• inventaire topographique, Inventaire de la Ville de Lyon
Musée Guimet ou musée des Religions puis patinoire dite Palais de Glace puis muséum d'histoire naturelle et musée Guimet, actuellement Muséum
Œuvre monographiée
Copyright
  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Ville de Lyon

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Lyon Urgences
  • Commune Lyon 6e
  • Adresse 28 boulevard des Belges , rue Morellet , rue Lieutenant-Colonel-Prévost , rue Boileau
  • Cadastre 1999 AI 55
  • Dénominations
    musée, patinoire
  • Appellations
    musée Guimet ou musée des Religions puis Palais de Glace, puis muséum d'histoire naturelle
  • Destinations
    musée
  • Parties constituantes non étudiées
    brasserie, théâtre, jardin d'hiver, cheminée d'usine

En 1876, Émile Guimet, fils de Jean-Baptiste Guimet inventeur du bleu outremer artificiel, et lui-même industriel, ingénieur, chimiste, philanthrope, musicien, passionné d'archéologie, de philosophie et d'histoire des religions, se rend, en compagnie du peintre Félix Régamey, aux États-Unis, au Japon, en Chine, en Indochine, à Ceylan, en Inde. Le voyage dure une dizaine de mois. Au cours de ce périple, Émile Guimet prévoit de créer à Lyon dès son retour une véritable institution de recherche et de formation sur les religions et principalement sur celles d'Extrême-Orient. Il désire fonder dans un même lieu un musée, une bibliothèque et une école de langues, grâce aux objets qu'il rapporte, achats ou dons, et avec l'aide de plusieurs religieux rencontrés en Asie prêts à venir à Lyon partager leurs connaissances. Il insiste davantage sur l'aspect scientifique de son institution que sur son aspect artistique. Il profite de l'Exposition universelle de 1878 à Paris pour exposer dans deux salles du Trocadéro des objets rapportés de son voyage et des tableaux de Félix Régamey ; il commence à mettre en œuvre ses idées sur la muséographie ; le musée ethnographique de Copenhague sert de modèle à Guimet. La construction de son musée des Religions réunissant "sous un même toit tous les dieux de l'humanité" est sans doute effectuée durant l'été 1878 sur les plans de Jules Chatron (1831-1884), les sculptures étant dues à L. Pascal, et sur un terrain acheté aux Hospices civils de Lyon. Les travaux sont arrêtés en novembre : la rotonde et l'aile sur le boulevard des Belges sont réalisées, l'aile sur la rue Boileau étant simplement fondée pour des raisons financières. Le 30 septembre 1879, Jules Ferry, ministre de l'Instruction publique, et le directeur de l'Enseignement supérieur, inaugurent le musée à Lyon. Si les premières esquisses révèlent un goût pour les chinoiseries, la réalisation adopte plutôt un style néoclassique. Aux premier et deuxième étages de la rotonde se trouvait la bibliothèque dont Guimet avait souligné l'importance. La paroi aveugle du troisième étage de la rotonde était ornée d'un diorama peint en trompe-l’œil. L'institution édite de nombreuses publications visant autant les spécialistes qu'un public plus large. Dès 1882, Guimet craint de voir son œuvre péricliter en province à cause du manque de visiteurs et de chercheurs, de difficultés financières et de problèmes avec la mairie de Lyon ; en outre, l'école doit fermer ses portes faute d'étudiants. Avec un vocabulaire d'entrepreneur, Guimet expliquera : "J'avais fait une sorte d'usine scientifique et je me trouvais loin de la matière première et loin de la consommation." Il entre en contact avec l'administration de la Ville de Paris et le ministère de l'Instruction publique pour un transfert éventuel du musée à Paris. En avril 1897, le musée de Lyon est mis en vente volontaire aux enchères publiques : aucune transaction ne se fait. Il est loué à messieurs Rambaud, Gallaud et Guy, qui y construisent une patinoire, un théâtre et une brasserie, puis à la Société frigorifique de Lyon en 1899 qui l'acquiert en 1901. Depuis la brasserie du Palais de Glace, on aperçoit à la fois le boulevard et les patineurs. Une fabrique de glace alimentaire y trouve également sa place ; l'ensemble est baptisé en 1904 Casino des Sports. Le premier club lyonnais de hockey sur glace, le Sporting club de Lyon y est fondé. Comble du luxe, la patinoire est associée à un palmarium. Dès 1909, l'affaire périclite. La Ville de Lyon acquiert l'ensemble pour y transférer les collections du muséum d'histoire naturelle (cf annexe) auquel est associé le nouveau musée Guimet. Les travaux de transformation nécessaires à l'implantation du muséum sont réalisés sur les plans dressés en 1911 par l'architecte lyonnais Tony Blein (domicilié 74 cours de la Liberté), élève de Chatron. L'édifice agrandi est inauguré en mai 1913. Émile Guimet y présente une partie de ses collections dans les salles construites en 1878. La galerie de l'ex-patinoire est élargie pour faire place aux grandes vitrines du musée Saint-Pierre où se trouvaient les collections du muséum d'Histoire naturelle. La cheminée d'usine liée aux installations frigorifiques est détruite en 1913.

