Une scierie appartenant à P.François Pavillet apparaît sur le cadastre napoléonien de 1809 (section D, feuille unique, parcelle 1327). Par arrêté préfectoral du 15 décembre 1864, le propriétaire de la scierie, Pierre Ract Marquis (fils d'Aimé, libraire à Paris), est autorisé à la maintenir en activité. La scierie est toujours visible sur le premier cadastre français de 1873 (section D, feuille 2, parcelle 270). A cette date, elle appartient à Jean François Ract Marquis, meunier. En 1902, la scierie n'est plus en activité. Elle appartient à Jean Baptiste Palmero qui possède également deux moulins en aval (IA73003560). Le 12 novembre 1902, il demande l'autorisation de réunir ces trois chutes en une seule pour améliorer le rendement du moulin aval (FR.AD073, 49SPC8). Pour cela il souhaite remplacer la dérivation par une canalisation et la roue hydraulique par une turbine. Cette demande suscite des contestations de la part des riverains qui utilisent l'eau à des fins domestiques ou pour l'abreuvage des animaux. M.Palmero s'engage à établir une bouche à incendie et un bassin. Il semblerait que les travaux soient réalisés. Actuellement, le bâtiment de la scierie n'est plus visible.