Le plan cadastral de 1813 ne figure aucun aménagement particulier à cet emplacement. A l'état des sections cadastrales de 1824, cette parcelle est mentionnée comme « terre labourable », appartenant à « Aumage Jean Antoine », lequel possède également la parcelle voisine (G 549), mentionnée comme « pâture ».
La construction de cet enclos ne paraît pas antérieure à la fin du 19e siècle.