Photographe. Participe ponctuellement à l'illustration de dossiers d'inventaire.
- inventaire topographique, La ceinture des boulevards de Clermont-Ferrand
- © Fonds privé
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Clermont-Auvergne-Métropole
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Commune
Clermont-Ferrand
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Adresse
boulevard Jean-Jaurès
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Dénominationsboulevard
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Parties constituantes non étudiéessquare
I. Ouverture et édification du boulevard
1. Modalités de percement de la voie
Le boulevard Jean-Jaurès forme le tronçon médian de ce qui, à l'origine, était dénommé le "boulevard sud" ou bien encore le chemin vicinal ordinaire n°108. Les décisions administratives et plans d'alignement comprennent par conséquent l'ensemble des boulevards menant du pont de Naud au carrefour des boulevards Pasteur et Duclaux. La Commission départementale du 18 décembre 1913 approuve le projet et le tracé (l'arrêté préfectoral d'approbation du plan d'alignement intervient à la même date).
Les industries du boulevard Cote-Blatin (dossier IA63002794), qui profitaient de la proximité de la voie ferrée, ont cédé la place, sur l'ensemble du tracé du boulevard Jean-Jaurès, à des terres agricoles ou des jardins maraîchers délimités par des murs de clôture et des "rases"1. Le plan parcellaire du boulevard, daté de 1926, reflète une césure du mode d'acquisition des terrains : la partie orientale du boulevard comprise entre la rue de Rabanesse et l'avenue Marx-Dormoy (anciennement avenue de Boisséjour) traverse des terrains acquis par la Ville, par conséquent vierges des noms des propriétaires, tandis qu'à l'ouest, jusqu'à la rue des Salins, les numéros cerclés, indiquant des acquisitions à négocier auprès des propriétaires, se multiplient. Le plan de chronologie des cessions illustre ce phénomène (en rouge les terrains impliqués dans la procédure d'expropriation en 1928). A l'ouest, la seule bande cédée dans la première moitié des années 1920 (en vert sur le plan) s'explique par la présence d'un terrain appartenant à la société Bernheim, spécialisée dans la revente du foncier à la parcelle, phénomène de lotissement pour lequel l'ouverture d'une voie dûment viabilisée représente une opportunité. La variation morphologique des parcelles est similaire d'un bout à l'autre du tracé, d'étroites lanières alternant avec de plus vastes emprises ; le boulevard les affecte différemment, allant d'un simple rognage à un partage par le milieu voire, pour les plus exiguës, à la disparition pure et simple. Cela ne paraît pas expliquer le clivage entre la partie cédée à l'est et la partie acquise dans un contexte d'expropriation à l'ouest. On peut cependant souligner que les négociations, intervenant en 1928, impliquent souvent la présence de bâtis ou de terres agricoles susceptibles d'être loués. Ce qui s'évanouit avec la destruction des immeubles ou l'éventration des parcelles est un modèle économique permettant à de modestes propriétaires d'obtenir une petite rente ou à des propriétaires terriens plus aisés de tirer quelques revenus de la location des terres agricoles. La famille Rochette de Lempdes disposait d'une vaste parcelle qu'elle louait à un horticulteur organisant lui-même des sous-locations réparties entre 16 personnes. L'emprise du boulevard passant en milieu de parcelle ne laisse plus le loisir d'user ainsi de ces terres. Autre exemple, le locataire2 de la maison située dans le parc du château de Vallières bénéficiait d'un "rez-de-chaussée à usage de garage et un premier étage comportant un logement de deux pièces." La proximité d'une demeure non plus que le mode de construction comprenant chaîne d'angle et encadrement de baies en pierre de taille n'empêchent la modestie de l'installation. Là encore, le propriétaire de la demeure, qualifiée de château, applique une logique de petits profits. Les revenus tirés de la location sont parfois un soutien pour les vieux jours. Une veuve, propriétaire d'un immeuble situé à l'angle sud-ouest de l'avenue Marx-Dormoy (anciennement avenue de Boisséjour), dont il est dit qu'il est "en maçonnerie, couverture en tuiles mécaniques, sans cave ni grenier", pourvu de deux pièces par niveau (rez-de-chaussée et étage) indiquées sur un plan schématique comme étant une cuisine et une chambre, pouvait à la fois habiter et louer une partie de son bien. Ce cas de figure est bien confirmé s'agissant de l'immeuble à démolir situé près du carrefour de la rue des Salins. La propriétaire, veuve d'un jardinier, insiste sur les murs en bonne maçonnerie, la cave voutée et le vaste hangar afin d'obtenir une meilleure indemnité, reconnaissant par ailleurs le caractère "un peu vétuste" du bâtiment. L'immeuble se compose d'un rez-de-chaussée de deux pièces (cuisine et chambre) occupé par des locataires tandis que l'étage, aménagé de même manière, est réservé à la propriétaire. Il est probable que les cabinets d'aisance, représentés sur le plan du rez-de-chaussée, aient été communs, cependant qu'intégrés au bâti ils offraient le confort de n'avoir pas à user d'un cabanon au fond du jardin. La veuve dispose en outre d'une parcelle en jardin qu'elle loue à des fermiers. Son courrier à la Ville (versé en annexe) évoque la nécessité de trouver un nouveau logement dont elle espère qu'il aura, comme l'actuel, deux grandes pièces "bien aérées avec une vue très étendue à l'est et au sud". Ce qui, au regard des normes mises en place au milieu du XXe siècle, apparaît comme un logement rudimentaire est alors décrit sous l'angle de l'agrément. La Ville souligne, au cours des négociations, qu'il faut prendre en compte la valorisation d'un foncier donnant sur un boulevard viabilisé. Ce faisant, elle évoque une économie reposant sur l'investissement que des personnes sans capitaux peuvent difficilement envisager.
Le décalage chronologique d'acquisition des parcelles, dont l'avenue Marx-Dormoy marque le verrou (acquisition entre 1920 et 1926 à l'est, procédure d'expropriation en 1928 à l'ouest), s'accompagne de l'ouverture de l'extrémité orientale dans la foulée de l'achèvement du boulevard Cote-Blatin (dont à l'origine ce tronçon devait d'ailleurs faire partie). Dans un premier temps, le boulevard s'achève donc en cul-de-sac au carrefour de l'avenue Marx-Dormoy comme l'illustre un plan dressé sur un fond de 1925 (le tronçon entre l'avenue de l'avenue de la Libération et l'avenue Marx-Dormoy n'est encore qu'esquissé). En 1933, la vague d'édification à l'ouest de ce carrefour jusqu'à la place Littré indique la poursuite de l'ouverture.
2. Modalités d'édification
Le plan d'occupation des parcelles en 1920 présente un secteur à la physionomie campagnarde. L'emprise du boulevard projeté rejoint la rue de Rabanesse à l'est, la rue des Salins à l'ouest et est traversée que l'avenue de la Libération (anciennement avenue de Beaumont), la rue Marmontel, l'avenue Marx-Dormoy (anciennement avenue de Boisséjour), trois écheveaux d'une traversante dirigée vers le sud, et la rue de Vallières, ancien chemin au cours sinueux. Le bâti est rare3. Trois constructions ont effacé des édifices préexistants au boulevard4 ; un nombre presque aussi réduit de substitutions est intervenu sur des bâtiments construits après l'ouverture du boulevard. L'écrasante majorité des constructions toujours visibles à l'heure actuelle a, par conséquent, été édifiée ex-nihilo après l'ouverture du boulevard. 83% d'entre elles ont été érigées entre le début des années 1930 et la fin des années 1960. Au sein même de cette période de construction, l'essentiel (57%) date des années 1930. Sur le plan d'occupation des parcelles en 1940, on constate que les terrains vierges de construction se concentrent au nord-ouest, à l'emplacement du futur stade nautique, et aux abords de la place Littré tandis que cette dernière a commencé à se structurer par la construction de l'église, du presbytère et de l'école ménagère et par le percement des rues Drelon et Henri-Rivière. Le plan d'occupation des parcelles en 1970 illustre l'achèvement du processus d'urbanisation : la rue Roberval termine de régulariser l'accès à la place Littré, la rue Pierre-de-Coubertin délimite le stade nautique prolongé sur le boulevard par le square du même nom. Seule l'une des cinq constructions réalisées entre 1970 et nos jours comble une dent creuse5, les autres étant des substitutions d'immeubles6.
En 1935, les terrains à l'est du boulevard sont encore peu investis (voir plan d'édification des parcelles en 1935). On note la présence de trois édifices dont une villa (au n°7, détruite en 1980, dossier IA63002861) et deux immeubles d'enveloppe modeste (n°11 et 13, dossier IA63002862). Les carrefours de l'écheveau de traversantes, actuelles avenue de la Libération, rue Marmontel et avenue Marx-Dormoy, sont marqués par des édifices datant de la seconde moitié des années 1920, généralement implantés de façon autonome, auxquels commencent à s'ajouter quelques immeubles. Une série d'immeubles mitoyens part du carrefour de l'avenue Marx-Dormoy et s'étend vers l'ouest jusqu'à la place Littré : les terrains expropriés en 1928 répondent ici à une logique d'expansion urbaine en élan resserré dans les années 1933 et 1934. La place Littré ne comprend que l'église sainte Jeanne-d 'Arc et les bâtiments afférents (presbytère et ancienne école ménagère, dossier IA63002871). A l'extrémité occidentale du boulevard, les plus anciens édifices bordent la rue de Vallières (pour l'historique de la transformation de ce secteur, voir dossier IA63002874). En 1940, l'urbanisation entre les voies traversantes se poursuit, commençant à gagner les abords de l'actuel stade nautique. Entre 1940 et le début des années 1970, l'extrémité orientale achève de se combler. La place Littré et le boulevard à l'ouest de cette dernière offrent un panel de modes d'urbanisation : la construction par éléments autonomes que sont les barres d'une résidence occupant deux îlots sur la place Littré, une édification par comblement d'espaces vides caractéristique d'un urbanisme spontané, enfin une bande d'édification mitoyenne du début des années 1950, expression d'un lotissement le long de l'impasse portant les numéros 81b à 81e boulevard Jean-Jaurès.
II. Séquences urbaines
1. Perception des espaces urbains
Afin de figurer la perception d'un piéton se trouvant sur la voie publique, nous inversons en plan les codes de représentation graphique, reprenant ainsi une expérience opérée par Bruno Zervi7. Le piéton ne perçoit que les espaces ouverts : la voie sur laquelle il se trouve (représentée en noir), les espaces urbains dans lesquels il peut pénétrer (en gris foncé) et les espaces privés clôturés libres de construction (en gris clair). Les édifices ne sont perceptibles que par leur façade et leur masse masque les arrières de parcelles ou les coeurs d'îlot (en blanc). Lorsque nous déambulons sur le ruban noir de la rue et que nous ne percevons que les façades des bâtiments, nous sommes entourés par le blanc des espaces inaccessibles. L'alignement du bâti est alors parfaitement régulier. En revanche, si le front de façade est entaillé par des décrochements ou des aplats de couleur grise, l'alignement connaît des ruptures.
