• enquête thématique régionale, Points de franchissement du Rhône
Bac, et bac à traille de Valence ou bac à traille des Granges (disparu) ; pile (vestiges)
Œuvre étudiée
Copyright
  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Archives départementales de la Drôme

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Rhône-Alpes - Valence
  • Hydrographies Rhône
  • Commune Valence
  • Lieu-dit 26 Valence, le), Basse Vill Bourg, 07 Guilherand-Granges, Granges
  • Adresse rue Dunant Henri , rue de la Pêcherie , rue du Bac , rue des Pêcheurs
  • Précisions oeuvre située en partie sur le département 07 ; oeuvre située en partie sur la commune Guilherand-Granges
  • Dénominations
    bac
  • Précision dénomination
    bac à traille
  • Appellations
    bac de Valence, ou bac des Granges

HISTORIQUE

D'après Cogoluènhe, c'est sans doute le développement de Valence sous l'Antiquité qui suscite la mise en place de franchissements sur le Rhône (sur l'importance de Valence et le rôle du fleuve à l'époque romaine, voir aussi FAUCHER, p. 73-74). À cette période, il est question d'un pont de pierre dont l'appellation du quartier ancien "pont péri" de Bourg-lès-Valence (aujourd'hui Pompéry) pourrait conserver le souvenir. Un pont de bateaux fut également mis en place ; il fallut construire un port au Bourg et un second au bas de la citadelle de Valence. Mais c'est surtout l'existence d'un bac qui est attestée, et de manière durable (COGOLUENHE, livre 1, p. 45 et p. 46).

Le premier bac de Valence se situait au nord de la cité, à hauteur de la porte Lanterne, à l'extrémité de l'enceinte qui séparait Valence de son bourg (aujourd'hui Bourg-lès-Valence, rue Pompéry). Il desservait en rive droite le port de Saramanus (ancien quartier de Losnier puis des Noniers ; rue Henri Dunant actuelle). Il se trouvait donc à l'emplacement du pont antique (MELLIER, t. 38, p. 161-166 et p. 175 ; FLANDREYSY, MELLIER, p. 62 ; COGOLUENHE, livre 1, p. 46 ; PELOUX, p. 26 ; ANTRESSANGLE, p. 197).

Si les auteurs s'accordent sur la situation de ce premier bac, les dates données pour son apparition ne sont pas précisées. Selon Antressangle, c'est déjà un bac à traille qui est ici utilisé, et peut-être dès avant le 10e siècle (p. 197). Peloux suppose que l'établissement d'une traille traversière est consécutive de la destruction du pont Gallo-romain, soit durant le Haut Moyen Age (p. 26). C'est sans doute de ce bac dont Cogoluènhe dit qu'au milieu du 11e siècle, vers 1050, il assure des traversées régulières, sans en mentionner sa nature (livre 1, p. 46). Flandreysy et Mellier signalent que le bac existait dès le 12e siècle (p. 62) ; Mellier avait auparavant précisé qu'il existait déjà en 1192 (t. 38, p. 161).

Pour Antressangle, ce bac était une source de revenus pour les chanoines de Saint-Pierre du Bourg (ANTRESSANGLE, p. 197). Une charte de l'évêque de Valence Falcon, de 1192, qui atteste que le port de Valence appartient au chapitre, le mentionne pour la première fois (MELLIER, p. 168 ; PELOUX, p. 26). À partir de cette date, le bac devient la propriété commune des seigneurs de Crussol et du chapitre de la collégiale de Saint-Pierre du Bourg qui se partagent les revenus respectivement 1/3 et 2/3 (PELOUX, p. 26 ; ANTRESSANGLE, p. 197).

Seigneurs et chapitre se disputent cependant la propriété de la partie du bac, côté rive gauche, donnée par Bernard de Beauregard et son épouse en 1214 (voir à ce sujet MELLIER, t. 38, p. 166 et suiv. : "Réponse aux observations envoiées de Grenoble touchant le procès que les syndiqués de Bourg-lès-Valence ont intentez au Chapitre de Saint-Pierre dudit lieu").

