Le cadastre de 1788 nomme une douzaine de sources ou fontaines : « Fonfurle », « Fonleidier » ou « Font Leydier », « Fonseau », « Font Michelle », « Font Nouvelle », « Fontarache », « Fontenelle », « Fontenouille », « Fontaine de Damian », « Fontaine de Génissau », « Fontaine des Bourneau », « Fontaine Sarpetriere ».
Le cadastre de 1813 et son état des sections de 1824 mentionnent plusieurs sources et fontaines : « Font Furle » (section G), « Font Leydier » (sections C et E), « Fonraud » (section C), « Font-Nouvelle » (section B2), « Font Nouvelle » (section F), « Fontenelle » (section C), « Fontaine de Janissau » (section B2), « Fontaine de Cheneaux » (section F), « Font Couverte » (section A1), « Fontaine de Peymean » (section F), « Fontlobe » (sections A1, A2 et B1).
J. Brun-Durand (1891) mentionne la fontaine « Germane », celles de « Fontenelle », de « Font Coubaude » ou « Fontcobe », de « Fontbarbe », du « Génisseau », et de « Cheneau ».
Les abris des lavoirs du Terron et du Génisseau sont construits en 1891.
En 1965, la source de la Méouge est vendue à la commune de Séderon, à la condition que cette dernière installe un abreuvoir suffisamment alimenté, et qu'elle dédommage les anciens utilisateurs du cours d'eau.
Depuis le début des années 1970, la source du Génisseau est captée et canalisée. Complétée par le captage de la source du Paradis, elle alimente désormais les communes de Barret, Montbrun et Reihanette. Ces communes bénéficiaires doivent en contrepartie indemniser « les derniers irrigants des torts qu'ils pourraient prouver leur avoir été causés par la dérivation des eaux ». Les aménagements anciens ont disparu, laissant la place à un nouveau réservoir, complété par un second réservoir au Tournail.