Dossier d’œuvre architecture IA63002766 | Réalisé par
Brown Isabelle (Contributeur)
Brown Isabelle

2023 : Stagiaire INP

à partir de 2024 : conservatrice du patrimoine et chercheure à l'inventaire

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  • recensement du patrimoine thermal, La station thermale de Royat-Chamalières
Hôtel de voyageurs dit Royat-Palace puis immeubles résidences dites du Royat-Palace et de l'Hermitage
Œuvre étudiée
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Clermont-Auvergne-Métropole
  • Commune Royat
  • Adresse 18bis boulevard Barrieu , 6 boulevard Vaquez
  • Cadastre 2022 AI 437 Cette parcelle correspond aujourd'hui à la résidence Royat-Palace, c'est-à-dire à la partie supérieure de l'ancien hôtel et accessible par le boulevard Barrieu. ; 2022 AI 411 Cette parcelle correspond aujourd'hui à l'entrée de la résidence du Royat-Palace, accessible par le boulevard Barrieu. ; 2022 AI 435 Cette parcelle correspond aujourd'hui à la résidence de l'Hermitage, accessible par le boulevard Vaquez. Elle constitue à l'origine la partie inférieure de l'hôtel du Royat-Palace et l'entrée principale de celui-ci.
  • Précisions
  • Dénominations
    hôtel de voyageurs
  • Appellations
    Royat-Palace
  • Destinations
    immeuble

Le Royat-Palace est un des hôtels les plus visibles de la station thermale de Royat. Marqueur du paysage de la commune, il est installé sur une parcelle entre le boulevard Vaquez et le boulevard Barrieu. Son histoire est similaire aux hôtels voisins, construits dès les années 1860, et qui connaissent leur essor autour des années 1910 et pendant l’entre-deux-guerres, avant d’être transformés en résidence pour particuliers au milieu du XXe siècle.

Le Splendid : un hôtel avant le palace

A l’origine, le Royat-Palace est un hôtel de trois étages carrés, d'un toit terrasse et d'un étage carré en retiré permettant d'accéder à ce dernier. Appelé le Splendid, il semble avoir été construit dès les années 1880, visibles sur les cartes postales d'époque (IVR84_20236300910NUC et IVR84_20236300911NUC). Au début du XXe siècle, il est acheté par la société anonyme formée par Joseph Agid et son frère Alexandre. Ces derniers commencent à être alors connus à Royat. Propriétaires de plusieurs hôtels et palaces à Nice, sur la Côte d’Azur, ils ont investi dans la station thermale dès le début du XXe siècle et Joseph Agid est directeur de l’Hôtel Continental et des Bains au moins depuis le 25 juin 1902. Cet hôtel Continental et des Bains est probablement un des hôtels voisins du Splendid.

Les frères Agid et l'avènement du Royat-Palace

Dès 1901, Joseph Agid forme avec deux autres acolytes, Gustave Bauer et Albert Friedlander la société anonyme du Splendid Hôtel, qui était alors exploité par M. Devillaine. Le 8 juin 1901 ils achètent le Splendid Hôtel aux héritiers de l'ancien propriétaire Bourdinon, tandis qu'ils conservent l'exploitant Devillaine. La société change de raison sociale en 1905, après que Bauer et Friedlander aient cédé leurs parts au frère de Jospeh Agid, Alexandre : la raison sociale de la société anonyme devient "Agid frères et Compagnie". En achetant le Splendid, les deux frères semblent projeter l'idée d'un palace, comme il en était coutume dans les stations thermales et balnéaires : ainsi le Royat-Mondain en 1908 indique : « nous apprenons que MM. Agid frères vont prochainement faire transformer et agrandir avec tout le confort moderne leur Splendid-Hôtel faisant face à l’Etablissement thermal ». En 1909, la société anonyme du Royat-Palace est formée, afin de servir pour l'exploitation du Splendid et "pour l'acquisition ou la location de tous autres immeubles pouvant servir à l'agrandissement dudit hôtel". L’édition de la saison de 1910 annonce alors l’ouverture du Royat-Palace.

La transformation en palace

La configuration originelle du Splendid est décrite dans une minute de notaire, du 16 juin 1909 : "Un grand hôtel ayant sa façade à l'aspect nord sur le boulevard Bazin comprenant rez-de-chaussée et quatre étages dans sa partie centrale, et trois étages avec terrasse au-dessus à chacune de ses extrémités Est et Ouest. Un deuxième corps de bâtiment dit au milieu, relié au précédent par des passerelles conduisant aux terrasses par des escaliers donnant accès aux appartements, comprenant trois étages élevés sur des piliers et des voutes de soutènement avec sous-voûté au sud, un autre corps de bâtiments appelé le Pavillon du Rocher, composé d'un rez-de-chaussée et de trois étages supérieures attenants aux précédents ; et un quatrième corps de bâtiments dit 'L'annexe' ayant sa façade à l'aspect sud et élevé sur caves voutées d'un rez-de-chaussée et de trois étages avec mansarde au-dessus et avec une petite cour sur le devant" (AD 63, 5 E 87 626).

Agrandir le Splendid c’est surtout lui ajouter un corps de bâtiment supérieur en épousant le terrain géologique. Agid conserve le corps de bâtiment inférieur, accessible du boulevard Vaquez et rajoute un ensemble en retrait, de six niveaux, et en ménageant une seconde terrasse au-dessus du premier niveau. Il prend alors l’apparence que l’on lui connaît aujourd’hui. Les sources et les travaux historiques indiquent qu’il a fait appel à Charles Dalmas, architecte diplômé des Beaux-Arts et qui a déjà travaillé pour les frères Agid à Nice. Le Royat-Palace s’inscrit alors dans la continuité directe des palaces de villégiature, avec des formes classicisantes et une ostentation dans le décor sculpté et l’encadrement des baies encore visibles de nos jours.

Cet agrandissement participe à l'impression de "murs d'hôtels" le long du boulevard, impression qui se confirme lorsque l'hôtel voisin, le Métropole, est surélevé d'un niveau, atteignant alors la hauteur de la première terrasse du Royat-Palace. Cet alignement d'hôtels est d'autant plus marquant dans le paysage urbain, qu'à partir des années 1919, Agid frères et Compagnie acquièrent les immeubles attenants, à l'est du Royat-Palace. Ces immeubles appartenaient au couple Fournier-Battu et sont appelés l'hôtel de la Terrasse (mitoyen du Royat-Palace) et l'hôtel Thermal. Les archives indiquent la mise en place d'un projet de rénovation et de transformation de ces deux hôtels. On en retrouve des plans dans la collection de l'architecte clermontois Louis Jarrier, déjà très actif à Royat. Louis Jarrier a dessiné notamment de nouvelles grilles pour le Royat-Palace et un nouvel aménagement des étages de la partie supérieure du Palace, sans qu'on puisse affirmer avec certitude que ses plans aient été réalisés.

Le 18 juin 1922, le Royat-Mondain publie sa première occurence de ce Thermal-Hôtel, mitoyen du Royat-Palace et dont la propriété revient à Alexandre Agid. Les deux frères sont alors les propriétaires et directeurs de deux ensembles hôteliers majeurs de l'ancien boulevard Bazin avec vue sur le parc thermal.

Alignement des anciens hôtels de la station thermale de Royat. Au centre, le Royat-Palace.Alignement des anciens hôtels de la station thermale de Royat. Au centre, le Royat-Palace.

Les résidences du Royat-Palace et de l'Hermitage sont à l'origine une même entité : le Royat-Palace, hôtel majestueux construit entre les boulevards Vaquez et Barrieu et dont la façade principale s'ouvre sur l'établissement thermal.

Avant la construction du Royat-Palace, dont l'allure n'a que peu changé aujourd'hui, un premier hôtel est installé : le Splendid Hôtel. Ce dernier est racheté en 1904 par la société anonyme fondée par Joseph Agid, hôtelier et directeur d’hôtels de Nice, rejoint plus tard par son frère. En 1908, Joseph Agid annonce les futurs travaux du Splendid Hôtel pour en faire le Palace de la station de Royat. Entre 1908 et1910 est alors construit le second bâtiment, qui agrandit le Splendid et dont le toit terrasse devient la terrasse du deuxième édifice, surélevé et en retrait du premier. Les travaux sont confiés à Charles Dalmas, architecte déjà mobilisé par les frères Agid à Nice et qui est l'origine de plusieurs palaces et hôtels sur la Riviera.

Le Royat-Palace demeure un hôtel jusqu'en 1953, où il est divisé en plusieurs sociétés qui transforment le palace en deux résidences de copropriétaires : l'Hermitage, dont l'entrée boulevard Vaquez est l'ancienne entrée monumentale du Palace ; la résidence du Royat-Palace, dont l'entrée se situe sur le boulevard Barrieu, façade postérieure de l'ancien hôtel.

Encore aujourd'hui, l'ancien Royat-Palace est partagé entre différentes copropriétés, et la cohérence de l'ensemble est seulement conservée par un ascenseur intérieur qui relie les deux corps de bâtiments.

  • Période(s)
    • Principale : 1er quart 20e siècle , daté par source , (incertitude)
  • Dates
    • 1908, daté par source
    • 1910, daté par source
    • 1920, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Dalmas Charles
      Dalmas Charles

      Charles Dalmas est un architecte connu pour ses nombreux hôtels de voyageurs. originaire de Nice, il est diplomé de l'école nationale des Beaux-Arts de Paris avant de retourner dans sa ville natale à la fin du XIXe siècle. Il est alors l'auteur de plusieurs grands complexes hôteliers, et participe au développement de la villégiature de luxe sur la Côte d'Azur. il est notamment à l'origine du Carlont de Cannes, l'Hôtel Royal et du Winter-Palace de Nice, propriétés de la famille Agid. C'est pour eux d'aileurs qu'il transforme le Splendid de Royat en Royat-Palace autour des années 1910.

      Le service de l'Inventaire de Provence - Alpes - Côte d'Azur a réalisé plusieurs dossiers sur les réalisations de Charles Dalmas.

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      architecte (incertitude), attribution par travaux historiques
    • Personnalité :
      Agid Joseph
      Agid Joseph

      Joseph Agid est originaire de Galicie et a migré vers la France avec son frère Alexanre. Ils forment alors ensemble plusieurs sociétés d'exploitation d'hôtels sur la Riviera française et investissent dans l'immobilier en devenant propriétaires de plusieurs grands hôtels au début du XXe siècle.

      Joseph est propriétaire jusqu'à sa mort du Royat-Palace dans la station thermale de Royat et on lui attribue en 1929 la création du Golf de Charade, premier golf de la région, sur cette même commune.

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      propriétaire, destinataire attribution par source

Le Royat-Palace est à l'origine un hôtel construit sur la pente entre le boulevard Barrieu et le boulevard Vaquez. Ses différentes phases de construction ont permis son agrandissement en rajoutant un corps de bâtiment dont la façade antérieure est dirigée vers le nord et domine le boulevard Vaquez, tandis que son entrée se fait par le boulevard Barrieu, sa façade postérieure. Ce corps de bâtiment correspond aujourd'hui à la résidence du Royat-Palace, tandis que le corps de bâtiment inférieur, construit sur le plan du premier hôtel, correspond à la résidence de l'Hermitage, et son entrée se fait toujours par l'entrée monumentale située au 6 boulevard Vaquez.

Malgré la transformation de l'hôtel en résidences d'appartements privés dans les années 1960, la façade principale de l'ancien palace ne semble pas avoir été modifiée, ou seulement en marge. Le corps de bâtiment inférieur, caractérisé par la couleur rosée de son enduit sur pierre de taille, est toujours composé de trois étages-carrés, avec au rez-de-chaussée des commerces. Les élévations régulières des étages sont ornées d'une décoration sobre et classicisante se concentrant sur les baies et les plein-de-travées.

L'entrée boulevard Vaquez est monumentale. Elle est composée de trois arcades, avec un décor de niches plates, de consoles ornées et de guirlandes de fleurs. Elle soutient un balcon à balustres en poire, accessible par les trois baies centrales du deuxième niveau. Aux troisième et quatrième niveaux, un jeu d'alternance entre simples garde-corps en ferronnerie et balcons en saillies à gardes en corps permet de rythmer les niveaux. Les guirlandes et les agrafes alternant d'une travée à l'autre participent également au rythme de la façade. Les niveaux sont également liés avec les plein-de-travées sculptés et les bossages harpés de couleur blanche qui encadrent les baies. Le quatrième et dernière niveau de ce premier corps de bâtiment est surmonté d'un cordon et de modillons (mutules) qui soutiennent la ligne du toit-terrasse plat, protégé par un garde-corps.

En effet le toit de ce premier corps de bâtiment correspond à la terrasse du deuxième corps de bâtiment qui a été construit en retrait. Ce deuxième corps de bâtiment est composé de cinq niveaux et de quinze travées ordonnancées et symétriques (A-B-A-C-A-C-A-B-A). Les étages sont édifiés en retrait du rez-de-chaussée afin de ménager une terrasse régnant sur la façade. Sur la façade, les pleins-de-travées sont presque inexistants : les baies sont séparées par la saillie des balcons et une fine guirlande sculptée, permettant de donner une impression générale d'équilibre classique. L'essentiel du décor se situe au dernier niveau : les baies en plein cintre sont ornées de frise en haut-relief. Les baies plus larges de la travée A en légère saillie sont surmontées d'un couronnement en tympan passant créant une fausse lucarne, scandant et rythmant l'élévation.

C'est sur ce corps de bâtiment qu'est visible sa principale modification extérieure. Le premier niveau est à l'origine composé d'une galerie ouverte (sauf sur les deux travées orientales), proposant un espace de restauration à l'abri du vent. Cette terrasse était d'ailleurs prolongée à l'est, sur le toit de l'établissement mitoyen (l'ancien hôtel de la Terrasse) qui est acheté par les frères Agid dès les années 1920. La mise en valeur de ce niveau correspond à sa destination d'origine. En effet, Le Grand Salon y est installé de même que la salle de restaurant, tandis que les niveaux supérieurs sont réservés chambres. Un escalier monumental tournant à retour avec jour dessert les étages dont les plans sont ceux d'un palace habituel : une distribution semi-double afin d’aménager de larges chambres. L'organisation du bâtiment inférieur reprend possiblement cet agencement mais dans des dimensions plus restreintes, puisqu'il correspond alors à l'étage des suites et des cours des personnalités qui se rendaient au Royat-Palace.

Un ascenseur, encore en place, permet de lier ces deux corps de bâtiment, tandis que dès les années 1870 est aménagé un chemin en escalier qui longe la façade orientale aveugle du bâtiment. Cet escalier au dénivelé important permet d'illustrer l'importance de la pente et l'intégration du dénivelé dans le plan du Royat-Palace. On remarque d'ailleurs, que c'est uniquement la façade nord, qui donne sur les thermes et sur la vallée de Royat qui est développée et décorée. Les façades latérales ne présentent aucun élément décoratif et sont aveugles, percées de quelques jours modernes, tandis que la façade postérieure est irrégulière avec des baies sans ornements.

  • Toits
    tuile plate
  • Plans
    plan rectangulaire régulier
  • Couvrements
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • terrasse
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie
    • escalier dans-oeuvre
  • Autres organes de circulation
    ascenseur
  • Techniques
    • ferronnerie
    • sculpture
  • Représentations
    • feuillage, ornement végétal
  • Statut de la propriété
    propriété d'une personne privée, deux syndicats de copropriétaires : Royat-Palace et l'Hermitage.

Documents d'archives

  • AD du Puy-de-Dôme. U 23 818. Acte de formation de la société anonyme du Splendid Hôtel. 6 juin 1901.

