Dossier d’aire d’étude IA42001491 | Réalisé par
Guibaud Caroline
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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  • inventaire topographique
Présentation de la commune de Verrières-en-Forez
Copyright
  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

  • Aires d'études
    Montbrison
  • Adresse
    • Commune : Verrières-en-Forez

Quelques vestiges archéologiques attestent de l´occupation ancienne de la commune de verrières. Des fragments de céramique, une statuette en bronze et des monnaies du Haut-Empire sont signalées au lieu-dit du Mas (CAG, p. 234) ; aux Everts (entre le bourg et Phialay) et sur le bord d´une ancienne voie au sud de Prassourroux, des tuiles à rebords (gallo-romaines ?) y ont été repérées (Forez Pittoresque, 1889). Au tournant des 12e et 13e siècles, la province de Forez est administrée par les comtes de Forez de la deuxième race, et Guy IV (1196 - 1241) entame la construction de la collégiale Notre-Dame de Montbrison et l´occupation progressive du territoire s´effectue. Dans son dictionnaire topographique du Forez, dans lequel l´ensemble des hameaux et maisons citées dans les différents textes anciens sont pointées, Dufour signale l´existence aux 13e et 14e siècles des hameaux de Soleillant, du Poizat, du Pin, de Péragut, de Conolet d´autres encore à la même période ou aux siècles suivants (cf annexe n°2). Mais seules quelques maisons, et de nombreux remplois, du 15e siècle et 16e siècles, (pour les plus anciennes) ont pu être étudiées. Le village de Verrières, d´après les mêmes sources, est cité dès 984 dans un cartulaire Lyonnais ; et on y apprend que l´église de Verrières, dédiée à la sainte Vierge, fait partie des possessions de l´église de Lyon. Cette église, entièrement reconstruite dans la première moitié du 16e siècle, a, au milieu du 17e siècle, le double vocable de Notre-Dame et saint Ennemond. Plus tard, dès les années 1830, plusieurs travaux affectent l´église, sans beaucoup de conséquence architecturale (Cf dossier Église paroissiale Saint-Ennemond, réf. IA42001492). Au 13e siècle, deux châteaux sont implantés aux abords du chef-lieu de commune ; le Soleillant et Beauvoir. Du premier, les renseignements sont peu abondants sur les premiers seigneurs du dit domaine. En 1250, Guillaume du Soleillant, prêtre et chapelain du comte de Forez Guy V, se trouve en Orient, puis un certain Johannes del Soloylland, en 1320 (AD Loire, B 1853, f°37), est cité par Dufour. Par la suite, d´autres personnages se retrouvent dans la mouvance des comtes de Forez, laissant à penser que le fief du Soleillant ait pu avoir une certaine importance. La maison du Soleillant fut généreuse envers le couvent de Saint-Thomas (commune de Saint-Thomas-la-Garde), car pas moins de cinq filles de cette famille y vécurent de la fin du XIVe siècle à la fin du XVe siècle. Au cours des siècles le domaine passe entre les mains d´autres familles, et plusieurs actes de ventes en donnent quelques éléments architecturaux. Il finira au début du 19e siècle entre les mains du curé Perrier de Verrières qui y fondera un séminaire de 1809 à 1919, dernière date à laquelle il est transféré au nord de l´église, où de nouveaux bâtiments, construits en partie avec les matériaux du château (dont la chapelle), attendent les étudiants. (cf dossier du Château du Soleillant, réf. IA42002510). Du second château, il reste peu d´éléments architecturaux notoires, tout au plus les ruines d´une tour défensive, et quelques ouvertures du 15e siècle (cf dossier Maison forte dite Château de Beauvoir, réf. IA42002552). Chatard d´Ecotay, seigneur de Beauvoir, obtint en 1330, du comte de Forez, que les habitants des villages voisins d´Arpheuil, Cordalieu, Durbise, soient tenus de moudre leur grain au moulin dudit seigneur, à Beauvoir. Vers 1450 Beauvoir appartenait à Antoine de Rochefort-Beauvoir. En 1647, Beauvoir n´appartient plus à la famille qui l´avait fait reconstruire deux siècles auparavant, car à cette date, Jean de la Roue, d´une vieille famille d´Auvergne qui portait fascé d´or et d´azur de six pièces, le vend à Christophe Talaru, baron d´Ecotay. Dès lors l´histoire de Beauvoir se confond un temps avec celle de la baronnie ; la vieille demeure passera, comme elle, aux Hérail de la Roue, aux Saint-Martin d´Aglié de Rivarol, et enfin aux de Meaux qui la possèdent encore au milieu du 20e siècle. A la fin de l´Ancien régime, Verrières était : village et