Dossier d’œuvre architecture IA63002862 | Réalisé par
Fougère Félicie (Contributeur)
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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  • inventaire topographique, La ceinture des boulevards de Clermont-Ferrand
Ensemble de deux immeubles
Œuvre étudiée
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Clermont-Auvergne-Métropole
  • Commune Clermont-Ferrand
  • Adresse 11 boulevard Jean-Jaurès , 13 boulevard Jean-Jaurès
  • Cadastre 2022 HO 215 1ière feuille ; 2022 HO 214 1ière feuille ; 1831 L 324 1ière feuille
  • Dénominations
    immeuble

1. Le lotissement, une séquence urbaine

Le projet de lotissement déposé en 1931 par M. Maradeix est accepté par délibération du Conseil municipal le 15 janvier 1932. Il comprend les actuelles parcelles HO 213 à 216. Le plan de lotissement propose un découpage en trois lots qualifiés d'approximatifs dans le cahier des charges reproduit en annexe. De fait, on observe un glissement du découpage afin que le lot b puisse être scindé en deux parcelles. L'actuelle parcelle HO 215 gagne deux mètres sur sa voisine orientale. La demande de permis de construire de l'immeuble n°11 qui l'occupe date du 11 mars 1931. L'immeuble du n°13 est édifié en 1933. On peut supposer que le terrain du lot b, en grande partie déjà occupé par le n°11, n'était pas suffisant. L'actuelle parcelle HO 214 s'est donc constituée en repoussant la limite occidentale du lot b au point que la ligne de partage orientée au sud-ouest rejoigne le bout de la ligne occidentale du lot a donnant ainsi à l'actuelle parcelle HO 213 une forme de triangle scalène. Il était alors à craindre que le lot a, ainsi déformé par l'élargissement de sa voisine, ne trouve pas preneur. Cependant, une maison y est édifiée en recul d'alignement en 1936 et, en 1948, l'ensemble de la surface est investi. Le devant de parcelle accueille un commerce donnant sur le boulevard, la pointe du triangle loge la paneterie et le débarras d'une boulangerie. La contrainte qu'exerce la morphologie de la parcelle reste perceptible par la rupture d'échelle de cette maison mixte (commerce en rez-de-chaussée et logement à l'étage) flanquée de deux immeubles plus hauts qu'elle. Elle s'inscrit donc en creux par rapport à ses mitoyens. En 1955, l'immeuble du n°9 achève l'aménagement des parcelles du lotissement. Les ruptures de rythme observées tant pour le n°15 que pour le n°9 (à gauche de l'image : orientation latérale par rapport au boulevard et rez-de-chaussée aveugle, comblement du retrait d'alignement par des galeries, voir dossier IA63002861) rendent d'autant plus perceptible l'uniformité des immeubles des n°11 et 13.

2. Filiation architecturale

Le n°11 est édifié en 1931 par l'entrepreneur Lucien Mège. Le n°13 est construit par la suite, en 1933, par les architectes associés Valéry Bernard et Henri Pouzadoux. On pourrait penser que les architectes se sont inspirés de la réalisation de l'entrepreneur. Ce serait sans compter une précédente œuvre dans le même esprit, signée des deux associés, en 1929, au 25 rue Raynaud. Ainsi, c'est l'entrepreneur qui semble s'être inspiré de la réalisation des architectes pour dessiner le n°11 boulevard Jean-Jaurès. Les architectes, sollicités pour édifier le n°13, poursuivent sur cette lancée déjà expérimentée et, loin de prendre ombrage de l'emprunt formel, délègue la maçonnerie à Lucien Mège. On entrevoit par cet emprunt croisé d'une même solution architecturale la porosité entre les corps de métier d'architecte et d'entrepreneur.

