Dossier d’œuvre architecture IA42003836 | Réalisé par
Renaud-Morand Bénédicte (Contributeur)
Renaud-Morand Bénédicte

Conservatrice du patrimoine, chercheuse de 1994 à 2023 au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel (Clermont-Ferrand).

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  • enquête thématique régionale, Patrimoine des lycées
Collège d'enseignement technique, puis lycée professionnel Adrien-Testud, Le Chambon-Feugerolles, actuellement désaffecté
Œuvre monographiée
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton aire d'étude de la région Auvergne-Rhône-Alpes
  • Commune Le Chambon-Feugerolles
  • Lieu-dit
  • Adresse 33 boulevard d'Auvergne
  • Cadastre 2017 AT 54
  • Dénominations
    lycée, collège
  • Précision dénomination
    professionnel
  • Appellations
    Adrien Testud
  • Parties constituantes non étudiées
    atelier de fabrication, aire de séchage, gymnase, logement, cantine

Le contexte institutionnel dans lequel la construction d'un centre d'apprentissage est décidée.

Dans un "Rapport d'opportunité" rédigé en avril 1951 par l'inspecteur d'académie, à destination du préfet, il est rappelé que la ville du Chambon est vouée "à un développement insoupçonnable affectant à la fois sa population (800 à 1000 logements ouvriers groupées en cités forment la première tranche de constructions prévues) et son industrie"1. Une "centrale thermique et une cokerie géantes" sont en effet en cours d'achèvement. "Il n'est pas exagéré de dire que le Chambon comptera dans un proche avenir parmi les villes les plus importantes du département et que son industrie actuelle se transformera assez rapidement en grosse industrie utilisant l'énergie considérable créée sur place". De plus, la ville est située "entre Saint-Etienne et Firminy, aux établissements techniques surpeuplés depuis longtemps déjà". Certes un centre d'apprentissage existe mais il est installé dans trois salles de classes d'un groupe scolaire, au sous-sol, et donc mal éclairées et mal aérées, et il est complété par deux ateliers situés à l'extérieur, à 300 m. Adrien Testud, directeur du groupe scolaire puis du centre d'apprentissage, semble avoir été la cheville ouvrière du projet.

Des établissements industriels installés au Chambon-Feugerolles, tels que celui de Jacques Roland ou la chambre syndicale des fabricants de limes de la Loire, remettent en 1947 des subventions au Centre au titre de la taxe d'apprentissage2.

L'implantation / l'emplacement.

Le terrain acheté par la Ville se trouve face à l'usine Venries et Duyts. Il est limitrophe d'une zone qualifiée "industrielle et habitations" sur le Plan d'urbanisme en cours d'élaboration en 1951 et rendu public en 1954.

Extrait du Plan d'urbanisme de 1954, date à laquelle le lycée est en cours de construction, donc pas encore représenté. Il prendra place à l'endroit du plan où figure l'inscription "La Croix-Bleue". La zone de croisillons en tireté est "zone industrielle, secteur E" (il a été ajouté à la main "et habitations") et la zone, assez proche (à droite du plan), à carreaux ponctués au centre est celle des "HLM en cours". La "zone industrielle, secteur D" (losanges) correspond ici à la voie ferrée et à la gare. [Photo chercheure.]  Extrait du Plan d'urbanisme de 1954, date à laquelle le lycée est en cours de construction, donc pas encore représenté. Il prendra place à l'endroit du plan où figure l'inscription "La Croix-Bleue". La zone de croisillons en tireté est "zone industrielle, secteur E" (il a été ajouté à la main "et habitations") et la zone, assez proche (à droite du plan), à carreaux ponctués au centre est celle des "HLM en cours". La "zone industrielle, secteur D" (losanges) correspond ici à la voie ferrée et à la gare. [Photo chercheure.]

En 1963, le centre d'apprentissage devenu lycée est en "secteur dit résidentiel et dense", face à une zone industrielle ZIA (destinée aux établissements "incommodes, dangereux ou insalubres"). Cependant le secteur "dit commercial et dense", sur lequel est implanté la mairie, s'en trouve limitrophe également, du côté est.