grande paroisse en Forez, archiprêtré, élection et du ressort du baillages de Montbrison, justice d´Ecotay et de Beauvoir. Le chapitre de Montbrison était décimateur pour une partie et le curé de Verrières pour l´autre. MM. Les Chanoines-Comtes de Lyon nommaient à la cure, mais, en 1775, M. le prieur de Saint-Romain-le-Puy est désigné comme ayant ce droit (?) et 600 communiants sont dénombrés (Vachet, 1899). L´étude du cadastre dit napoléonien de 1809 et de ses matrices, apporte beaucoup de renseignements sur l´implantation de l´habitat, la gestion agricole du territoire, la présence de moulins, de fermes d´estive, mais également sur la nature des propriétaires terriens et l´identification des grands domaines (Soleillant) et grands propriétaires (Cf annexe n°1 Matrices cadastrales). Ainsi si de nombreux hameaux sont dénombrés (25), beaucoup d´entre eux ne sont constitués que de deux ou trois fermes compactes ; les autres, plus importants ont une disposition assez variée : étirée pour les hameaux de Plenet, Condamine, Péragut ; dispersée pour Conol et Arpheuil ; compacte pour les Poizats, et regroupée autour d´un espace central pour Chazelettes. Le village de Verrières ne possède que 28 parcelles construites, sans compter l´église. Peu de constructions isolées sont à signaler, hormis quelques granges, plusieurs moulins (au nombre de 18, cf Dossier thématique Moulins, réf. IA42001301), et 10 ou 13 jasseries (cf dossier thématique Fermes, réf. IA42001297), certains bâtiments ont l´appellation jasserie ou grange dans les matrices cadastrales, et la plupart sont signalées comme étant des jasseries sur le plan cadastral. On peut également pointer la présence, dans ces territoires des Hautes Chaumes, d´un certain nombre de communaux (Communaux de Robert, Conol, Bruyères). Enfin si la superficie du territoire est en 1809 de 2087ha. 68ca. 74a, la proportion des terres est de 36%, des bois de 21%, des prés de 17%, des pâtures de 9%, des bruyères de 6%, tandis que la vigne, avec ses 20 parcelles n´occupe qu´1ha. 87ca. 94a. L´altitude élevé du territoire explique la faible présence de vigne et, au contraire, l´importance du nombre d´habitants de la commune qui sont propriétaires de vignobles sur les coteaux du Forez (cf dossier Cabanes de vigneron, dites loges de vigne, et édifices agricoles, dits cuvages, réf. IA42001299). Au 19e siècle la démographie croît assez considérablement dans le Forez (Epinat, J., 1929) mais reste modeste sur la commune, assez peu enclin à bénéficier des avancées techniques dans l´agriculture et l´industrie, de part son isolement des rapides voies de communication et de la géographie de son territoire (1806 : 928 habitants, 1820 : 1006 hts, 1876 : 1332 hts, 1881 : 1365 hts, 1901 : 1255 hts, 1921 : 988 hts, 1954 : 710 hts, 1999 : 540 hts, 2010 : 626 hts). C´est pourtant à cette période que la majorité des fermes va se construire, ou que les anciennes vont se transformer. Il en sera ainsi du village de Verrières qui bénéficiera de la création, dès le début du 19e siècle, du petit séminaire et qui se transformera sensiblement autour de cette institution, jusqu´à ces années, avec l´implantation du lycée technique du Haut-Forez (cf dossier Village de Verrières-en-Forez, réf. IA42002628). En 1985 la majorité des verriériens vit de l´agriculture : une cinquantaine d´exploitations pratiquent une polyculture axée plus particulièrement sur les céréales destinées à l´élevage (bovins : 730 têtes, ovins : plus de 430 ; caprins : environ une centaine). A cette période il existe également deux importantes porcheries. Cependant, si agriculteurs et artisans constituent le gros d´une population qui a gardé quelques traditions : il existe encore dans le village un maréchal-ferrant, et la dernière paire de boeufs a disparu en 1980. L´activité artisanale s´est toujours plus ou moins bien maintenue : 3 maçons, un plâtrier-peintre, 2 plombiers, le maréchal-ferrant, un serrurier, un artisan mécanicien, un charpentier-menuisier. Les commerçants : une épicerie, une boulangerie et 3 cafés dans le bourg et 2 à la Feuillat. (Grande encyclopédie du Forez, pp. 167 à 171 (1985)). Aujourd´hui, il ne reste au bourg qu´une boulangerie, un garage et un café ; la colonie de vacances est encore fonctionnelle et le lycée est toujours aussi prégnant. Plusieurs gîtes proposent un hébergement touristique dont l´auberge rurale du hameau de Conol, la première qui se soit implantée sur la commune dès les années 1960.

