la nouvelle église.

La Société Civile Immobilière de l'avenue Jean-Mermoz, constituée le 26 septembre 1947 entre Pierre-Georges et Lucien-Roger Pitance, et André Fontaine, était propriétaire d'un tènement immobilier situé avenue Jean-Mermoz et chemin de la Plaine. Le 3 juillet 1961, le conseil municipal de Lyon affecte ce tènement augmenté d'un parc contigu appartenant à l'office municipal d'HLM à la construction d'un supermarché et d'une église, et à la création de places publiques. Le 28 décembre 1961 une promesse de vente est signée entre André Fontaine et l'Association diocésaine moyennant la somme de 100 000 francs. La parcelle devait être confinée au nord et à l´est par un jardin public, au sud et à l'ouest par une place publique. Plusieurs actes administratifs étant nécessaires entre la Ville, l'office d´HLM et Louis-Roger Pitance propriétaire suite à la dissolution de la Société Civile Immobilière le 1er octobre 1962, ce n'est que les 15 et 17 novembre 1965 que l'acte définitif de vente est signé entre Louis-Roger Pitance et l'Association diocésaine (source.)

Cependant la construction de l'église a commencé dès le 5 juin 1961. Pour financer le chantier, l'abbé Largier fait appel aux dons (AC Lyon. 4M3Cp134, Echo-Liberté, 26/02/1960), organise des concerts et des manifestations (AC Lyon. Ibid., 14/06/1961) et reçoit une aide régulière des paroisses marraines d'Ainay, de Saint-François et de Sainte-Croix.

La nouvelle église est consacrée en 1963. Elle compte 900 places pour une population de 12 000 habitants.

En 2002, la paroisse Sainte-Trinité est associée à la Mission catholique polonaise de France suite à un réseau de parrainage entre la paroisse Sainte-Trinité et des paroisses polonaises. Le père Schmiech Tadeusz est le premier prêtre polonais officiant à la paroisse. Cette association paroissiale entre les communautés catholiques française et polonaise est également présente à Grenoble et à Ricamarie.

DESCRIPTION

Situation

Le quartier Mermoz se situe à l´est du huitième arrondissement en bordure de Bron à l´est, dont il est séparé par un grand axe, le boulevard Pinel. L´avenue Jean-Mermoz qui le traverse d´ouest en est se prolonge directement à la limite du quartier, à partir du boulevard Pinel, par l´autoroute A 43 vers Lyon-Satolas, Grenoble et Chambéry. Son urbanisation remonte aux années 1960-1967. Il est composé majoritairement d´immeubles de 12 à 15 étages entourés d´îlots pavillonnaires, desservis par un réseau irrégulier de petites rues et d´impasses.

Trois des façades de l´ensemble paroissial sont complètement dégagées : la façade principale au sud ouvre sur la place Marc-Sangnier qui la sépare de l´avenue Jean-Mermoz ; à l´ouest, l´église est longée par la rue du Professeur-Joseph-Nicolas de l´autre côté de laquelle se trouve un parc de stationnement public, tandis qu´à l´est c´est le parc de stationnement des immeubles voisins qui est établi en terrasse (fig. 12, 14 ).

Composition d'ensemble

L´ensemble paroissial, construit sur un plan carré de 36 mètres de côté, compte un seul corps de bâtiment à deux étages dans lequel sont rassemblés l´église paroissiale au niveau supérieur côté est, des salles de catéchisme, de réunion et de spectacle au rez-de-chaussée et au 1er étage, et le logement du desservant dans l´angle nord-ouest (fig. 1-11). Un lanterneau polygonal surplombe l´édifice à l´est (fig. 14). Le bâtiment est longé par un cheminement privé au sud et à l´est (fig. 15, 16), et par un jardin à l´ouest (fig. 17). Un pavement en mosaïque dessine la création du monde le long de la façade est (cf. sous-dossier).

