Un pressoir à huile appartenant à Félix Mercier et à ses frères est visible sur la mappe sarde de 1732 (parcelle 2331). Un martinet appartenant à à Jean Mercier est visible sur le premier cadastre français 1876 (Section G, feuille 2, parcelle 1305) à l'emplacement de l'ancien pressoir. Le site est mentionné dans l'État statistique des irrigations et des usines sur les cours d'eau non flottables et non navigables de 1879 au nom de Joseph Mercier (FR.AD073, 35SPC7). En 1911, il appartient à Charles Mercier (fils de Jean Martin). La matrice cadastrale des propriétés bâties mentionne que le bâtiment est démoli en 1962. Toutefois, le martinet est toujours représenté sur le cadastre rénové de 1963. Actuellement, des vestiges sont toujours visibles.
Il existe en aval du martinet, un autre bâtiment situé très prés du cours d'eau. Il pourrait également s'agir d'un ancien site hydraulique. Le premier cadastre français signale qu'il s'agit d'une masure (Section G, feuille 2, parcelle 1303) appartenant à la famille Glaisat-Blanc.