Le bac primitif au nord de la cité a été reporté plus en aval (à environ 400 m, selon Mellier, t. 38, p. 176) dans le courant du 15e siècle (MELLIER, t. 38, p. 165 ; FLANDREYSY, MELLIER, p. 62-63 ; PELOUX, p. 27). Ce nouveau bac, un bac à traille, semble avoir été établi à l'emplacement du pont médiéval de la fin du 12e siècle ou du début du 13e : la pile du côté des Granges, qui subsiste encore, apparaît implantée sur la pile de l'ancien pont (MELLIER, t. 38, p. 157).

Signalons que selon Blanc, ce pont médiéval, qui aurait été détruit peu après sa construction par une crue du fleuve en 1219, n'aurait pas été reconstruit sous la pression des passeurs du bac (BLANC, p. 34). Bac et pont étaient en effet "en concurrence" (MELLIER, t. 39, p. 326-327).

Cogoluènhe mentionne un dessin de 1480 figurant une traille "traversière" (COGOLUENHE, livre 1, p. 47). Ce dessin représente probablement le second bac de Valence bien que, selon Mellier et Antressangle, c'est un conflit entre le chapitre du Bourg et les seigneurs de Crussol qui entraîne, en 1484 seulement, le déplacement du bac à quelques centaines de mètres au sud.

Le nouveau bac de Valence reliait l´actuelle rue des Pêcheurs, côté Granges, à la rue de la Pêcherie de Valence (MELLIER, t. 38, p. 157, notes p. 165 et p. 175 ; ANTRESSANGLE, p. 197).

Sur le cadastre napoléonien du début du 19e siècle, la traille apparaît en effet juste à l'amont du pont suspendu de Guilherand-Granges, au lieu-dit les Granges, au débouché du Chemin de Saint-Péray aux Granges (chemin de Saint-Péray à Valence sur un autre plan cadastral, Fig. 5), correspondant à l'actuelle rue du Bac.

Ce bac est visible en perspective sur "Le Vray Portraict de la Ville et Cité de Valence", plan gravé par Belleforest en 1575. Il semble alors s'agir de chèvres en bois assurant le maintien de la traille et on peut voir un marinier manoeuvrer le bac avec ce qui paraît être une grosse rame en guise de gouvernail (Fig. 2).

Entre les deux piliers plantés de part et d'autre du Rhône, était tendu un câble, la traille proprement dite, une grosse corde de chanvre, qui guidait le bateau (FRANÇOIS, p. 42 ; PELOUX, p. 26).

Ce bac fonctionnait du lever au coucher du soleil (PELOUX, p. 27).

Comme tout point de franchissement, la traille de Valence constitue un enjeu stratégique dans les périodes troublées (idem). Il en est ainsi pendant les guerres de Religion : en juillet 1577, les protestants de Saint-Péray brûlent la traille tendue entre Valence et les Granges (COGOLUENHE, livre 1, p. 64 et livre 2, p. 81 ; PELOUX, p. 27) ; en 1593, Cogoluènhe relate que ce sont les soldats du Duc de Guise qui coupent la corde du "ponton" de Saint-Péray, soit la traille du bac de Granges-Valence (COGOLUENHE, idem).

Pour une période plus tardive, Ladet signale l'existence d'une carte sur tissu estimée du début du 18e siècle, conservée aux Archives départementales de l'Ardèche, qui figure la traille de Granges-de-Valence [sic] à Valence parmi quinze autres bacs à traille reliant Vivarais et Dauphiné. Ce passage entre Granges-lès-Valence et Valence est également présent dans l' "Estat des droits de péage" (également aux A.D. de l'Ardèche) dressé à partir de juin 1716 (LADET, p. 50-51).

