Dossier d’œuvre architecture IA73003883 | Réalisé par
  • enquête thématique départementale, Patrimoine hydraulique des Pays de Savoie
Établissement thermal de la Léchère-les-Bains
Œuvre recensée
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Conseil Savoie Mont Blanc

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pays de Savoie - Moûtiers
  • Hydrographies bassin-versant Isère moyenne
  • Commune La Léchère
  • Lieu-dit La Léchère-les-Bains Notre-Dame-de-Briançon
  • Cadastre 2014 AE 182
  • Dénominations
    établissement thermal

Premier établissement thermal

Lors de la vente de l'établissement thermal le 30 septembre 1912, "les immeubles vendus comprennent une pièce de terre dans laquelle ont été aménagés : I. Dans son sommet deux réservoirs d'eau froide appuyés l'un à l'autre construits en maçonnerie et couverts avec canalisation pour faire motrice. Deuxièmement plus bas un autre réservoir également construit en maçonnerie et couvery recevant l'eau thermale destinée à l'établissement thermal ci-après avec canalisation pour l'amenée et la distribution de cette eau. Troisièmement, plus bas encore un bâtiment d'une superficie d'environ deux cent mètres carrés servant d'établissement thermal et comprenant : au centre, un vestibule d'entrée avec trois armoires à linge fermant à clef, ayant derrière water-closets à chasse d'eau. A l'étage au dessus, un petit logement de deux pièces. De chaque côté au vestibule d'entrée, six cabines à bains et une salle de douche avec vestibule du côté de Notre Dame de Briançon et six cabines et une salle lavoir avec vestibule du côté d'Aigueblanche. Le tout construit en briques et en bois et couvert en tuiles et servi par une canalisation en ciment pour verser les eaux des bains à l'Isère. Quatrièmement, sur les bords de l'étang, un pavillon en bois composé de deux compartiments fermant à clef et contenant deux bassins en ciment réservant par trois tubes l'eau thermale ; deux pompes dont une centrifuge en réserve et l'autre à piston en fonctionnement pour refouler cette eau à son réservoir situé au dessus des bains ; et une turbine en fonte, le tout en bon état. Cinquièmement, et sur le même côté de l'étang, presque en face de la source, un bâtiment occupant une superficie d'environ deux cent mètres carrés servant d'hôtel restaurant dit Hôtel des Bains, construit partie en maçonnerie et béton et partie en briques et bois et recouvert en tuiles. Le tout en bon état de construction et d'entretien. Ce bâtiment comprenant deux caves voûtées en sous-sol ; cinq pièces au rez-de-chaussée avec waer-closets ; onze chambres au premier étages avec water-closets ; cinq chambres au deuxième étage avec un lingerie et deux galetas." (FR.AD073, 4Q10745).

Bâtiment thermal des Thermes blancs

1927 : construction du pavillon central et de l'aile nord. Il comporte 33 cabines de bains ordinaires, 2 cabines de luxe, des massages sous l'eau, une salle d'entéroclyse, une douche en hamac, une salle de radiarium et une salle de physiothérapie.

1946-1947 : aménagement du 1er étage

1947-1948 : aménagement du sous-sol

1948 : travaux de réfections diverses

1950-1951 : construction de l'aile sud

1951-1952 : installation d'une salle de massage sous l'eau et de deux cabines de bains supplémentaires

Hôtel Radiana

1930-1931 : construction. Il comporte alors 82 chambres, des bureaux administratifs, le logement du directeur, des salons, un bar, un restaurant de 180 places, des lingeries, cuisines, etc.

1948 : travaux de réfection

Hôtel des Bains (il était ouvert du 1er avril au 27 octobre)

1890 : construction. Il comporte alors 12 chambres.

1926 : agrandissement portant la capacité à 30 chambres et modernisation du mobilier

1947-1948 : agrandissement portant la capacité à 42 chambres

1951-1952 : agrandissement de la cuisine et du restaurant

1951-1952 : nouveau aménagements dans les sous-sols

1990 : destruction

En mai 1869, un affaissement de terrain provoque la création de deux étangs d'eau tiède de part et d'autre de l'Isère à Notre-Dame-de-Briançon. Au fil du temps, l'étang de la rive droite perd sa chaleur tandis que celui de la rive gauche conserve une température proche de 60 degrés. Les deux étangs sont visibles sur le premier cadastre français de 1886 au hameau de la Léchère qui ne comporte alors que quelques maisons.