Ce type de bâtiment à travée en légère saillie et à couronnement polygonal peut être vu comme un dérivé simplifié des immeubles à lucarne-pignon couronnant une travée en saillie garnie de balcons. Ernest Pincot est l'auteur de deux édifices de ce type, au n°11 boulevard Fleury en 1925 (voir dossier IA63002789) et 18 rue Raynaud en 1926 (pour ce dernier le projet de départ ne correspond pas à la réalisation effective, il aurait sans cela échapper à la série1). En 1929, l'architecte J. Bertrand en donne une variante contrainte par l'étroitesse de la parcelle, à moins que ce ne soit cette contrainte qui le pousse à adopter cette solution architecturale2. Le 25 rue Raynaud, datant également de 1929, peut être perçu comme une étape intermédiaire : la simplification s'exprimant par la diminution du développement du bâtiment (une travée de moins) ainsi que dans le remplacement de la lucarne-pignon par un couronnement polygonal de la travée à balcons et serlienne3. Il est possible d'expliquer la disparition de la lucarne-pignon par la raréfaction des logements de domestiques sous les combles, ainsi que cela était encore d'usage au n°11 boulevard Fleury et au n°18 rue Antoine-Raynaud. Cependant, l'intention formelle perdure : on retrouve la travée couronnée à balcons, les décors de trumeaux en brique et à cannelures ainsi que, concession à la tradition régionale, les allèges au décor de moellons à têtes dressées alvéolés. Enfin, la simplification de l'expression architecturale s'établit avec les n°11 et 13 du boulevard Jean-Jaurès pour lesquels la saillie de la travée couronnée s'évanouit tandis que le rez-de-chaussée ne reçoit plus de traitement spécifique. La visibilité de ces deux édifices s'établit ainsi autant par le contexte urbain dans lequel ils se placent (leurs mitoyens marquant chacun une rupture de rythme) que par le fait qu'ils s'inscrivent dans un courant architectural observable dans les années 1920-1930.

1Ce phénomène rend par ailleurs la lecture des plans quelque peu délicate..2La similitude formelle étant de plus contredite par la fonction puisque l'édifice n'est pas un immeuble mais une maison.3La transition au niveau de toit s'effectue tant par la reprise de la forme polygonale du fronton en ressaut d'encadrement de la baie que par le caractère légèrement passant de cette dernière. Comme si, en définitive, la lucarne-pignon était tombée du toit pour devenir simple baie de façade.

M. Maradeix dépose un projet de lotissement en 1930. Cependant, les obligations de branchement d'eau et de cession de terrain à la Ville pour l'ouverture de la rue Léon-Bourgeois l'amène à retirer son projet. En 1931, il dépose à nouveau un projet de lotissement, accepté par délibération du Conseil municipal le 15 janvier 1932. La demande de permis de construire de l'immeuble du n°11 se place entre les dates des deux projets (11 mars 1931). De fait, en septembre 1931, le service d'urbanisme de la Ville s'émeut de recevoir des réclamations d'acquéreurs de lots sollicitant des branchements d'eau. La municipalité constate par conséquent que le lotisseur a agi hors des cadres légaux et le rappelle à l'ordre (voir courrier en annexe). L'immeuble du n°13 est édifié en 1933 et le certificat d'achèvement des travaux date du 15 avril 1934.

  • Période(s)
    • Principale : 2e quart 20e siècle , daté par source
  • Dates
    • 1931, daté par source
    • 1933, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Bernard Valéry
      Bernard Valéry

      Architecte, domicilié 9, rue de Ceyrat (maison qu'il édifie). Le n°24 avenue d'Italie, daté de 1913, participe du même esprit (parement en pierre de Volvic, encadrement et bandeau en brique) que le n°12 boulevard Cote-Blatin (plans datés de 1922), bien que ce dernier soit de facture plus modeste. La villa abritant deux logements pour le compte de la société l'union approvisionnement, édifié au 63 boulevard Cote-Blatin en 1923, participe du même esprit. En 1929, les villas jumelées des 23 et 23 bis boulevard Cote-Blatin reflète un style pittoresque empruntant au vocabulaire néo-régionaliste dans lequel des accents modernes peuvent être relevés (ouvertures à pans coupés et décor de tores du n°23). La même année, il s'associe à Henri Pouzadoux. L'écriture se fait plus moderne, notamment au 36 boulevard Jean Jaurès. Ils inaugurent, toujours en 1929, un type d'immeuble à fronton, au n°25, rue Raynaud, modèle que l'on retrouve, en 1933, par les mêmes auteurs au n°13 boulevard Jean-Jaurès (au n°11, édifié en 1931, l'entrepreneur Lucien Mège s'en était inspiré). En 1933, au 77 boulevard Jean-Jaurès, l'agrandissement d'un immeuble-maison s'accompagne encore du couronnement de la travée d'entrée par un fronton à redan. En 1936, poursuivant cette collaboration pour l'immeuble du n°4 avenue d'Italie, et, en 1937, pour celui du 20 boulevard Jean-Jaurès et le 39 ter avenue de la Libération (tous deux immeubles d'angle), les architectes s'inscrivent alors pleinement dans le vocabulaire moderne. Valéry Bernard produit encore en 1955 les plans d'une modeste maison sise au n°11 boulevard Cote-Blatin (surélevée à la fin du XXe siècle).