Au sud du boulevard, nous observons trois voies irrégulières, colorées en gris ou en noir, que l'on peut physiquement parcourir sans que l'on soit entièrement certain d'être encore dans l'espace public. A l'ouest, la première de ces voies s'ouvre en face du square Pierre-de-Coubertin. Le plan d'Aménagement, d'Embellissement et d'Extension (1925, plan dit Cornudet) prévoyait un quadrillage orthonormé en lieu et place du stade nautique et du square. L'abandon de ce projet, également visible sur les plans de la Ville, laisse un décrochement en face du square, à l'embouchure de ce qui aurait dû être la rue Léon-Bourgois. Transformé en voie de desserte des garages de cœur d'îlot, ce cheminement certes privé mais non clôturé, opère un coude à l'ouest pour gagner la rue du Tonnet (voir dossier de l'immeuble au n°9 boulevard Jean-Jaurès, IA63002861). La rue Maréchal-Lyautey, dont le départ s'ouvre entre l'avenue Marx-Dormoy et la rue de Vallières, obéit à un phénomène assez similaire. Issue d'une modification du plan dit Cornudet qui prévoyait une voie en diagonale de l'îlot, projet abandonné par la Ville en 1931 (faisant à ce titre parti des voies colorés en rose sur le plan des réalisations Cornudet), la rue Maréchal-Lyautey, dont le plan d'alignement date de 1934, provoque l'écart observable entre les immeubles des n°55 et n°57, le premier surmontant la mince voie par un mur aveugle, le second étant pensé comme un immeuble d'angle de rue (voir dossier IA63002811). En réalité, la rue se présente comme un chemin enherbé, que l'on hésite par conséquent à emprunter craignant une impasse, longeant le mur du fond des parcelles pour déboucher sur l'avenue Marx-Dormoy. La lettre de réclamation des habitants de l'îlot éclaire la réaction spontanée d'habitants confrontés à une urbanisation rapide (la construction des immeubles donnant sur le boulevard est concentrée dans les années 1933 et 1934) cherchant à ordonner ce qui s'apparente encore à la dispersion d'implantation faubourienne mal adaptée au nouveau contexte urbain (voir courriers en annexe). En l'absence de plan d'aménagement global ou de projet de lotissement ouvrant des voies de desserte, la Ville peine à s'adapter à la demande de ses administrés. Ainsi, la rue Maréchal-Lyautey ne voit le jour que sous la forme embryonnaire qu'on lui connaît encore aujourd'hui, quant à la rue Louis-Barthou coupant l'îlot en parallèle du boulevard, prévue dès 1934, elle ne sera ouverte qu'au début des années 1980. Le dernier cas de cheminement incertain est une impasse desservant un lotissement. Elle se situe à l'extrémité occidentale du boulevard, entre la rue Gerbert à l'est et la rue de Bellevue à l'ouest. Les deux constructions côté boulevard datent d'avant l'ouverture de ce dernier (1914 et 1929). Elles présentent un retrait oblique par rapport au boulevard et sont entourées de jardins (en gris clair sur le plan). La vaste emprise d'un îlot au cœur occupé par une scierie et des jardins offre la possibilité d'un lotissement8, réalisé au début des années 1950, sans que pour autant une rue traversante ne soit ouverte. La voie de desserte paraissant un chemin privé en appendice au boulevard Jean-Jaurès en garde l'adresse et adopte une numérotation déclinée par minuscule (de 81b à 81e). On peut donc considérer que cette impasse reflète, comme la rue Maréchal-Lyautey, la difficile adaptation de la morphologie faubourienne à l'urbanisation inauguré par le boulevard.
Les ruptures d'alignement par des cours ou jardins (en gris clair sur le plan) ont diverses origines. La première, déjà évoquée à l'extrémité occidentale9 du boulevard, est le fait de constructions antérieures à l'ouverture du boulevard qui, par conséquent, n'adhérent pas au tracé de la voie. La seconde est une persistance de la morphologie parcellaire antérieure à l'ouverture du boulevard, phénomène qui s'observe entre la place Littré et le boulevard Joseph-Girod. Lorsque le tracé percute des parcelles en biais, il peut arriver que les constructions, pourtant contemporaines du boulevard, gardent l'orientation héritée du parcellaire précédent. Les immeubles des numéros 45 à 53 sont implantés en recul oblique, l'architecte privilégiant la forme rectangulaire du bâti à une façade à l'alignement. Seul le n°47, construit un an après ses mitoyens (1934), adopte une forme trapézoïdale développant une façade à l'aplomb du trottoir. Il en résulte des espaces triangulaires sur voie aménagés en courette ou jardinet. Le propriétaire de l'immeuble du n°51 profite du triangle vacant pour y édifier un commerce en rez-de-chaussée sans que pour autant l'alignement ne sont totalement régularisé10. Le découpage en biais du parcellaire peut également laisser des résidus triangulaires le long du boulevard. Ainsi, du n°28, au nord-ouest du carrefour avec l'avenue de la Libération, auquel répond, au sud-est de ce même carrefour, la cour triangulaire du n°25 tandis que la parcelle mitoyenne (n°41 avenue de la Libération, commerce de motoculture), moins affectée par le boulevard, conserve son orientation biaise d'origine (voir dossier IA63002809, IA63002864 et IA63002865). Enfin, troisième cas de figure, les espaces libres perceptibles depuis la voie sans être pour autant ouverts au parcours peuvent traduire une volonté d'autonomiser le bâti par rapport à la voie (en gris clair autour de la place Littré). Traditionnellement réservée aux édifices publics emprunts d'une certaine monumentalité, comme c'est ici le cas pour l'église sainte Jeanne-d 'Arc et les bâtiments qui y sont rattachés (presbytère et ancienne école ménagère, voir dossier IA63002871), l'édification en rupture d'alignement est utilisée, au cours de la seconde moitié du XXe siècle, pour des immeubles d'habitation. On entendait magnifier l'édifice cultuel en dégageant ses abords et en le dotant d'un parvis qui, au-delà de la place, répondait sans doute au château de Vallières. Avec la résidence construite sur l'emprise du château, le dégagement des abords est opéré sans connexion avec l'espace urbain puisque les deux barres d'immeubles n'offrent au vis-à-vis de l'église que leurs murs pignons qui plus est aveugles.
2. Perception des cassures de rythme
L'histoire urbaine se concrétise parfois dans des formes attirant l'œil par les irrégularités qu'elles impriment aux édifices. Les pignons d'alignement et les murs aveugles (traits rouges et traits noirs sur le plan des irrégularités et des cassures de rythme) se constituent volontiers en fossiles de projets de voirie avortés ou modifiés. Ils peuvent également être des cicatrices de coupures du parcellaire ancien. Ainsi les pignons d'alignement des immeubles des n°20 et 22 du boulevard, implantés à l'angle de la rue Pierre-de-Coubertin, rappellent que cette dernière devait adopter un tracé rectiligne jusqu'au boulevard François-Mitterrand lors même qu'elle suit à présent une courbe la ramenant à l'avenue de la Libération. Le mur aveugle du n°55 signale le départ sans avenir de la rue Maréchal-Lyautey. Les pignons d'alignement qui ponctuent les immeubles des n°45 à 53 sont, quant à eux, le souvenir d'une coupure biaise de parcelles. Un phénomène similaire explique le mur aveugle surplombant la courette triangulaire du n°28, l'ouverture du boulevard ayant ici créé un biseau difficilement intégrable dans une construction. Les pignons sur rue (traits bleus) du 19 rue Gerbert et du 83 boulevard Jean-Jaurès s'expliquent par une édification antérieure au boulevard. La même raison s'applique au pignon aveugle et au mur d'héberge (traits verts) de part et d'autre de l'édifice des n°44 et 46. L'urbanisation spontanée participe également de la création de ces irrégularités. Les propriétaires des parcelles peuvent appliquer un programme qui ne s'inscrit pas dans la même typologie que les constructions mitoyennes et ce, d'autant plus, qu'un décalage chronologique important peut intervenir. Les murs d'héberge, marqueur de décalage de la hauteur des édifices, apparaissent souvent à la faveur de cette variation fonctionnelle et de cette dilatation chronologique. Les maisons enserrées entre des immeubles en sont un cas récurrent. Les immeubles des n°65 et 73, construits en 1962 et 1952, flanquent deux maisons des années 1940.Ces dernières se trouvent pas conséquent enserrées entre des édifices plus hauts. Cependant, l'idée selon laquelle le bâti plus anciens serait plus bas, le gain de hauteur s'opèrent en progression chronologique, ne vaut pas forcément. Les maisons des n°66 et 68 sont respectivement édifiées en 1950 et 2014 entre des immeubles des années 1930. Au n°15 une maison mixte11 s'implante en 1936 à l'ouest d'un immeuble bâti trois ans auparavant et accueille le voisinage, une trentaine d'année plus tard, d'un immeuble. Ces exemples illustrent le cas d'une modulation de rythme au sein de la séquence urbaine par un phénomène de creux, une impression d'entre-deux, les édifices les plus bas étant cernés par des constructions d'enveloppe supérieure. Le phénomène inverse, moins frappant certes, se rencontre également. Les deux immeubles des n°33 et 35, datant de 1967 et 2005, s'insèrent entre un garage en rez-de-chaussée et un immeuble des années 1930. Les murs d'héberge sont alors orientés vers l'extérieur et s'en trouvent moins perceptibles.
Cependant, ces stigmates n'entraînent pas inévitablement de ruptures de rythme. La perception d'une rupture, au sein d'une séquence urbaine12 n'intervient que si l'édifice concentre plusieurs critères le démarquant de son entourage. Ainsi, parmi les exemples de différentiel de hauteur que nous venons d'évoquer seules la maison mixte du n°15 et le garage automobile du n°31 sont retenus comme la manifestation d'une rupture de rythme individuelle dans la mesure où leurs morphologies s'écartent résolument de celles de leurs mitoyens. Pour les autres exemples, des processus de transition atténuent suffisamment la différence pour qu'on ne perçoive pas de rupture. Il en est ainsi lorsqu'il y a un étagement des volumes tel que celui des n°67 et 71 nuançant le différentiel des hauteurs avec les immeubles plus hauts placés de part et d'autre (un autre exemple d'étagement des volumes se rencontre aux n°24 et 26). Il en est de même des pignons d'alignement qui ne créent d'impression visuelle que lorsqu'ils se répètent sous une forme affirmée (les n°45 à 53, où les façades semblent positionnées en accordéon). A contrario, des rupture de rythme sont relevés sans que les édifices ne soient affectés d'irrégularités. Ce phénomène résulte parfois de leur fonction exceptionnelle. L'église sainte Jeanne-d 'Arc en est sans doute l'exemple le plus frappant. Son architecture est pensée pour se démarquer et cette distinction s'étend aux bâtiments de l'ancienne école ménagère créés dans son sillage, puisqu'ils se placent en rupture d'alignement manifeste. D'autre édifices s'affirment dans le paysage urbain par leur adaptation, plus ou moins heureuse, à une morphologie parcellaire spécifique. La contrainte qu'exerce les parcelles d'angle triangulaire obligeant à adopter une forme d'immeuble en fer à repasser est immédiatement visible ; le regard est également attiré par un angle de façade inusité pensé pour adhérer à une limite parcellaire particulière, phénomène relevé au n°19. Un autre cas d'école, est la parcelle îlot entièrement comprise dans le programme architectural, représentée ici par l'immeuble du n°74 (voir dossier IA63002874).