En 1888, Jean Louis Rullier, notaire à Albertville fait forer un puits à proximité de l'étang de la rive gauche et analyser l'eau. Les scientifiques constatent qu'elle possède des propriétés thermales particulièrement efficaces pour le traitement des affections rhumatismales, des maladies de la peau, du système nerveux et des voies urinaires.

Par acte sous seing privé 15 mai 1882, Pierre Antoine Dunand, juge de paix à Bourg-Saint-Maurice vend des terrains dont celui où se trouve l'étang à Cyprien Pillet, Étienne Pillet et son épouse Philiberte Roche (FR.AD073, 4Q10748).

En 1890, un modeste établissement thermal dirigé par Jean Louis Rullier lui même, est construit au bord du lac pour donner des bains et des douches aux premiers curistes. Un petit édifice de 12 chambres appelé Hôtel des Bains est édifié à proximité.

Après le décès d’Étienne Pillet et de son épouse, Cyprien Pillet vend la propriété à Louis Rullier (ancien notaire, demeurant à Saint-Alban-Leysse) et à Jean Maurice Hyacinthe Garçon le 4 mars 1895.

Le 3 juin 1895, Jean Maurice Garçon cède sa part à Oscar Abondance (cafetier demeurant à Moûtiers). Les 15 et 16 juin 1895, Louis Rullier et Oscar Abondance cèdent une partie de leurs parts à Michel Bouffanet (entrepreneur de travaux publics demeurant à Mâcon) et à Alfred Poinet (architecte demeurant à Mâcon). A la même date, Rullier, Abondance, Poinet et Bouffanet passent une convention mentionnant qu'une société doit se former pour l'exploitation des eaux de la Léchère. (FR.AD073, 4Q10748) du point de vue thérapeutique mais aussi agricole. Ce projet mené par la Société anonyme des Forceries de la Léchère prévoit d’utiliser l’eau naturellement chaude pour les besoins d’une forcerie de légumes, d'arbres fruitiers et de fleurs.

Le 31 décembre 1896, Rullier cède ses droits à Garçon. Le 20 janvier 1899, Abondance cède ses droits à Garçon. (FR.AD073, 4Q10748).

Par jugement du tribunal de Moûtiers le 17 janvier 1907, Jean Maurice Hyacinthe Garçon devient seul adjudicateur de l'établissement thermal (FR.AD073, 4Q10748).

En 1912, l'établissement thermal appartient à Jean Maurice Hyacinthe Garçon (ancien notaire, demeurant à Bozel) et son épouse Marie Lucile Charvet. Ils s'engagent à vendre la propriété à un docteur en pharmacie Paul Charles Augustin Hollande qui vient de créer une société (FR.AD073, 4Q10745).

Le 30 septembre 1912, la Société des forceries de la Léchère achète à Jean Maurice Hyacinthe Garçon (ancien notaire, demeurant à Bozel) l'établissement thermal pour le prix de 64000 francs. (FR.AD073, 4Q10745).

En août 1913, la Société des Forceries demande l'autorisation d'installer une "turbine flottante" dans le lit de l'Isère destinée à actionner une pompe élévatoire pour répartir l'eau chaude dans les châssis de la forcerie (FR.AD073, 83S11). Cette exploitation de 12 serres de 650 mètres-carrés alimentées par plusieurs kilomètres de tuyaux, est un modèle du genre car les forceries de l'époque consomment beaucoup de charbon (FR.AD073, 83S11).

En 1914, la Société des Forceries est en liquidation. En 1921, le domaine de 4 hectares est adjugé à César Hudry, avocat à Genève et à Benoit Jean Collonge, industriel, président du conseil d'administration de la Société internationale des Écoles Berlitz à Paris (FR.AD073, 4Q10797). Les deux associés remontent une partie de la forcerie et réouvrent le petit établissement thermal à la demande de baigneurs. Quelques améliorations sont réalisées sur l'hôtel des Bains qui n'est désormais plus assez grand pour recevoir les curistes qui vont se loger dans les villages autour.

