Dossier d’œuvre architecture IA63002688 | Réalisé par
Laurent Christophe (Rédacteur)
Laurent Christophe

Historien de l'architecture. Prestataire pour le service régional de l'Inventaire Auvergne, puis Auvergne-Rhône-Alpes, en 2014-2015 puis 2021-

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
  • opération ponctuelle, Patrimoine XXe siècle
La subdivision de la DDE à Billom
Œuvre monographiée
Auteur
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton aire d'étude de la région Auvergne-Rhône-Alpes
  • Commune Billom
  • Lieu-dit
  • Adresse rue du Champ de Mars
  • Cadastre 2021 AD 109
  • Dénominations
    établissement administratif
  • Précision dénomination
    Subdivision de la Direction départementale de l'Équipement du Puy-de-Dôme
  • Destinations
    architecture de l'administration ou de la vie publique

Résumé chronologique : concours d’architecture en 1980 ; permis de construire accordé le 17 mars 1982 ; début des travaux en août 1982 ; mise en service vers septembre 1983.

L’édifice de la subdivision de Billom de la Direction départementale de l’Équipement du Puy-de-Dôme date de 1980-1983. De toute évidence, il a été le premier bâtiment public auvergnat construit pour utiliser l’énergie solaire comme moyen de chauffage des locaux et de l’eau sanitaire. Bien que les dispositifs techniques de captation de l’énergie solaire ne soient plus en place, le bâtiment a conservé l’essentiel de ses formes spécialement adaptées à cette captation.

Les premières maisons solaires dites « passives » (dans lesquelles un mur épais était chauffé par le soleil et restituait la chaleur aux espaces intérieurs) ont été construites aux États-Unis d’Amérique peu après la Seconde Guerre mondiale. Dans les années 1960 et au début des années 1970, diverses recherches furent menées, notamment par l’architecte américain David Wright. Des techniques solaires « passives » ou « actives » furent expérimentées (ces dernières mettant généralement en œuvre des capteurs solaires vitrés dans lesquels circulait un fluide caloporteur). En corollaire se développa le concept d’architecture « bioclimatique », concept destiné principalement à valoriser, lors de la création d’un bâtiment, l’environnement géographique et climatique ainsi que le respect de la vie quotidienne et de la santé des habitants. De même se manifesta un nouvel intérêt pour l’architecture vernaculaire traditionnelle et ses adaptions aux conditions des terroirs.

Cependant, l’architecture « solaire » ne prit son réel essor qu’à partir du premier choc pétrolier de 1973. L’énergie solaire fut perçue comme une alternative économiquement crédible par rapport aux énergies issues du pétrole et du charbon. En France, comme dans la plupart des pays industrialisés, de nombreuses initiatives virent le jour. Elles furent l’œuvre de particuliers, d’écologistes, de scientifiques, d’architectes, d’entreprises. L’État français ne tarda pas à mettre en place les premières structures administratives dans le cadre d’une politique globale d’économie de l’énergie. La Délégation aux Énergies nouvelles et le Commissariat à l’énergie solaire (COMES) virent le jour respectivement en avril 1975 et en mars 1978. Des « appels à idées » furent émis, par exemple les appels « HOT » (Habitat original par la Thermique). En 1979, la Direction de l’habitat et de la construction du ministère de l’Équipement lança le concours « 5 000 maisons solaires ». La même année, le projet de construction de l’établissement du COMES à Sophia Antipolis fit l’objet du premier concours public d’architecture solaire.

À partir de 1976, des revues et des ouvrages spécialisés diffusèrent les connaissances techniques nouvellement acquises et montrèrent des réalisations architecturales récentes. Par exemple, les revues L’architecture d’aujourd’hui et Techniques et architecture abordèrent « l’architecture du soleil » dans plusieurs numéros [1]. De même, dans les écoles d’architecture, des enseignants donnèrent des cours sur le sujet et des étudiants lui consacrèrent des recherches. Ainsi, à l’École d’architecture de Clermont-Ferrand, deux premiers mémoires sur « l’habitat solaire » furent soutenus en 1978 et 1979 [2].

C’est dans ce contexte général et particulier que s’inscrivit le projet imaginé par Jean-Paul Reuillard pour le concours de maîtrise d’œuvre de la subdivision de la DDE de Billom. Fraîchement diplômé après des études à l’école d’architecture de Clermont-Ferrand, Jean-Paul Reuillard débutait alors sa carrière. Selon son témoignage [3], le programme du concours ne comportait pas de volet « énergie solaire ». Le jeune architecte fit donc preuve d’audace en présentant un parti architectural essentiellement fondé sur l’utilisation de cette technologie innovante. L’initiative se révéla payante : Jean-Paul Reuillard remporta le concours [4]. Les deux autres concurrents n’avaient pas proposé une telle solution.