Les ruptures de rythme ne sont donc pas seules à rendre un édifice particulièrement visible (voir le plan de visibilité des édifices dans l'espace urbain). Un bâtiment reflète parfois de façon particulièrement convaincante un état de l'art à une période chronologique donnée. Il se fait alors le reflet d'un courant architectural appliqué à des réalisations qui pour être modestes n'en sont pas moins notables. Dans cette catégorie, que l'Inventaire qualifie volontiers de typicum, peuvent se ranger les villas urbaines des années 1920 aux accents néo-régionalistes, les immeubles urbains des années 1930, qu'ils soient pris dans un alignement d'édifice ou qu'ils se développent plus librement en angle aussi bien qu'un immeuble à ossature béton des années 1960. Un bâtiment peut également être remarquable par le soin architectural qui lui a été apporté. Il s'approche alors de la catégorie des unicum sans pour autant être exceptionnel. Quelques réalisations d'architectes illustrent l'application d'une maîtrise à des programmes communs. Le n°64 de l'architecte Jean Bosser, simple immeuble-maison13 aux logements de quatre pièces, bénéficie d'un traitement de façade jouant sur les volumes (voir dossier IA63002825). La perception se fait plus forte encore lorsque la maîtrise de l'architecte joue des contraintes urbaines. L'immeuble du n°65 (voir dossier IA63002812) déploie sa façade-épaisse sur une parcelle d'angle donnant sur la place Littré. La morphologie contrainte de la parcelle en arc de cercle sert ici de tremplin à l'effet de perspective depuis le boulevard (critère d'adaptation à l'espace urbain). Il se distingue d'autant mieux qu'il est sans concurrence immédiate (critère de rupture de rythme individuelle). La distinction peut également émaner d'une volonté du commanditaire entendant ainsi faire état de son statut social. L'ambition architecturale s'adjoint là encore d'autres critères de visibilité : les villas du n°21 de l'architecte André Verdier et du n°24 de l'architecte Valentin Vigneron se placent en rupture de rythme individuelle, puisqu'ils voisinent avec des immeubles (voir dossier IA63002807 et IA63002808) ; la maison du n°53 de l'architecte Albéric Aubert clôt une série de rupture de rythme (voir dossier IA63002870). Enfin, la maison du n°36 des architectes Bernard et Pouzadoux ajoute à cela l'adaptation à une parcelle en proue d'îlot cernée par trois voies (voir dossier IA63002810).
La Commission départementale du 18 décembre 1913 approuve le projet du boulevard sud dont le boulevard Jean-Jaurès constitue la partie sud - sud-est. L'arrêté préfectoral d'approbation du plan d'alignement intervient à la même date. Les premières acquisitions de terrain à l'amiable sont réalisées en 1920 et se poursuivent jusqu'en 1926. Le conseil municipal demande, par délibération du 18 mai 1926, que le préfet déclare d'utilité publique le projet d'exécution du boulevard sud afin de pouvoir procéder à l'expropriation des terrains dont l'acquisition n'a pas abouti. Cette déclaration d'utilité publique est arrêtée par la préfecture le 20 décembre 1926. La procédure d'expropriation est mise en œuvre en 1928 pour contraindre les propriétaires aux exigences financières excédant la moyenne appliquée par la Ville. Les derniers terrains sont ainsi acquis en 1929. Cette chronologie s'applique géographiquement d'est en ouest, l'avenue Marx-Dormoy (anciennement avenue de Boisséjour) constituant une sorte de seuil à l'ouest duquel la voie est encore en cours de percement dans la première moitié des années 1930. Le procès-verbal de l'adjudication des travaux de la portion avenue de Boisséjour - rue des Salins date de 1930 alors que la portion entre la rue de Rabanesse et l'avenue de Boisséjour date de 1926. Le même décalage est constaté pour l'aménagement de la bordure des trottoirs : la délibération actant les travaux date de 1930 pour la partie occidentale alors qu'elle intervient en 1926 pour la portion occidentale. Dans un premier temps, le boulevard Cote-Blatin devait se poursuivre jusqu'au carrefour de l'avenue de Boisséjour ce qui explique en partie une mise en travaux plus précoce, l'autre explication est l'acquisition par voie d'expropriation affectant les parcelles à l'ouest de l'avenue de Boisséjour. La dénomination des noms des boulevards Jean-Jaurès et Cote-Blatin est actée à la séance du conseil municipal du 26 juillet 1929 qui fait débuter le boulevard Jean-Jaurès au carrefour de la rue de Rabanesse. Le numérotage des immeubles et maisons est appliqué en 1934.
L'aménagement du boulevard s'accompagne de l'ouverture de rues venant le couper. Les rues Theuriet, Gerbert, Henri-Rivière et Drelon sont ouvertes dans la foulée du boulevard. La rue Roberval n'est ébauchée que dans les années 1950, à la faveur de la construction de la résidence édifiée place Littré, sur l'ancien parc du château de Vallières, et seulement achevée au début des années 1970. A l'est de l'avenue de la Libération (anciennement avenue de Beaumont), le plan d’Aménagement, d’Embellissement et d’Extension (PAEE) prévoyait, en 1926, de percer une voie, partant du boulevard François-Mitterrand (anciennement boulevard Gergovia) et traversant le boulevard Jean-Jaurès. Au nord, elle prend la forme curviligne de la rue Pierre-de-Coubertin au début des années 1960 (en parallèle de l'aménagement du stade nautique) tandis que son tracé sud ne sera effectif qu'une dizaine d'années plus tard (sous l'appellation de boulevard Joseph-Girod). Cette voie était pourtant demandée par les habitants comme en témoigne la lettre reproduite en annexe "Pétition pour l'ouverture du boulevard Joseph-Girod, 1929" qui, de surcroit, produit un intéressant témoignage sur la gamme des moyens de locomotion (tramway, automobiles, hippomobiles, bicyclettes, piétons) pouvant se rencontrer sur les grandes artères de la ville à la fin des années 1920.
L'écrasante majorité des constructions toujours visibles à l'heure actuelle a été édifiée ex-nihilo après l'ouverture du boulevard. 83% d'entre elles ont été érigées entre le début des années 1930 et la fin des années 1960. Au sein même de cette période de construction, l'essentiel (57%) date des années 1930. Toute période confondue, le recours à un architecte est majoritaire (76% de l'ensemble du bâti). Au 3% des édifices construits par des entrepreneurs s'ajoutent 5% de plans non consultés ou à la signature illisible.
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Période(s)
- Principale : 1ère moitié 20e siècle
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Auteur(s)
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Auteur :
Bosser Jeanarchitecte attribution par sourceBosser Jean
Jean Bosser (Clermont-Ferrand, 22 février 1902, idem, 21 octobre 1984) suivit des études d’architecture à l’École spéciale des Travaux publics de Paris puis à l’École des Beaux-Arts de Clermont-Ferrand. Il exerça de 1926 à 1980 à Clermont-Ferrand et plus largement dans le Puy-de-Dôme. A la fin des années 1930, il est domicilié au 72 rue Lamartine. En 1965, son adresse est au n°7 du boulevard Duclaux.
A conçu en particulier, en 1951, les plans de certaines des maisons "Castor" de la cité ouvrière Michelin du Clos-Chanturgue à Clermont-Ferrand. Aurait également travaillé à des projets pour l'établissement thermal du Mont-Dore à la fin des années 1940. En 1929 puis en 1933, la maison et l'immeuble édifiés au 81 boulevard Jean-Jaurès et au 16 boulevard Fleury ne se démarquent pas des productions de l'époque encore très influencée par le style des années 1910. En revanche, en 1933, il dessine les plans de l'immeuble du 59 boulevard Jean-Jaurès qui prend la manière moderne (travée centrale en bow-window, couronnement par entablement, abandon de l'ornement des baies). En 1938, il produit les plans de la maison du n°1 du boulevard Cote-Blatin. La contrainte parcellaire, un triangle donnant au bâtiment le profil d'un fer à repasser, l'amène à adopter une solution que l'on voit émerger en 1937 chez Valentin Vigneron (renfoncement de travée ménageant des balcons), au n°29 du boulevard Cote-Blatin ou au n°110 du boulevard Lavoisier, sans que pour autant le morphologie parcellaire ait induit ce parti pour ce dernier. En 1939, pour l'immeuble du n°64 boulevard Jean Jaurès, Jean Bosser persiste dans l'inspiration de Vigneron (traitement de la travée centrale rappelant celle du 24 boulevard Jean-Jaurès, V. Vigneron architecte, 1938). C'est également en 1939, qu'il s'écarte de cette source d'inspiration pour l'immeuble de la Caisse primaire de l'Union des sociétés de Secours mutuel, au 50 avenue d'Italie puis, au début des années 1960 pour sa surélévation. La même année (1939), il produit les plans d'un immeuble au n°9 boulevard Cote-Blatin. La réalisation s'écarte du projet d'origine et y perd son sobre équilibre. En 1947, il propose le bâtiment en extension de l'école ménagère Sainte-Jeanne -d'Arc, au 54 boulevard Jean-Jaurès, dont l'élévation sud se conforme au bâtiment préexistant (Charles Marc, architecte) mais dont la façade, à l'est, révèle une série d'ouvertures barlongues. Il poursuivra l'évolution du site en édifiant, en 1962, un bâtiment en fond de parcelle à élévation en ossature béton conservant en façade le principe des ouvertures barlongues. En 1951, le dessin d'élévation de la maison au 81d du boulevard Jean-Jaurès reprend le quadrillage en faux-joints de Valentin Vigneron tandis que les volumes sont d'expression assez brute, en parallèle, l'année d'après, la maison du 81e boulevard Jean-Jaurès revient au code traditionnel (bossage du rez-de-chaussée, fonctionnalisme). En 1955, il s'associe à Valentin Vigneron pour réaliser l'immeuble du n°31 boulevard Cote-Blatin. Si la symétrie de l'édifice peut renvoyer à la manière de Jean Bosser, le marquage des lignes horizontales et verticales de l'ossature en béton du bâtiment est volontiers employé par Valentin Vigneron. On retrouve cette affection pour la symétrie dans l'immeuble édifié dans le courant des années 1960 au n°3 du boulevard Jean-Jaurès. Dans la seconde moitié des années 1960, il est architecte d'opération de la résidence universitaire de jeunes filles, située au n°24 du boulevard Cote-Blatin (maître d'ouvrage, ministère de l'éducation nationale, direction de l'équipement scolaire universitaire et sportif, office public d'HLM de la ville de Clermont-Ferrand, architecte en chef Auguste Arsac, 180 bd Saint-Germain, Paris). Cette opération immobilière implantée sur une vaste parcelle ne s'affranchit pas totalement de l'alignement par rapport à la voirie mais adopte une non mitoyenneté ménageant un effet de dissémination en bord de rive.
Le milieu catholique lui assura des commandes importantes, parmi lesquelles, à Clermont-Ferrand, dans les années 1930, les chapelles de la Maîtrise (école Massillon) et de l’évêché (rue Pascal), et dans les années 1950-1960, les églises Notre-Dame de la Route, Sainte-Thérèse de l’Enfant-Jésus (avec Jean-Louis Douat), Sainte-Bernadette et Saint-Austremoine.
Il construisit aussi à Clermont-Ferrand trois cinémas : l’« ABC », « L’Ambiance », « Le Globe », ainsi que la salle Saint-Genès (à l’arrière du n° 9 place Michel-de-l’Hospital). Il fut enfin le maître d’œuvre de nombreuses maisons (certaines très modestes) et d’immeubles d’habitation (par exemple à Clermont-Ferrand n° 9 place Michel-de-l’Hospital et n° 13 avenue des États-Unis).
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Auteur :
Espinasse Antoinearchitecte attribution par sourceEspinasse Antoine
Architecte clermontois DPLG, Antoine Espinasse est à l'hôtel-Dieu de Clermont-Ferrand le coauteur de l'extension de la maternité (1955-1959), avec Paul Lanquette. Il est également l'architecte du bâtiment des laboratoires (1978-1981) adossé contre la façade nord du pavillon des maladies sociales, ainsi que du centre d'hépato-gastro-entérologie (1981-1983) qui réunit les laboratoires et le Refuge. Au début des années 1960, il est domicilié au 11 bis rue Montlosier.
