• enquête thématique régionale, Patrimoine industriel
Usine de menuiserie Faure et Perrot puis distillerie Cusenier puis imprimerie Annequin actuellement imprimerie Tixier
Œuvre monographiée
Copyright
  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Ville de Lyon

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Lyon patrimoine industriel - Lyon
  • Commune Lyon 3e
  • Lieu-dit Montchat
  • Adresse 19 rue Roux-Soignat
  • Cadastre 1999 BS 48
  • Dénominations
    usine de menuiserie, imprimerie
  • Destinations
    Imprimerie Tixier
  • Parties constituantes non étudiées
    atelier de fabrication

INDUSTRIES

L´activité industrielle a été grandement remplacée par le secteur tertiaire mais le 3ème arrondissement reste le premier employeur lyonnais. Le patrimoine industriel du 3ème présente deux caractères distincts, d´abord les grands sites qui occupaient souvent des emprises importantes ont bien souvent déjà muté en habitat. Ensuite, les petites et moyennes industries qui étaient intégrées aux habitations. Ces espaces sont en pleine mutation. La connaissance de ces parcellaires mutables peut aider à une meilleure gestion urbaine en se posant la question de leur devenir. Le tissu urbain change et évolue en fonction de besoins et des politiques urbaines qui se succèdent, mais on voit encore, à Montchat, par exemple ce que sont les caractéristiques d´une architecture industrielle urbaine.

Les industries sont en général des usines de taille moyenne dite en cœur d´îlot qui sont intégrées à un habitat de taille moyenne. Les immeubles ne s´élèvent que sur deux ou trois étages. Cette disposition confère encore au secteur un air de village qui disparaît peu à peu, c´est vrai, d´où l´importance de ces repérages et études pour tenter de préserver l´identité du secteur.

À Montchat, les industries sont en général, de taille moyenne (usine Rochet Schneider), et totalement intégrées dans le tissu urbain. Les logements ne s´élèvent que sur deux ou trois étages. C´est cet urbanisme restreint avec des hauteurs limitées qui donne son caractère architectural particulier à ce quartier.

À la Buire, dès 1847, Jules Froissard fonde les ateliers de la Buire précurseur, pour la construction du matériel ferroviaire. C´est la création des ateliers de la Buire, dirigés par les frères Mangini. Les constructions d´équipements (églises, écoles) vont suivre le développement urbain des différents secteurs.

rappel

Le développement industriel viendra prendre place sur les emprises militaires (secteur de La Villette-Baraban). L´enceinte fortifiée de 1831, dont le fort Montluc est le plus important, se complète dans le quartier par le petit fort de la Part-Dieu et la lunette des Hirondelles. Puis s´installe la caserne de la Part-Dieu, en 1844, sur les 13,6 ha vendus par les H.C.L. Les zones de servitudes militaires gênent beaucoup au développement urbain, et industriel et obligent le contournement des voies de circulations.

Le 3e arrondissement de Lyon

Cet arrondissement se situe au centre de la rive gauche du Rhône sur 680 hectares. Il a été créé en 1852 pour se substituer à la commune de la Guillotière, rattachée en mars 1852 à la ville de Lyon. En 1867, la partie septentrionale devient le 6e arrondissement et en 1912 la partie méridionale devient le 7e arrondissement.

C´est aujourd´hui l´arrondissement le plus peuplé de Lyon, sa croissance est la plus rapide. Il est le plus hétérogène et se compose de différents quartiers qui se sont individualisés les uns des autres au cours de l´histoire du développement de la rive gauche du Rhône. Ainsi on distingue aujourd´hui six secteurs (dont l´histoire de certains se rapproche), d´ouest en est : Préfecture, Part Dieu, Saxe Paul Bert, Villette, Sans Souci, Monplaisir et Montchat.

Histoire, développement et urbanisation du 3e arrondissement.

Trois territoires vont constituer le troisième arrondissement (le plan Morand peut permettre de les repérer). D´abord la berge du Rhône est courbe et toujours sujette aux inondations, la végétation, dense se compose de saules, de vernes et de peupliers. Aux abords du pont, une vaste place sert de port aux marchandises acheminées par le fleuve. À l´arrière une zone très étendue et inondable est mouvante néanmoins, ce secteur est utilisé pour des activités agricoles spécifiques. Les prairies drainées par des fossés de saules osiers sont pâturées par des bovins. Les parties les plus sèches sont cultivées de céréales. Aulnes et peupliers fournissent bois de chauffage et de charpente. Trois grands domaines se partagent le territoire jusqu´au XIXe siècle : la Corne de Cerf à La Villette-Baraban, la Buire et la Part Dieu. Ces deux derniers comportent un château et une ferme. (le château de la Buire est encore visible rue Rachaix.)

