• enquête thématique régionale, Patrimoine industriel
  • enquête thématique régionale
Demeure : villa Gillet actuellement parc public de la Cerisaie
Œuvre recensée
Copyright
  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Ville de Lyon

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Lyon patrimoine industriel
  • Commune Lyon 4e
  • Adresse 25 rue Chazière
  • Cadastre 1982 AE 51, 52
  • Dénominations
    demeure
  • Genre
    d'industriel
  • Précision dénomination
    villa
  • Appellations
    villa Gillet ou la Cerisaie
  • Parties constituantes non étudiées
    jardin, bassin, fontaine, ferme, remise, maison, salle de spectacle, belvédère

I- HISTORIQUE

Villa construite pour Paul Gillet, industriel, sur un terrain dénommé « le Clos » ou « la Cerisaie » appartenant à sa famille (le plan d´eau servait de réservoir à l´usine de teinture implantée en contrebas, quai de Serin). Le portail d´origine, situé montée des Esses, porte les initiales de François Gillet, grand-père du maître de l´ouvrage.

Le permis de construire est déposé en juillet 1911 (A.C. Lyon) ; la construction confiée à l´architecte lyonnais Joseph Folléa (1867-1927) débute à la fin de la même année. Les travaux sont terminés en 1913 comme l´indique la date peinte sur la frise extérieure.

Demeurée propriété familiale jusqu´en 1976, le jardin et la maison sont vendus à la Ville de Lyon, en juillet, par M. Lavergne, fils de Mme Paul Gillet (Bulletin municipal officiel). Le parc de 46 000 m² devient jardin public mais la villa n´a pas d´affectation précise. Elle subit de nombreux pillages (manteaux de cheminée, éléments de décor et de mobilier) avant d´être partiellement restaurée entre 1986 et 1988. La Villa Gillet est un lieu de recherche et de dialogue autour de la pensée et des arts contemporains. Elle accueille le F.R.A.C. Rhône-Alpes, le Groupe de Musique Vivante de Lyon et l´association Villa Gillet Unité de Recherches contemporaines.

II- DESCRIPTION

1- Situation et composition d´ensemble

Villa implantée dans un vaste parc arboré, sur le versant ouest de la colline de la Croix-Rousse (cf. photo). Propriété entourée de murs de clôture et longée au nord-est par la rue Chazière. Portail principal sur cette rue avec maison de gardien et dépendances  ; autre portail, au sud-ouest, montée des Esses. Bâtiment de l´ancienne ferme, au nord, adossé au mur de clôture et aujourd´hui transformé en logements.

Façade principale de la maison orientée à l´ouest, face à la pente du terrain aménagé en terrasse avec escalier dans l´axe du perron et sculptures aux angles (cf photo). Bassin, aujourd´hui comblé, avec fontaine, rocaille et sculptures, devant la façade orientale. Porche d´entrée à l´angle sud-est de la villa, relié au portail par une allée courbe faisant le tour du bassin.

2- Matériaux

Construction en pierre calcaire et brique : pierre de taille pour le perron, le soubassement, le rez-de-chaussée et les terrasses ; briques claires de deux tons à joints saillants, pour les étages. Soubassement en moyen appareil, rez-de-chaussée à bossages continus en table sur un rang de dalles de calcaire jaune. Encadrements des baies et balustres des garde-corps en pierre calcaire de couleur blanche. Colonnes extérieures en pierre calcaire, peintes en imitation marbre rose ; colonnes intérieures en marbre.

3- Structure

Ensemble de plan massé, composé de plusieurs corps de bâtiment de hauteurs différentes formant de nombreux décrochements. Dans l´angle sud-est, porche hors-oeuvre avec colonnes galbées. Au nord, tour d´escalier dans oeuvre surmontée d´un belvédère. Devant la façade occidentale, loggia avec des colonnes galbées supportant un balcon ; dans le prolongement de la loggia, vaste terrasse formant retour sur les façades latérales ; accès à cette terrasse par un escalier axial.