Par la suite de nouvelles analyses scientifiques des eaux du lac sont réalisées par le docteur Joukowsky, ingénieur des Mines, le docteur Chautemps et par le professeur Duparc (Genève). En 1925, le domaine est acheté par Esther Stern (née Goloubkine), docteur es-sciences, originaire de Russie. L'année suivante, elle fait recapter la source et effectuer des travaux pour agrandir l'Hôtel des Bains portant sa capacité à 30 chambres avec tout le confort moderne. En 1927, elle fait raser l'ancien établissement thermal pour en construire un nouveau de style « mauresque » appelé « les Thermes blancs ». Le 27 janvier 1930, après l'avis favorable de l'Académie nationale, Esther Stern est autorisée par arrêté ministériel à effectuer un nouveau captage appelé Radiana. Une villa de 8 chambres appelée « Le Castel » et servant d'annexe à l'hôtel des Bains est construite au cours de cette période. Des travaux sont aussi entrepris pour construire un bâtiment appelé la « Caserne » pour loger les employés. Un nouvel hôtel appelé Radiana est également édifié et inauguré le 1er juillet 1931. Il est géré par une société anonyme, la Société du Grand hôtel Radiana.

Les rapports et délibérations de cette époque montrent que le Conseil général de la Savoie est particulièrement favorable au développement de la station. Il encourage les maires des communes de Notre-Dame-de-Briançon et de Bellecombe à entretenir leurs routes pour faciliter la venue des curistes. A cette époque, la station de la Léchère est en pleine extension comme le montrent les nombreux articles diffusés dans la presse nationale. Le prestigieux établissement thermal de Brides-les-Bains propose même des navettes pour emmener ses curistes passer une journée à la Léchère.

En 1939, madame Stern sollicite l'autorisation d'exploiter la source Euphorie. Quelques années plus tard, dans le contexte antisémite mené par le gouvernement de Vichy, des lettres calomnieuses adressées à la Préfecture dénoncent l’établissement thermal. En 1942, madame Stern est arrêtée et ses biens sont confisqués. En 1945, le domaine est restitué à ses propriétaires.

Par lettre du 20 novembre 1949, le maire de Notre-Dame-de-Briançon, demande au préfet de la Savoie la reconnaissance de La Léchère comme station hydrothermale (Bulletin de l'Académie nationale de médecine, 26 juin 1956). Dans le même temps, madame Stern devenue madame Kuhn, fait réaliser de nouveaux travaux pour améliorer son établissement : une nouvelle buvette est créée en 1949-1950, une extension du bâtiment mauresque en 1950. Un chalet appelé « Tessa » comportant 4 chambres pour les employés est construit en 1950-1951. En 1983, le forage Radiana V est réalisé. La même année, une pollution bactérienne est décelée dans le forage Radiana III. Une extension contemporaine appelée les « Thermes bleus » est ajoutée à la fin des années 1980. L’Hôtel des Bains est détruit en 1990. En 1998, un nouveau forage est réalisé. Actuellement, la station thermale de la Léchère est toujours en activité.

  • Période(s)
    • Principale : 4e quart 19e siècle , daté par source
    • Principale : 1er quart 20e siècle , daté par source
    • Principale : 2e quart 20e siècle , daté par source
    • Principale : 3e quart 20e siècle , daté par source
    • Principale : 4e quart 20e siècle , daté par source
  • Dates
    • 1890, daté par source
    • 1901, daté par source
    • 1927, daté par source
    • 1930, daté par source
    • 1931, daté par source
    • 1949, daté par source
    • 1950, daté par source
    • 1983, daté par source
    • 1998, daté par source

L'établissement de la Léchère-les-Bains se trouve en rive gauche de l'Isère. Il se compose de plusieurs bâtiments formant une petite cité thermale organisée autour d'un parc où se trouve le lac d'où la station tire son origine.

Les Thermes blancs

Il s'agit du bâtiment le plus ancien de la station thermale. Construit dans un style "mauresque", il prend la forme d'un pavillon central flanqué de deux ailes. Construit en pierre et couvert d'un enduit clair, il s'organise sur trois niveaux : un sous-sol, un rez-de-chaussée et un étage. Le pavillon central est surmonté d'une tourelle crénelée aux allures de minaret. Toutes les ouvertures sont de forme ogivales. Celles du premier niveau sont encadrées de colonnettes. Une plaque fixée à droite de la porte principale rend hommage à la famille Stern pour avoir permis le développement de la station. A l’intérieur, il a été complètement réaménagé et modernisé pour les soins.

Les Thermes bleus

Les Thermes bleus font la jonction entre les Thermes blancs l’Hôtel Radiana. Ils prennent la forme d'un bâtiment contemporain composé de trois pavillons de trois niveaux reliés entre eux par une galerie. Le bâtiment est construit en béton et recouvert de grandes plaques de matériau composite de deux nuances de bleu. Les ouvertures sont de forme circulaire et rectangulaire. On trouve aussi des ouvertures triangulaires sur le pavillon central. Un espace vitré en appentis est accolé à chaque pavillon. Ces espaces abritent des piscines de soins.

L'hôtel Radiana

L'hôtel Radiana est de plan rectangulaire sur huit niveaux. Construit dans les années 1930, il possède toutes les caractéristiques de l'architecture Art-déco. Il est construit en béton et couvert d'un enduit clair. Le toit terrasse est souligné par des balustrades en béton encadrant un imposant fronton portant la mention Hôtel Radiana en lettres de béton. La partie centrale du bâtiment est en avancée par rapport aux parties latérales parfaitement symétriques. Les nombreuses ouvertures sont rectangulaires ou en anse de panier et agrémentées de petits balcon ou de garde-corps en béton. On accède à l'entrée principale par une terrasse qui a été remaniée et couverte à la fin du XIXe siècle. Les décors visibles sur la façade principale sont des motifs floraux très stylisés et géométrisés typiques des années 1930.

Un bâtiment contemporain abritant un spa a été construit au début du XXIe siècle dans le prolongement nord de l'hôtel Radiana.

  • Murs
    • pierre enduit
    • béton
  • Toits
    ciment en couverture
  • Plans
    plan rectangulaire régulier
  • Étages
    sous-sol, rez-de-chaussée, 1 étage carré
  • Couvertures
    • terrasse
  • État de conservation
    bon état
  • Statut de la propriété
    propriété publique

La station thermale de la Léchère est la dernière créée du département. L'une de ses spécificités est sa proximité immédiate avec les usines de Notre-Dame-de-Briançon (IA73003664) et de Château-Feuillet (IA73003928) qui forment un complexe industriel important.

Il existe en face de la station, de l'autre côté de l'Isère, un espace d’exposition appelé Aquacalida créé par la Communauté de Communes des Vallées d’Aigueblanche, avec le soutien de l’Europe. Cet espace scénographique raconte à travers des panneaux d’exposition et des supports multimédias, les origines des eaux de La Léchère et l’histoire des thermes et explique le rôle de la médecine thermale et le principe la géothermie (www.aquacalida.fr).

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Documents d'archives

  • FR.AD073, 107S18, Fonds du service des Mines. Dossiers d'autorisation de captage et de contrôle des eaux thermales et de suivi sur les carrières abandonnées. Courrier et inspections. Sources minérales et thermales. Suivi des sources Bonneval - Bourg-Saint-Maurice (dont mémoire) - Brides les Bains - Salins - La Lechère - Challes-les-Eaux - Domaine de Marlioz : pollution - Recensement des sources minérales en Savoie, 1868-1936.

    AD Savoie : 107S18
  • FR.AD073, 83S11, Fonds de la Préfecture, Bourg-Saint-Maurice. Usines : scieries Grand (Versoyen, 1861-1874), Zulberty (Chardonnet, 1866), moulin Croz-Dentroux (Arbonne, 1867-1870), scierie Désarnod (1870), câble Chassary (Charbonnet, 1891), moulin Videau (Inverset, 1899-1903), usines Pellorce et Mayet (Chardonnet, 1907-1920), usine hydro-électrique Chavassu (Versoyen, 1913-1914), Ribollet L. (1933), Chevassu E. (1939), 1861-1939.

