Résultats de la recherche : hôtel-Dieu de Clermont-Ferrand" 2434 résultats
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IVR83_20154300040NUC4A
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Ligne (Saint-Etienne) - Aurec-sur-Loire - Saint-Georges-d'Aurac
Vue générale de la voie ferrée et de la gare de Saint-Georges-d'Aurac. Cette station, à environ 4 km du village de Saint-Georges-d'Aurac, est très souvent nommée par les guides station d'Aurac-Lafayette, en raison de la proximité du château de Chavagniac-Lafayette, un peu plus à l'est. Bien qu'ayant le statut de gare de bifurcation, puisque située à l'intersection des lignes Saint-Georges d'Aurac - Saint- Etienne et Clermont - Nîmes, elle n'a pas favorisé le développement d'une importante agglomération ferroviaire.
Périn Jean-Michel
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IVR84_20166300091NUC4A
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Ligne Clermont-Ferrand - Chapeauroux - (Nîmes)
Vue de Château-Cocu au second plan, aux abords d'Auzat-la-Combelle. Le guide le plus détaillé à son sujet est celui de 1865, pourtant assez sobre dans sa description : "Auzat-sur-Allier (...) que l'on aperçoit (...) ainsi que la tour et les murailles ruinées de son ancien château". Le château n'est plus cité ensuite que dans les guides de 1910 à 1920 ("ruines d'un château") ; les suivants préfèrent mettre l'accent sur les houillères de Combelle, face au ruines, sur l'autre rive de l'Allier.
Périn Jean-Michel
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IVR84_20166300128NUC4A
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Ligne Clermont-Ferrand - Chabreloche - (Saint-Etienne)
Cité cheminote PLM de Pont-de-Dore (commune de Peschadoires). Cette cité a été édifiée en deux temps. Un premier immeuble de 6 logements pour « agents subalternes » est construit en 1922 le long d’une route longeant la voie. En 1932, quatre autres bâtiments sont ajoutés à l’arrière du premier. Le tout représentait 40 logements, répartis ainsi : 20 destinés au personnel d’exploitation, 16 au personnel de « traction » et 4 au personnel travaillant sur les voies. Le château d’eau voisin, lié à l’activité ferroviaire, date probablement aussi des années 1930.
Parisey Christian
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IVR84_20206301017NUCA
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Immeuble dit Muraille de Chine
Vue depuis la couverture en terrasse du 1-3 allée des Dômes vers l'ouest : au premier plan, l'immeuble dit Muraille de Chine. A gauche du cliché, maison préexistante à la création du Secteur industrialisé, puis, en bleu, le centre culturel G. Brassens, puis la crèche. À l'arrière-plan, à droite, le viaduc Saint-Jacques, et enfin des fragments des villes de Clermont-Ferrand, Chamalières et Royat. Le puy de Dôme étant dans les nuages, il est invisible ce jour-là (le 29 octobre 2020).
Parisey Christian
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IVR84_20226301704NUCA
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Oeuvres du 1% artistique du lycée professionnel Marie-Curie de Clermont-Ferrand
Vue générale de la salle haute dite préau, avec peinture murale côté ouest.
Parisey Christian
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IVR84_20166300243NUC4A
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Ligne Vichy - Riom
La manufacture des tabacs de Riom, à proximité de la gare. Rien ne prédisposait Riom à accueillir le siège d’une manufacture des tabacs, si ce n’est justement sa desserte par le chemin de fer et l’appui du ministre d’État d’origine riomoise Eugène Rouher.
Parisey Christian
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IVR83_20156300528NUC4A
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Ligne Clermont-Ferrand - Chapeauroux - (Nîmes)
La gare de Cournon-d'Auvergne, côté voies. Il arrivait qu’une gare soit implantée à mi-distance de deux localités. Le nom qu’elle portait pouvait alors susciter un débat. Dans ce cas se trouvent Sarliève et Cournon. La municipalité de Cournon (le registre des délibérations du conseil municipal en atteste) demande en effet en 1878 qu’une gare porte son nom car Cournon « étant un vignoble très important », cela éviterait « aux marchands de vin toute hésitation quant à l’envoi de leurs futailles ». D’autant que Sarliève à cette date ne compte que 20 habitants quand Cournon en dénombre 2500. Actuellement la gare porte le double nom de Sarliève-Cournon.
Périn Jean-Michel
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IVR83_20116301063NUC4A
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Ligne Clermont-Ferrand - Chabreloche - (Saint-Etienne)
Vue du chemin de fer dans les gorges de la Durolle : on aperçoit la ligne à la sortie d'un tunnel, à flanc de rochers. Le guide Joanne de 1910-1911 décrit ainsi le site de la voie ferrée : "Au-delà de Thiers, la voie, taillée en corniche (nombreux travaux d'art), court très haut au-dessus de la rive droite de la Durolle. Entre les tunnels on découvre (...) des points de vue variés sur la gorge de la Durolle (beaux rochers)". Les guides suivants ajoutent tous l'adjectif "pittoresque" à leur description du trajet en chemin de fer dans ce site.
