Plan,
Plan du premier étage- ;
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Pouzadoux HenriPouzadoux Henri
Architecte à Clermont-Ferrand. En 1929, il s'associe à Valéry Bernard. L'écriture de leur réalisation est moderne, notamment au 36 boulevard Jean Jaurès. Ils inaugurent, toujours en 1929, un type d'immeuble à fronton, au n°25, rue Raynaud, modèle que l'on retrouve, en 1933, par les mêmes auteurs au n°13 boulevard Jean-Jaurès (au n°11, en 1931, l'entrepreneur Lucien Mège s'était inspiré de ce modèle). En 1933, au 77 boulevard Jean-Jaurès, l'agrandissement d'un immeuble-maison s'accompagne encore du couronnement de la travée d'entrée par un fronton à redan. En 1936, poursuivant cette collaboration pour l'immeuble du n°4 avenue d'Italie et, en 1937, pour celui du 20 boulevard Jean-Jaurès et le 39 ter avenue de la Libération (tous deux immeubles d'angle), les architectes s'inscrivent alors pleinement dans le vocabulaire moderne.
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Fougère FélicieFougère Félicie
Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
- © Archives communales de Clermont-Ferrand
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Dénomination
- immeuble
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Titre courantPlan
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Légende génériquePlan du premier étage
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Aire d'étudeClermont-Auvergne-Métropole
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CommuneClermont-Ferrand
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Information cadastrale
- 2022 HO 214
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Adresse
- 11 avenue d' Jean-Jaurès
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 2396 21A. [Demande d'alignement immeuble 13 boulevard Jean-Jaurès]. 4 avril 1933.
Architecte, domicilié 9, rue de Ceyrat (maison qu'il édifie). Le n°24 avenue d'Italie, daté de 1913, participe du même esprit (parement en pierre de Volvic, encadrement et bandeau en brique) que le n°12 boulevard Cote-Blatin (plans datés de 1922), bien que ce dernier soit de facture plus modeste. La villa abritant deux logements pour le compte de la société l'union approvisionnement, édifié au 63 boulevard Cote-Blatin en 1923, participe du même esprit. En 1929, les villas jumelées des 23 et 23 bis boulevard Cote-Blatin reflète un style pittoresque empruntant au vocabulaire néo-régionaliste dans lequel des accents modernes peuvent être relevés (ouvertures à pans coupés et décor de tores du n°23). La même année, il s'associe à Henri Pouzadoux. L'écriture se fait plus moderne, notamment au 36 boulevard Jean Jaurès. Ils inaugurent, toujours en 1929, un type d'immeuble à fronton, au n°25, rue Raynaud, modèle que l'on retrouve, en 1933, par les mêmes auteurs au n°13 boulevard Jean-Jaurès (au n°11, édifié en 1931, l'entrepreneur Lucien Mège s'en était inspiré). En 1933, au 77 boulevard Jean-Jaurès, l'agrandissement d'un immeuble-maison s'accompagne encore du couronnement de la travée d'entrée par un fronton à redan. En 1936, poursuivant cette collaboration pour l'immeuble du n°4 avenue d'Italie, et, en 1937, pour celui du 20 boulevard Jean-Jaurès et le 39 ter avenue de la Libération (tous deux immeubles d'angle), les architectes s'inscrivent alors pleinement dans le vocabulaire moderne. Valéry Bernard produit encore en 1955 les plans d'une modeste maison sise au n°11 boulevard Cote-Blatin (surélevée à la fin du XXe siècle).