La commune, et ses 2117 hectares, s´élèvent en pente relativement douce d´est en ouest sur une distance de 6,5 km en démarrant à une altitude de 605 m. en limite de la commune d´Ecotay-l´Olme et culminant à une altitude haute de 1264 m. au lieu-dit la Charrière à l´ouest de la commune. A cette altitude, le massif granitique, érodé par les glaciers et surélevé au tertiaire, appartient aux sommets arrondis des monts du Forez. Cette zone correspond aux hautes chaumes, paysage ouvert, formé de landes, de prairies et de tourbières, d´un grand intérêt floristique et faunistique, façonné par l´activité pastorale. La montagne est d´abord pâturée collectivement, avec la présence de communaux, puis les propriétaires des troupeaux s´en approprient les parcelles où ils implantent une jasserie, étable et fromagerie d´estive (cf dossier thématique Fermes, réf. IA42001297). Ces pâturages sont entourés de forêts de hêtres et de résineux, mais aussi de sombres plantations d´épicéas qui se multiplient dans les années 1970. L´habitat permanent commence autour de 1000 m d´altitude avec le hameau du Pin. Le village de Verrières à 830 m. d´altitude, est le chef-lieu de la commune de moyenne montagne qui présente de très nombreux hameaux (plus de 25, sans compter les fermes isolées), dispersés dans le relief accidenté de ce « pays coupé ». Les prairies sèches ou humides (les sagnes) alternent avec des champs implantés sur les pentes les moins fortes, au milieu d´un lacis de ruisseaux et de coursières bordées de murets. Les pics les plus raides sont plantés de pins sylvestres, ou pinateaux, souvent taillés de façon à fournir du bois de chauffe (on les appelle aussi pins de boulange, en raison de leur utilisation dans les fours à pain). Au-dessous de 600 m d´altitude, on entre dans une zone de moins en moins boisée, sur les pentes de laquelle on cultive la vigne depuis un millénaire, ce qui n´est donc pas le cas pour Verrières dont les habitants ont achetés leur parcelle de vigne sur les communes de Lézigneux. La commune de Verrières est située en bordure de la région Auvergne dont elle est limitrophe à l´ouest ; elle est encadrée au nord par la commune de Bard, à l´est par celle d´Ecotay-l´Olme et de Lézigneux et au sud par Chazelles-sur-lavieu. Deux départementales traversent la commune, la première, la D.44 est d´orientation nord-sud, la seconde, la D. 496, d´est en ouest relie Lyon à Ambert ; enfin un important réseau de chemins communaux irrigue à son tour l´ensemble du territoire. Une rivière principale traverse d´ouest en est le paysage, la Vidrésonne naît dans les hautes chaumes avant de se jeter dans la rivière de Curraize (commune de Saint-Thomas-la-Garde). Le long de cette rivière et des nombreux autres ruisseaux, de nombreux petits moulins ont trouvé leur place au cours des décennies, il n´en reste plus en état de fonctionnement, et tous ont majoritairement disparu. De nombreuses croix parsèment l´ensemble du Forez, et la commune de verrières n´est pas en défaut puisque pas moins de 43 croix sont dispersées sur le territoire, plusieurs sont du 16e siècles comme les deux de Conol, celles de Phialet-Est ou Prassouroux, ou encore celle qui porte les armes de Beauvoir-Rochefort qui date des années 1530 - 1540 et qui se trouve à proximité du château du même nom. L´habitat caractéristique des monts et coteaux du Forez est celui de propriétaires-cultivateurs, pratiquant une polyculture vivrière et élevant quelques vaches. Hommes et bêtes occupent le même corps de bâtiment, divisé en deux parties perpendiculairement au mur gouttereau. Le logis de la petite ferme comprend alors, au rez-de-chaussée, une cuisine ouverte en façade par une porte et une fenêtre, avec une cheminée dans laquelle donne la bouche du four à pain (on discerne parfois le massif du four contre le pignon) ; sur l´arrière se trouve une pièce moins profonde, salle ou chambre. Un escalier droit en bois conduit aux deux chambres de l´étage. À gauche, la grande porte cochère correspond à la grange ; en contrebas se trouve l´étable surmontée d´un fenil. La grange est souvent située au-dessus de l´étable : elle est accessible directement par le revers du bâtiment, grâce à la déclivité du terrain et à une rampe ou montoir ; sur la façade principale, elle se signale par la porte d´aération de l´aire à battre, au-dessus de celle de l´étable. On trouve ce type de ferme à toutes les époques et dans tous les gabarits, la taille des bâtiments variant en fonction de celle de l´exploitation. Au XIXe siècle, dans les fermes de quelque importance, la séparation des hommes et des bêtes se fait plus distincte. Le logis prend de l´ampleur ; il est conçu comme un corps de bâtiment à part entière, avec un toit à croupes. La grange-étable est souvent construite en retour, formant l´angle d´une cour de plan irrégulier, fermée par de petites dépendances annexes. Les encadrements en briques et l´enduit à pierres vues décoré de lignes d´assises continues sont typiques du début du XXe siècle.