Périn Jean-Michel
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IVR83_20150300108NUC4A
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Gare de Saint-Germain-des-Fossés
La grande verrière à structure métallique (système de fermes "Polonceau") protégeant les voies et les quais de la gare de Saint-Germain-des-Fossés.
Périn Jean-Michel
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IVR83_20156300504NUC4A
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Ligne Clermont-Ferrand - la Cellette (gare) - (Tulle)
La gare de Volvic, côté voies. Cette gare, construite à quelques kilomètres du bourg de Volvic, est "dominée à l'ouest - sud-ouest par le puy de la Nugère (994 m)" nous dit le guide Joanne de 1901. L'édition du guide Bleu de 1920 va plus loin dans la description : "La gare, isolée à flanc de montagne, est pour ainsi dire suspendue à l'extrémité nord de la chaîne des Puys, à 700 m d'altitude". Et en 1930, le guide à destination des touristes anglais, le Paris-Orléans Railway of France, rappelle que Volvic est reliée, par service routier, à la renommée ("well known") station thermale de Châtel-Guyon.
Parisey Christian
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IVR83_20150300103NUC4A
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Ligne (Paris) - Villeneuve-sur-Allier - Clermont-Ferrand (par Gannat)
Vue de la vallée de l'Allier près de Saint-Germain-des-Fossés, depuis la voie ferrée. Toute la partie nord de la ligne de chemin de fer suit, de plus ou moins près, le cours de l'Allier. Elle le traverse au sud-ouest de Saint-Germain puis s'en éloigne.
Périn Jean-Michel
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IVR84_20166300148NUC4A
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Ligne Laqueuille - Le Mont-Dore
Gare de Laqueuille, côté voies.
Périn Jean-Michel
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IVR83_20156300514NUC4A
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Ligne Clermont-Ferrand - la Cellette (gare) - (Tulle)
La gare de Durtol-Nohanent, côté voies. Le guide de 1892 décrit la gare de Durtol - Nohanent (qui dessert les deux localités, voisines) comme "station à moitié masquée par un fouillis de verdure". C'est en effet la végétation des alentours que retiennent la plupart des guides, avec la description de cette "région très belle et très boisée" et de ses châtaigneraies. Il s'agit ici principalement de bois communaux. Or ce passage des trains à vapeur dans les bois n'était pas sans danger, des escarbilles s'échappant des cheminées des locomotives pouvaient provoquer des incendies, comme en témoigne dans l'entre-deux-guerres un contentieux à ce sujet entre la compagnie du PO et la municipalité de Durtol. Grâce en partie aux indemnités versées par la compagnie ferroviaire en 1924, la villa Montchany est acquise pour être transformée en mairie. Par ailleurs, seul le livret-guide du PO-Midi de 1936 signale que Nohanent est une station climatique, confondant Nohanent avec Durtol.
Parisey Christian
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IVR83_20146300863NUDA
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Villes en Auvergne : les formes urbaines
Une combinaison simple et récurrente : la gare, le square (avec monument aux morts) greffé sur la voie de liaison entre gare et centre ancien. Ici le cas d'Issoire. Riom, Moulins, Issoire, et dans une moindre mesure Aurillac et Riom-ès-Montagnes, ont en commun une combinaison « gare – square avec monument aux morts – boulevards – centre ». Trouver le monument aux morts sur le parcours gare – centre reste fréquent : c’est le cas d’autres villes telles Paulhaguet, Clermont-Ferrand, Lapalisse, Saint-Germain-Lembron. Le placer en entrée de ville ou sur la traverse principale, à la vue des personnes de passage, est probant à Dunières, Brioude, Durtol, Ardes. Le situer dans le square attenant à la gare revient à croiser plusieurs arguments : le statut de la gare comme entrée de ville avec celui du square comme espace de prestige et comme salle d’attente en plein air (l’architecte et théoricien anglais Raymond Unwin (1863-1940) le préconisait : « on se rappellera, en étudiant les emplacements des gares, ceux aussi des hôtels de ville et autres édifices publics où il est probable que les usagers seront obligés d’attendre, qu’il y aurait grand avantage à trouver là quelque lieu, fermé ou en plein air, quelque jardin abrité où l’attente se fasse dans la tranquillité et dans un cadre agréable, hors des bruits de la gare et du tumulte des centres d’affaires ». Dans le cas présent, la salle d’attente peut se muer en espace de recueillement.
Beauparland-Dupuy Guylaine
Beauparland-Dupuy Guylaine
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Cartographe-dessinatrice au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel.