Ecart du Pesset :
- 2013 A5 679 (1880 A5 ). Ferme à juxtaposition, puis maison. La zone est habitée sur la mappe sarde : des éléments d'encadrements chanfreinés sont remployés en façade. La ferme est datable du 19e siècle : elle existe en 1880, le plan représente à côté ce qui semble être un four à pain privé, qui a disparu (1880 A5 656), et la fontaine toujours en place. Logis sur cave en étage de soubassement (accès cave en façade ; accès logis par balcon et escalier extérieur). Petit logis à l'extrémité amont (?). Murs en moellon de calcaire enduit ciment, toit à demi-croupes, en éternit, avec débord par extension.
- 2013 B4 771 (1732 672 ; 1880 B4 456). Ferme à juxtaposition, puis maison. Parcelle bâtie sur la mappe sarde de 1732 et sur le premier cadastre français : l'édifice a été construit en plusieurs fois et présente des encadrements chanfreinés sans doute antérieurs au 18e siècle. Logis sur cave en étage de soubassement, grange-étable en amont (treuil à foin). dénaturée.
- 2013 B1 19, les Granges. Ancien hangar à four à pain (four alsacien), puis bûcher. Murs en moellon de calcaire, toit à longs pans en bac acier. L'édicule se trouve sur la parcelle d'une ferme existant en 1880 (1880 B1 64), détruite.
Ecart des Vauthiers :
- 2013 B4 465. Ferme à bâtiments distincts : logis édifié perpendiculairement à la pente, avec quatre caves en étage de soubassement (loge à porcs adossée), habitation au rez-de-chaussée surélevé (accès par galerie extérieure, presque de plain-pied ; cuisine et trois chambres distribuées par couloir), dépendance édifiée parallèlement à la pente (dénaturée). Murs en moellon de calcaire enduit (bardage bois au niveau du comble sur les pignon), avec des encadrements en calcaire ; toit à longs pans en tuile plate mécanique. Fontaine-abreuvoir dans la cour, déplacée.
Le bâtiment situé à l'est occupe l'emplacement de parcelles bâties de la mappe sarde de 1732 (1732 963), puis sur le premier cadastre français, en 1880 (1880 B4 484). Il s'agissait peut-être d'une ferme à juxtaposition, transformée en grange-étable par la construction d'un nouveau logis à l'ouest de la parcelle en 1912 (date inscrite sur la cheminée, renseignement oral). Il appartenait à la famille Robert, qui a laissé son nom sur l'oratoire de Notre-Dame-de-Bellevaux (IA73003263). Les bâtiments ont perdu leur vocation agricole ; le toit à longs pans et lucarnes du logis est une réfection.
- 2013 B4 466. Ferme à juxtaposition. Parcelle bâtie sur la mappe sarde de 1732 (1732 962) : des éléments d'encadrements chanfreinés sont remployés en façade (étable). La ferme est datable du 19e siècle : elle existe en 1880 (1180 B4 482). Logis en rez-de-chaussée (trois travées ; deux petites niches en façade ; surélévation dans le dernier quart du 20e siècle), grange puis étable dans le prolongement puis remise ouverte avec loge à porc au fond. Murs en moellon de calcaire enduit à pierres vues, toit à longs pans, en éternit.