Documents d'archives

  • AC Verrières-en-Forez. Registres de délibérations du conseil municipal du 18 octobre 1868 au 5 juin 1887 et du 1er mai 1887 au 1er novembre 1906.Délibérations concernant l'administration forestière. 26 novembre 1871 : garde forestier chargé de surveiller le reboisement effectué dans la commune en 1866, 67 et 68, avec une subvention de l´Etat, dans les hameaux de Robert, Conol et la Bruyère (communal de la Charrière et de la Montagne). 24 décembre 1871 : l´administration forestière (du département ?) propose de reboiser 3 ha à la Charrière (montagne). La commune ne veut pas étendre le reboisement et propose d´utiliser la somme prévue pour replanter ce qui n´a pas pris lors du dernier reboisement. 1890. Communal de Phialet : 5 ayant-droit 28 septembre 1890 : l´inspecteur des forêts autorise l´assiette d´une coupe de bois à Charrière, à faire par un entrepreneur choisi parmi les ayant-droit (hameaux de Robert, Conol et la Bruyère) : on nomme Jean-Marie Montet de Robert. Il y a encore des campagnes de coupe et reboisement au début des années 1930. 1er juillet 1900 : projet de loi de la commission des améliorations agricoles et forestière qui propose d´étendre aux pâturages communaux le système d´affouage utilisé sur les bois communaux. « Le principal mode de jouissance des bois communaux consiste dans la coupe des bois dits d´affouage, les produits de cette coupe sont distribués en nature et le partage se fait à part égale et par feu, c´est à dire par chaque chef de maison ou de famille domicilié sur la commune ». L´affouage des pâturages donnerait à chaque chef de maison un droit égal de jouissance de ces pâturages et la possibilité de revendre ce droit à un habitant de la commune. Refus.