Après une phase de mise au point et de consultation des entreprises, la demande de permis de construire fut déposée le 21 octobre 1981 (complétée le 24 novembre 1981). Le permis fut accordé le 17 mars 1982. Les travaux débutèrent en août suivant et s’achevèrent à la fin de l’automne 1983.

La technologie solaire du début des années 1980 était encore expérimentale. Celle utilisée pour la subdivision de la DDE de Billom se révéla rapidement déficiente. Au bout de deux ans, des fuites apparurent sur le réseau caloporteur des capteurs solaires. Par ailleurs, le réseau du chauffage par le sol subit un important embouage. En 1989, le dispositif de captage de l’énergie solaire fut abandonné. Une chaudière à gaz prit le relais. Bien qu’il ait été prévu dans le projet initial de pouvoir adapter les dispositions du bâtiment en fonction des progrès prévisibles des techniques solaires, l’essai avait tourné court. Au-delà du cas particulier de la subdivision billomoise, à l’échelon national, faute d’une réelle volonté politique, l’heure n’était malheureusement plus au développement des énergies nouvelles [5].

Notes

[1] L’architecture d’aujourd’hui, n° 167, n° 192, septembre 1977 ; Techniques et architecture, n° 300, n° 315, juin-juillet 1977, n° 325, juin-juillet 1979. Il convient également de mentionner les suppléments au Bulletin d’information inter-établissement des écoles d’architecture consacrés au sujet en février et mai 1976, mars et juin 1977, et au 1er trimestre 1980.

[2] Laure Guillot, Étude préalable à une maison solaire, Travail probatoire de fin d’études, dir. Jean-Marc Massot, 1978, 99 pages. Jacques Thierry, Problématique de l’habitat solaire, Travail probatoire de fin d’études, dir. Jean-Marc Massot, 1979, 140 pages.

[3] Témoignage recueilli le 22 juillet 2021.

[4] Afin de bénéficier de ses conseils et de son expérience, Jean-Paul Reuillard demanda à Jean-Marc Massot de cosigner le projet. Jean-Marc Massot, architecte DPLG, enseignait à l’École d’architecture de Clermont-Ferrand les « technologies douces » et les « technologies solaires ». Il avait construit peu auparavant une maison solaire à la Roche-Blanche (Puy-de-Dôme). Par ailleurs, le travail de Jean-Paul Reuillard s’inscrivit dans les activités du groupe « Sycomore, Architecture et Paysage » dont il était membre.

[5] Face aux conséquences désastreuses du dérèglement climatique, les « énergies nouvelles » sont aujourd’hui de nouveau d’actualité. Trois décennies ont cependant été perdues depuis les expérimentations des années 1970-1980.

  • Période(s)
    • Principale : 4e quart 20e siècle , daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      REUILLARD Jean-Paul
      REUILLARD Jean-Paul

      Jean-Paul Reuillard, né en 1949, architecte DPLG en novembre 1976, a été en activité jusqu’en 2020 au sein de l’agence Sycomore (Clermont-Ferrand), en association notamment avec Pierre Fonvieille. L’agence Sycomore compte à son actif de nombreuses réalisations de tous types.

      Jean-Paul Reuillard est l'architecte de la subdivision de la DDE de Billom. L'architecte Jean-Marc Massot a cosigné les plans du permis de construire de ce bâtiment. La conception thermique a été assurée par l'ingénieur René Ficheux. Deux artistes sont également intervenus dans la réalisation de ce bâtiment : Jean Chauchard, sculpteur puydômois, né en 1945 à Onet-le-Château (Aveyron) et Jean Fonvielle, sculpteur puydômois (12 décembre 1950 - 14 novembre 2011).

      Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
      architecte attribution par source

Par l’abondance et la précision des informations fournies, la notice descriptive jointe au permis de construire [1] de la subdivision billomoise sort de l’ordinaire. De même, les pièces graphiques sont d’une qualité et d’une originalité rares (fig. 1 à 9). De toute évidence, le projet fut conçu jusqu’aux moindres détails avec autant de soin que de talent. Par ailleurs, après la mise en service du bâtiment, une plaquette explicative fut imprimée à l’attention du public (fig. 10 et 11). Réalisation quasi avant-gardiste, la subdivision devait promouvoir en Auvergne l’utilisation de l’énergie solaire. Elle fit également l’objet d’un article dans L’architecture d’aujourd’hui en novembre 1983 [2].

Si le bâtiment de la subdivision se remarque par son architecture peu banale, il bénéficie aussi de son emplacement très visible à l’entrée nord de Billom. Il est implanté sur une parcelle de forme triangulaire, délimitée au nord-ouest par le ruisseau L’Angaud, et au sud-est par la départementale 229. Au sud-ouest se trouve un carrefour équipé d’un rond-point. Deux voies importantes s’y croisent : la route de Clermont-Ferrand et la départementale 229, celle-ci ayant été créée vers 1975-1977 pour contourner par le nord-ouest le centre de Billom. Le site de la subdivision, qui avait été réservé sur les études préparatoires du Plan d’occupation des sols de Billom [3], résultait donc de l’aménagement de cette voie et du carrefour.