    AD Puy-de-Dôme : U 23 818
  • AD du Puy-de-Dôme. 5 E 87556. Minutes de Me A. Roger. Société du Slendid-Hôtel et changement du nom social. 6 juin 1901 et 1er juillet 1905.

    AD Puy-de-Dôme : 5 E 87556
  • AD du Puy-de-Dôme. U 23 821. Acte du changement de la raison sociale de la société anonyme du Splendid Hôtel : Agid Frères et Cie. 8 juillet 1905

    AD Puy-de-Dôme : U 23 821
  • AD du Puy-de-Dôme. U 23 826. Procès-verbal de l'Assemblée Générale de la société anonyme du Royat-Palace. 12 janvier 1909

    AD Puy-de-Dôme : U 23 826
  • AD du Puy-de-Dôme. 5 E 87626. Minutes de Me A. Roger. Cession des parts de G. Bauer à A. Agid et établissement de la société anonyme du Royat-Palace. 5-7 décembre1908 et 16 janvier 1909.

    AD Puy-de-Dôme : 5 E 87626
  • AD du Puy-de-Dôme. 5 E 13 637. Minutes de Me H. Dujoncquoy. Extrait PV de l'assemblée générale de la société anonyme du Royat-Palace. 28 juin 1920.

    AD Puy-de-Dôme : 5 E 13 637
  • AD du Puy-de-Dôme, Fonds privé de Louis Jarrier [non coté].

    AD Puy-de-Dôme
  • Journal saisonnier Royat-Mondain, n° 26 août 1908, article sur l'agrandissement du Splendid-Hôtel par les frères Agid.

    BnF
  • Journal saisonnier Royat-Mondain, n°28 août 1908 : article sur la transformation du Splendid-Hôtel en Royat-Palace.

    BnF
  • Journal saisonnier Royat-Mondain, n° 15 juin 1910 : "Hôtels et Villas recommandés. Royat-Palace, propriétaire Jos. AGIS".

    BnF
  • Journal saisonnier Royat-Mondain, n° 23 juillet 1922 : "Hôtels et Villas recommandés. Thermal-Hôtel, propriétaire Alex. AGID".

    BnF
  • Fonds d'archives privés, photographies de Jules Manhas [s. d.]

    Collection particulière

Bibliographie

  • MATHEVET Claude (et alii), Royat, entre sources et volcans. 2000 ans d'histoire, Royat, impr. Maury, 2006.

    Région Auvergne-Rhône-Alpes, SRI, site de Clermont : CDP M098
  • STEVE Michel, Charles Dalmes architecte. 1863-1938, Nice, Institut d'études niçoises, 2018.

Périodiques

  • PICOT Johan, "Chronique d'une magnificence révolue. Heurs et malheurs des palaces de Royat", Bulletin historique et scientifique d'Auvergne, Tome CXVII, n°2, 2016, p. 69-114.

  • PICOT Johan, "Chronique d'une magnificence révolue. Heurs et malheurs des palaces de Royat. La naissance du premier 'palace' de Royat-les-Bains : du Grand Hôtel des Bains au Royat-Palace Hôtel", Bulletin historique et scientifique d'Auvergne, Tome CXVIII, n°2, 2017, p. 73-104.

Documents figurés

  • AD du Puy-de-Dôme, fonds iconographique, 559 Fi 2122, Royat et ses hôtels entre 1905 et 1909, Ed. Bougé-Béal, collection Clément.

    AD Puy-de-Dôme : 559 Fi 2122
  • BMU Clermont-Ferrand, fonds figurés, "L'Auvergne Pittoresque. Royat-les-bains - Place Allard et Boulevard Bazin", Clermont-Ferrand, éd. Veuve Durand et Cie, [s. d.].

    BMU Clermont-Ferrand
Date(s) d'enquête : 2023; Date(s) de rédaction : 2023
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Brown Isabelle
Brown Isabelle

2023 : Stagiaire INP

à partir de 2024 : conservatrice du patrimoine et chercheure à l'inventaire

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