La villa comporte un sous-sol, un rez-de-chaussée, un ou deux étages carrés, selon les corps de bâtiment (deux étages pour les pavillons antérieur gauche et postérieur droit, situés au même droit), et un étage de comble. La tour-belvédère, au nord, domine l´ensemble de la hauteur d´un niveau (doc.1). Elle contient un escalier de service qui, à partir du sous-sol, dessert tous les étages. L´escalier d´honneur, situé dans l´axe de l´édifice, au revers de la façade postérieure, ne donne accès qu´au premier étage. L´ensemble des niveaux est plafonné.

4- Elévations

Ensemble des façades percé d´ouvertures rectangulaires de dimensions variées, à l´exception du belvédère aux baies libres en plein cintre et du niveau de soubassement percé de soupiraux en arc segmentaire. Elévations à travées. Terrasses, balcons et belvédère bordés de garde-corps à balustres.

-Façade antérieure (doc. 7) accessible par un perron de 10 marches entre une terrasse, à gauche, et une loggia supportant un balcon, à droite. Corps latéral gauche en avancée. Portes-fenêtres au rez-de-chaussée et fenêtres jumelées au premier étage du corps central. Lucarnes à pignon couvert, dans l´axe des deux baies du corps central ; lucarne en oeil-de-boeuf dans celui de la travée d´ouverture droite.

-Façade postérieure : corps latéral gauche en retrait, corps droit en avancée. A gauche, porche couvert sur colonnes galbées ; au deuxième niveau, niche en cul-de-four à encadrement architecturé. Au centre, travée de larges ouvertures (cage d´escalier) surmontée d´une lucarne géminée.

-Elévation latérale droite : de part et d´autre de la tour-belvédère centrale, en avancée et percée d´une travée aux ouvertures variées, corps de bâtiments en forte saillie sur le corps central, d´une travée chacun.

-Elévation latérale gauche : forte avancée du corps droit dans le prolongement de la terrasse aménagée sur l´étage de soubassement et formant elle-même un décrochement.

5- Couvertures

Toit à croupe sur le corps central, toits en pavillon sur l´ensemble des autres corps de bâtiment. Couvertures à faible pente, fortement saillantes à aisseliers. Lucarnes sur le corps central. Epis de faîtage en zinc sur la tour-belvédère et les pavillons d´angle.

Ensemble de la toiture couvert de tuiles plates mécaniques (restauration ?).

6- Distribution intérieure

Sous-sol (doc. 2) accessible à la fois par l´escalier de service de la tour nord et par un escalier, à une volée droite, situé dans l´axe de l´entrée principale. Ce niveau est réservé aux pièces de service (buanderie, chaufferie, celliers) et à un théâtre de 150 places environ, à décor de faux treillage en relief créant l´illusion d´un théâtre de verdure.

Rez-de-chaussée occupé par des pièces de réception en enfilade, ouvrant, à l´ouest, sur une vaste terrasse. La cuisine, l´office et le vestiaire sont regroupés dans la partie nord, autour de l´escalier de service. L´ensemble est distribué par un vestibule sur lequel ouvre l´escalier d´honneur. Dans le vestibule, dallage de marbre, plafond à caissons en bois et cheminée renaissance en réemploi.

Escalier d´honneur en maçonnerie dans une cage de plan carré dont l´ouverture sur le vestibule est encadrée de deux colonnes en marbre. Escalier en rez-de-chaussée, tournant à droite, à quatre volées droites, les trois premières travées sur mur d´échiffre, la quatrième suspendue. Garde-corps en fer forgé.

Premier étage (cf photo plan) occupé à l´origine, par un bureau-bibliothèque et des chambres à coucher avec salles d´eau ou salle de bain, distribués par un vestibule à dallage de marbre. Ensemble des pièces avec cheminée et lambris d´appui ; murs tendus initialement de soie.