En 1953, on lui doit la maison faisant l'angle des rues Philippe-Glangeaud et Montgolfier (surélevée depuis). En 1957, il s'associe avec P. Jallat pour la construction de l'immeuble du 29 avenue d'Italie. En 1958, il s'associe à Valentin Vigneron pour construire une salle de congrès dans l'enceinte de la Chambre de commerce sise au 148 boulevard Lavoisier. Ce bâtiment est situé derrière l'ancienne villa Bergougnan reconvertit en bureaux pour la Chambre de commerce en 1965. Au début des années 1960, il produit les plans de l'immeuble situé à l'angle des rues Raynaud, de la Rotonde et du boulevard Cote-Blatin. L'adaptation à la forme de la parcelle se fait par insertion de l'entrée dans la pointe que forme l'élévation sud du bâtiment (sur la rue Raynaud), créant une découpe en étrave renforcée par les balcons triangulaires et l'effet de travée biaise des ouvertures. En 1980, il s'associe à Marcel Massucio pour la constuction de la résidence du n°7 boulevard Jean-Jaurès caractérisée par un pan d'élévation aveugle au béton crépi à l'accent brutaliste.
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Auteur :
Massucio Marcelarchitecte attribution par sourceMassucio Marcel
En 1980, il s'associe à Antoine Espinasse pour la constuction de la résidence du n°7 boulevard Jean-Jaurès caractérisée par un pan d'élévation aveugle au béton crépi à l'accent brutaliste.
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Auteur :
Lescher Georgesarchitecte attribution par sourceLescher Georges
Architecte d'opération pour le Secteur industrialisé de Saint-Jacques à Clermont-Ferrand, notamment la première tranche comprenant la barre dite Muraille de Chine. Il a également réalisé l'hôtel de ville de Royat en 1971.
Domicilié 1 place Delille à Clermont, en 1959.
AD Puy-de-Dôme 328 W 95. Plans 15/9/1957, approuvés 24/2/1959.
AC Royat 6 W 17. Hôtel de ville. Concours de 1966.
Auteur de la clinique installée au n°26 - 32 bis rue de Rabanesse en 1965.
(notice modifiée par I. Brown en novembre 2023, Félicie Fougère en septembre 2024)
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Auteur :
Guignabert Georgesarchitecte attribution par sourceGuignabert Georges
Georges Guignabert (Clermont-Ferrand, 1904, idem, 1977), architecte patenté à partir de 1936, inscrit à l’Ordre des architectes (Auvergne) en septembre 1941. Établi à Clermont-Ferrand successivement 20 avenue de Lyon, 29 rue Saint-Hérem et 10 rue Jean-Richepin. En 1937, il édifie un immeuble-villa au n°40 boulevard Aristide-Briand qui, d'après le dessin d'élévation, offrait une intéressante écriture moderne. Il est l'auteur, en 1956, de l'immeuble du n°6 boulevard Jean-Jaurès.
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Auteur :
Bernard Valéryarchitecte attribution par sourceBernard Valéry
Architecte, domicilié 9, rue de Ceyrat (maison qu'il édifie). Le n°24 avenue d'Italie, daté de 1913, participe du même esprit (parement en pierre de Volvic, encadrement et bandeau en brique) que le n°12 boulevard Cote-Blatin (plans datés de 1922), bien que ce dernier soit de facture plus modeste. La villa abritant deux logements pour le compte de la société l'union approvisionnement, édifié au 63 boulevard Cote-Blatin en 1923, participe du même esprit. En 1929, les villas jumelées des 23 et 23 bis boulevard Cote-Blatin reflète un style pittoresque empruntant au vocabulaire néo-régionaliste dans lequel des accents modernes peuvent être relevés (ouvertures à pans coupés et décor de tores du n°23). La même année, il s'associe à Henri Pouzadoux. L'écriture se fait plus moderne, notamment au 36 boulevard Jean Jaurès. Ils inaugurent, toujours en 1929, un type d'immeuble à fronton, au n°25, rue Raynaud, modèle que l'on retrouve, en 1933, par les mêmes auteurs au n°13 boulevard Jean-Jaurès (au n°11, édifié en 1931, l'entrepreneur Lucien Mège s'en était inspiré). En 1933, au 77 boulevard Jean-Jaurès, l'agrandissement d'un immeuble-maison s'accompagne encore du couronnement de la travée d'entrée par un fronton à redan. En 1936, poursuivant cette collaboration pour l'immeuble du n°4 avenue d'Italie, et, en 1937, pour celui du 20 boulevard Jean-Jaurès et le 39 ter avenue de la Libération (tous deux immeubles d'angle), les architectes s'inscrivent alors pleinement dans le vocabulaire moderne. Valéry Bernard produit encore en 1955 les plans d'une modeste maison sise au n°11 boulevard Cote-Blatin (surélevée à la fin du XXe siècle).
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Auteur :
Pouzadoux Henriarchitecte attribution par sourcePouzadoux Henri
Architecte à Clermont-Ferrand. En 1929, il s'associe à Valéry Bernard. L'écriture de leur réalisation est moderne, notamment au 36 boulevard Jean Jaurès. Ils inaugurent, toujours en 1929, un type d'immeuble à fronton, au n°25, rue Raynaud, modèle que l'on retrouve, en 1933, par les mêmes auteurs au n°13 boulevard Jean-Jaurès (au n°11, en 1931, l'entrepreneur Lucien Mège s'était inspiré de ce modèle). En 1933, au 77 boulevard Jean-Jaurès, l'agrandissement d'un immeuble-maison s'accompagne encore du couronnement de la travée d'entrée par un fronton à redan. En 1936, poursuivant cette collaboration pour l'immeuble du n°4 avenue d'Italie et, en 1937, pour celui du 20 boulevard Jean-Jaurès et le 39 ter avenue de la Libération (tous deux immeubles d'angle), les architectes s'inscrivent alors pleinement dans le vocabulaire moderne.
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Auteur :
Breuil Jean-Claudearchitecte attribution par sourceBreuil Jean-Claude
Jean-Claude BREUIL, né le 24 décembre 1938 à Ougney (Jura), architecte DPLG le 7 janvier 1969, inscrit au tableau de l'Ordre des architectes (Auvergne) le 22 mars 1969, de nos jours architecte honoraire. Établi à Chamalières (Puy-de-Dôme), 3 rue de la Papeterie puis 10 avenue de Fontmaure.
Parmi ces œuvres se trouvent la maison P.* à Blanzat (1972) et la maison Ver.* à Orcines (1970-1971).
En 1998, il est l'auteur des plans de l'immeuble du n°19, boulevard Jean-Jaurès, à Clermont-Ferrand.
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Auteur :
Verdier Andréarchitecte attribution par sourceVerdier André
Architecte DPLG, domicilié à Clermont-Ferrand, 6, rue des Prés-Bas (en 1951).
Né à Chamalières en 1906, mort à Clermont-Ferrand en 1971. Etudes d’architecte à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, diplômé en novembre 1934. En 1936, il dessine les plans de la villa sise au 6 rue des Prés-Bas sur un terrain appartenant à Paul Verdier (entreprise de matériaux de construction, dont le site se trouve sur une parcelle voisine, au 42-46 boulevard Cote-Blatin). Le rez-de-chaussée comprend un studio affecté au bureau de l'architecte. En 1949, les plans d'extension de cette villa sont encore plus explicites puisqu'ils comprennent une salle d'attente et un bureau de dessinateur. Cet édifice a été détruit ou profondément remanié dans la première moitié des années 1990.
Il est l'auteur d'un maison d'habitation au 74 boulevard Lavoisier vers 1935, détruite vers 2007 pour laisser place à une résidence. La maison du 21 boulevard Jean-Jaurès, dont il livre les plans en 1938, est toujours en élévation et vaut qu'on s'y arrête. En 1953, il s'associe à Antoine Fustier pour l'édification de la barre d'immeuble du 1-7 avenue d'Italie. Probablement issu de la famille d'industriels Verdier (fabriquant de matériaux de construction), il dresse les plans de la résidence Hélios, en 1966, à l'emplacement du siège de l'entreprise, au 42-46 boulevard Cote-Blatin, cette dernière déménageant en 1968 dans la zone industrielle du Brézet.
Notamment :
Auteur, en 1944, d'un plan d'aménagement de la place de Jaude de Clermont-Ferrand impliquant un déplacement de l'hôtel de ville. Voir l'article en ligne : "Un projet d'aménagement urbain méconnu (Clermont-Ferrand, 1944)". www.auvergne-inventaire.fr/Les-inventaires/Villes-en-Auvergne
Le Plan d'aménagement du Mont-Dore (63) de 1947 est présenté au conseil municipal de la station le 20 juin de cette année-là, par "M. Verdier, architecte".
Auteur, entre 1951 et 1956, des plans pour le "Centre d'apprentissage féminin de Montferrand", devenu lycée professionnel Marie-Curie (Clermont-Ferrand, 63).
Auteur, avec les sculpteurs Raymond Coulon et Marius Petit, du monument à la gloire des combattants et des victimes de la Guerre, à Clermont-Ferrand : voir délibération du conseil municipal du 1er février 1952 (par laquelle la municipalité fixe à 10°% du prix des cartes postales dudit monument par la Librairie Hachette, éditrice, les droits que la ville percevra, ces droits lui ayant été cédés par les artistes).
Il est associé, comme architecte d'opération, à Georges Noël, pour la construction du lycée Ambroise-Brugière de Clermont-Ferrand, 1962-1964, puis 1967-1969 (le prénom Jean qui lui est donné dans le rapport justificatif des dispositions proposées du ministère de l'Education nationale serait une erreur). Associé à l'architecte J. Pérol pour le projet d'agrandissement du lycée de Saint-Flour en 1967.
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Auteur :
Vigneron Valentinarchitecte attribution par sourceVigneron Valentin
Architecte, né le 17 février 1908, mort le 04 novembre 1973. Adresses: 22 bis place de Jaude dans les années 1930 ; 3 rue Colbert dans les années 1940 et 1950. Dans les années 1930 et 40, les plans sont formellement dessinés selon la même disposition : filets d'encadrement comprenant l'identité du propriétaire et la localisation en marge supérieure et identification de l'architecte, lieu et date en marge inférieure.
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Auteur :
Neyrial P.architecte attribution par sourceNeyrial P.
Architecte à Clermont-Ferrand, 32 avenue d'Italie (1939). Auteur du PAEE de la Bourboule, en collaboration, 1932. Auteur de l'immeuble du n°26 boulevard Jean-Jaurès (Clermont) en 1939. Il est alors domicilé au n°32 avenue d'Italie, Clermont-Fd.
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Auteur :
Lanquette Paularchitecte attribution par sourceLanquette Paul
Architecte clermontois DPLG, Paul Lanquette est à l'hôtel-Dieu de Clermont-Ferrand le coauteur de l'extension de la maternité (1955-1959), avec Antoine Espinasse.
Probablement l'auteur d'une partie du lycée J. Monnet/J. Mermoz d'Aurillac (1949-1953).
Paul Lanquette (Beaumont, Puy-de-Dôme, 17 avril 1920 - idem, 14 décembre 1997), fils de l’architecte Marius Lanquette, père de l’architecte Jean-Paul Lanquette.
Paul Lanquette se forma à l’architecture auprès de son père. Il fut également étudiant dans l’Atelier Papillard de l’École des beaux-arts de Clermont-Ferrand et dans l’Atelier Beaudouin de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts. Il obtint son diplôme le 27 février 1945 (DPLG) et s’inscrivit comme architecte à Clermont-Ferrand. Il fut nommé en 1947 architecte délégué à la Reconstruction pour le département du Cantal. En 1952, à la suite du décès de son père, il prit sa succession.