Dans la partie la plus sèche à Montchat et Monplaisir (domaine de Tournelles), qui couvrent de très vastes espaces, le choix des cultures est plus large : céréales et vignes.

Le troisième arrondissement apparaît comme plus humanisé que les Brotteaux à la même époque. Ce contraste va s´accentuer au cours du XVIIIe siècle puisque ces espaces sont, pour la majorité d´entre eux en dehors de la propriété des Hospices Civils même s´ils intègrent la Corne de Cerf et la Part Dieu (donation viagère de Catherine Mazenod, Vve Servient en 1725).

La première moitié du XIXe siècle.

En, 1852 l´ensemble de l´arrondissement fait partie de la commune de la Guillotière, il n´y a pas de plan d´urbanisation sauf pour les Brotteaux, grâce au plan Morand imposé par les Hospices ce plan ne débordera que sur les parties proche du cours Lafayette (La Corne de cerf et La Part-Dieu).

Les cultures occupent encore les 4/5ème de son territoire, les fermes se modernisent et développent leurs activités.

La croissance économique et démographique de Lyon reprend à la fin du Premier Empire surtout dans les communes périphériques. Le 3ème devient alors le lieu d´accueil pour les activités dangereuses et polluantes. (Blanchisseries, teintureries fabriques d´allumettes). Les constructions sont de simples masures en bois et pisé.

Le Comte Jean des Tournelles maire de la Guillotière au début de la Restauration, réside dans son château (rue Paul Sisley) et son domaine, ancienne maison de campagne des Jésuites, s´étend de l´ouest de la rue des Tournelles (rue Sisley) jusqu´à la route d´Heyrieux (avenue Lacassagne). En 1827, il décide de lotir sa propriété de 90 hectares, le plan est dessiné par l´architecte Hotelard. Il propose aux acheteurs le village de Monplaisir et la campagne de Sans-Souci. Ces noms sont créés pour la circonstance, dans un souci de promotion. Le lotissement est loin du centre de la ville et conçu pour accueillir des maisons de campagnes. De ce fait, deux servitudes sont incluses dans les actes notariés : pas plus de 2 étages par maison qui doit se située à 20 mètres de la rue pour un jardin. Le lotissement du quartier fut assez rapide mais peu homogène : ce sont de grandes villas avec des espaces arborés. Beaucoup ont disparu lors du percement du cours Albert Thomas.

Pour le secteur de La Villette-Baraban, le développement est rapidement bloqué par les emprises militaires. L´enceinte fortifiée de 1831, dont le fort Montluc est le plus important, se complète dans le quartier par le petit fort de la Part-Dieu et la lunette des Hirondelles. Puis s´installe la caserne de la Part-Dieu, en 1844, sur les 13,6 ha vendus par les H.C.L. Les zones de servitudes militaires gênent beaucoup, et obligent le contournement des voies de circulations. Mais les dépenses des soldats engendrent le développement de café, cabarets et autres lieux de plaisir à la Guillotière.

La façade de l´arrondissement sur le Rhône joue un rôle essentiel dans la vie économique : c´est le cadre principal de l´activité fluviale dans ce secteur proche du pont de la Guillotière et du port au bois. La Guillotière devient aussi le terrain de jeux des lyonnais et le lieu des grandes vogues et fêtes populaires en raison des nombreux bals.

C´est aussi l´époque de la mise en place des voies de chemin de fer et la polémique fait rage, la gare centrale sera-t-elle à Lyon ou à la Guillotière. Entre 1835 et 1851 les deux communes engagent des discutions houleuses. Après le projet de gare de marchandise à la Part Dieu et d´une gare de voyageurs au pont de la Guillotière, le 1er décembre 1851, un décret fixe finalement l´emplacement de la gare centrale à Perrache.