    AD Savoie : 83S11
    Dossier concernant Notre-Dame-de-Briançon classé dans Bourg-Saint-Maurice.
  • FR.AD073, 4Q10745, Fonds de la conservation des hypothèques de Moûtiers, Période française, Registres de formalités et des actes déposés, Transcriptions des actes translatifs de propriété d'immeubles, Volume 325, 21 septembre-4 novembre 1912.

    AD Savoie : 4Q10745
    Article 75.
  • FR.AD073, 4Q10748, Fonds de la conservation des hypothèques de Moûtiers, Période française, Registres de formalités et des actes déposés, Transcriptions des actes translatifs de propriété d'immeubles, Volume 328, 3 mars-4 avril 1913.

    AD Savoie : 4Q10748
    Article 45.
  • FR.AD073, 4Q10749, Fonds de la conservation des hypothèques de Moûtiers, Période française, Registres de formalités et des actes déposés, Transcriptions des actes translatifs de propriété d'immeubles, Volume 329, 3 avril-21 mai 1913.

    AD Savoie : 4Q10749
    Article 89.
  • FR.AD073, 4Q10758, Fonds de la conservation des hypothèques de Moûtiers, Période française, Registres de formalités et des actes déposés, Transcriptions des actes translatifs de propriété d'immeubles, Volume 338, 23 juin-18 août 1914.

    AD Savoie : 4Q10758
    Article 58.
  • FR.AD073, 4Q10797, Fonds de la conservation des hypothèques de Moûtiers, Période française, Registres de formalités et des actes déposés, Transcriptions des actes translatifs de propriété d'immeubles, Volume 378, 21 décembre 1921-7 février 1922.

    AD Savoie : 4Q10797
    Article 132.
  • FR.AD073, 4Q10886, Fonds de la conservation des hypothèques de Moûtiers, Période française, Registres de formalités et des actes déposés, Transcriptions des actes translatifs de propriété d'immeubles, Volume 49, février 1914-décembre 1916.

    AD Savoie : 4Q10886
    Article 18 et 19.
  • FR.AD073, 1382W199, Cabinet du Préfet, Établissement thermal de la Léchère : plaintes contre la direction (1941-1942) ; Juifs, surveillance : enquête à Saint-Bon (Tarentaise), Val-d'Isère et à Aix-les-Bains (1942) ; fermeture de la station de Val d'Isère : maintien de l'ordre, internements et rapports (1943-1944) ; interdiction de tourisme à Villard-de-Lans, Isère (1944), 1942-1944.

    AD Savoie : 1382W199
  • FR.AD073, 1759W38, Santé - Direction régionale de l'Environnement de l'Aménagement et du logement Rhône-Alpes - Dossiers d'autorisation de captage et de contrôle des eaux. Établissement Thermal de La Léchère. Situation administrative, 1950-2006.

    AD Savoie : 1759W38

Bibliographie

  • Le Courrier des Alpes, 18 février 1889.

  • Le Courrier des Alpes, 26 février 1889.

  • JL. Rullier, Petit guide à l'usage des baigneurs de la Léchère-les-Bains en Tarentaise (Savoie) : historique des sources hyperthermales ; description de la vallée, Moûtiers, 1897.

  • Académie de la Val d'Isère, Recueil des mémoires et documents de l'Académie de la Val d'Isère, Tome quatrième, Moûtiers, 1883.

    p. 501-505.
  • La Savoie : stations climatiques, libr. J. B. Baillière et fils, Paris, 1900.

    p.44.
  • La Presse thermale et climatique : stations thermales, balnéaires, climatiques et touristiques, Librairie des Facultés de médecine et de pharmacie, Paris, 1901.

  • Le Courrier des Alpes, 23 novembre 1901.

  • Revue horticole, Journal d'horticulture pratique, "Utilisation des sources chaudes pour le forçage des fruits et légumes en France", T.XVI, 1918-1919.

    p.105-106.
  • La Revue du Touring-club de France, Paris, octobre 1926.

  • Conseil Général de la Savoie, Rapports de monsieur Henry Mouchet préfet du département, et délibérations, Première session ordinaire de 1926, Chambéry, imprimeries réunies, 1926.

  • Conseil Général de la Savoie, Rapports de monsieur Marcel Grégoire préfet du département, et délibérations, Deuxième session ordinaire de 1930, Chambéry, imprimeries réunies, 1930.

  • La Revue du Touring-club de France, septembre 1930, n°430.

    p.274.
  • Le Figaro, 14 mai 1931.

    p.3.
  • Le Figaro, 21 juin 1931.

    p.2.
  • Le Figaro, 27 juillet 1931.

    p.2.
  • Le Figaro, 7 août 1931.

    p.4.
  • Le Figaro, 15 septembre 1931.

    p.4.
  • Paris-Soir, 14 mai 1932.

    p.10.
  • Le Matin, 16 avril 1935.

  • La Liberté, 12 avril 1936.

  • La Tribune juive : organe indépendant du judaïsme de l'Est de la France, [s.n.], Strasbourg, n°18, 1er mai 1936.

  • Le Petit Dauphinois, 29 juillet 1936.

  • Le Petit Dauphinois, 9 janvier 1937.

  • J.Garin, Histoire Féodale des Seigneurs De Briançon, Librairie M.Paget, Albertville, 1942.

  • Journal officiel de la République française. Lois et décrets, 15 septembre 1942.

    p.3142.
  • L'action française, édition de Lyon, n°73, 27 et 28 mars 1943.

    p.3.
  • Bulletin de l'Académie nationale de médecine, J.-B. Baillière, Paris, 26 juin 1956.

    p.380-382.
  • Académie nationale de médecine, Bulletin de l'Académie nationale de médecine, Tome 171, n°5, 1987.

  • M.Boyer, Les villégiatures du XVIe au XXIe siècle : Un panorama du tourisme sédentaire, Éditions EMS, 2008.

    p.74-75.
  • Y.Bouvier, « Dualité territoriale : Notre-Dame-de-Briançon entre industrie, thermalisme et environnement », dans Entreprises, territoires, consommations : Hommages à Jean-Claude Daumas, Besançon / Belfort, PUFC/ UTBM, 2016.

  • Bibliothèque universelle et Revue suisse, Imprimerie Georges Bridet et Cie, Lausanne, T.31, 1903.

    p.210-211.

Périodiques

  • C.Bérelle, "A l'usage des baigneurs. Histoire de la station thermale de la Léchère", La Rubrique des patrimoines de Savoie, Conservation départementale du patrimoine de la Savoie, n°38, décembre 2016.

    CDP Savoie
    p.18-19.

Annexes

  • Le Courrier des Alpes, 18 février 1889.
  • Le Courrier des Alpes, 26 février 1889.
  • La Savoie : stations climatiques, 1900, p.44.
  • Le Courrier des Alpes, 23 novembre 1901.
  • La Presse thermale et climatique, 1901, p.407-408.
  • Bibliothèque universelle et Revue suisse, 1903, p.210-211.
  • La Société anonyme des forceries de la Léchère les Bains (1912-1914).
  • Extrait de la Revue horticole, Utilisation des sources chaudes pour le forçage des fruits et légumes en France, 1918, p.105-106.
  • La Revue du Touring-club de France, octobre 1926, p.279.
  • La Revue du Touring-club de France, septembre 1930, p.274.
  • Le Figaro, 14 mai 1931.
  • Le Figaro, 21 juin 1931.
  • Le Figaro, 27 juillet 1931.
  • Le Figaro, 7 août 1931.
  • Le Figaro, 15 septembre 1931.
  • Le Matin, 16 avril 1935.
  • La Liberté, 12 avril 1936.
  • Bulletin de l'Académie nationale de médecine, 1956.
Date(s) d'enquête : 2015; Date(s) de rédaction : 2016
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Assemblée des Pays de Savoie