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Pouzadoux Henri
      Pouzadoux Henri

      Architecte à Clermont-Ferrand. En 1929, il s'associe à Valéry Bernard. L'écriture de leur réalisation est moderne, notamment au 36 boulevard Jean Jaurès. Ils inaugurent, toujours en 1929, un type d'immeuble à fronton, au n°25, rue Raynaud, modèle que l'on retrouve, en 1933, par les mêmes auteurs au n°13 boulevard Jean-Jaurès (au n°11, en 1931, l'entrepreneur Lucien Mège s'était inspiré de ce modèle). En 1933, au 77 boulevard Jean-Jaurès, l'agrandissement d'un immeuble-maison s'accompagne encore du couronnement de la travée d'entrée par un fronton à redan. En 1936, poursuivant cette collaboration pour l'immeuble du n°4 avenue d'Italie et, en 1937, pour celui du 20 boulevard Jean-Jaurès et le 39 ter avenue de la Libération (tous deux immeubles d'angle), les architectes s'inscrivent alors pleinement dans le vocabulaire moderne.

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Mège Lucien
      Mège Lucien

      Entrepreneur à Clermont-Ferrand dans les années 1930, domicilié au 10 rue de Rabanesse. Auteur de l'immeuble du 11 boulevard Jean-Jaurès.

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      entrepreneur attribution par source

Les immeubles des n°11 et 13 boulevard Jean-Jaurès sont implantés au devant de deux parcelles trapézoïdales dont l'arrière abrite respectivement un jardin et une cour servant de parking. L'arrière des parcelles est délimité par une diagonale nord-est sud-ouest correspondant à l'ancien lit d'un ru, chevelu participant du réseau du bras sud de la Tiretaine (visible sur le plan de lotissement de 1931). Cette limite est à présent occupée par les garages d'une résidence de cœur d'îlot. Les façades sont implantés en alignement régulier le long du boulevard. Une terrasse faîtière permet à l'élévation postérieure d'être parallèle à la ligne de fond de parcelle, donnant aux bâtiments un plan en trapèze et provoquant un surhaussement des pignons (on le devine sur la photographie aérienne de 1965, les bâtiment sont placés en vis-à-vis du stade nautique). Enfin le décalage d'implantation des deux bâtiments provoque l'émergence d'un pignon d'alignement et le différentiel de hauteur avec le mitoyen occidental engendre un mur d'héberge. L'ensemble de ces phénomènes sont perceptible sur l'image représentant l'enfilade de garages en arrière des parcelles, les élévations postérieures des deux immeubles se situant à l'arrière-plan.