Sur le plan d'urbanisme directeur du groupement d'urbanisme de Saint-Etienne (1963), dont Le Chambon-Feugerolles fait partie (groupement dissous en 1974), et que l'on doit à Charles Delfante, on voit que le lycée est en "secteur dit résidentiel dense" (jaune), limitrophe d'une "zone industrielle ZIA". [Photo chercheure.]Sur le plan d'urbanisme directeur du groupement d'urbanisme de Saint-Etienne (1963), dont Le Chambon-Feugerolles fait partie (groupement dissous en 1974), et que l'on doit à Charles Delfante, on voit que le lycée est en "secteur dit résidentiel dense" (jaune), limitrophe d'une "zone industrielle ZIA". [Photo chercheure.]

Le tracé de la route nationale, au sud de la parcelle, était connu dès l'élaboration de l'avant-projet de Jean Favart et Hubert Trady (1952) : on y distingue un accès direct vers la route pratiqué dans le mur de clôture de la cour. Entre temps, il a dû semblé plus raisonnable de prévoir une bande de terrain destinée à isoler le lycée des nuisances sonores que pouvait représenter la route et le danger d'un accès direct. Un cliché de 2006 conservé sur le site de Google earth montre que la bande de pré longeant la RN 88 a servi à cette date au moins de parc de stationnement de voitures.

L'édifice est désaffecté suite à une étude de faisabilité datant de 1996. Il est choisi de le reconstruire sur une parcelle plus proche du centre. Ce qui constitue un fait notable, le mouvement inverse étant habituellement observé, soit de reconstruction plus périphérique que l'implantation d'origine. Toutefois, la spécialité du lycée a changé entre temps : les ateliers de fraisage, ajustage, forge, menuiserie, ont laissé la place à des ateliers liés au textile et à l'habillement.

L'évolution du projet architectural : entre avant-projet et réalisation, la promulgation d'une circulaire.

Nous disposons d'une part de l'avant-projet signé de Jean Farat et Hubert Tardy, daté du 2 avril 19523, d'autre part d'un constat établi par nos soins lors de la visite des lieux le 7 octobre 20214. Au moment où Jean Farat est chargé du dessin de l'établissement, on se situe à la charnière entre deux périodes bien identifiées par Raymond Poignant5. La première période est celle où l'on voit les effectifs de l'enseignement secondaire s'accroître (depuis 1948), et l'enseignement technique particulièrement car il est directement lié à l'essor économique, alors que le Premier Plan quinquennal d'équipement et de modernisation valable de 1946 à 1950 ne prévoyait rien concernant ce point. La seconde période s'ouvre à la fin de 1951 lorsque le gouvernement décide d'inclure les besoins de l'Education nationale dans le deuxième Plan national de modernisation. Dans ce cadre une Commission du plan d'équipement scolaire avait pu avancer la proposition, adoptée et préconisée dans la circulaire ministérielle du 1er septembre 1952, d'une construction suivant une trame d'1 m 75. Officiellement, il s'agit de faire certes "harmonieux et rationnel" mais aussi "économique, et confortable du point de vue pédagogique".

C'est ainsi que les travées prévues devaient mesurer environ 2,95 m de large, alors qu'elles n'en font plus qu'1,75 dans la réalité. L'ampleur donnée aux baies dans l'avant-projet correspondait mieux à la recherche d'air et de soleil qui était recommandée par ailleurs.

1AC Le Chambon-Feugerolles, 1 O 5/11. Construction d'un centre d'apprentissage masculin. Expropriation des terrains.2"Une histoire", dans Société d'histoire du Chambon-Feugerolles, n°48, juin 2004.3Je remercie Virginie Peyre, archiviste du Chambon-Feugerolles, pour m'avoir préparé la documentation, dans laquelle se trouvait notamment cet avant-projet.4Je remercie Marie Perret et M. Prospery, des services de la mairie du Chambon-Feugerolles, pour nous avoir donné accès à l'établissement.5POIGNANT, Raymond. "La planification de l'expansion de l'enseignement en France". Dans : Tiers-Monde, t. 1, n°1-2, 1960. La planification de l'éducation, et ses facteurs économiques et sociaux. Colloque international de Paris (9-8 décembre 1959), p. 208-220. https://www.persee.fr/doc/tiers_0040-7356_1960_num_1_1_1199