Deuxième étage uniquement accessible par l´escalier de service et occupé par des chambres de domestiques, une lingerie et des greniers. Escalier en vis à jour, dans une cage rectangulaire entièrement recouverte de carreaux de faïence blancs.

Villa construite dans une propriété familiale (initiales de Francois Gillet, grand-père du maître de l'ouvrage, sur un portail localisé montée des Esses), entre 1911 et 1913, pour l'industriel Paul Gillet, par l'architecte lyonnais Joseph Folléa. Frise extérieure peinte en 1913 (date portée) par le décorateur Louis Bardey (signature). A l'intérieur, manteau de cheminée renaissance en remploi (provenance inconnue). Ancienne ferme transformée en habitation sur un terrain dénommé « le Clos » ou « la Cerisaie » (inscription portée sur la porte piétonnière de l'entrée principale) appartenant à sa famille. Le plan d´eau servait de réservoir à l´usine de teinture implantée en contrebas, quai de Serin. Propriété achetée par la ville de Lyon en 1976. La villa a abrité le FRAC (Fonds régional d'art contemporain).

Jardin

Pour l'aménagement du parc de 46 000 m², Paul Gillet choisit un paysagiste renommé, René-Edouard André (1845-1922). Ce paysagiste conçoit un parc composite en trois parties distinctes. Autour de la villa, il dessine des parterres réguliers avec bassin et fontaine ornés de statues et profite de la pente et des irrégularités du terrain pour créer un jardin paysager, aux allées sinueuses, planté de nombreux arbres et bosquets.

Cette villa a abrité le FRAC (Fonds régional d'art contemporain). Le parc a été choisi comme lieu d'exposition lors du deuxième symposium de sculptures contemporaines (juin 1980). Une statuaire contemporaine de grande qualité acquise par la Ville de Lyon est constituée de 11 œuvres de : César, Markus Raetz, Takis, Geneviève Dumont, Jean-Pierre Raynaud, Bernard Pagès, Ulrich Ruckriem, A. Lovato, M. Dumont, Gérald Martinand (2 œuvres).(cf photos).

Le parc a aussi une parcelle de vignes de 300 pieds (cépage gamay) depuis 1986, créée par l’association La République des Canuts. Chaque année au mois de septembre, les vendanges sont réalisées. Le vin produit sur la place de la Croix-Rousse est appelé « Clos des Canuts ».

Villa et parc inscrits au titre des monuments historiques en 2015.

Demeure implantée dans un parc paysager clos de murs, avec bassin et fontaine. Maison de gardien et remises à l'entrée principale, rue Chazière. Autre portail, au sud-ouest, portant les initiales F G. Au nord du parc, bâtiments de l'ancienne ferme. Villa de plan massé, composée de plusieurs corps de bâtiment comprenant : sous sol, rez-de-chaussée, un étage, un étage de comble ou un second étage suivant les corps. Belvédère au sommet de la tour d'escalier dans-œuvre, au nord. Soubassement en pierre de taille, rez-de-chaussée à bossages continus en table, étages en brique. Frise peinte sur le pourtour de la villa, au dessus du premier étage. Théâtre en sous-sol.

  • Murs
    • calcaire
    • brique
    • pierre de taille
  • Toits
    tuile plate mécanique
  • Plans
    plan massé
  • Étages
    sous-sol, rez-de-chaussée surélevé, 2 étages carrés, étage de comble
  • Élévations extérieures
    élévation à travées, élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • toit en pavillon
    • croupe
  • Escaliers
    • escalier isolé : escalier droit en maçonnerie
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour cage ouverte, en maçonnerie
    • escalier dans-oeuvre : escalier en vis avec jour en maçonnerie
  • Techniques
    • peinture
    • sculpture
    • décor stuqué
    • céramique
    • menuiserie
    • ferronnerie
  • Représentations
    • panier
    • fleur
    • tournesol
    • fruit
    • sphinx
    • tête de femme
    • enfant
    • poisson
    • rinceau
    • ornement végétal
    • aigle
    • écureuil
    • animal fantastique
    • corne d'abondance
    • médaillon
    • laurier
    • chute
    • trophée
    • instrument de musique
    • carquois
  • Précision représentations

    Dans le parc, sculptures en ronde-bosse : sphinges (terrasse), paniers de fleurs et fruits (bassin), enfant tenant un poisson (fontaine). Façades sculptées de médaillons en relief avec chutes de laurier et peintes d'une frise de rinceaux peuplés d'animaux. Dans les salons du rez-de-chaussée, stucs à décor de trophées. Salle de bain ornée de céramique : frise de médaillons et danseuses.

