Un martinet appartenant à Claude Gufflet est visible sur la mappe sarde de 1728 (parcelle 1132). Le bâtiment est toujours en place sur le cadastre napoléonien de 1809 (section B, parcelle 694). Il appartient à Émile Gufflet (taillandier). La forge est visible sur le premier cadastre français de 1869 (section A, feuille 3, parcelle 1006). A cette date, elle appartient à Claude Gufflet. A priori, il l'exploite jusqu'en 1924. Elle est ensuite exploitée par Séraphin Bardet (époux Gufflet). Elle reste quelques années sans affectation avant d'être rénovée à partir des années 2000. Actuellement, l'ancienne forge est occupée par un logement.
Dans les années 1960, une petite centrale hydroélectrique a été construite en aval du bâtiment de la forge pour les besoins personnels du propriétaire. Le bâtiment est toujours en place. Il est sans affectation.