Le parti général du bâtiment de la subdivision découle de trois caractéristiques principales. Premièrement, l’implantation prend en compte l’orientation vers le soleil à son zénith, l’affirmation de la façade principale vers le carrefour et le centre-ville, enfin l’alignement de l’axe longitudinal de l’édifice parallèlement à la route départementale 229. Deuxièmement, le plan se fonde sur une claire séparation entre les parties « garage-atelier » et « locaux administratifs-logement ». Troisièmement, l’architecture – façonnée par et pour la nouvelle technologie mise en œuvre – exprime l’aspect « machine solaire ».

Le bâtiment se dresse un peu en retrait du rond-point (fig. 2 et 12). Il possède un plan symétrique en T orienté sud-sud-ouest/nord-nord-est (fig. 3). Le pied du T (l’aile nord) abrite un atelier et des garages en rez-de-chaussée, ainsi que des pièces de service dans un étage partiel. La barre du T (l’aile sud, corps de bâtiment principal) est occupée sur deux niveaux par les services administratifs, un troisième niveau sous combles abritant des locaux techniques. En outre, à l’origine, un logement de fonction se trouvait dans la moitié nord-ouest du premier étage.

L’aile sud se distingue par sa volumétrie originale très découpée : son plan est rectangulaire mais sa coupe épouse globalement la forme d’un triangle rectangle (fig. 4). La façade principale méridionale est donc principalement un pan incliné qui domine la composition (fig. 5). L’aile nord (fig. 6, 7 et 8) possède aussi un plan rectangulaire mais sa volumétrie est essentiellement parallélépipédique. Cependant, pour trouver un accord avec le volume prismatique de l’aile sud, le toit à deux longs pans qui couvre l’aile nord possède une ligne de faîtage inclinée du nord vers le sud. La composition générale acquiert ainsi un effet dynamique, en lien avec le caractère novateur de l’architecture solaire.

La perspective d’un avant-projet dessinée par Jean-Paul Reuillard (fig. 13) représente le bâtiment de la subdivision tel un vaisseau spatial perçant les nuages en direction de l’espace. Le jeune architecte s’intéressait alors au mouvement Archigram, qui défendait notamment une vision futuriste de l’architecture. Les projets utopiques de ce courant jouaient avec des concepts « high tech », ludiques, poétiques, provocateurs, etc. L’architecture de la subdivision, « avant-gardiste » tant par ses formes que par sa fonction de « machine solaire », relève partiellement de cette source d’inspiration.

Dans son état d’origine (fig. 14 à 16), la façade principale de la subdivision se distinguait par son double rôle : elle captait l’énergie solaire et elle signalait la présence d’un bâtiment public dans l’espace urbain. Encore aujourd’hui, elle présente un toit à un pan, incliné à 45° et d’une surface d’environ 180 m2. Un porche, disposé en avant de ce pan et sur l’axe de symétrie longitudinal du bâtiment, protège l’entrée principale. Dans le prolongement du porche, et toujours suivant l’axe de symétrie, une verrière éclaire le vestibule. La verrière se prolonge jusqu’au faîtage et divise ainsi le pan incliné sud en deux parties. Elle a été obturée récemment, mais ses deux versants restent visibles. De part et d’autre de la verrière se trouvaient deux renfoncements dans lesquels s’ouvraient deux fenêtres aérant le premier étage [4]. Là encore, voici quelques années, ce dispositif a été masqué (fig. 17 et 18). Enfin, des bandeaux de fenêtres inclinées à 45° vers l’intérieur du bâtiment se développent entre le pan incliné et des murs-sous-appui. L’inclinaison vers l’intérieur des fenêtres réduit l’ensoleillement des pièces ainsi éclairées.

Dans la configuration originelle du bâtiment, les capteurs solaires se trouvaient sur le pan incliné de l’aile sud (fig. 14 et 15). Ils comportaient de simples vitres sous lesquelles passait un réseau de petits tuyaux. Sous le réseau des tuyaux, le pan était revêtu d’une isolation thermique performante (anti-rayonnements, anti-convection, anti-conduction). Un fluide caloporteur (de l’eau glycolée) circulait dans les tuyaux des capteurs. Il apportait les calories recueillies à des échangeurs. Une cuve [5] d’accumulation bizone, installée dans le vestibule (fig. 19 et 20), permettait de stocker les calories et de répartir leur utilisation selon les besoins. Enfin, le réseau parcourant les planchers assurait la diffusion des calories dans les locaux. Une ventilation mécanique contrôlée à récupérateur de chaleur complétait le dispositif [6].

Si le gros-œuvre du bâtiment comporte essentiellement des structures en béton armé et en métal, le large emploi de bardages métalliques sur les élévations a pour but de revendiquer le caractère « mécano-industriel » du bâtiment (fig. 21 et 22). Les deux cheminées de ventilation qui s’élèvent de part et d’autre de la verrière contribuent à ce dessein. Le métal est également utilisé de manière démonstrative pour les charpentes du porche et de la verrière, dans une démarche stylistique typique des années 1980. La couleur bleue assez vive qui revêtait ces charpentes relevait également des poncifs esthétiques de l’époque (fig. 15). Matériau le plus souvent industriel, la brique apporte sa note chaleureuse sur certaines parties, par exemple les murs sous-appui en façade sud, les piliers du porche ou les élévations de la jonction entre les deux ailes (fig. 23). Son emploi est aussi un clin d’œil à ce qui fut longtemps l’une des principales activités de Billom : la production de briques.

Pour ne pas déparer avec le bâtiment, les abords de la subdivision ont aussi fait l’objet d’un traitement de qualité (fig. 21 et 25). Des allées, des murets en briques, des surfaces enherbées, des aires d’évolution des véhicules, des haies et des alignements d’arbres constituent une composition d’ensemble. Pour conforter la monumentalité qui sied à un bâtiment public, l’axe reliant le rond-point à l’entrée principale de la subdivision est matérialisé par une allée revêtue de briques. Près du rond-point, l’allée entoure un gnomon monumental (fig. 25). Vers le porche, elle contourne un bassin en eau agrémenté de plantes aquatiques et orné d’une statue féminine [7] (fig. 26 et 27). La terre, l’eau, le feu, l’air omniprésent : la mise en scène fait appel aux quatre éléments !

De nos jours, privé de ses capteurs solaires, le bâtiment de la subdivision de la DDE de Billom a perdu sa principale clef de lecture. Sans elle, son architecture est bien moins compréhensible. Afin de remédier à cette perte de sens, des panneaux photovoltaïques ne pourraient-ils pas être posés sur le pan incliné de la façade principale ? Dans le contexte actuel du dérèglement climatique, l’on soulignerait ainsi le caractère pionnier de cette réalisation et on lui redonnerait toute sa portée historique [8].

Notes

[1] Archives municipales de Billom, permis de construire n° P 0643 accordé le 17 mars 1982.

[2] L’architecture d’aujourd’hui, n° 230, novembre 1983, p. 7, 26-27 et 69.

[3] Le POS de Billom a été approuvé le 27 février 1982.

[4] Selon Jean-Paul Reuillard, la verrière n’avait pas pour seule fonction d’éclairer le vestibule. Ouverte sur celui-ci et sur le premier étage, elle devait favoriser et montrer les échanges d’air dans le bâtiment.

[5] Cette cuve est ornée de bas-reliefs en terre cuite créés par l’artiste Jean Fonvieille, semble-t-il dans le cadre du dispositif du « 1 % artistique ».

[6] Selon la notice descriptive jointe au permis de construire, le dispositif aurait dû permettre d’économiser quatre tonnes d’équivalent pétrole par an. Le coût de l’installation devait être amorti en onze ans.

[7] Statue sculptée par l’artiste auvergnat Jean Chauchard.

[8] Cette opération pourrait être complétée par la restitution des dispositions d’origine de la verrière.

  • Murs
    • béton béton armé
    • acier pan de métal
  • Toits
    acier en couverture
  • Plans
    plan régulier
  • Étages
    1 étage carré
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
  • Énergies
    • énergie solaire produite sur place
  • Typologies
    architecture industrielle (4e quart 20e siècle) ; immeuble-atelier
  • État de conservation
    bon état
  • Techniques
    • céramique
    • sculpture
  • Mesures
  • Précision dimensions

    Édifice de plan en T, composé de deux corps de bâtiment.

  • Statut de la propriété
    propriété d'un établissement public de l'Etat
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler

Etude SRI : architecture XXe - Modernisation et mutations de l’Auvergne, 1945-1985 : dix réalisations architecturales et urbaines emblématiques - Étude pour le Service Patrimoines et Inventaire de la Région Auvergne-Rhône-Alpes - Christophe Laurent, historien du Patrimoine, 2021-2022 (suivi scientifique Nadine Halitim-Dubois chercheure Inventaire général)

Documents d'archives

  • AC de Billom, permis de construire n° P 0643

Annexes

  • Références documentaires
Date(s) d'enquête : 2021; Date(s) de rédaction : 2022
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Laurent Christophe
Laurent Christophe

Historien de l'architecture. Prestataire pour le service régional de l'Inventaire Auvergne, puis Auvergne-Rhône-Alpes, en 2014-2015 puis 2021-

Cliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.