Paul Lanquette fut architecte d’opération de la cité universitaire du Clos-Saint-Jacques (Clermont-Ferrand), œuvre d’Eugène Beaudouin. Avec Antoine Espinasse, il fut également architecte d’opération du campus des Cézeaux (Aubière, architectes Daniel Badani et Pierre Roux-Dorlut). Seul ou en association (notamment avec Antoine Espinasse et Jean-Louis Douat), Paul Lanquette conçut des immeubles HLM (Saint-Jacques sud à Clermont-Ferrand, ensemble Montjoly à Chamalières), la Caisse d’allocations familiales d’Aurillac, le Centre départemental de l’Enfance à Chamalières, le collège de Ceyrat, le lycée Sidoine-Apollinaire de Clermont-Ferrand, etc.
A la fin des années 1950, il dresse les plans de l'immeuble du n°35 boulevard Cote-Blatin, reprenant le gabarit et la distribution de l'immeuble mitoyen (N°31, Valentin Vigneron et Jean Bosser architectes). En 1962, il livre les plans de l'immeuble du 2 boulevard Jean-Girod.
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Auteur :
Vialon Raymondarchitecte attribution par sourceVialon Raymond
Architecte, Clermont-Ferrand. Adresse en 1936 : 47 bd Jean-Jaurès, en 1971: 21 bis rue Gourgouillon. En 1936, au n°46 boulevard Aristide-Briand, il propose une maison de style néo-régionaliste avec baie à coussièges et décor de faux pan de bois dont la réalisation est finalement sans référence à un quelconque style. En 1931, il réalise une villa pour le compte de la société La prévoyance immobilière clermontoise au N°30 boulevard Aristide-Briand. En 1937, il réalise les immeubles-maisons jumeaux des n°53 et 55 du boulevard Aristide Briand et la maison en coeur d'îlot située derrière eux (architecture modeste). Au début des années 1950, il livre les plans de l'agrandissement d'un immeuble au n° 5 boulevard Cote-Blatin. Il s'agit de la reprise d'un édifice en rupture d'alignement par rapport au boulevard pour l'adapter tant à la voierie qu'à ses mitoyens. Domicilié rue Gourgouillon en 1951, il loti un terrain situé entre le n°32 boulevard Aristide-Briand, dont il dresse les plans entre 1951 et 1953, et le n°21 rue Gourgouillon. En 1958, il est l'auteur de l'immeuble du n°62 bis boulevard Lavoisier. Sa réalisation respecte l'enveloppe des immeubles entre lesquels il s'insère et opère une liaison d'alignement entre eux sans entraîner la destruction de garages implantés en devant de parcelles. En 1961, il édifie, sur un terrain dont il est propriétaire, un immeuble en co-propriété au n°17 boulevard Jean-Jaurès. En 1965, il intervient sur l'immeuble du n°9 boulevard Jean-Jaurès pour l'ajout d'une façade épaisse (balcons)
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Auteur :
Marc Charlesarchitecte attribution par sourceMarc Charles
Architecte à Clermont-Ferrand, domicilié au 13 rue Rameau en 1923. Il est l'auteur d'églises dont celle du boulevard Jean-Jaurès (Sainte Jeanne d'Arc, consacrée en 1927, place Littré). Il est également l'auteur des plans de la maison du 3 boulevard Fleury, en 1923. En 1927, il édifie l'église Sainte-Jeanne-d'Arc, sur la place Littré. Ce chantier est suivi de la construction de la maison paroissiale au 54 rue Drelon (1927) et de celle de l'école ménagère Sainte-Jeanne-d'Arc au 54 boulevard Jean-Jaurès (1932). En 1931, il édifie, pour le compte de la société la "Prévoyance immobilière clermontoise" une maison au 21 boulevard Aristide-Briand. En 1933, il construit la maison mitoyenne, au n°19, en respectant le même retrait d'alignement et le principe du pignon sur rue. Il opère l'alignement de l'immeuble du 31 boulevard Jean-Jaurès en ajoutant une portion de bâtiment en angle de l'avenue de la Libération (1935).
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Auteur :
Cabinet Bertrandagence d'architecture attribution par sourceCabinet Bertrand
Julien Bertrand, architecte clermontois, est vraisemblablement à l'origine de ce cabinet. Il est l'auteur, en 1954, des premiers plans de l'immeuble du n°24 boulevard Fleury à Clermont-Ferrand. Il est alors domicilié au 16, rue Fontgiève. Les plans modificatifs, datés de 1955, sont signés du cabinet Bertrand. En 1967, les plans de l'immeuble du n°33 boulevard Jean-Jaurès (résidence Le Provence) sont également signés du cabinet Bertrand, dont l'adresse est le 36 av Julien, Clermont-Fd
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Auteur :
DHA Architecteagence d'architecture attribution par sourceDHA Architecte
Cabinet Douat Harland et associés architectes - Urbanistes, domicilié en 2007 au 8 rue Massillon à Clermont-Ferrand. Oeuvres sous la maîtrise d'ouvrage de CICO Promotionens d'ensembles de logements au 35 boulevard Jean-Jaurès (C-F), en 2005 et au 68-70 boulevard Lavoisier (C-F), en 2010.
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Auteur :
Combe François , dit(e) Francisquearchitecte attribution par sourceCombe François
François Marius Combe (dit « Francisque ») est né le 18 février 1906 à Cournon d’Auvergne. Il est décédé le 3 septembre 1974 à Clermont-Ferrand. Fils d’un cultivateur, il semble avoir suivi des cours d’architecture à l’école des Beaux-arts de Clermont-Ferrand (sa fiche d’inscription à l’Ordre des architectes indique qu’il a reçu le « Prix Bargoin des Beaux-arts de Clermont-Ferrand » le 30 juin 1925).
Francisque Combe a travaillé pour l’architecte clermontois Valéry Bernard de 1924 à 1932. Il a ensuite payé la patente en tant qu’architecte. En 1941, sa demande d’inscription à l’Ordre des architectes a d’abord été refusée à l’échelon régional avant d’être acceptée le 2 octobre 1943 par le Conseil supérieur de l’Ordre.
Établi dans les années 1930 au 9, rue de l'Hôtel-de-Ville, puis au n° 14 du boulevard Gergovia, Francisque Combe a poursuivi son activité jusqu’au 1er janvier 1972. Il semble être l’auteur d’un certain nombre de maisons dans les communes sud-est de l’agglomération clermontoise. Il signe, en 1933, l'immeuble du n°39 boulevard Jean-Jaurès et en 1936 celui du n°48 boulevard Aristide-Briand qu'Antoine Fustier prend en considération lors de la construction, l'année suivante, des immeubles voisins (n°50 et 52). Il a dressé les plans de la surélévation et de reprise de façade d'un atelier d'électricien automobile au n°3 boulevard Cote-Blatin, en 1956; un plan modificatif daté de 1957 dénature le projet.
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Auteur :
Bertrand J.architecte attribution par sourceBertrand J.
Architecte clermontois. Est-ce le même que Jules Bertrand ? En 1928, il est domicilié au 29 rue des Salins. Cette même année, il dresse les plans de l'immeuble de bureaux des Economats du Centre, toujours en élévation à gauche de la villa patronale (1923, Valéry Bernard, architecte) du n°63 boulevard Cote-Blatin. L'année suivante, en 1929, il étend à nouveau les constuctions des Economats du Centre avec les magasins du n°61 boulevard Cote-Blatin (actuelle pharamacie des facultés). Domicilié 3 avenue de Boisséjour en 1933 (il précise que son ancienne adresse était le 29 rue des Salins). En 1933, auteur des plans de la maison du 1bis boulevard Fleury et de l'immeuble à l'angle de l'avenue Marx Dormoy et du boulevard Jean-Jaurès (n°41 du boulevard). En 1939, il dresse les plans de la villa du 43 boulevard Cote-Blatin, pour laquelle on trouve une patte moderne et un bel équilibre, malheureusement amoindrie par la modification des huisseries et du portail. En 1952, domicilié au 2 place Gaillard, il dessine le projet d'une villa, au n°9 boulevard Jean-Jaurès, projet qui ne verra pas le jour mais dont les dessins ne sont pas dénués d'intérêt.
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Auteur :
Lanquette Mariusarchitecte attribution par sourceLanquette Marius
Architecte clermontois, membre de l'association provinciale des architectes français. Père de l'architecte Paul Lanquette et grand-père de l'architecte Jean-Paul Lanquette. Domicilié 38 (ou 18?) avenue de Beaumont à Clermont-Ferrand dans les années 1920, puis au 25 avenue Julien, Clermont-Ferrand dans les années 1930, enfin au 29 avenue Julien dans les années 1940. Dans les années 1920, ses immeubles et villas empruntent au vocabulaire néo-régionaliste que l'on peut retrouver dans les oeuvres de Valéry Bernard. Dans les années 1930, il adopte un style plus moderne avec ses immeubles d'angle pour lesquels il se fait parfois promoteur immobilier, la constuction étant édifiée sur un terrain dont il est propriétaire, selon le régime de la copropriété.
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Auteur :
Bion Guyarchitecte attribution par sourceBion Guy
Guy Bion (Thiers, 10 mars 1925 - Rueil-Malmaison, 21 août 2018) a suivi à partir de 1947 des études d’architecture à l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris (ateliers d’André Lurçat puis de Pierre Vivien). Il a été diplômé par le gouvernement le 9 mars 1961.
Guy Bion a travaillé en région parisienne et en Auvergne. Il s’est installé à Clermont-Ferrand en 1963 (agence au n° 13 rue Gerbert) et a œuvré jusqu’en 1995. Ses réalisations à Brioude semblent assez nombreuses (édifices publics remaniés et maisons). Sa famille avait des attaches à Brioude et il a passé dans cette ville une grande partie de son enfance. A Clermont, il est l'auteur du n°20 avenue de la Libération.
Sources : site Agorha, fiche biographique ; Guy Bion et Pierre Escorbiac, « La chapelle Notre-Dame de la Borie Darles », Almanach de Brioude et de son arrondissement, n° 93, janvier 2013, p. 167-186.
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Auteur :
Douat Jean-Louisarchitecte attribution par sourceDouat Jean-Louis
Architecte DPLG, domicilié soit à Clermont-Ferrand (26 rue de La Tour-d'Auvergne), soit à Chamalières (6 avenue Pasteur), associé à Georges Noël (père), architecte en chef des bâtiments civils et palais nationaux (domicilié à Paris), pour la construction du lycée Lafayette de Brioude ("collèges de garçons et de jeunes filles", désignation d'origine, avant nationalisation à compter du 15 septembre 1965). Voir plans des AC de Brioude datés de 1962 et plan du 3 mai 1963 (AD 43, 511 W 90). En 1965 il construit les deux gymnases et l'installation sportive du lycée La Fayette de Brioude et, d'après son CV conservé au Centre des archives d'architecture contemporaine (133 ifa 85/3)en 1971, il réalise un COSEC (complexe sportif évolutif couvert) pour le lycée Jeanne-d'Arc de Clermont-Ferrand.
Il est DPLG en 1957, inscrit à l'Ordre des architectes régional au n°212. En 1960, il édifie la maison au 1 rue Jean-Maupoint (angle du boulevard Aristide-Briand). En 1964, il édifie un immeuble sans grande originalité au n°50 bd Jean-Jaurès. Il aurait été architecte de la ville de Brioude. Ainsi, en 1966, il est désigné, en même temps qu'un certain J. Fourgeaud, pour reconstruire l'hôtel de ville de Brioude qui a brûlé en 1965 (RDCM). Avec le même Fourgeaud ils auraient été lauréats du concours pour l'hôtel de ville de Royat en 1966. Il s'associe avec Jean Fougeraud en 1967 (cabinet au 6 avenue Pasteur à Chamalière). Ensemble, ils remanient la salle des congrès (V. Vigneron et A. Espinasse architectes) de la Chambre de commerce, rue de Nohanent et boulevard Lavoisier à Clermont-Ferrand, pour la transformer en espace de bureaux (première tranche 1978, deuxième tranche 1981). Cet aménagement est suivi, en 1982, par l'adjonction d'un hall d'entrée ayant pour effet de raccourcir la colonnade édifiée par Valentin Vigneron dans les années 1950. Avant cela, il serait l'auteur en association avec un certain Bosser, de l'église Sainte-Thérèse de Clermont-Ferrand (1958). Autre réalisation: le n°30 boulevard Jean-Jaurès à Clermont.