Bibliographie

  • EPINAT, J. Le mouvement de la population dans l´arrondissement de Montbrison, de 1821 à 1926. In Revue de géographie alpine. 1929, Tome 17 N°4. pp. 659-746.

  • BERNARD, Louis. Les croix monumentales du Forez. Saint-Etienne : Conseil Général de la Loire, 1971

    pp. 56, 70, 76, 86, 99, 116, 117, 120, 169, 203
  • DUFOUR, J.-E. Dictionnaire topographique du Forez et des paroisses du Lyonnais et du Beaujolais formant le département de la Loire. Mâcon : imprimerie Protat frères, 1946.

  • GARDES, Gilbert (dir.). Grande encyclopédie du Forez et des communes de la Loire. T. 4. Montbrison et sa région. Le Coteau : Horvath, 1985

    p. 297, 298
  • LAVENDHOMME, Marie-Odile. Carte archéologique de la Gaule 42 - La Loire Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 1997

    p. 234.
  • SALOMON, Emile. Les châteaux historiques : manoirs, maisons fortes, gentilhommières, anciens fiefs du Forez et des enclaves du Lyonnais, du Beaujolais et du Macônnais qui ont formé le département de la Loire ; ill. par le Vicomte Gaston de Jourda de Vaux et Henry Gonnard. Réimpression de l'édition de Hennebont de 1916, 1922, 1926. Marseille : Laffitte, 1979. 3 Vol. (446-464-361 p.) : ill.; 30 cm

    p.38, 39, 40.
  • THIOLLIER, Félix. Le Forez pittoresque et monumental, histoire et description du département de la Loire et de ses confins, ouvrage illustré de 980 gravures ou eaux-fortes, publié sous les auspices de la Diana... Lyon : Imprimerie A. Waltener, 1889 (2 vol.)

    p. 297, 298
  • VACHET, Adolphe (abbé). Les paroisses du diocèse de Lyon : archives et antiquités. Abbaye de Lérins ; Imprimerie M. Bernard,1899. 752 p. ; 27,5 cm.

    p. 498, 499.

Documents figurés

  • Service du cadastre de la Loire. Service du cadastre / Cadastre renouvelé pour 1970. Edition à jour pour 1986 / Verrières-en-Forez tableau d'assemblage / Ech. 1/10 000.

  • AD Loire, 1682VT28_14. -42- [au crayon à papier] / Tableau d´assemblage / du plan parcellaire cadastral de la Commune de Verrières en Forez / Canton et arrondissement de Montbrison Dépt. De la Loire / Terminé sur le terrain au 15 novembre 1810 sous / l´administration de Mr. Ducolombier Baron de l´Empire Préfet / Mr Demeaux Maire / Et sous la direction de Mr. Payan Dumoulin Directeur des Contributions / Mr. De Boisboissel Ingénieur Vérificateur / Par Mrs. Blanc et Laurent Géomètres du Cadastre 1ère Classe / et MM. Blanc et Mervillon géomètres secondaires / échelle de 1 à 10 000.. 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

  • AD Loire, 1682VT28_15. -42- [au crayon à papier] / Plan géométrique / section Au dite du Bouchet de la Commune de Verrières en Forez / Canton et Arrondissement Communal de Montbrison / Par les S. Laurent géomètre de première classe et Mervillon / [...]re secondaire, à l´Echelle de 1 à 5,000 pendant l´an 1809. / Mr. Demeaux Maire.. 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