Second empire (1848)

En mars 1852, la Guillotière est rattachée à la ville de Lyon et constitue le 3ème arrondissement qui est déjà le plus peuplé. En 1862, il compte 87 796 habitants sur 318 203 de Lyon. 7918 sont comptés à part, des soldats essentiellement et 8028 considérés comme habitants hors agglomération. Ceci montre le caractère encore très rural de certaines parties du territoire.

Deux personnages ont alors un rôle clé : le maire de l´arrondissement, Jean-Louis-François Richard, fils d´Antoinette Chambovet qui a épousé la fille d´Henri Vitton ; et Louis-Gabriel Delerue, ingénieur des ponts et chaussées chargé de la rive gauche du Rhône. Il est le bras droit de Gustave Bonnet, ingénieur en chef de la voirie. Ils élaborent les rapports soumis au maire préfet Marius Vaïsse. Tous les rapports de voirie passent par Vaïsse, mais il ne peut pas s´opposer à Richard-Vitton.

Le développement urbain se poursuit, mais l´agriculture reste encore très présente surtout dans l´est de l´arrondissement (Montchat, Chautagne, Grange Blanche, et Baraban)

En 1857, Jean Louis Richard-Vitton décide de lotir un grande partie du domaine anciennement occupée par le château de Montchat il garde 17 hectares autour du château, qui sont incorporés dans le lotissement à la mort de sa femme, en 1883.

Le 27 octobre 1858 Jean Louis François Richard Vitton écrit à la ville de Lyon pour annoncer qu´il morcelle une partie de son domaine, les petites parcelles créées sont destinées à la classe peu aisée. Il offre une cession gratuite à la ville, du sol des rues et places nécessaires au projet, ainsi qu´un terrain pour la construction d´une église, d´une école et d´une salle d´asile. Ce qui représente 780 000 m2 de terrain, 12 Kms de rues et 4 places (soit 180 000 m2). Les rues portent les noms des personnes de sa famille.

Dans la même période, le domaine de la Buire, ancien domaine des Rachaix, est vendu en 1848 à divers propriétaires. En 1854, des opérations d´aménagement urbain s´organisent. Le cours des Brosses (Gambetta) est prolongé au-delà de la place du Pont. Une place circulaire, la place Victor-Basch est mise en place, à l´est de l´avenue de Saxe en cours de percement. Une deuxième se situe au clos de l´Abondance. Les rues de Créqui et Vendôme sont prolongées, créant ainsi la trame viaire que nous connaissons aujourd´hui. Le tout fut terminé avant la fin du Second Empire.

D´autres percements de rues ont lieu, la rue Servient en 1860, pour la parade des troupes du quartier de cavalerie. Mais aussi le boulevard de ceinture.

L´arrondissement est toujours séparé en deux par les fortifications, la caserne et la voie ferrée. Cette césure se renforce sous le Second Empire.

Côté Rhône, on raccorde la trame viaire de Morand avec celle de la Guillotière en prolongeant l´avenue de Saxe les rues Monsieur et Madame. Après la grande crue de 1856, c´est la construction du quai de Joinville (actuel quai Victor Augagneur). L´aménagement a duré jusqu´en 1860. Ainsi l´aspect de la rive gauche fut complètement changé et perdit peu à peu son caractère naturel.

Le développement des activités se poursuit, mais au rythme des terrains qui sont peu à peu ouverts à l´urbanisation. Le secteur du plâtre, situé après le grand port au bois, est dédié aux activités liées à l´alimentation ( fabrication de sirop et de semoules et pâtes alimentaires).

À Saint-Amour et la Part Dieu s´installe une usine de gaz et gazomètres et les fabriques d´allumettes qui sont très nocives. Teintureries, fonderies et blanchisserie prennent place sur les rives de la Rize, de plus en plus polluée.

À la Buire, Jules Froissard fonde les ateliers de Jules Froissard, précurseur, dès 1847, il veut construire du matériel ferroviaire. C´est la création des ateliers de la Buire, dirigés par les frères Mangini. Les constructions d´équipements (églises, écoles) vont suivrent le développement urbain des différents secteurs.