Antressangle, signalant que les pylônes en charpente de Valence sont souvent détruits par les crues, mentionne leur remplacement en 1793 par deux pylônes en pierre de Crussol (ANTRESSANGLE, p. 197). Mais il semblerait qu'en juin 1793 ne fut remplacée que la pile du côté des granges par une pyramide de 30 pieds de haut, soit environ 9 m (MELLIER, t. 38, notes p. 158 ; PELOUX, p. 26) ; la pile de la rive gauche, côté Valence, emportée par une inondation, n'est apparemment remplacée par un pylône en pierre de Crussol qu'en 1810 (MELLIER, t. 38, p. 157).

Le bac perdure ainsi jusqu'en 1830.

À cette date, précisément le 24 septembre 1830, un arrêté préfectoral autorise Jules Seguin à ouvrir au public le pont suspendu sur le Rhône dont il est concessionnaire (il en avait obtenu l'adjudication en mai 1827 et avait lancé les travaux à partir de 1829). Il est stipulé que l'arrêté doit être notifié au fermier du bac à traille, le sieur Gonnet, auquel il est enjoint de suspendre sur le champ la circulation du bac, dont le bail est résilié au même moment (AD Drôme, 3S 40 : Chemise 511).

À la livraison du pont suspendu, le fermier du bac cesse donc tout service (MELLIER, t. 38, p. 160-161 ; MELLIER,FLANDREYSY, p. 63 ; FRANÇOIS, p. 42 ; PELOUX, p. 27 ; ANTRESSANGLE, p. 199).

L'année suivante, le département de la Drôme vend le matériel de la traille devenue inutile (COGOLUENHE, livre 1, p. 92 ; FRANÇOIS, p. 42).

Le bac à traille connaîtra cependant quelques périodes de renaissance...

Ainsi, le 24 septembre 1835, un arrêté préfectoral rétablit son service pour permettre la réparation du pont suspendu dont la travée côté Granges a été détruite par un incendie au début du même mois (ANTRESSANGLE, p. 199).

Après le 20 juin 1940, date à laquelle l'armée française fait sauter le pont en maçonnerie de Valence, la société de sauveteurs nommée "Les Enfants du Rhône" assure avec ses barques le franchissement du fleuve en attendant la remise en service de la traille qui a lieu le 3 août suivant, par les services des Ponts et Chaussées. Elle sera utilisée pendant plusieurs mois, jusqu'au 1er mai 1941, date de la réouverture du pont grâce à la mise en place de ponts Pigeaud métalliques (COURANT, p. 150-151 ; COGOLUENHE, livre 1, p. 49 et p. 50 et livre 2, p. 85 ; ANTRESSANGLE, p. 188-189 et p. 199).

La situation se répète pendant la seconde guerre mondiale, lorsqu'à la mi-août 1944, le pont de Valence, à peine reconstruit, est à nouveau coupé, cette fois par les bombardements alliés (PELOUX, p. 27). Comme quatre ans auparavant, les barques des "Enfants du Rhône" sont mises à contribution pour assurer des traversées (COURANT, p. 161).

Dès le 12 septembre suivant (20 août chez Antressangle), la traille fonctionne à nouveau mais, au cours de l'hiver, elle est coulée par une crue. D'urgence, un vieux bateau à vapeur, le "Pilotin" est réquisitionné pour effectuer la traversée, en attendant la remise en service du pont au 15 mars 1945 (COURANT, p. 161 ; COGOLUENHE, livre 1, p. 12, p. 50 et p. 66 ; ANTRESSANGLE, p. 199).