En octobre 1942 est créé un Cours complémentaire rattaché au groupe scolaire Jean-Jaurès. En 1946 ce cours devient centre d'apprentissage et se trouve alors géré, non plus par un inspecteur de l'enseignement primaire mais par l'administration de l'enseignement technique. Il s'agit ensuite de le déplacer et de construire un établissement spécifique (voeu émis par le conseil d'administration le 10 décembre 1949). Le conseil municipal prend en considération ce voeu le 29 janvier 1950. Car il est mentionné que les établissements de l'enseignement technique de Saint-Etienne et de Firminy sont surpeuplés. La même année, on ne parle plus de centre d'apprentissage (masculin) mais de "collège moderne". Le secrétaire d'Etat à l'enseignement technique donne son accord pour en étudier la construction. (Sur l'avant-projet daté du 2 avril 1952, figure néanmoins l'inscription "centre d'apprentissage" et la façade existante conserve la trace de l'appellation "collège d'enseignement technique".)

Quant à l'implantation de l'établissement, la municipalité procède à l'acquisition des parcelles (délibération du conseil municipal du 27 août 1950) en se voyant obligée de procéder à une double expropriation (des recours conduiront l'affaire en conseil d'État). Il est situé face aux usines Venries et Duyts, et Bernard (au nord de la route de Gaffard, actuel boulevard d'Auvergne).

Par un courrier du 26 février 1951, l'inspecteur principal de l'enseignement technique préfère la portion de terrain la plus proche de la zone industrielle à celle qui jouxte l'hôpital (il est vrai que les apprentis qui seront accueillis dans l'établissement auront quasiment vocation à travailler dans ladite zone industrielle). Le 5 avril 1951, l'inspecteur d'académie résume dans un "Rapport d'opportunité" adressé au préfet, les avantages du terrain dans ces termes : "D'une superficie de 9000 m2, à 7 minutes de la mairie, au coeur même de la ville future (lieu-dit La Croix Bleue), bordé par deux grandes routes (la future Nationale n°88, et la route de Gaffard), et un chemin, le terrain est admirablement situé, à peu près horizontal (condition difficilement réalisée dans la région), devant bien se prêter à la construction." Pour la municipalité, le terrain présente des atouts supplémentaires : l'un des accès du futur établissement "se trouve sur une route à créer (future route nationale Saint-Etienne-Firminy), [et] que la ville a décidé d'accorder sa participation financière à la création de cette voie, de ce fait d'importants travaux de viabilité (eau, égouts, électricité) devront être exécutés". Par conséquent, il sera apporté une plus-value à la partie de terrain proche de l'hôpital, au sud de ladite route, en faveur de l'un des propriétaires expropriés.

Si la construction de la route était prévue dès les prémices du projet de centre d'apprentissage masculin, elle n'est réalisée qu'entre 1967 et 1970.

L'établissement a été érigé à partir de 1955 (voir le cliché aérien diffusé sur le site de l'IGN "Remonter le temps" datant du 12 octobre de cette année-là sur lequel on distingue les six premiers sheds des ateliers). En 1959, le 7 août (même source figurée), on constate que l'ensemble est terminé, séchoir et transformateur compris. Nous ne disposons pas de la date de la première rentrée scolaire mais aux Archives nationales est conservé un dossier concernant une oeuvre à réaliser au titre du 1% artistique pour un centre d'apprentissage du Chambon-Feugerolles (par le sculpteur Henry Bosramiez) dont l'agrément est donné le 14 mars 1957. Or il est très vraisemblable qu'il s'agissait de notre édifice, puisque le centre d'apprentissage féminin semble avoir fait l'objet d'aménagements dans des locaux mis à disposition en 1951 (AC Le Chambon-Feugerolles, 9 W 51). Le CET doit donc être fini en 1957, prêt à recevoir une sculpture (peut-être les bas-reliefs visibles sur les clichés anciens, arasés aujourd'hui).

