Sculpture : sans titre - Inventaire Général du Patrimoine Culturel

Dossier d’œuvre objet IM69001968 | Réalisé par

Etudiants de l'Ecole Saint-Luc, Liège (Rédacteur)

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Dandel Elisabeth (Rédacteur)

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Pamart Valérie (Rédacteur)

enquête thématique régionale, 1% artistique

Sculpture : sans titre, Lycée polyvalent René-Cassin

Rhône-Alpes > Rhône > Tarare

Œuvre étudiée

Auteur (reproduction)

Dandel Elisabeth

Dandel Elisabeth

Chercheuse indépendante depuis 2003 auprès des services régionaux de l'Inventaire et de collectivités. A réalisé ou participé en tant que prestataire aux opérations suivantes : " Patrimoine des lycées " (avec la collaboration de Frederike Mulot), 2010-2015, " 1% artistiques ", 2019-2020 (avec la collaboration de Valérie Pamart), " Inventaire topographique de deux communes de l'ancien canton de Trévoux " (Pays d'Art et d'Histoire Dombes Saône Vallée, pour la communauté de communes Dombes Saône Vallée), 2019.

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Dossier non géolocalisé

Localisation

Aire d'étude et canton Auvergne-Rhône-Alpes
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Commune Tarare
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Adresse 75 route de Saint-Clément
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Cadastre 2017 AN 173
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Désignation
Historique
Description
Statut, intérêt et protection
Illustrations
Documentation
Liens vers des dossiers associés

Désignation

Dénominations

sculpture

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Historique

L’arrêté agréant Haber Shamaï pour la décoration du lycée mixte polyvalent de Tarare est pris le 9 décembre 1969. Le projet prévoit : près de l’entrée principale du lycée, un ensemble de sculptures en pierre de la région, composé d’un groupe de trois blocs dressés de 3 m de hauteur environ, et d’un groupe de 5 ou 6 blocs de 0,50 m à 1 m de hauteur environ ; et sur le talus de 25 m x 15 m environ situé devant le bâtiment principal, un ensemble de sculptures en pierre de la région, composé d’un groupe de 7 blocs dressés de 2 m à 4 m de hauteur et d’un groupe d’une dizaine de blocs plus petits. Le crédit s’élève à 100.000 F. En 1970, M. Salagnac, architecte du lycée, estime que l’œuvre de Haber Shamaï n’est pas suffisamment importante au regard du projet et du montant du crédit alloué. L’artiste rétorque, dans son courrier du 1er décembre 1970 que « lorsque le projet et les plans [lui] ont été soumis, les talus entourant le bâtiment n’étaient pas ceinturés d’un muret de 40 cm plaqué de pierre. [Son] problème alors a été de [s]’accorder aux modifications et de créer un nouveau rythme en fonction de ces murets. Ainsi les volumes de pierres qui devaient être à l’origine concentrés en deux endroits se transformaient à [ses] yeux en écriture au sol. Voulant conserver l’impact projeté sur la façade du bâtiment, [sa] mission était modifiée et le point final de la composition devenait alors une seule pierre de 15 tonnes posée sur un socle répondant à l’architecture et simultanément jaillissant sur le profil de la montagne faisant face. Il fallait par ailleurs en créer les talus et le bâtiment en éparpillant les autres pierres, en différents endroits, autres que prévus ». Maurice Allemand, Inspecteur principal de la création artistique, préconise que l’architecte et l’artiste se mettent d’accord sur l’emplacement et l’allure générale du complément de décoration à apporter. L’installation est effective en 1971 (AN 19880466/72).

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Période(s)
- Principale : 3e quart 20e siècle , daté par source
Dates
- 1971, daté par source
Auteur(s)
- Auteur :
  Shamaï Haber
  
  Shamaï Haber
  
  Né le 15 février 1922 à Lodz (Pologne). Part en Israël âgé de 12 ans, après 10 ans passés au Luxembourg. S’installe à Paris en 1949.
  
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  sculpteur attribution par source

Description

Devant l’entrée principale et sur toute la longueur des bâtiments, sont disposés deux ensembles de blocs de granite, soit un total de 15 blocs.

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Catégories

sculpture
Matériaux
- granite, taillé
Mesures
- h : 700 cm
- h : 50 cm
Précision représentations
État de conservation
- mauvais état
- mauvaises conditions de conservation
Précision état de conservation

État (2010) : encrassement, colonisation biologique, vandalisme. Les pierres ont subi des dégradations dues aux conditions extérieures mais également quelques actes de vandalisme. À cause de l’humidité et de la pluie, des traces noires sont présentes sur les pierres n° 16, 17, 18, 15, 12, 13, 14, 11, 10, 9, et 8 à 1. Ce qui entraîne la prolifération de mousse jaune, verte, de lichen. Nombreux tags (tipex craie, peinture. Il est possible que le premier groupe de pierres ait été nettoyé au Karcher car les pierres présentent moins de mousse que les autres (c’est d’ailleurs le cas de la sculpture de Bernard Bancillon qui se situe à proximité).

Statut, intérêt et protection

Statut de la propriété

propriété de la région

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Illustrations 24