Du bac de Valence subsiste encore le pylône en rive droite, à environ cinquante mètres en amont du pont provisoire de Valence (AD Rhône, 3959W 1778 : Note sur l´histoire du pont de Valence, dressé par Bujard, ingénieur des TPE, 18 avril 1963), soit à environ 80 m du pont Frédéric Mistral actuel (Figs. 8-11). En 1998, Antressangle signale qu'elle est dans la propriété d'un certain M. Pascal (ANTRESSANGLE, p. 196). Selon Mellier, le treuil destiné à tendre le câble se trouvait dans une niche en maçonnerie, non loin de la pile (MELLIER, t. 38, notes p. 158).

Quant à la pile du port de Valence, elle est encore figurée en élévation sur une estampe dite du 18e siècle, mais qui doit plutôt dater du début du 19e (Fig. 3). Il s'agit d'une pile tronconique en maçonnerie, comme celle qui subsiste encore sur l'autre rive. Lorsque Mellier écrit son Histoire des ponts de Valence au début du 20e siècle, on peut encore voir des vestiges de cette tour en pierre de Crussol et à moitié démolie, au sud de la "maison Tacussel", sur le quai du Rhône (MELLIER, t. 38, p. 157 et p. 165).

Cette pile aurait été détruite en 1897 (FRANÇOIS, p. 42).

Valence a bénéficié dès l'époque antique de franchissements du fleuve Rhône. Un bac est durablement établi, au nord de la cité à l'emplacement du pont gallo-romain, vraisemblablement au Haut Moyen Age. Il en est fait mention pour la première fois en 1192, dans une charte épiscopale qui attribuait le port aux chanoines de Saint-Pierre du Bourg. Les seigneurs de Crussol disputaient la propriété du bac aux religieux qui en étaient majoritairement détenteurs. Dans le dernier quart du 15e siècle (1484), un bac à traille est implanté plus au sud, peut-être à l'emplacement du pont médiéval. Son câble est souvent coupé, ainsi pendant les guerres de Religion, et ses piles détruites par les crues. En juin 1793, la pile de bois du côté des Granges est remplacée par une "pyramide" en pierre ; on procède au même changement de la pile côté Valence en 1810. Le bac perdure jusqu'à l'ouverture du pont suspendu le 24 septembre 1830, qui marque la cessation immédiate de son fonctionnement. Il connut des remises en service ponctuelles, notamment lors de la coupure des ponts pendant les deux guerres mondiales.

Le premier bac de Valence, peut-être déjà un bac à traille, se situait au nord de la cité, à hauteur de la porte Lanterne, à l'extrémité nord-ouest de son enceinte, marquant la limite d'avec le Bourg (aujourd'hui Bourg-lès-Valence). Il desservait en rive droite l'ancien port de Saramanus, au débouché de l'actuelle rue Henri Dunant de Guilherand-Granges. Le second bac, déplacé à près de 400 m en aval du premier, se situait en amont de l'ancien pont suspendu qui l'a remplacé (soit à 80 m en amont du pont Frédéric Mistral actuel). Il reliait l´actuelle rue des Pêcheurs (au débouché de la rue du Bac), côté Guilherand-Granges, à la rue de la Pêcherie de Valence (Basse-Ville). Il s'agissait d'un bac à traille dont les piles, primitivement en charpente de bois (comme le figure le plan gravé par Belleforest en 1575), soutenaient une traille formée d'une corde de chanvre. Les deux piles ont été tardivement remplacées par une construction de forme tronconique maçonnée en pierre de Crussol. Il subsiste la pile de la rive droite, côté Granges, un tronc de cône en maçonnerie offrant encore des pierres en boutisse (probablement pour l'escalier d'accès) et un ancrage métallique.

  • Murs
    • bois
    • pierre
    • maçonnerie
  • Escaliers
    • escalier hors-oeuvre : escalier droit en maçonnerie
  • Typologies
    bac ; bac à traille
  • État de conservation
    détruit, vestiges
  • Statut de la propriété
    propriété publique
    propriété privée

Repérage icono. notamment d'après un plan de la cité de Valence et d'après le cadastre napoléonien. D'après la thèse de Cogoluènhe.