Malgré la position centrale et non d'extrémité de la travée couronnée, la façade de l'immeuble du n°11 a de nombreux liens de parenté avec le n°25 rue Antoine-Raynaud (Valéry Bernard et Henri Pouzadoux architectes). Les baies en triplet évoquant des serliennes de la travée couronnée ouvrent sur des balcons ; le couronnement se présente comme un fronton polygonal surélevé et son tympan est orné d'un cartouche aux coins rabattus à motif floral ; le décor des allèges alvéolé est associé au linteau à crossettes des baies du dernier niveau. La simplification du dessin de façade concerne essentiellement le rez-de-chaussée. Au n°25 rue Antoine-Raynaud, l'arc en plein-cintre de la baie est flanqué d'un décor de briques à talons, un bossage en table encadre les baies et la menuiserie de la porte d'entrée est soignée (décor floraux et cannelures sur les éléments traités en pilastres). Le bossage en table du n°11, à peine perceptible sous le badigeon framboise, peine à lier entre eux les trois ouvertures hétérogènes que sont une porte d'entrée sans traitement spécifique, une fenêtre simplement pourvue d'un garde-corps en ferronnerie et une devanture de commerce en léger recul (il s'agissait à l'origine d'un garage). L'horizontalité qu'imprimaient, au n°25 rue Antoine-Raynaud, le couronnement de travée et la liaison des niveaux par les décors d'allèges est également lisible au n°11 bien que manifestement contrariée par l'absence d'ordonnancement des éléments du rez-de-chaussée. La simplification du motif de façade est peut-être encore plus sensible au n°13 boulevard Jean-Jaurès (Valéry Bernard et Henri Pouzadoux architectes). La travée couronnée est replacée à l'extrémité mais perd la superposition des balcons, seul le premier étage en étant pourvu, ainsi que le motif figuratif du cartouche de tympan au profit d'un décor de cannelures. Les décors d'allèges et le bossage du rez-de-chaussée ont été éliminés. Pour autant, la composition prend un tour plus cohérent que celle du n°11. Les lignes horizontales servent ici l'effet pyramidal du couronnement de travée. Le sous-bassement en opus incertum d'une couleur sombre de pierre de Volvic est marqué de ressauts menant le regard vers le bas de la travée couronnée ; au niveau supérieur, le linteau du passage vers la cour, ponctué de claustras en terre cuite, rappelle le bandeau de céramique ornant le dernier niveau de la travée couronnée. Sur cette dernière, l'absence de surélévation du fronton et la reprise de son profil par le cartouche du tympan, le sens vertical des cannelures d'ornement aussi bien que les filets d'enduit sur le crépi montant par degré, permettent que la verticalité ne s'oppose pas à l'horizontalité des deux autres travées. Le regard monte par degré, comme si l'ensemble de la façade était animé de trois lignes en ressaut. On peut estimer que s'épanouit alors une rationalisation maîtrisée.

Le n°11 est organisé selon un schéma usité pour les immeubles-maisons à trois travées (on le retrouve par exemple au n°11 et 54 avenue d'Italie) : la porte d'entrée à l'une des extrémités commande à un couloir, au milieu duquel s'ouvre la cage d'escalier, permettant de rejoindre le jardin arrière (plan du rez-de-chaussée). L'aménagement des appartements double avec couloir accuse une légère différence due au traitement distinct de la travée droite formant une saillie sur jardin. Dans l'appartement du premier étage, elle loge la salle de bain tandis qu'au second, elle s'ouvre en terrasse. La salle de bain est alors aménagée dans le corps de bâtiment, de plain pied avec la terrasse. Le gain d'espace intérieur dont bénéficie le premier étage permet d'installer un salon et une salle à manger sur rue, cette dernière occupant la travée centrale équipée d'un balcon. Le premier étage y perd le salon mais conserve la salle à manger en travée couronnée à balcon. Dans l'immeuble du n°13, la travée d'entrée avec couloir est remplacée par un passage permettant aux automobiles de gagner la cour arrière aménagée en parking. La porte d'entrée ouvrant sur la cage d'escalier est par conséquent implantée de façon latérale (plan du rez-de-chaussée). L'appartement du premier étage double avec couloir repend le motif de la salle à manger et du balcon sur rue, la première disposant du balcon de la travée couronnée. Le schéma d'occupation est cependant plus proche de celui du n°25 rue Antoine-Raynaud que du n°11 boulevard Jean-Jaurès par l'implantation de la salle de bains sur rue. L'endroit par lequel l'immeuble du n°13 s'écarte du modèle des autres immeubles de même type est le second étage. Par lui, l'édifice ne correspond plus à la catégorie des immeubles-maison mais à celle des immeubles à deux appartements traversants par étage dans sa forme dissymétrique. L'appartement de droite est privilégié par la présence d'une salle à manger installée dans la travée couronnée bien qu'elle soit dépourvue de balcon. La perte de la superposition des balcons en travée couronnée, superposition qui jusque-là était systématique, s'explique donc par le traitement différent des espaces intérieurs : le second abrite des logements plus modestes auxquels on refuse cette distinction. Les appartements sont plus réduits, celui de gauche ne dispose que de deux pièces, une chambre sur cour et une cuisine sur rue, ce qui constitue là encore une déviance par rapport au modèle voulant que les cuisines soient toujours rejetées à l'arrière, tandis que celui de droite, comptant trois pièces et un office, n'a qu'une seule chambre. On peut également noter l'absence de salles de bains, ce qui se rencontre encore assez fréquemment au début des années 1930, et surtout la présence d'un cabinet d'aisance commun sur le palier, ce qui à cette époque dénote un défaut de confort manifeste. L'immeuble du n°18 rue Antoine-Raynaud faillit d'ailleurs être pourvu d'une surélévation assez similaire dans l'esprit. En 1972, il était prévu de surhausser les combles abritant à l'origine des chambres de bonne. Dans ce scénario, la lucarne-pignon ouvrait sur un studio comprenant un coin cuisine et des sanitaires. Les trois autres travées étaient aménagées en chambres ne disposant que d'une salle de bains et d'un cabinet d'aisance communs. Le projet fut rejeté pour dépassement des hauteurs autorisées dans la rue Antoine-Raynaud. Cependant, nous pouvons ainsi envisager que le type de logement jusque-là dévolu aux domestiques et situé dans les combles est dès les années 1930 proposé dans les étages à des personnes indépendantes de la maisonnée, ceci avant que ne se généralise le modèle des studios tout équipés qui gagneront potentiellement l'ensemble de l'immeuble (voir dossier IA63002796 et IA63002839).