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Auteur :
Laboise Georgesarchitecte attribution par sourceLaboise Georges
Architecte. Domicilié au 3 rue du onze novembre à Clermont-Ferrand en 1927. Il édifie le premier état du garage des sports, en 1927, à l'angle de l'avenue de la Libération et du boulevard Jean-Jaurès (repris en 1945 pour Valentin Vigneron, largement remanié depuis). Dans les années 1930, il travaille pour la commune de Chamalières (groupes scolaires, garages municipaux, bureau de poste...). En 1940, il est associé à Faye pour la construction d'abris souterrains sur cette même commune. En libéral, on lui connaît, en 1934, l'immeuble du 53 avenue d'Italie et celui du 70 boulevard Jean-Jaurès.
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Auteur :
Guillot Jeanarchitecte signature, attribution par sourceGuillot Jean
Architecte, domicilié au 35 rue du Onze-Novembre (dans les années 1930), membre de l'association provinciales des architectes français. Il dresse les plans, en 1926, d'un pavillon agrandissant l'un des corps de bâtiment en retour de l'orphelinat de la Providence, 31 avenue d'Italie (pour la Société Prévoyante immobilière et commerciale du Puy-de-Dôme). En 1930, l'immeuble du n°59 boulevard Lafayette est d'une écriture plus moderne que celle des immeubles, conçus sur le même modèle à bow-windows quadrangulaires et balcons galbés, des n°55, 40 boulevard Jean-Jaurès et 39 boulevard Aristide-Briand, pourtant daté de 1933, 1934 et 1936. Il reprendra ce modèle, en 1939, pour le projet d'immeuble au n°71 boulevard Jean-Jaurès, projet qui n'aboutira pas. En 1932, la maison sise au 68 boulevard Lavoisier, détruite vers 2007 (construction d'une résidence), reflétait la demande d'une clientèle au goût assez traditionnel. En 1939, l'immeuble du n°82 boulevard Aristide-Briand s'inspire des oeuvres de Valentin Vigneron (faux joints en quadrillage sur l'enduit, liaison des niveaux, traitement géométrique en symétrie de la façade, baie à encadrement débordant).
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Auteur :
Aubert Albéricarchitecte attribution par sourceAubert Albéric
Albéric Aubert, architecte SADG, devint architecte des Hospices de Clermont-Ferrand le 1er février 1930. Il occupa ce poste jusqu’au début des années 1950.
Lorsqu'il dessine les plans de la villa du n°52 boulevard Jean-Jaurès, en 1933, il est domicilié au 19 rue Lamartine. Il est propriétaire du terrain et, si l'on en croit la présence de deux bureaux au rez-de-chaussée de la maison, il en fait son cabinet. De fait, en 1958, dans la demande de permis de construire du clocher de l'église sainte Jeanne-d'Arc, son adresse est le 52 boulevard Jean Jaurès. En 1933, il conçoit la villa du n°7 boulevard Jean-Jaurès. Cette réalisation, qui n'est pas sans rappeler le courant néo-régionaliste basque, formant ainsi contraste avec la morphologie épuré de la villa du n°52, est détruite au début des années 1980 pour céder la place à une résidence. Toujours en 1933, il dresse les plans de la maison située au 53 boulevard Jean-Jaurès. Le dessin de la façade figure une ordonnance classique rappelant les constructions bourgeoise de la fin du 19e siècle. La réalisation s'en écarte pour embrasser un style résolument moderne. Ces exemples de l'année 1933 montre l'étendue de la palette d'Albéric Aubert qui ne se fixe là sur aucun style en particulier. En 1947, il édifie pour le chirurgien Lecoq la villa sis au 36 bis boulevard Cote-Blatin qui sera rattachée à la cité universitaire (direction des relations internationales et service communication) ce qui entraine, en 2010, l'ajout d'un dispositif d'accès pour les personnes à mobilité réduite malheureusement implanté en façade.
Il est également l’auteur de nombreux bâtiments publics dans le Puy-de-Dôme : projet de parachèvement de l'église sainte Jeanne-d'Arc sur la place Littré (façade, 1946 ; clocher 1958) ; hôpital-sanatorium Sabourin (1931-1934) ; architecte d'opération du lycée Roger-Claustres de Clermont-Ferrand, pour André-Vital Blanc, architecte domicilié à Paris.
NB : de manière inattendue, car il n'est pas connu pour avoir fait oeuvre d'urbaniste, il est également l'auteur en 1936 d'un "Rapport sur les types de construction à adopter dans le plan d’embellissement de la ville de Royat". Ce court rapport est reproduit in extenso p. 164 de l'ouvrage Les villes en Auvergne [...], coll. "Cahiers du patrimoine", n°109.
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Auteur :
Girard Gabrielarchitecte attribution par sourceGirard Gabriel
Architecte SFA (société française d'architecture) à Clermont-Ferrand (58 avenue Julien). En 1933, il est l'auteur des plans de la maison du n°20 boulevard Fleury, Clermont-Ferrand. La même année, il dessine les plans de l'immeuble du 58 avenue Marx-Dormoy, à l'angle du boulevard Jean-Jaurès.
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Auteur :
Dif Eugènearchitecte attribution par sourceDif Eugène
Architecte, Clermont-Ferrand, domicilié en 1933 au 10 rue des Portes d'Argent.
Auteur en 1933 de l'immeuble situé au 45 boulevard Jean-Jaurès.
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Auteur :
Favier Lionelarchitecte attribution par sourceFavier Lionel
Architecte DPLG, domicilié au 55 rue de l'Oradou à Clermont-Ferrand (début des années 1990). En 1991, il dresse les plans de l'extension du LEP Anna Roddier (ancienne école ménagère Sainte-Jeanne-d'Arc) au 54 boulevard Jean Jaurès.
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Auteur :
Fustier Antoinearchitecte attribution par sourceFustier Antoine
Architecte. Clermont-Ferrand, 17 rue Montlosier à la fin des années 1930. En 1937, il construit deux immeubles dans le même esprit (géométrie, brique et béton) au 50 et 52 boulevard Aristide-Briand. En 1937 et 1938, il édifie une enfilade de trois immeubles sur le boulevard Aristide-Briand (n°29 à 25). En 1939, il dessine les plans de l'immeuble du n°57 boulevard Jean-Jaurès et ceux du remarquable immeuble de l'angle du boulevard Aristide-Briand (n°61) et de la rue des Salins. Il signe en 1952 les plans de l'immeuble édifié en devant de parcelle au 21 de l'avenue d'Italie. En 1953, il s'associe à l'architecte André Verdier pour l'édification de la barre d'immeuble du 1-7 avenue d'Italie
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Auteur :
Perrier Françoisarchitecte attribution par sourcePerrier François
Architecte à Clermont-Ferrand, domicilié au 4 rue d'Ambert dans les années 1930. Auteur des plans de la maison du n°1 boulevard Fleury et de ceux du n°63 boulevard Jean-Jaurès. Cette dernière offre une distribution discriminant les espaces des domestiques et des propriétaires. En 1939, il réalise l'immeuble du 62 boulevard Aristide-Briand. Une isolation par l'extérieur (en 2022) l'a grandement altéré ne laissant plus à sa façade que le traitement de la porte d'entrée.
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Auteur :
Arnaud Julienarchitecte attribution par sourceArnaud Julien
Architecte clermontois, début d'activité dans les années 1930 (Fonds au AD du Puy-de-Dôme, côte 208J), domicilié au 39 avenue des Etats-Unis dans les années 1930, au 16, rue Edouard-Branly à Chamalières en 1947, au 2 rue de Billom dans les années 1950.
Par sondage dans les archives municipales, en 1937 et 1938, on lui connaît deux villas sans originalité rue Eugène-Pelletan (n°14 et 16). Plus intéressante est sa démarche d'adaptation à une parcelle particulièrement étroite au 3 boulevard Joseph-Girod en 1937. L'immeuble-maison du n°11 boulevard Aristide-Briand est simple dans ses volumes et son agencement. Enfin, la seule villa que nous lui connaissons marquant l'adoption d'un style moderne à l'équilibre bien maîtrisé est celle du n°49 boulevard Cote-Blatin, dont les plans datent de 1937, mais qui subit une surélévation assez maladroite en 2021.
Dans les années 1950, il construit des ensembles composés de plusieurs barres d'immeubles. En 1955, il conçoit l'ensemble de la place Littré (6 barres sur deux vastes parcelles de part et d'autre de la rue Roberval. Il est l'auteur, à la fin des années 1950, de la barre d'immeuble du 12-16 avenue d'Italie (logements sociaux pour le compte de la Société civile immobilière de l'avenue d'Italie). A la fin des années 1950, on remarque une adoption du style alors en vogue avec l'immeuble du n°45-47 boulevard Cote-Blatin. L'immeuble est conçu avec la collaboration de R. Bournadet. Il en est de même, en 1969, pour l'immeuble au n°35-35 bis boulevard Aristide-Briand (ZUP Aristide-Briand, résidence Le Pariou). Au début des années 1960, l'immeuble du 72 avenue d'Italie et 51 avenue de Grande-Bretagne (société régionale d'HLM maître d'ouvrage société régionale d'HLM) puis, au milieu des années 1960, celui du n°18 boulevard Cote-Blatin, se conforment à un volume rectangulaire présentent une façade-épaisse, abritant des balcons filant, traitée en symétrie. En 1972, il produit les plans de reconstruction du garage, magasin de vente, station-service des établissements Citroën, situés au carrefour de l'avenue des Paulines, du boulevard Fleury et de la rue de l'Oradou selon un principe similaire. Ce projet ne vit pas le jour.
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Auteur :
Marquet ElieMarquet Elie
Architecte clermontois, domicilié au 85 boulevard Gergovia en 1950, année au cours de laquelle il installe son cabinet dans une maison qu'il construit, au 66 boulevard Jean-Jaurès. Auteur de la maison du n°71 boulevard Jean-Jaurès en 1948 et de l'immeuble mitoyen (n°73 boulevard Jean-Jaurès) en 1952. Ce dernier s'inspire des réalisations de Jean Guillot, dans les années 1930, dans une manière plus brute issue de la surélévation de deux étages réalisée en 1965, surélévation qui, pour être du même architecte, malgré l'écart de plus de dix années, est particulièrement fidèle au bâtiment d'origine. L'immeuble qu'il édifie en 1956, dans ce même secteur, à l'angle des rues de Vallières et du boulevard Jean-Jaurès (n°62) reflète encore l'attachement aux formes et style des années 1930.
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Auteur :
Jeanjean BernardJeanjean Bernard
Architecte DPLG. Adresse du cabinet au début des années 2000 : Résidence Jaude Foch, 8 rue du Maréchal Foch, Clermont-Ferrand. Auteur de la résidence du 74 boulevard Jean-Jaurès et 20 rue Gerbert (plans 2002 puis modificatifs 2003). En novembre 2003, il signe les plans de la résidence à deux corps de bâtiments au 40 boulevard Aristide-Briand et 29 rue Gourgouillon qui remplace un immeuble de 1937, oeuvre de Guignabert.