Documents d'archives

  • AD Drôme. 3S 40. Pont de Valence

    Chemise 511 : Pont de Valence
  • AD Rhône. 3959 W 1778. Ponts sur le Rhône

    Valence

Bibliographie

  • ANTRESSANGLE, Gilbert. Guilherand-Granges. Histoire et anecdotes. Le Cheylard : Éditions Dolmazon, 1998

    Le bac à traille, p. 196-199 ; voir aussi p. 188
  • BLANC, André. Valence, Drôme (26). Colmar-Ingersheim : SAEP, 1973 (Coll. "Villes de France"). 97 p.

    p. 33-34
  • COGOLUENHE, Henri. Histoire des bacs pour traverser le Rhône. Recherches historiques et sociologiques. Thèse de doctorat, Institut de Recherche et d'Enseignement Philosophiques, Département Sociologie. Lyon : Facultés catholiques de Lyon, 1980. 3 volumes

    livre 1, p. 12, p. 22, p. 45-47, p. 49-50, p. 64, p. 66, p. 86 et p. 92 ; livre 2, p. 81 et p. 85 ; livre 3, Annexes C-03 et C-04
  • COURANT, René. Les tramways Valence-Saint-Péray et les transports valentinois. Valence, 1973

    p. 150 (ill.), p. 151 et p. 161
  • FAUCHER, Daniel. Le site de Valence. Recueil des travaux de l'institut de géographie alpine. 1913, Tome 1, n° 1, p. 73-83. [en ligne]. Accès internet : <URL : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rga_0249-6178_1913_num_1_1_5576>

  • FLANDREYSY, Jeanne de, MELLIER, Etienne. Valence : son histoire, ses richesses d´art, son livre d´or. Paris : A. Lemerre et Lyon : A. Rey & Cie, 1910. 2 tomes : 165 ill.

    tome 1, p. 62-63
  • FRANÇOIS, André. Les ponts sur le Rhône à Valence. Association universitaire d´études drômoises, 1976, n° 3-4, p. 41-43

    p. 42
  • LADET, Pierre. La vallée du Rhône : haut lieu des échanges au XVIIIe siècle. Mémoire d'Ardèche et Temps Présent, 15 mai 2002, n° 74, p. 47-58

    p. 50-51
  • MELLIER, Etienne. Les ponts anciens et modernes sur le Rhône à Valence. Bulletin de la Société départementale d'Archéologie et de Statistique de la Drôme, 1902, t. 36, p. 133-153, 249-269, 395-408 ; 1903, t. 37, p. 89-108, 183-198, 273-288, 422-437 ; 1904, t. 38, p. 147-181, 421-438 ; 1905, t. 39, p. 315-335, 376-384

    sur le bac, voir t. 38, p. 157-177
  • PELOUX, Emmanuel. Le bac-à-traille des Granges. Guilherand-Granges. Revue municipale, décembre 1994, n° 42, p. 26-27

Documents figurés

  • [Valence - Passage du Rhône de Valence à Saint-Péray (Ardèche)]. [Ca 1886]. 1 est. : grav., en noir (AD Drôme. Fonds Marius Villard, 1 J 42/50) Notes : inscription manuscrite ; inscription coupée en bas

  • [Valence - Photographie panoramique prise de Saint-Péray (Ardèche)]. [Fin du 19e siècle]. 1 photogr. : n. et b. (AD Drôme. Fonds Marius Villard, 1 J 42/65)

  • Tableau d´assemblage du plan cadastral parcellaire de la commune de Guilherand / 1:50000. [1811]. 1 plan : en coul. (AD Ardèche, 3 P 2793-1)

  • Commune de Guilherand - Section B de la Plaine / 1:2500. [18..?]. 1 plan : en coul. (AD Ardèche, 3 P 2793-3)