Elévations

Les élévations sont très rythmées : horizontalement une ceinture au-dessus du rez-de-chaussée et la corniche du toit terrasse dessinent deux registres, le rez-de-chaussée et le registre supérieur à deux niveaux ; verticalement des colonnes ou des piliers de béton divisent chaque façade en trois parties (fig. 12, 18).

L´entrée principale de l´église, au sud, est marquée par l´ouverture de l´angle sud-ouest du bâtiment : un campanile métallique est construit en encorbellement sur la ceinture inférieure (fig. 13 ; cf. sous-dossier). Il précède le large escalier ouvert construit dans-oeuvre qui mène à l´église paroissiale.

L´ensemble du bâtiment reste assez compact et peu aéré : les portes du rez-de-chaussée (5 en façade sud) sont discrètes et les ouvertures étroites (fig. 18). En raison d´une légère pente ascendante sud-nord, le rez-de-chaussée de la façade ouest est légèrement enterré ; un escalier droit de quelques marches descend jusqu´à la porte centrale à double battant en métal. Cette façade est également marquée par une loggia au 2e étage de la travée de gauche (fig. 18). Enfin, côté nord, la travée de droite est en partie séparée des 2 autres travées par une entrée en retrait accessible par un degré hors-oeuvre de 4 marches ; les fenêtres du logement sont principalement regroupées aux deux étages de cette travée (fig. 19)

Les élévations sont en béton brut, avec un parement de moellons en bossage rustique pour certaines travées du 2e registre (fig. 12, 18, 20).

Distribution intérieure

- L´église paroissiale

L´église occupe les deux étages du bâtiment, à l´exception de la partie nord-ouest. L´entrée principale se fait au sud-ouest, où une triple et une double porte ouvrent sur un vestibule éclairé par des baies étroites de chaque côté de l´entrée et par une série de fenêtres hautes à vitrail coloré dans le mur ouest (fig. 21-26). Les fonds baptismaux sont placés dans ce vestibule (cf. sous-dossier).

La nef se développe perpendiculairement à ce vestibule afin que le choeur soit orienté à l´est. Le vestibule est séparé de la nef par une sorte de passage couvert supporté par des piliers, permettant d´aménager un confessionnal dans une loge à droite, un passage vers les locaux communs à gauche, et des bureaux au-dessus (fig. 27-31).

La nef est de plan rectangulaire, avec les bancs disposés en U autour de l´autel placé sur une large estrade de 3 marches. Un rang de stalles est disposé le long du mur du choeur.

La nef est éclairée d´une part par de minces baies d´angle, mais surtout par le lanterneau au-dessus du choeur. Un rectangle délimité par des colonnes passe, par un jeu de fausses trompes, à un plan circulaire fermé par un éclairage zénithal à facettes délimitées par un réseau métallique, éclairage appelé le diamant dans les plans de l´architecte.

- Les locaux paroissiaux

Le rez-de-chaussée légèrement enterré est occupé par une salle paroissiale (salle de spectacle) accessible par la porte de la façade ouest et par des escaliers intérieurs. L´estrade est placée contre le mur oriental (fig. 40-41).

Un escalier en équerre à garde-corps métallique conduit à une galerie en U sur les côtés sud, ouest et nord (fig. 43-44).

Un escalier dans-oeuvre en béton mène à l´église et au presbytère.

L´angle nord-ouest du bâtiment est occupé par des salles de catéchisme et des bureaux au rez-de-chaussée et au 1er étage, et par le logement du desservant au 2e étage.

CONCLUSION

La construction de l´ensemble paroissial Sainte-Trinité conçu en commun par l´abbé R. Largier et l´architecte P. Genton est fondée sur la symbolique de l´Apocalypse de saint Jean. Au chapitre 21, la Jérusalem céleste est décrite comme un carré, élément stable, élaboré autour du chiffre 12, les 12 portes de la ville sainte évoquant les 12 tribus d´Israël et les 12 apôtres. L´ensemble paroissial est un carré de 36 m de côté découpé en neuf carrés de 12 m de côté, marqués extérieurement par les piliers et les colonnes de la façade.