  • Statut de la propriété
    propriété publique
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    cheminée
  • Protections
    inscrit MH, 2015, 2015/08/26
  • Précisions sur la protection

    Inscription par arrêté au titre des Monuments historiques : la villa en totalité, les façades et toitures de l'ancienne maison du gardien et l'abri voisin, le parc et ses éléments maçonnés ainsi que les deux portails de la rue Chazière et de la montée des Esses, et à l'exclusion de l'ancienne ferme. Ces éléments sont situés sur les parcelles n° 51, 81, 82, 83 section AE.

Documents d'archives

  • A.D Rhône : 5M, établissements insalubres 185-1860 III 9 (Etablissement Gillet et Pierron); Matrices cadastrales

    AD Rhône : 5M
  • AC Lyon : 0344 W 207, Demande en autorisation de construire (juillet 1911)

    AC Lyon : 0344 W 207
  • AC Lyon : 0344 W 207, Demande en autorisation de construire (juillet 1911)

    AC Lyon : 0344 W 207
  • AC Lyon : 0344 W 207, Demande en autorisation de construire (juillet 1911)

    AC Lyon : 0344 W 207
  • AC Lyon : 0344 W 207, Demande en autorisation de construire (juillet 1911)

    AC Lyon : 0344 W 207
  • AC Lyon : 0344 W 207, Demande en autorisation de construire (juillet 1911)

    AC Lyon : 0344 W 207
  • Archive notariale (privée): Vente par Mr. Lavergne à la ville de Lyon (juillet 1976)

  • Décret n°77-4.138 Réalisation d'un emprunt de 4 000 000 de francs pour acquisition de terrains en vue de la création d'espaces verts ( 3eme division, 1er bureau), Lyon, 26 janvier 1977. Bulletin municipal officiel, 30 janvier 1977

    AC Lyon : Décret n°77-4.138
  • Décret n°77-4.138 Réalisation d'un emprunt de 500 000 francs pour acquisition de la propriété 25 à 43, rue Chazière (ex propriété Gillet) (3ème division, 1er bureau), Lyon 14 avril 1977. Bulletin Municipal Officiel, 24 avril 1977

    AC Lyon : Décret n°77-4.138
  • Indicateur lyonnais Henry. Annuaire commercial, administratif et judiciaire de la ville de Lyon et du département du Rhône. Lyon 1910-1912

    AC Lyon : Accès livre

Bibliographie

  • Lyon Guide par Dominique Bertin et Anne Sophie Clemenco. Paris : Arthaud, 1986, p 80-82

    p 80-82
  • Villa Gillet par Dorothée Burillon, Rapport de stage, Université Lumière Lyon 2 (diplôme d'université formation opératuer interculturel), 1990, 2 volumes multigr.

  • Rhône-Poulenc, 1895-1975 par Pierre Cayez. Paris : Armand Colin/Masson, 1988

  • Une Villa bourgeoise comme une autre par Alain Charre. exsitu. Catalogue d'exposition John Knight, Lyon, Villa Gillet, 1989. Lyon : FRAC Rhône-Alpes, 1989, p21, ill., 22cm

    p 21 et p 7-19
  • Souvenirs de famille par Louis Chatin. Lyon impr. Audin, 1956, 24cm, 174p.

