Aubière, la maison G., 1963, Antoine ESPINASSE architecte,
Aubière, la maison G., plans du rez-de-chaussée et de l'étage, Antoine Espinasse architecte, 25 mai 1963 (archives communales d'Aubière).Immatriculation
IVR84_20246301821NUCA
Auteur de l'illustration
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Laurent ChristopheLaurent Christophe
Historien de l'architecture. Prestataire pour le service régional de l'Inventaire Auvergne, puis Auvergne-Rhône-Alpes, en 2014-2015 puis 2021-
Copyright
- © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
- © Clermont-Auvergne-Métropole
Année de prise de vue
2024
Diffusion
communication libre, reproduction soumise à autorisation
Type
phototype numérique
Sujets
maison
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Dénomination
- maison
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Titre courantAubière, la maison G.
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Aire d'étudeClermont-Auvergne-Métropole
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CommuneAubière
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Adresse
- 27 avenue Pasteur
Architecte clermontois DPLG, Antoine Espinasse est à l'hôtel-Dieu de Clermont-Ferrand le coauteur de l'extension de la maternité (1955-1959), avec Paul Lanquette. Il est également l'architecte du bâtiment des laboratoires (1978-1981) adossé contre la façade nord du pavillon des maladies sociales, ainsi que du centre d'hépato-gastro-entérologie (1981-1983) qui réunit les laboratoires et le Refuge. Au début des années 1960, il est domicilié au 11 bis rue Montlosier.
En 1953, on lui doit la maison faisant l'angle des rues Philippe-Glangeaud et Montgolfier (surélevée depuis). En 1957, il s'associe avec P. Jallat pour la construction de l'immeuble du 29 avenue d'Italie. En 1958, il s'associe à Valentin Vigneron pour construire une salle de congrès dans l'enceinte de la Chambre de commerce sise au 148 boulevard Lavoisier. Ce bâtiment est situé derrière l'ancienne villa Bergougnan reconvertit en bureaux pour la Chambre de commerce en 1965. Au début des années 1960, il produit les plans de l'immeuble situé à l'angle des rues Raynaud, de la Rotonde et du boulevard Cote-Blatin. L'adaptation à la forme de la parcelle se fait par insertion de l'entrée dans la pointe que forme l'élévation sud du bâtiment (sur la rue Raynaud), créant une découpe en étrave renforcée par les balcons triangulaires et l'effet de travée biaise des ouvertures. En 1980, il s'associe à Marcel Massucio pour la constuction de la résidence du n°7 boulevard Jean-Jaurès caractérisée par un pan d'élévation aveugle au béton crépi à l'accent brutaliste.