L´entrée de l´église forme le 1er carré, large entrée « qui accueille, qui appelle » (abbé Largier). Cette entrée conduit au baptistère, centre du 2e carré, accueil des nouveaux chrétiens. L´axe de la nef est perpendiculaire au baptistère : le chrétien doit « se tourner vers l´autel », et dans son cheminement vers l´autel passer devant la statue de la Vierge, médiatrice vers le Christ. L´autel occupe le carré central contre le mur de chevet ; il est entouré des cinq carrés accueillant les bancs des fidèles, créant ainsi une « atmosphère de participation » (abbé R. Largier). L´autel placé sous l´éclairage zénithal est en pleine lumière. La conception de cet éclairage, à facettes, fait également référence au texte de l´Apocalypse : « La cité de Dieu resplendit autant qu´une pierre précieuse », et s´inscrit dans l´oeuvre de Pierre Genton, caractérisée par l´utilisation des sources de lumière, concentrées dans la toiture (Minard, Claire. Le rôle de la lumière dans l´oeuvre de Pierre Genton).

La décision de créer une paroisse dans le quartier Mermoz en cours d´urbanisation est prise par le cardinal Gerlier, archevêque de Lyon, le 2 septembre 1958. Il nomme l´abbé Robert Largier, curé de la future paroisse. Le culte est d´abord célébré dans un baraquement provisoire. La paroisse de la Sainte-Trinité est érigée le 12 novembre 1960. L´architecte Pierre Genton, ami de Robert Largier, dresse les plans de l´église dont la première pierre est posée le 8 décembre 1961. L´église est consacrée le 21 novembre 1962.

L´église paroissiale de la Sainte-Trinité est édifiée sur un plan carré. Construite en béton armé, elle comporte quatre niveaux avec salles de catéchisme et paroissiale aux niveaux inférieurs et église et presbytère aux niveaux supérieurs.

  • Murs
    • parement
    • béton armé
  • Toits
    ciment amiante en couverture
  • Plans
    plan massé
  • Étages
    2 étages de sous-sol, 1 étage carré
  • Statut de la propriété
    propriété d'une association diocésaine

Documents d'archives

  • Arch. mun. Lyon. 4M 3 Cp 134. Dossier de presse. Echo - La Liberté.

    25 décembre 1958. Première messe à la Chapelle de la Sainte-Trinité
  • A diocésaine Lyon. Fiche signalétique de l'église.

  • A diocésaine Lyon. Correspondance entre le cardinal Gerlier et le président Herriot au sujet d'un terrain pour y construire l'église de la Sainte-Trinité, juillet-août 1959.

  • A diocésaine Lyon. Correspondance entre le cardinal Gerlier et le maire Louis Pradel au sujet du don d'une statue de la Vierge sculptée par Fabisch, février 1959.

  • A diocésaine Lyon. Feuille paroissiale signée par Robert Largier, curé de la Sainte-Trinité, adressée aux paroissiens, 20 novembre 1959.

  • A diocésaine Lyon. Ordonnance d'érection de la paroisse Sainte-Trinité à Lyon, 12 novembre 1960.

  • A diocésaine Lyon. Compte rendu de la réunion de la Commission technique de l'Office diocésain des Paroisses nouvelles, 31 mars 1961.

  • A diocésaine Lyon. Extrait du registre de délibération du conseil d'administration de l'Association diocésaine de Lyon, 22 octobrre 1965.

  • A diocésaine Lyon. Acte de vente d'un terrain par André Fontaine à l'Association diocésaine, 28 décembre 1961.

  • A diocésaine Lyon. Vente par Louis-Roger Pitance à l'Association diocésaine de Lyon, 15 et 17 novembre 1965, acte reçu Permezel, notaire à Lyon

  • A paroissiales Sainte-Trinité, Lyon 8e. Descriptif de l'église, anonyme, s.d.