  • Congrès de l'association pour l'avancement des sciences (1906). Lyon et la région lyonnaise en 1906. Lyon : A.Rey, 1906. 2 vol. XVIII-915 p., 637: ill., plan dépl. ; 31 cm

    p 637
  • Demande en autorisation de bâtir, la Construction lyonnaise (1911), p 176

    p 176
  • M. Jospeh Folléa architecte (1867-1927) par Desplagnes. .Annales de la société académique d'architecture, tome XXIII, 1926-1927, p202-211

    p202-211
  • Dictionnaire biographique du Rhône. Paris : Henri Jouve, 1899

  • Vos grands-pères, François, Joseph et Edmond Gillet par Léonie Gillet. Paris : presse de l'imprimerie du compagnonnage, 1961

  • Les Gillets. Entreprise, 18 juillet 1964, p 15-17

    p 15-17
  • Lyon 1906-1926. Lyon : A.Rey, 1906. XXI-607 p-[42] p. de pl. : ill. ; 25 cm

    p 42
  • 100 Monuments reconvertis par Régis Neyret et jean-Luc Chavent. Lyon : patrimoine rhonealpin, 1992? 134p. : 31 cm p 88

    p 88
  • La dynastie des Gillet. Les maîtres de Rhône-Poulenc par Marcel Peyrenet. Paris : le Sycomore, 1978

  • La reconversion des maison bourgeoise de la seconde moitié du XIXeme siècle dans le lyonnais par Florent Tiberghein. [Mem : Hist. Art : 1990 ] p 64-68

    p 64-68
  • Madame Edmond Gillet (1884-1965) et son temps par Ch-J Revrdy . Paris : impr Hofer, 1972. 21 cm, 167p

Périodiques

  • La vie à la campagne, n° 180, 15 mars 1914, p. 163. Agencement régulier traditionnel

Documents figurés

  • La Cerisaie (château). État des lieux : sous-sol. Plan par G.Berthier, Lyon, décembre 1977 (AC Lyon : 1760 W 844; Services techniques)

    AC Lyon : 1760 W 844
  • La Cerisaie (château). État des lieux : Rez-de-chaussée. Plan par G.Berthier, Lyon, déc 1977. (AC Lyon : 1760 W 845 Services techniques)

    AC Lyon : 1760 W 845
  • La Cerisaie (château) État des lieux : 1er étage (1977). Plan G. Berthier, Lyon, déc 1977, (AC Lyon : 1760 W 846, service technique)

    AC Lyon : 1760 W 846
  • La Cerisaie (château) État des lieux : 2ème étage (1977). Plan par G. Berthier, Lyon, déc 1977 (AC Lyon : 1760 W 847 Services Techniques)

    AC Lyon : 1760 W 847
  • La Cerisaie (château) État des lieux : Observatoire (1977). Plan par G. Berthier, Lyon, déc 1977 (AC Lyon : 1943 W 364 Services Techniques)

    AC Lyon : 1943 W 364
  • La Cerisaie (château) État des lieux : Coupe AA' (1977). Plan par G. Berthier, Lyon, déc 1977 (AC Lyon : 1760 W 848 Services Techniques). Cf reproduction IVR82_96690094XP

    AC Lyon : 1760 W 848
  • Parc de la Cerisaie, 25 rue Chazière (EI04040). Coupe BB' de la villa Gillet : 1 plan (n°15), 1977. Cote : 1943 W 363

    AC Lyon : 1943 W 363
  • Vues intérieures prises avant travaux en noir et blanc, par J. Gastineau vers 1986. (AC Lyon)

    AC Lyon
  • Vues extérieures. Photographie en noir et blanc par David Anémian, vers 1990. (AP Villa Gillet)

    AP Villa Gillet
  • Vue du décor intérieur, détail, Photographie en noir et blanc, par Blaise Adilon, vers 1990 (AP Villa Gillet)

    AP Villa Gillet

Annexes

  • 11 œuvres d’art : parc Villa Gillet
Date(s) d'enquête : 1996; Date(s) de rédaction : 1996, 2015
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Ville de Lyon