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Auteur :
Bernard François-YvesBernard François-Yves
François-Yves Bernard, architecte DPLG, inscrit à l’Ordre des architectes (Auvergne) le 17 octobre 1970, de nos jours architecte honoraire. Établi à Clermont-Ferrand, 52 avenue Julien, puis à Chamalières, 22 rue des Montagnards. Il est l'auteur de la résidence Verlaine, 49 rue des Salins, et de la rénovation du local municipal, en prolongement de ce bâtiment, donnant sur le boulevard Jean-Jaurès.
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Auteur :
Le boulevard Jean-Jaurès comprenait, jusqu'en 2023, trois voies de circulation à sens unique progressant d'ouest en est. Les travaux récents ont réduit le trafic automobile à deux voies de circulation en double sens longées d'une piste cyclable également en double sens. Le petit parking de la place Littré a été transformé afin d'accueillir des bancs et des plantations.
Malgré la cohérence formelle qui pourrait émaner d'une majorité d'édifices datant des années 1930, le boulevard Jean-Jaurès ne produit pas d'impression d'ensemble caractérisable. Il ne paraît pas non plus doté de séquences urbaines se distinguant clairement. Le ton est donné dès l'abord par le carrefour de la rue de Rabanesse. En rive droite, le pignon aveugle d'un immeuble (au n°6) marque une frontière avec le square du stade nautique, austère césure que n'amoindrit pas le parking latéral malgré sa colonnade de béton. Ce square, creusé par des bassins de rétention vides produisant un étrange relief en négatif, élimine tout front de rue sans pour autant engendrer une augmentation de la hauteur des bâtiments lui faisant face. Contrairement à ce que nous pouvons observer sur le boulevard Duclaux (voir dossier IA63002884) où l'espace dégagé par le recul de l'imprimerie de la Banque de France permet l'implantation de hauts immeubles à dispositif héliotropique, l'espace urbain du square n'influe pas sur son vis-à-vis. Là, les constructions d'enveloppe réduite sont marquées de ruptures de rythme, des maisons alternant avec des immeubles. À partir du carrefour du boulevard Jean-Girod, le tracé du boulevard positionné en biais des anciennes parcelles influe sur la morphologie et la typologie du bâti : un pignon aveugle marque la pointe triangulaire d'une parcelle donnant sur l'un des carrefours, des commerces et artisanats ont pu être implantés sur ces parcelles à la forme contrainte (parfois en utilisant la marge que laissait un édifice construit en recul) ; certaines de ces installations ont été par la suite remplacées par des immeubles plus récents apportant leurs nouveaux lots d'irrégularités. Sans doute l'accordéon des façades d'immeubles s'harmonisant par l'époque et l'enveloppe (au n°45 à 53) n'est pas d'un effet déplaisant mais il n'entretient aucun dialogue avec un vis-à-vis marqué par la rupture typologique déjà rencontrée auparavant (alternance de maisons et d'immeubles s'accompagnant d'un recul du bâti plus ancien, au n°44-46). A l'approche de la place Littré, l'implantation en recul d'alignement des constructions semble indiquer que la présence du boulevard n'a pas aimanté la main de l'architecte. Enfin, la portion comprise entre la place Littré et la rue des Salins est constituée, à l'exception très récente de l'immeuble du n°74, de petits immeubles et de maisons qui ressortent d'un vocabulaire faubourien à l'implantation à nouveau sans référence au boulevard en toute fin de parcours.
Le boulevard Jean-Jaurès compte de nombreux carrefours réduisant le développement des séquences urbaines. Il semble un cordon ponctué des nœuds que constitueraient les carrefours avec les rues reliant le centre-ville aux quartiers périphériques, au point que ces voies le traversant semblent prendre sur lui la prééminence. Ainsi peut-on lire la succession de l'ancienne école ménagère, de l'église sainte Jeanne-d 'arc et du presbytère. Ces édifices sont progressivement orientés vers la rue Drelon à laquelle ils paraissent davantage appartenir qu'au boulevard traversant à cet endroit la place Littré. Sur cette dernière, les immeubles sont placés selon le même mouvement, n'offrant que leur pignon à la place et développant leur façade sur les rues de Vallières et Roberval. Ainsi, davantage qu'à l'image de la corde à nœuds ferions-nous volontiers appel à celle de la toile d'araignée : le boulevard Jean-Jaurès ne serait que l'un des fils concentriques, dénommés spirales, qui relient les plus forts rayons menant au centre.
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Documents d'archives
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 778 14A. [Demande d'alignement immeuble, 83 boulevard Jean-Jaurès]. 9 février 1914.
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AC Clermont-Ferrand. Série O : 1 o 41. Alignement: quartier des Salins, rue Drelon. 1923.
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AC Clermont-Ferrand. Série O : 1 o 37. Alignement: quartier des Ormeaux, Rue Theuriet. 1924-1925
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AC Clermont-Ferrand. Série O : 1 o 37. Alignement: quartier des Ormeaux, Voies nouvelles : Horace Vernet, Vauvenargues, Bayard, Renouard, Roberval, Serret, Henri Rivière, Wailly, Elisée Reclus, Volney, Thénard, Riquet, Réaumur, Parmentier. 1924.
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AC Clermont-Ferrand. 2074 W 29. Lotissement Chabert, boulevard Jean-Jaurès. 1929.
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AC Clermont-Ferrand, 1 O 1590, Etablissement de bordures de trottoirs, boulevard Cote-Blatin [Jean-Jaurès, partie comprise entre la rue de Rabanesse et l'avenue de Boisséjour], 1926, boulevard Jean-Jaurès, 1930.
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AC Clermont-Ferrand. 1 O 84 : 130. Alignements : dossiers 1921-27. Alignement et de nivellement rues Joseph Girod, Jules Verne, Marc Seguin, Montpela-Bujadoux, Rouget-de-Lisle, Abbé de l’Epée et Melchissédec, plan 1926.
130 -
AC Clermont-Ferrand. Série O : 1 O 224. Expropriations : boulevard Sud. Partie comprise entre le Pont de Naud et le boulevard Duclaux : enquête parcellaire, déclaration d'utilité publique, état estimatif des terrains à acquérir, jugement d'expropriation, notifications, devis estimatif des travaux (plan d'alignement, plan parcellaire, plan du calcul des surfaces, plan des lieux après exécution des travaux : 1926). 1916-1928.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1107 17A. [Demande d'alignement église sainte Jeanne-d'Arc, place Littré]. 26 décembre 1926.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 2399 17A. [Demande d'alignement maison, 19 rue Gerbert]. 27 juillet 1926.
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AC Clermont-Ferrand. Série O : 1 O 1518. Boulevards Côte-Blatin et Jean-Jaurès : construction de la partie comprise entre la rue de Rabanesse et l'avenue de Boisséjour, (délibération, Cahier des charges, bordereau des prix, devis estimatif, plan), 1926
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 3064 17A. [Demande d'alignement immeuble 28 boulevard Jean-Jaurès]. 10 décembre 1926.
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AC Clermont-Ferrand. Série O : 1 o 41. Alignement: quartier des Salins, place Emile Littré. 1927.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 638 18A. [Demande d'alignement garage automobile, 41 avenue de la Libération]. 1er juin 1927.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1132 18A. [Demande d'alignement presbytère, 54 rue Drelon]. 4 octobre 1927.
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AC Clermont-Ferrand, série O : 1 O 424, Acquisition de terrain à Madame veuve Cornillot rue de Vallières pour l'assiette du boulevard Jean jaurès, 1928
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AC Clermont-Ferrand. Série O : 1 O 996. Ouverture de l'avenue [boulevard] Joseph-Girod, (pétition des habitants : 1929, proposition Soulier : 1929, plan parcellaire et Etat parcellaire : 1930, demande Boyer : 1939, notes : 1929-1939), 1929-1939.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 818 19A. [Demande d'alignement immeuble 34 boulevard Jean-Jaurès]. 10 avril 1929.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1459 19A. [Demande d'alignement maison 25 boulevard Jean-Jaurès]. 21 août 1929.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1512 19A. [Demande d'alignement maison 36 boulevard Jean-Jaurès]. 2 septembre 1929.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1546 19A. [Demande d'alignement immeuble, 79 boulevard Jean-Jaurès]. 7 septembre 1929.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1905 19A. [Demande d'alignement maison, 81 boulevard Jean-Jaurès]. 30 novembre 1929.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1956 19A. [Demande d'alignement immeuble, 77 boulevard Jean-Jaurès]. 15 octobre 1929.
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AC Clermont-Ferrand. Série O : 1 O 1455. Boulevard Jean Jaurès : construction de la partie comprise entre la rue des Salins et l'avenue de Boisséjour (Procès verbal d'adjudication des travaux, Cahier des charges, bordereau des prix, devis estimatif, Notes, exposés, correspondance), 1930
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AC Clermont-Ferrand. 2074 W 104. Lotissement Maradeix, boulevard Jean-Jaurès. 1931.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1350 20A. [Demande d'alignement immeuble 11 boulevard Jean-Jaurès].11 mars 1931.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 2004 20A. [Demande d'alignement immeuble, 75 boulevard Jean-Jaurès]. 29 juillet 1931.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 :1172 21A. [Demande d'alignement immeuble, 70 boulevard Jean-Jaurès]. 11 juin 1932.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1884 21A. [Demande d'alignement école ménagère Sainte-Jeanne-d'Arc, 54 boulevard Jean-Jaurès]. 30 novembre 1932.
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AC Clermont-Ferrand. 2074 W 122: 121. Lotissement Béal, boulevard Jean-Jaurès. 1933.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 2100 21A. [Demande d'alignement immeuble, 61 boulevard Jean-Jaurès]. 2 février 1933.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 2236 21A. [Demande d'alignement immeuble, 58 avenue Marx-Dormoy, angle boulevard Jean-Jaurès]. 13 mars 1933.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 2392 21A. [Demande d'alignement immeuble 41 boulevard Jean-Jaurès]. 24 mars 1933.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 2396 21A. [Demande d'alignement immeuble 13 boulevard Jean-Jaurès]. 4 avril 1933.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 2664 21A. [Demande d'alignement maison, 52 boulevard Jean-Jaurès]. 25 mai 1933.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 178 22A. [Demande d'alignement immeuble, 49 boulevard Jean-Jaurès]. 12 septembre 1933.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 232 22A. [Demande d'alignement immeuble 54 avenue Marx-Dormoy]. 19 septembre 1933.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 285 22A. [Demande d'alignement immeuble, 45 boulevard Jean-Jaurès]. 22 septembre 1933.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 299 22A. [Demande d'alignement immeuble 39 boulevard Jean-Jaurès]. 20 octobre 1933.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 337 22A. [Demande d'alignement immeuble, 77 boulevard Jean-Jaurès]. 5 octobre 1933.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 403 22A. [Demande d'alignement maison 7 boulevard Jean-Jaurès]. 2 novembre 1933.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 611 22A. [Demande d'alignement maison, 51 boulevard Jean-Jaurès]. 21 décembre 1933.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 625 22A. [Demande d'alignement maison, 53 boulevard Jean-Jaurès]. 23 décembre 1933.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 630 22A. [Demande d'alignement immeuble, 59 boulevard Jean-Jaurès]. 23 décembre 1933.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 631 22A. [Demande d'alignement immeuble, 55 boulevard Jean-Jaurès]. 23 décembre 1933.