  • Murs
    • moellon crépi
  • Toits
    tuile
  • Étages
    sous-sol, rez-de-chaussée, 2 étages carrés
  • Couvrements
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • toit à longs pans
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour suspendu
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée

Documents d'archives

  • AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 636 17A. [Demande d'alignement immeuble 11 bd Fleury]. 1925.

    AC Clermont-Ferrand : O216 636 17A
  • AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 2113 17A. [Demande d'alignement immeuble 18 rue Raynaud]. 1er juin 1926.

    AC Clermont-Ferrand : O216 2113 17A
  • AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 754 19A. [Demande d'alignement immeuble 25 rue Raynaud]. 1929.

    AC Clermont-Ferrand : O216 754 19A
  • AC Clermont-Ferrand. 2074 W 104. Lotissement Maradeix, boulevard Jean-Jaurès. 1931.

    AC Clermont-Ferrand : 2074 W 104
  • AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1350 20A. [Demande d'alignement immeuble 11 boulevard Jean-Jaurès].11 mars 1931.

    AC Clermont-Ferrand : O216 1350 20A
  • AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 2396 21A. [Demande d'alignement immeuble 13 boulevard Jean-Jaurès]. 4 avril 1933.

    AC Clermont-Ferrand : O216 2396 21A
  • AC Clermont-Ferrand. PC 9528. [Demande de permis, surélévation immeuble 18 rue Raynaud (refusé)]. 1972.

    AC Clermont-Ferrand : PC 9528

Documents figurés

  • Aménagement du rez-de-chaussée de l'immeuble existant et transformation de l'appartement du 1er étage [Plan du rez-de-chaussée, boulangerie] / Mairie de Clermont-Ferrand. AC Clermont-Ferrand. Novembre 1948. Dess. ext. de [liasse d'archives] Demande d'alignement, aménagement boulangerie, 15 boulevard Jean-Jaurès, AC Clermont-Ferrand, série O216 : 1199 27A.

    AC Clermont-Ferrand : O216 1199 27A
  • [Boulevard Jean-Jaurès, secteur stade nautique Coubertin] / [extrait d'une vue aérienne] IGN, mission n°4058, réf. C2531-0201_1965_CDP5227_4058. 1 : 1779. 1er juillet 1965. Photogr. pos.

    IGN : C2531-0201_1965_CDP5227_4058

Annexes

  • Cahier des charges - projet Maradeix, boulevard Jean-Jaurès
  • Courrier au préfet, lotissement Maradeix, 22 septembre 1931
Date(s) d'enquête : 2024; Date(s) de rédaction : 2025
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Fougère Félicie
Fougère Félicie

Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

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Articulation des dossiers
Fait partie de