  • AD Loire, 1682VT28_16. -42- [au crayon à papier] / Département de la Loire / arrondissement et canton de Montbrison / Commune de Verrières en Forez / Plan de la section Bu dite du / Soleillant. Echelle de 1 à 2,500 / Laurent Géomètre du Cadastre / Mervillon Géomètre secondaire / Mr Deboisboissel Ingénieur Vérificateur / Mr Demeaux Maire / 1809.. 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

    Cadastre ancien de 1809, section Bu.
  • AD Loire, 1682VT28_18. Première partie de la / Section C dite des / Clavelous et d´Arpheuil / Commune de Verrières / 1809 // Section C / première feuille levée / M. Blanc Géomètre / échelle de 1 à 2,500 // -42- [au crayon à papier] Verrières en Forez / Troisième Partie de la Section C / dite des Claveloux et d´Arpheuil / Levée par Blanc ainé / échelle de 1 à 2,500. 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

    Cadastre ancien de 1809, sections C1 et C3
  • AD Loire, 1682VT28_17. -42-[au crayon à papier] : Seconde Division / De la Section C. dite des / Claveloux et d´Arpheuil, divisé en 3 parties / Commune de Verrières en Forez, arrondissement / Communal de Montbrison / Echelle d´un à 2,500. / [signature] Blanc. 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

  • AD Loire, 1682VT28_19. Commune de Verrières en Forez / Canton de Montbrison / - / Section Du dite du Bourg / En une feuille levée par Blanc Gtre. 1ère Classe / -42- [au crayon à papier] / VERRIERES-en-FOREZ [au crayon à papier]. 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

  • AD Loire, 1682VT28_20. -42- [au crayon à papier] / Section Eu / Commune de Verrières en Forez / Section R dite de Chazelette et Boffre / Echelle d´un à 2,500 / Levé par Blanc Le Jeune Géomètre Secondaire.. 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

  • AD Loire, 1682VT28_21. -42- [au crayon à papier] / Section Fu dite de Péragut / Commune de Verrières en Forez arrondissement / Communal de Montbrison Contenant 550 parcelles / - / Echelle d´un à 2500,.. 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

  • AD Loire, 1682VT28_22. Commune de Verrières en Forez / arrondissement Communal de Montbrison / Section Gu des Hautes Montagnes. / - / Echelle d´un à 5,000. Par le soussigné / Blanc / -42- [au crayon à papier]. 1 dess. : encre noire, lavis rose, bleu et jaune sur papier rigide.

  • VERRIERES (Loire) / La Feuillat - Arrêt des Cars. Edit. Baroux. (carte postale) : N&B. 1er quart 20e siècle (Coll. Part. L. Tissier).

  • LA FEUILLAT, par VERRIERES (Loire), alt. 810m. - Pension - Hôtel BUFFAVAND. (carte postale) : N&B. 1ère moitié 20e siècle (Coll. Part. L. Tissier).

  • VERRIERES-en-FOREZ (825m. D'alt.) - La Feuillat - Station de l'Autobus. (carte postale) : N&B. [tampon 1951] (Coll. Part. L. Tissier).

  • VERRIERES. - Panorama. PHOT A.B & Cie NANCY / Collection S.V. (carte postale) : N&B. 1er quart 20e siècle (Coll. Part. L. Tissier).

Annexes

  • AD Loire. 3 P 2484. Etat de section. Commune de Verrières. Etat de section des propriétés non bâties et bâties. 1828.
  • Historique et signification des lieux-dits du cadastre de la commune de Verrières-en-Forez
  • Liste des noms des lieux-dits du cadastre de la commune de Bard
  • GARDES, Gilbert (dir.). Grande encyclopédie du Forez et des communes de la Loire (extrait)
  • THIOLLIER, Félix. Le Forez pittoresque et monumental (extrait)
Date(s) d'enquête : 2005; Date(s) de rédaction : 2010
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Conseil général de la Loire
Guibaud Caroline
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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