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AC Clermont-Ferrand, série O : 1 O 39, Alignements : quartier des Ormeaux (1934-1941). Voies nouvelles : Maréchal Lyautey et Barthou, 1933, 1934 – plan d’alignement : 1934
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AC Clermont-Ferrand. Série O : 1 O 92. Numérotage des immeubles et maisons. Rue Alexandre Ribot, place du Mazet, boulevards Lafayette et Jean Jaurès, rues Horace Vernet et d’Amboise [3ième chemise], 1934. Rues du temple, du Port, Marmontel, impasse Lécuellé et boulevard Jean Jaurès (1939) ; rue des Côtes (plan de numérotage : 1939) rues du Clos Chanturgue et Belliard [8ième chemise], 1939
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AC Clermont-Ferrand. 2074 W 132. Lotissement Ravel, boulevard Jean-Jaurès. 1934
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 883 22A. [Demande d'alignement immeuble, 47 boulevard Jean-Jaurès]. 14 mai 1934.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1018 22A. [Demande d'alignement maison, 63 boulevard Jean-Jaurès]. 11 avril 1934.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1216 22A. [Demande d'alignement immeuble, 40 boulevard Jean-Jaurès]. 19 mai 1934.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 261 23A. [Demande d'alignement immeuble 31 boulevard Jean-Jaurès]. 6 mars 1935.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1138 23A. [Demande d'alignement immeuble 42 boulevard Jean-Jaurès]. 4 octobre 1935.
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AC Clermont-Ferrand. 2074 W 173. Lotissement Villemeyre, boulevard Jean-Jaurès. 1936
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 45 24A. [Demande d'alignement, immeuble, 24 boulevard Jean-Jaurès]. 20 octobre 1936.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 73 24A. [Demande d'alignement immeuble, 22 boulevard Jean-Jaurès]. 31 octobre 1936.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1060 24A. [Demande d'alignement immeuble, 39 ter avenue de la Libération]. 29 juillet 1937.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1071 24A. [Demande d'alignement immeuble, 20 boulevard Jean-Jaurès, angle du boulevard Joseph-Girod]. 2 août 1937.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1653 24A. [Demande d'alignement maison, 21 boulevard Jean-Jaurès]. 1er mars 1938.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 501 25A. [Demande d'alignement immeuble, 57 boulevard Jean-Jaurès]. 13 mars 1939.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 807 25A. [Demande d'alignement immeuble, 64 boulevard Jean-Jaurès]. 8 juin 1939.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 882 25A. [Demande d'alignement immeuble, 26 boulevard Jean-Jaurès]. 21 juin 1939.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 3671 25A. [Demande d'alignement pour construction porche et façade, église sainte Jeanne-d'Arc, place Littré]. 17 août 1946.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 30 27A. [Demande d'extension école ménagère Sainte-Jeanne d'Arc, 54 boulevard Jean-Jaurès]. 17 juillet 1947.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 89 27A. [Demande d'alignement garage, 67 boulevard Jean-Jaurès]. 13 août 1947.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1153 27A. [Demande d'alignement, maison, 71 boulevard Jean-Jaurès]. 9 octobre 1948.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 1199 27A. [Demande d'alignement, aménagement boulangerie, 15 boulevard Jean-Jaurès]. 4 novembre 1948.
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AC Clermont-Ferrand. Série O216 : 89 27A. [Demande de surélévation, 67 boulevard Jean-Jaurès]. 11 juillet 1949.
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AC Clermont-Ferrand. O216 1469 28A. [Demande de permis de construire maison, 66 boulevard Jean-Jaurès]. 11 juillet 1950.
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AC Clermont-Ferrand. 2074 W 376. Lotissement Loradoux, boulevard Jean-Jaurès. 1951.
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AC Clermont-Ferrand. PC 154. [Demande de permis de construire maison, 81d boulevard Jean-Jaurès]. 9 octobre 1951.
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AC Clermont-Ferrand. PC 400. [Demande de permis de construire immeuble, 73 boulevard Jean-Jaurès]. 15 avril 1952.
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AC Clermont-Ferrand. PC 373. [Demande de permis de construire maison, 81e boulevard Jean-Jaurès]. 11 mars 1952.
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AC Clermont-Ferrand. PC 540. [Demande de permis de construire maison, 81c boulevard Jean-Jaurès]. 26 septembre 1952.
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AC Clermont-Ferrand. PC 753. [Demande de permis de construire maison, 81b boulevard Jean-Jaurès]. 27 mars 1953.
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AC Clermont-Ferrand. PC 1603. [Demande de permis de construire immeuble, 9 boulevard Jean-Jaurès]. 13 janvier 1955.
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AC Clermont-Ferrand. PC 1667 et bis. [Demande de permis de construire immeubles,1 et 2 rue Roberval].13 juin 1955.
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AC Clermont-Ferrand. PC 3408. [Demande de permis de construire un clocher, église sainte Jeanne-d'Arc, place Littré]. 20 mars 1958.
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AC Clermont-Ferrand. PC 2452. [Demande de permis de construire immeuble, 62 boulevard Jean-Jaurès et 18 rue de Vallières]. 11 juillet 1956.
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AC Clermont-Ferrand. PC 2502. [Demande de permis de construire immeuble, 6 boulevard Jean-Jaurès]. 2 août 1956.
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AC Clermont-Ferrand. PC 4797. [Demande de permis de construire immeuble, 30 boulevard Jean-Jaurès]. 1er juin 1961.
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AC Clermont-Ferrand. PC 4907. [Demande de permis de construire immeuble, 17 boulevard Jean-Jaurès]. 22 août 1961.
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AC Clermont-Ferrand. PC 4967. [Demande de permis de construire immeuble, 2 boulevard Joseph-Girod]. 25 octobre 1961, permis modificatif 19 octobre 1962.
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AC Clermont-Ferrand. PC 5034. [Demande de permis de construire bâtiment école ménagère Sainte-Jeanne-d'Arc, 54 boulevard Jean-Jaurès]. 26 décembre 1962.
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AC Clermont-Ferrand. PC 5443. [Demande de permis de construire immeuble, 54 boulevard Jean-Jaurès et 1 place Littré]. 9 août 1962.
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AC Clermont-Ferrand. PC 6094. [Demande de permis de construire immeuble, 50 boulevard Jean-Jaurès]. 16 mars 1964.
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AC Clermont-Ferrand. PC 6133. [Demande de permis de construire immeuble, résidence les Iris, 3 boulevard Jean-Jaurès]. 10 avril 1964.
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AC Clermont-Ferrand. PC 6338. [Demande de permis de suréléver immeuble, 51 boulevard Jean-Jaurès]. 8 septembre 1964.
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AC Clermont-Ferrand. PC 6816. [Demande de permis de construire immeuble, 26-32 bis rue de Rabanesse]. 23 juillet 1965.
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AC Clermont-Ferrand. PC 6632. [Demande de permis de surélevé immeuble, 73 boulevard Jean-Jaurès]. 26 avril 1965.
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AC Clermont-Ferrand. PC 7223. [Demande de permis de construire immeuble, 20 avenue de la Libération]. 28 juillet 1966.
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AC Clermont-Ferrand, 2074 W 1071. Lotissement Société SKF "compagnie d'application mécaniques", boulevard Jean-Jaurès. 1967
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AC Clermont-Ferrand. PC 7746. [Demande de permis de construire immeuble, résidence les Iris, 34 rue de Rabanesse]. 20 décembre 1967.
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AC Clermont-Ferrand. PC 7759. [Demande de permis de construire immeuble, 33 boulevard Jean-Jaurès]. 29 décembre 1967.
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AC Clermont-Ferrand. PC 8611. [Demande de permis de construire résidence Verlaine, 49 rue des Salins et 76 boulevard Jean-Jaurès]. 26 décembre 1969.
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AC Clermont-Ferrand. PC 12119. [Demande de permis de construire résidence Utrillo, 7 boulevard Jean-Jaurès]. 26 mars 1980.
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AC Clermont-Ferrand. PC 063113 91 Y 0279. [Demande d'extension ancienne école ménagère, actuel LEP Anna Roddier, 54 boulevard Jean-Jaurès]. 2 août 1991.
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AC Clermont-Ferrand. PC 063113 98 Y 0175. [Demande de permis de construire immeuble, 19 boulevard Jean-Jaurès]. 15 juillet 1998.
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AC Clermont-Ferrand. PC 63 113 00 Y 0242. [Demande de permis de construire ensemble immobilier, 74 boulevard Jean-Jaurès et 20 rue Gerbert]. 4 octobre 2000.
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AC Clermont-Ferrand. PC 63 113 03 Y 0119. [Demande de permis de construire ensemble immobilier, 74 boulevard Jean-Jaurès, 20 rue Gerbert]. 8 août 2004.
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AC Clermont-Ferrand. PC 63 113 05 Y 0331. [Demande de permis de construire ensemble immobilier, 35 boulevard Jean-Jaurès]. 7 décembre 2005.
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AC Clermont-Ferrand. PC 63 113 14 G 0126. [Demande de permis de construire maison, 68 boulevard Jean-Jaurès]. 9 octobre 2014.
Bibliographie
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ZERVI, Bruno. Apprendre à voir l'architecture. Paris : éditions de Minuit, 1959.
Documents figurés
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AC Clermont-Ferrand, série O : 1 O 87. Dénomination de rues (1920-1939), boulevards Côte Blatin, Jean Jaurès et Ampère, séance du 26/7/1929.
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AM de Clermont-Ferrand. Services techniques, sans cote. Plan d'extension de Clermont-Ferrand, par Morel.
Déclaration d'utilité publique obtenue le 30/11/1926.
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Rue Kessler, déclassement de la partie comprise entre le boulevard Côte-Blatin et la rue Branly / Ville de Clermont-Ferrand, service de la Voirie. Fonds de plan vers 1925, ajout en jaune 1930. Dess. Extr. de [liasse d'archives] "Alignements : dossiers, 1927 - 1942", AC Clermont-Ferrand, série O : 1 O 85 162.
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Plan du calcul des surface dressé en conformité du plan d'alignement approuvé par décision de la commission départementale en date du 18 octobre 1913, boulevard sud (partie comprise entre le Pont de Naud et le boulevard Duclaux, expropriation des immeubles ou parties d'immeuble, droits de toutes natures et servitudes diverses) / Mairie de Clermont-Ferrand, voirie urbaine, Alignements. 0.002 pm. mars 1926. Dess. Extr de [liasse d'archives] "Expropriations: boulevard sud, 1921-1929", AC Clermont-Ferrand, série O : 1 O 224.
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Plan d'extension - alignement, quartier de l'église Jeanne-d'Arc, voies nouvelles [rue du Maréchal-Lyautey et Barthou] / Mairie de Clermont-Ferrand, voirie urbaine, Alignements. 0.002 pm. août 1934. Dess. Extr de [liasse d'archives] " AC Clermont-Ferrand, série 1 O 85 : 197, Alignements : rue du Maréchal-Lyautey et Barthou". tirage sur papier, 0,002 p. m.
197 -
[Boulevard Jean-Jaurès, secteur de la place Littré] / [extrait d'une vue aérienne] IGN, mission n°2531-0381, réf. C2531-0381_1953_CDP3726_0424. 1 : 4844. 19 mai 1953. Photogr. pos.
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[Boulevard Jean-Jaurès, secteur de la place Littré] / [extrait d'une vue aérienne] IGN, mission n°2531-0361, réf. C2531-0361_1956_CDP1141_0533. 1 : 3458. 17 décembre 1956. Photogr. pos.
Annexes
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Cession de terrain et d'immeuble pour l'établissement du boulevard sud -courrier de veuve Cornillot à M. le Maire, 1928
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Rue du Maréchal-Lyautey, courriers des habitants, 1933 et 1934
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Pétition pour l'ouverture du boulevard Joseph-Girod, 1929
Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Conservatrice du patrimoine. Responsable de l'unité Ressources du Service Patrimoines et Inventaire général de la région Auvergne-Rhône-Alpes.