Toujours propriété de la Ville de Lyon, le bâtiment est géré depuis 1991 par le Conseil général du Rhône.

En cas de réhabilitation ou de changement de fonction de l'édifice, il serait souhaitable de conserver les façades (éléments sculptés compris) de la rotonde, de la rue Morellet et de la cage d'escalier ainsi que le châssis de tympan de la porte secondaire ouvrant sur la rue Boileau ; à l'intérieur, il faudrait également conserver la rotonde et la cage d'escalier dans leur ensemble, les consoles ornées de masques féminins, cloches, lyres et grelots de la grande salle de l'aile Guimet (premier étage carré), la salle Géologie et son entrée située dans le prolongement de l'aile Guimet, le volume et la verrière de la grande salle (ancienne patinoire) ainsi que le garde-corps de sa galerie, enfin le revêtement de sol en mosaïque situé entre la grande salle et l'escalier, et le tableau des donateurs orné d'hippocampes qui se trouve à proximité (cf dossier Palissy).

Le musée Guimet de Paris, quant à lui, est volontairement conçu comme une copie de celui de Lyon. Le terrain sis place d'Iéna permet une configuration en triangle. Jules Chatron étant décédé, le projet est confié à l'architecte parisien Charles Terrier qui connaissait l’œuvre de Jules Chatron et d’Émile Guimet. Les travaux commencent en janvier 1886, les ouvriers ainsi que tout le personnel sont lyonnais et les matériaux proviennent de la région lyonnaise. Le musée est inauguré le 20 novembre 1889. Il ne reste aujourd'hui de cet édifice que la rotonde : les premier et deuxième étages où se trouve la bibliothèque sont bien conservés avec caryatides et parquet alors que le rez-de-chaussée a été assez transformé. La rotonde et la bibliothèque sont classés au titre des Monuments historiques depuis 1979.

En 1876, Émile Guimet, industriel, envisage, à la suite d’un long voyage en Asie, de créer à Lyon une institution (musée, bibliothèque et école de langues) axée sur l’étude des religions d'Extrême-Orient. La construction de son musée des Religions débute au cours de l'été 1878, sur les plans de Jules Chatron. Il est inauguré le 30 septembre 1879 par Jules Ferry, ministre de l'Instruction publique. Dès 1882, Émile Guimet qui craint de voir le musée péricliter, envisage son transfert à Paris. Les travaux commencent en janvier 1886, sur un projet de l'architecte Charles Terrier. Il est volontairement conçu comme une copie de celui de Lyon. Le musée est inauguré le 20 novembre 1889. En avril 1897, le musée de Lyon est mis en vente sans succès. Il est acquis en 1901 par la Société frigorifique de Lyon ; diverses activités utilisent le site jusqu’en 1909. La Ville de Lyon achète alors le bâtiment pour y transférer les collections du muséum d'histoire naturelle et le nouveau musée Guimet. Les travaux de transformation sont réalisés sur les plans dressés en 1911 par l’architecte Tony Blein, élève de Chatron. L'édifice, agrandi, est inauguré en mai 1913. Fermé définitivement le 2 juillet 2007, les collections ont été transférées au musée des Confluences en décembre 2014.

Les différents corps de bâtiment sont construits sur un terrain triangulaire, ils sont agencés autour d'une cour centrale, couverte d'une verrière après la construction de la patinoire ; une rotonde, placée à l'angle le plus visible depuis le boulevard des Belges, constitue le pivot de l'édifice. L'aile Guimet s'élève sur un rez-de-chaussée surélevé et deux étages carrés, elle est couverte de toits à longs pans en tuiles plates mécaniques aux pignons découverts. La rotonde s'élève sur 3 étages carrés (le dernier étant surnommé la coupole) et porte un dôme en zinc ; le rez-de-chaussée, les premier et deuxième étages carrés sont ornés d'un péristyle interne, le troisième étage est orné d'un péristyle externe. La cage d'escalier est couverte d'un toit à longs pans et croupe en cuivre. Le corps de bâtiment abritant la patinoire est couverte de toits à longs pans et croupes en tuiles plates mécaniques, la verrière étant protégée par une série de trois toits à longs pans parallèles construite dans les années 1960 à la suite de la dégradation du ciel vitré par la grêle le 27 août 1955. Les rez-de-chaussée et la rotonde sont en pierre de taille. La première volée de l'escalier est droite ; la rampe est en fonte de fer, elle est identique à celle qui se trouve dans la maison sise 53 boulevard des Brotteaux à Lyon dans le 6e arrondissement. La verrière de la patinoire n'est soutenue par aucun pilier malgré sa surface importante : elle est suspendue à la charpente métallique. En 1882, des supports en fonte sont ajoutés dans la galerie du rez-de-chaussée de l'aile Guimet pour soutenir le plafond. monogramme : MG sur la rotonde ; inscription : PALAIS DE GLACE, SKATING THEATRE sur le corps de porche, élévation sur la rue Morellet

  • Murs
    • calcaire
    • calcaire
    • bossage
    • enduit
    • pierre de taille
    • moellon
  • Toits
    tuile plate mécanique, zinc en couverture
  • Plans
    rotonde
  • Étages
    sous-sol, rez-de-chaussée surélevé, 2 étages carrés
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit à longs pans
    • dôme
    • toit à longs pans
    • pignon découvert
    • croupe
  • Escaliers
    • escalier hors-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie, suspendu
  • État de conservation
    bon état
  • Techniques
    • sculpture
    • ferronnerie
  • Représentations
    • colonne
    • pilastre
    • ordres superposés
    • fronton
    • balustre
    • laurier
    • guirlande
    • palmette
    • nénuphar
    • lierre
    • feuille d'eau
    • femme
    • buste
    • griffon
    • mufle de lion
  • Précision représentations

    sculpture : élévations rotonde et aile Guimet, corps de porche : colonnes cannelées du bas et rudentées au premier tiers, griffons en acrotère, buste de femme couronnée d'une auréole aux pointes rayonnantes allégorie de la religion dans le fronton, en pendant mufles de lion tenant dans leur gueule un anneau auquel est suspendu par une corde un cartouche muet orné d'enroulements de 2 types de feuilles d'eau, d'une guirlande de laurier, de fleurs de lotus fermé ?, consoles ornées d'enroulements feuillagés, de fleurs stylisées, de fleurs de lotus, de lierre, et d'un ruban ; la corniche de la cage d'escalier est ornée de palmettes en zinc ou plomb estampé et partiellement peint. A l'intérieur, 2 mufles de lion ornent l'entrée de la salle consacrée à la géologie ; ferronnerie : chimère en fer forgé au-dessus de l'entrée de la rotonde, rampe de l'escalier en fonte de fer ornée de fleurs stylisées, d'enroulements et d'effets de lignes, garde-corps de la galerie de la patinoire, châssis de tympan de la porte ouvrant sur la rue Boileau.

  • Statut de la propriété
    propriété de la commune
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    élévation, escalier, console, verrière en couverture

Documents d'archives

  • AC Lyon. 419 WP 051.

    AC Lyon : 419WP051
  • AC Lyon. 475 WP 033.

    AC Lyon : 475WP033
  • AC Lyon. 480 WP 048. Bâtiments communaux : baux, devis, délibérations, arrêtés, correspondance, plans. 1793-1930

    AC Lyon : 480WP048
  • AC Lyon. 475 WP 34. MUSEE : Muséum d'Histoire naturelle, Musée Guimet, Rue Montbernard : acquisition du Palais de Glace par la Ville, installation au Palais de Glace, décoration en staff et stuc, aménagement de la galerie, installation de vitrines, travaux de charpente et de serrurerie, agrandissement des galeries, paiement des entrepreneurs, logements des gardiens, chauffage, éclairage, réparation du sol de la terrasse, remboursement de cautionnement : correspondance, délibérations, soumissions, décrets, devis, rapports, plans, affiches, arrêtés, procès-verbal de réception provisoire pour l'installation des vitrines, mémoires, cahiers des charges, récépissés de versement du Mont de Piété, échantillons de tissu, procès-verbaux d'adjudication. 1909-1924

    AC Lyon : 475 WP 34
  • AC Lyon. 955 WP 001 - 3. Achèvement du muséum, approbation du projet et adjudication

    AC Lyon : 955 WP 001
  • AC Lyon. 855 WP 002. Musée Guimet : construction, aménagement. 1972-1979

    AC Lyon : 855WP002
  • AC Lyon. 148 Wp 2, Musées, Ministère de l’Education nationale. Arts et lettres. Direction des Musées de France.