  • Tableau d´assemblage du plan cadastral parcellaire de la commune de Saint-Péray / 1:10000. [1811]. 1 plan : en coul. (AD Ardèche, 3 P 2854-1)

  • 1. Valence - Ancien pont suspendu sur le Rhône / C. Jeangette édit., [avant 1906]. 1 impr. photoméc. (carte postale) : coul. (MdFR. Collection Dürrenmatt, CP DUR 1647) Notes : timbre et tampon

  • 1. Valence - Ancien pont suspendu sur le Rhône / Nouvelles Galeries édit., [2e moitié du 19e siècle]. 1 impr. photoméc. (carte postale) : n. et b. (MdFR. Collection Dürrenmatt, CP DUR 1648) Notes : timbre

  • 379 - Le Rhône à Valence / P. Peyrouze phot. Valence : Peyrouze, [ca 1905]. 1 impr. photoméc. (carte postale) : n. et b. (MdFR. Collection Rondeau, CP RON 1183) Notes : a voyagé en 1910

  • [Valence, plan de la ville]. [1985]. 1 photogr. : coul. ; 13 x 18 cm (AD Drôme. Collection Bibliothèque Nationale, 4 Fi Valence 408) Notes : reproduction photographique d´un plan de 1693 (GE DD 4585 (I 86))

  • [Valence, port, bac à traille]. [1976]. 1 photogr. nég. : n. et b. ; 13 x 18 cm (AD Drôme. Collection Marius Villard, 8 Fi 72) Notes : reproduction photographique d´une estampe du 18e ou 19e siècle

  • Le Vray Portraict de la Ville et Cité de Valence. La Cité de Valence / [1976]. 1 photogr. nég. : n. et b. ; 13 x 18 cm (AD Drôme. Collection Marius Villard, 8 Fi 86) Notes : reproduction photographique d'un plan gravé en 1575 par Belleforest

  • [Bateaux sur le Rhône à la hauteur de Valence]. [1979]. 1 photogr. nég. : n. et b. ; 13 x 18 cm (AD Drôme. Collection A.D.D., 8 Fi 114) Notes : reproduction photographique d´une carte postale de la 1ère moitié du 20e siècle

  • [Valence - Vue générale pris de Granges-les-Valence]. [1977]. 1 photogr. nég : n. et b. ; 13 x 18 cm (AD Drôme. Collection Marius Villard, 8 Fi 119) Notes : reproduction photographique d´un original de la fin du 19e siècle (Volume IV, planche 28)

  • [Plan de la ville de Valence et de ses environs]. [1976]. 1 photogr. nég. : n. et b. ; 13 x 18 cm (AD Drôme. Collection Marius Villard, 8 Fi 158) Notes : reproduction photographique d´un plan de Mrs Mille-Ville, Thieulin, Richoufftz de la Viefville, Cavey de la Molle, la Riboissière, du Vaisseau, dressé en 1786

  • [Valence - Vue générale]. [1977]. 1 photogr. nég. : n. et b. ; 13 x 18 cm (AD Drôme. Collection Fargier, 10 Fi 41) Notes : reproduction photographique d´une carte postale de la 1ère moitié du 20e siècle

  • [La pile de l'ancien bac. La culée de l´ancien pont sur le Rhône, rive droite]. [1976]. 1 photogr. nég. : n. et b. ; 13 x 18 cm (AD Drôme. Collection du Palais du Roure, Avignon, 15 Fi 51) Notes : reproduction photographique d´un original de la 1ère moitié du 20e siècle

  • [La pile de l'ancien bac. La culée de l´ancien pont sur le Rhône, rive droite et son soubassement romain] / [1976]. 1 photogr. nég. : n. et b. ; 13 x 18 cm (AD Drôme. Collection Palais du Roure, Avignon, 15 Fi 53) Notes : reproduction photographique d´un original de la 1ère moitié du 20e siècle

Date(s) d'enquête : 2010; Date(s) de rédaction : 2011