En 1996 une étude de faisabilité est entreprise qui concerne deux options, soit la restructuration de l'établissement étudié, soit son transfert avec construction en centre ville, au coeur d'une ZAC (du Colombier) en cours d'aménagement, où se situe une annexe du lycée dite "maison bourgeoise". C'est la seconde option qui est choisie conjointement par la Ville et le Conseil régional. Les travaux de construction du nouvel établissement sont entrepris en juin 2008, finis en 2009, et la "maison bourgeoise" est vendue à un office notarial. Le site primitif du boulevard d'Auvergne est alors désaffecté et cédé par la Région à la Ville.

C'est en octobre 2021 qu'une campagne photographique est entreprise afin de conserver une trace de l'édifice du boulevard d'Auvergne, avant réaffectation ou démolition.

  • Période(s)
    • Principale : milieu 20e siècle
  • Dates
    • 1952, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Farat Jean
      Farat Jean

      Architecte DPLG, professeur à l'école des Beaux-Arts de Saint-Etienne (au 20/1/1932, cf. AC du Chambon-Feugerolles, 1 T 1/3).

      Notamment auteur de l'avant-projet, avec Hubert Tardy, de l'avant-projet du collège d'enseignement technique du Chambon-Feugerolles (avril 1952).

      Dans le fonds des dossiers d'oeuvres de la direction de l'architecture et de l'urbanisme (voir, en ligne, le site Archiwebture), Jean Farat fait l'objet, avec Jean Bressiant, de deux cotes (133 ifa 47/2 et 133 ifa 502/15, non consultées). De même, la correspondance de Jean Farat avec les frères Perret au sujet des transformations du musée de Saint-Etienne, entre 1944 et 1946, est signalée dans le dossier 535 AP 445/3. Ainsi que des plans datés de 1961 pour un aménagement au palais de justice de Saint-Etienne, cosignés avec un certain Paradis (en 152 ifa).

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Tardy Hubert
      Tardy Hubert

      Architecte ayant signé, avec Jean Farat, l'avant-projet du collège d'enseignement technique du Chambon-Feugerolles, devenu lycée professionnel. Or un architecte du nom de Tardy procède également au Chambon-F. à l'estimation des terrains destinés à l'implantation dudit lycée, d'où la possibilité qu'il s'agisse de l'architecte communal ayant secondé, comme architecte d'opération, le stéphanois Jean Farat.

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      architecte communal (incertitude), attribution par source

En 2021, l'établissement présente un plan en U avec un bâtiment principal formant une barre orientée sud-ouest / nord-est alignée sur le boulevard. Un très léger recul d'alignement occupé par une ligne de buissons bas ne permet pas de parler de jardin de façade. Les bras du U, qui délimitent la cour située à l'arrière, sont inégaux : le bras qui ferme la cour à l'est, plus important, est constitué du bâtiment des ateliers (à l'origine : forge, serrurerie, tournage, fraisage, ajustage, menuiserie) couvert de sheds. Un bâtiment s'y est greffé dans un second temps, au sud, et à la perpendiculaire, ayant une fonction de séchoir pour les bois. À l'articulation entre les deux a également été élevée la tour d'un transformateur. Le bras situé au sud-ouest est celui d'un gymnase couvert en terrasse (bitume), suivi par un bâtiment formant bloc destinés principalement à deux logements de fonction.

Le terrain d'implantation suit une légère dénivellation : ainsi, le niveau de la cour à l'arrière est plus élevé que celui du boulevard. Le rez-de-chaussée côté boulevard forme ainsi un étage de soubassement éclairé seulement du côté du boulevard. Il accueille la loge du concierge, des ateliers et dépôts ainsi qu'une chaufferie. Au rez-de-chaussée côté cour, se trouve un portique formant préau sur toute la longueur de la barre, et se poursuivant en équerre du côté du gymnase. De ce préau, on accède principalement au bureau du proviseur, et aux cuisines et réfectoire, qui s'éclairent côté boulevard. À l'étage (le troisième niveau si l'on se situe sur le boulevard) se trouvent les salles de classe qui s'éclairent sur la cour, un couloir latéral, au nord, les distribuant.