Aujourd´hui, Montchat garde son caractère résidentiel originel, de nombreuses petites industries ont été remplacées par des activités commerciales ou tertiaires, certains sites sont encore en activité. D´autres sites industriels ont été reconvertis, mais certains sont vides et désaffectés. Ce sont les témoignages industriels de Montchat. Ces sites méritent une attention particulière puisque leur mutation est prévisible à court terme. Les traces du passé industriel sont encore aujourd´hui présentes dans ce secteur, mais il est parfois difficile de les repérer puisqu´elles sont totalement confondues dans le tissu urbain. Ce périmètre industriel qui s´étend au nord-ouest contraste avec la partie sud-est qui est essentiellement résidentielle avec le clos Chautagne. Cette différence créée une césure dans la lecture du tissu urbain. D´autre part, la question de la place des sites industriels et des villas d´industriels de ce secteur est posée.

Ces questions sont d´actualité puisque tout près de Montchat, au sud-ouest, entre les rues Feuillat, et Dauphiné et entre l´avenue Lacassagne et le cours Albert Thomas, le secteur est entièrement modifié : les constructions contemporaines effacent le tissu ancien. Le 3e arrondissement reste donc un laboratoire d´une ville qui se reconstruit sur elle-même.

Source principale : PELLETIER Jean, Connaître son arrondissement, Le 3ème de la Guillotière à la Part-Dieu, de Montchat à Monplaisir, ed. Lyonnaises d´art et d´histoire, C. E., 2000.

A.M. Lyon, cote 1 S 165a : plan de scénographique de Lyon de 1550

CHAUVY Gérard, Les quartiers de Lyon au fil des rues. ed Privat, Toulouse, 1993.

BAZIN George, Montchat, Lyon 3ème, un ancien lieu dit de la rive gauche. 1956. P. 29

PELLETIER Jean, Connaître son arrondissement, Le 3ème de la Guillotière à la Part-Dieu, de Montchat à Monplaisir, ed. Lyonnaises d´art et d´histoire, C. E., 2000. P. 34

L'atelier est construit en 1920 par M. Pinet, architecte, pour M. Jouveau sur le terrain qu'il possède au 19 rue Roux-Soignat. Dès 1922, les entrepreneurs en menuiserie Faure et Perrot s'y installent. Au milieu des années 1930 l'établissement Cusenier, distillerie liquoriste, s'installe sur le site. C'est en 1956, que l'établissement Annequin, imprimeur typographe, fonde, en ce lieu, l'imprimerie des Beaux-Arts. Cette imprimerie devient imprimerie des Beaux-arts Tixier et fils (S.A.R.L.) en 1966. La société est toujours en activité et une dizaine d'employés y travaillent. Le type de production est essentiellement commercial : cartes de visite, lettres, factures, bons de commande sont édités mais aussi calendriers, livres et revues. Les impressions courantes sont réalisées sur des machines d'impression offset, toutefois, deux machines typographiques sont encore utilisées.

L'atelier présente un plan régulier rectangulaire. La façade principale se développe sur une longueur de 31 mètres. Les murs, nouvellement ré enduits mesurent 4,90 mètres de haut dans les parties les plus hautes. L'élévation de ce mur en façade reprend en partie haute le rythme du toit à pans brisés qui se compose de 4 modules matérialisés par un parapet en escalier. L'entrée principale qui poursuit dans la partie sud le mur de l'atelier en reprend les caractéristiques. Un portail métallique coulissant dessert une petite cour qui permet d'accéder, au nord, à l'atelier de fabrication et au sud, au petit bâtiment administratif attenant. A l'intérieur de l'atelier, les murs sont en béton. Le système modulaire de la toiture est apparent et forme 4 travées distinctes de 4 mètres de haut au maximum, sur 7,86 mètres de large et sur 20,50 mètres de long. Les fermes en bois (à entraits moisés sur sablières) sont apparentes. Elles sont soutenues en largeur, sur les trois axes centraux, par des poutrelles métalliques à croisillons. Chacune d'elles repose sur trois piliers métalliques de section carrée. Deux ouvertures oblongues par travée éclairent sur la rue à une hauteur de 2,80 mètres et des fenêtres en bandeau continu, intégrées à la toiture, complètent le dispositif d'éclairage.

