Un moulin appartenant à Jacques Garset (fils d'Antoine) apparaît sur la mappe sarde de 1728 (parcelle 1444). Le moulin est toujours visible sur le cadastre napoléonien de 1809 (section B, feuille unique, parcelle 699). A cette date, il appartient à Jean Basin et Collet. D'après un plan du service des Ponts et chaussées de 1834, le moulin appartient à Claude Joseph Veyrat (FR.AD073, 193E dépôt 254). Le tableau de l'utilisation agricole et industrielle des cours d'eau réalisé par les Ponts et chaussées en 1889 nous informe que le moulin est exploité par la famille Siméon et qu'il comporte un moulin à farine et un pressoir à huile. A cette date, il est équipé d'une paire de meules pour le moulin à farine et d'une meule pour le moulin à huile animées par une roue par dessus. Le moulin apparaît sur le premier cadastre français de 1891. Il est exploité par le meunier Jacques Siméon. Le moulin a probablement cessé son activité à la fin du XIXe ou au début du XXe siècle car il n'apparaît plus sur le recensement des moulins de 1917. Il n'est plus visible sur le cadastre rénové de 1988. Actuellement il n'existe plus. Il a probablement été détruit lors de l'élargissement de la voie communale n°11.