    AC Lyon : 148 Wp 2

Bibliographie

  • ANDRE, Gaspard. L´oeuvre de Gaspard André. Lyon : A. Storck et Cie, imprimeurs-éditeurs, 1898, Fontaine de la place des Jacobins, pp. 15-44, pl. 18-20.

    p. 30, note 3
  • BAPTISTE, Pierre, BAPTISTE, Wincka. Projet et architecture. In Les itinéraires d'Emile Guimet. Suilly-la-Tour, Ed. Findakly, 2001, 157 p., 27 cm

  • CHAPPUIS, Françoise, MACOUIN, Francis (sous la direction de). D'outremer et d'Orient mystique ... Les itinéraires d'Emile Guimet. Suilly-la-Tour, Ed. Findakly, 2001, 157 p., 27 cm

  • CHAPPUIS, Françoise. Emile Guimet et la musique. In CHAPPUIS, Françoise, MACOUIN, Francis (sous la direction de). D’outremer et d’Orient mystique … Les itinéraires d’Emile Guimet. Suilly-la-Tour, Ed. Findakly, 2001

  • DAVID, Louis. Histoire du musée, 1772-1982. Lyon, ARPPAM, 1982, 55 p.

    p. 55
  • DAVID, Louis. Histoire du muséum de Lyon. Lyon, ARPPAM, 1992, 96 p.

    p. 96
  • FAYOLLE, Benoît. Le livre du musée Guimet de Lyon. Paris, Lyon, E. Vitte, 1958,

    p. 258
  • GALLIANO, Geneviève (dir). Un jour, j'achetai une momie. Emile Guimet et l'Egypte antique. Catalogue d'exposition, Musée des Beaux-Arts de Lyon, Editions Hazan, 2012

  • GUIMET, Emile. Préface in Le Jubilé du Musée Guimet, vingt-cinquième anniversaire de sa fondation 1879-1904. Paris, Ernest Leroux éditeur, 28 rue Bonaparte 28, 1904. AC Lyon. 1 C 1589.

    AC Lyon : 1 C 1589
  • LAVIGNE, Maryannick. Fleurieu-sur-Saône. Département du Rhône. Préinventaire du Rhône n° 25. 1996

  • LAVIGNE, Maryannick. Neuville-sur-Saône. Département du Rhône. Préinventaire du Rhône n° 11. 2001

  • PRUDHOMME, Claude. Emile Guimet et les nouvelles approches des religions dans la France de son temps. In Galliano, Geneviève (dir). Un jour, j’achetai une momie. Emile Guimet et l’Egypte antique. Catalogue d’exposition, Musée des Beaux-Arts de Lyon, Editions Hazan, 2012

  • SELLE, Hélène de la. Cafés et brasseries de Lyon. Italie, Campomorone-Gênes, Editions Jeanne Laffitte, 1986, 167 p

    p. 110
  • VANARIO, Maurice. Les rues de Lyon à travers les siècles (XIVe au XXe). Lyon : Editions lyonnaises d'art et d'histoire, 1990

  • Du Muséum au pôle Sciences et Sociétés [en ligne]. Lyon : Conseil général du Rhône, 2005 [mise à jour du mercredi 5 janvier 2005]. Accès Internet : <URL : http://www.museum-lyon.org/museum_presentation/museum_today.htm>

Périodiques

  • AC Lyon. 3 C 333. M. Chatron. Le Courrier de Lyon, 30 juin 1884

    AC Lyon : 3 C 333
  • BELLE, Véronique. « Les tribulations d’un musée à Lyon », Les carnets de l’Inventaire : études sur le patrimoine – Région Rhône-Alpes [en ligne], 19 décembre 2013 [consulté le 22 avril 2014] URL : http://inventaire-rra.hypotheses.org/2248

Documents figurés

  • AC Lyon. 955 WP 001 3. Edifices communaux : Muséum d'histoire naturelle, musée Guimet, musée colonial : installation dans les locaux du Palais des Glaces, travaux d'aménagement : rapports, correspondance, marchés publics, arrêtés,plans, affiches, pièces comptables. 1912-1929

    AC Lyon : 955 WP 001 3
  • AC Lyon. 1480 WP. Plans

    AC Lyon : 1480WP
  • Dossier de plans : projet de transformation du Palais de Glace pour l'aménagement des Muséums de la Ville et du Musée Guimet ; Tony Blein architecte, C. Clermont entrepreneur, 1911-1913 ; J. Berthon 1924 (AC Lyon : 515 WP 6)

Annexes

  • Pour citer ce dossier :
  • Historique consultable sous http://www.museum-lyon.org/museum_presentation/museum_today.htm
  • ANDRE, Gaspard. L´oeuvre de Gaspard André. Fontaine de la place des Jacobins,
  • AC Lyon. 475 Wp 34. Bickert, Armand. Rapport sur le « Palais de Glace ». Lyon, 16 avril 1909.
  • Rapport sur les immeubles du PALAIS de GLACE par Messieurs G. RAMBAUD & Eug. GRENOUILLET, Architectes experts, 8 juin 1909
  • Courrier du sculpteur A. Roche à l'architecte Tony Blein, 27 février 1913, AC Lyon, 475 WP 34
  • Lettre de A. Roche, sculpteur décorateur, au maire de Lyon, 8 novembre 1926
Date(s) d'enquête : 2004; Date(s) de rédaction : 2004
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Ville de Lyon
Articulation des dossiers