Les accès au lycée sont au nombre de six : sur la façade, on compte la porte d'entrée principale et trois portes ouvrant directement dans les locaux techniques et ateliers ; à l'extrémité sud-ouest de la parcelle, un portail ouvre sur une pente qui permet aux véhicules d'accéder au niveau de la cour, enfin un accès secondaire situé à l'extrémité sud-est de la parcelle permettait probablement de faire entrer de l'outillage ou des matériaux lourds en les descendant directement dans la cour.

On compte quatre escaliers principaux : deux escaliers dans-oeuvre suspendus et tournants avec jour aux deux extrémités de la barre. Tous deux sont précédés de degrés droits. Un escalier en demi-hors-oeuvre suspendu tournant avec jour distribue les deux logements de fonction : il est situé au sud du bâtiment et il est éclairé par un mur de cage formant verrière. Un quatrième escalier suspendu permettait au concierge de passer directement de sa loge à son appartement.

La barre et le bloc des logements de fonction (avec vestiaires et douches ouvrant vers le gymnase au rez-de-chaussée) sont couverts de toits à longs pans et croupes.

Sans avoir pu le vérifier précisément à l'aide d'un outil de mesure, les bâtiments principaux du lycée semblent avoir été construits en suivant les normes de construction diffusées par la circulaire ministérielle du 1er septembre 1952 visant les locaux scolaires. Les plans de ces derniers devaient alors se présenter comme "un assemblage de carrés de 1, 75 m de côté". Cette dimension devait pouvoir s'appliquer à l'ensemble des bâtiments, y compris aux circulations, escaliers, pièces de service ou sanitaires. Or la composition en travées régulières des façades, de même que la largeur des couloirs semblent, de visu, y correspondre.

La construction de l'ensemble des bâtiments est en béton. Ce dernier est sablé en façade.

  • Murs
    • béton béton armé
  • Toits
    bitume, tuile mécanique
  • Plans
    plan régulier en U
  • Étages
    étage de soubassement, 2 étages carrés
  • Couvrements
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • shed
    • terrasse
    • toit à longs pans croupe
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour suspendu
    • escalier demi-hors-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour suspendu
  • Énergies
    • énergie électrique
  • État de conservation
    envahi par la végétation, désaffecté, mauvais état
  • Statut de la propriété
    propriété de la commune

Dossier ponctuel d'urgence : lycée désaffecté, le sort des bâtiments n'est pas encore connu.

Documents d'archives

  • AC Le Chambon-Feugerolles. Registres des délibérations du conseil municipal du Chambon-Feugerolles, 1946-1951.

    -1947 = création d'un centre d'apprentissage masculin, installé dans des salles au sous-sol de l'école de garçons

    -1950 = le conseil municipal prend en considération le voeu de construction d'un édifice spécifique ; accord du secrétaire d'Etat à l'enseignement technique (Ministère de l'éducation nationale, via le recteur de l'académie de Lyon)

    -1951 = procédure d'acquisition des terrains

    AC Le Chambon-Feugerolles : 1 D 12, 1 D 13
  • AC du Chambon-Feugerolles. Classeur d'Adrien Testud, instituteur public, n° 1-B.

    AC Le Chambon-Feugerolles : Classeur n° 1-B
  • AC du Chambon-Feugerolles. Construction d'un centre d'apprentissage masculin. Expropriation des terrains. 1947-1952.

    AC Le Chambon-Feugerolles : 1 O 5/11
  • AC du Chambon-Feugerolles. Plan d'urbanisme du Chambon-Feugerolles (1954) et Plan d'urbanisme directeur du Groupement d'urbanisme de Saint-Etienne (1963), avec règlement (janv 1961, modif 1963).

    AC Le Chambon-Feugerolles : 1 T 3/2

Périodiques

  • Anonyme, "Une histoire", dans Société d'histoire du Chambon-Feugerolles, bulletin, n° 48, juin 2004, p. 7-22.

    AC Le Chambon-Feugerolles : sans
    p. 7-22
Date(s) d'enquête : 2021; Date(s) de rédaction : 2021
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Renaud-Morand Bénédicte
Renaud-Morand Bénédicte

Conservatrice du patrimoine, chercheuse de 1994 à 2023 au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel (Clermont-Ferrand).

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