  • http://sainte.trinite.lyon.free.fr/site : Histoire de la paroisse.

Bibliographie

  • GARDES, Gilbert. Lyon, l'art et la ville. Paris : CNRS, 1988, 2 vol. 188-253 p. : ill., plans, cartes ; 27 cm

    t. 2, p. 174-176
  • JACQUEMIN Louis. Histoire des églises de Lyon. Lyon : Bellier. 1983. 323 p.

  • MINARD Claire. Le rôle de la lumière dans l'oeuvre de Pierre Genton. Lyon, 1996 [Mem. DEA. Univ. Lumière Lyon 2. Histoire de l'art. 1996]

  • MOUSSA, Jean. Eglise de la Sainte-Trinité. Rive-Gauche, n°53, juin 1975

    p. 16-17

Documents figurés

  • Eglise de la Sainte-Trinité. Plan du niveau principal, Robert Largier, novembre 1959 (A êvéché Lyon. Office des paroisses nouvelles Lyon)

  • Eglise de la Sainte-Trinité. Plan des niveaux inférieurs, Robert Largier, novembre 1959 (A. êvéché Lyon. Office des paroisses nouvelles Lyon)

  • Eglise de la Sainte-Trinité. Plan du niveau du culte, Robert Largier, novembre 1959 (A. privées Société acaémique d'architecture de Lyon)

  • Eglise de la Sainte-Trinité. Plan du niveau d'habitation, Robert Largier, novembre 1959 (A. privées Société acaémique d'architecture de Lyon)

  • Eglise de la Sainte-Trinité. Plan des niveaux inférieurs, [Pierre Genton ?], novembre 1959 (A. Office diocésain des paroisses nouvelles, Lyon)

  • Eglise de la Sainte-Trinité. Plan du niveau principal, [Pierre Genton ?], novembre 1959 (AP Office des paroisses nouvelles, Lyon).

  • Eglise de la Sainte-Trinité. Plan du sous-sol. Pierre Genton, février 1961 (A paroissiales Sainte-Trinité Lyon).

  • Eglise de la Sainte-Trinité; Plan du niveau d'habitation. Pierre Genton, février 1961 (A paroissiales Sainte-Trinité Lyon).

  • Eglise de la Sainte-Trinité. Plan du niveau des salles de catéchisme. Pierre Genton, février 1961 (A paroissiales Sainte-Trinité, Lyon 8e).

  • Eglise de la Sainte-Trinité. Plan du niveau du culte. Pierre Genton, février 1961 (AP Société académique d´architecture de Lyon).

  • Eglise de la Sainte-Trinité. Plan du niveau d'habitation. Pierre Genton, février 1961 (A paroissiales Sainte-Trinité, Lyon 8e).

  • Eglise de la Sainte-Trinité; Plan du niveau de la salle paroissiale. Pierre Genton, février 1961 (A paroissiales Sainte-Tinité Lyon).

  • Eglise de la Sainte-Trinité. Plan du lanterneau. Pierre Genton, février 1961 (AP Société académique d´architecture de Lyon).

  • Eglise de la Sainte-Trinité. Plan de couverture. Pierre Genton, février 1961 (AP Société académique d´architecture de Lyon).

  • Eglise de la Sainte-Trinité. Coupes transversale et longitudinale. Pierre Genton, février 1961 (AP Société académique d´architecture de Lyon).

  • Eglise de la Sainte-Trinité. Coupes nord-est et sud-est. Pierre Genton, février 1961 (AP Société académique d´architecture de Lyon).

  • Eglise de la Sainte-Trinité. Coupes nord-ouest et sud-ouest. Pierre Genton, février 1961 (AP Société académique d´architecture de Lyon).

Annexes

  • Annexe n°1
  • Annexe n°2
  • Annexe n°3
Date(s) d'enquête : 2007; Date(s) de rédaction : 2007
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Ville de Lyon
Articulation des dossiers