  • Murs
    • enduit
  • Toits
    tuile mécanique
  • Plans
    plan rectangulaire régulier
  • Étages
    en rez-de-chaussée
  • Couvertures
    • toit à longs pans brisés
  • État de conservation
    bon état
  • Statut de la propriété
    propriété privée

En juin 2013, un permis de construire est délivré pour la création d'un ensemble de 4 logements (Sagittaire architecte) maître d'ouvrage : Sagec

Documents d'archives

  • AM Lyon : 344 WP 083. PCA n° 0249, permis de construire d'un atelier rue Roux-Soignat pour monsieur Jouveau par monsieur Pinet architecte, 1920

  • Archives orales : Entretien oral avec monsieur Tixier directeur de l'imprimerie. mai 2009

Bibliographie

  • Indicateur Henry. 1910. AM Lyon (accès libre)

    p. 800
  • Indicateur Henry. 1915. AM Lyon (accès libre)

    p. 800
  • Indicateur Henry. 1920. AM Lyon (accès libre)

    p. 800
  • Indicateur Henry. 1921. AM Lyon (accès libre)

    p. 800
  • Indicateur Henry. 1922. AM Lyon (accès libre)

    p. 790, 1382, 2875
  • Indicateur Henry. 1924. AM Lyon (accès libre)

    p. 476, 869, 1882
  • Indicateur Henry. 1926. AM Lyon (accès libre)

    p. 482, 878, 1916
  • Indicateur Henry. 1935. AM Lyon (accès libre)

    p. 532, 884, 1912
  • Indicateur Henry. 1948. AM Lyon (accès libre)

    p. 536, 811, 1995
  • Indicateur Fournier. 1956. AM Lyon (accès libre)

    p. 711, 852, 1716
  • Indicateur Henry. 1964. AM Lyon (accès libre)

    p. 706, 877, 2673
  • Indicateur Henry. 1966. AM Lyon (accès libre)

    p. 670, 1610, 1891
  • Indicateur Henry. 1970. AM Lyon (accès libre)

    p. 716, 1194
  • BAZIN, Goerges. Montchat 3ème, un ancien lieu-dit de la rive gauche du Rhône. Ed. Lyon G. BAZIN, 1956

  • CHAUVY, Gérard. Les quartiers de Lyon au fil des rues.Toulouse, Ed. Privat, 1993

  • DOMENGIE, Henri., ALQUAT, Yves., MOULIN, Marc., ROZE, Bernard. Le chemin de fer de l'est de Lyon.Italie, Ed. du Cabri, 1996

  • VANARIO, Maurice. HOURS, Henri (sous la direction de). Les rues de Lyon à travers les siècles (XIVe au XXe). Lyon : Éditions Lyonnaises d'art et d'histoire, 1990. 283 p. ; 24 cm.

  • LAFERRERE, Michel. Lyon ville industrielle, essai d'une géographie urbaine des techniques et des entreprises. Paris, Presses Universitaires de France, 1960

  • LONG, Guetty., CHAUVY Gérard. Montchat, regard sur l'histoire d'un quartier lyonnais, des origines à nos jours. Lyon, Ed. Bellier, 2008

  • MENAIS, Georges-Paul. Géographie industrielle de Lyon. France, Edition Bibliothèque des Guides Bleus - Librairie Hachette, vol 1, 1958

  • PELLETIER, Jean. Connaître son arrondissement, Le 3ème de la Guillotière à la Part Dieu, de Montchat à Monplaisir. C.E. Ed Lyonnaises d'art et d'histoire, 2000

  • Préfecture du Rhône. Lyon 3ème arrondissement : opération de déveleppement social urbain 1991-1993. Ville de Lyon, Grand Lyon, préfecture du Rhône, 1993

  • Chambre du commerce et de l'industrie. Lyon 3ème arrondissement : service de l'information économique. Lyon, C.C.I., 2001

  • PAULOZ, David.Les enjeux de la construction d'une ligne de chemin de fer d'intérêt local : la compagnie de l'Est de Lyon 1881-1947. Bulletin du centre Pierre Léon d'histoire économique et sociale., 1996, N°1-2.

  • FURIA, Daniel. Du chemin de fer de l'est au tramways Léa et Leslys. Revue Rive Gauche, société d'étude d'histoire de Lyon Rive Gauche., décembre 2007, N°183.

  • CHOMIENNE, Gilbert. De l'Est de Lyon à Léa. Revue Rive Gauche, société d'étude d'histoire de Lyon Rive Gauche., mars 2008, N°184.

Date(s) d'enquête : 2009; Date(s) de rédaction : 2009
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Ville de Lyon