L'oeuvre, ronde et massive, évoque un sexe féminin.

En 1996, cette sculpture était regroupée devant le bâtiment entre un mur et une haie, avec celles de Geneviève Dumont (IM01001108) et Léonardo Delfino (IM01001109), les rendant inaccessibles. En 2010, les altérations suivantes étaient constatées : "altération de surface, fente, cassure, encrassement, colonisation biologique, modification structurelle. Placée à même le sol, l'œuvre n'est pas soutenue et semble de travers. Elle a tendance à s'enfoncer dans le sol meuble. De plus, elle souffre du contact direct avec le sol et la végétation. La partie supérieure est couverte d’une couche noire à aspect rugueux, probablement des algues. La surface autrefois polie est érodée. Les mousses dégagent des acides qui érodent la pierre. Le bas est moins altéré et des zones ont encore la couleur d’origine, blanc cassé.Le marbre est couvert de mousse dans les fentes et les creux, dans ceux exposés au ciel, les mousses sont verts vifs. Des végétaux (humus) s'accumulent dans les arêtes de l’œuvre.Des dégradations physiques telles des coups, des griffes, des fentes et des fissures marquent l'œuvre,certaines dues à la manipulation. La surface est souillée par des éclaboussures bleus vifs à l’arrière, en bas à gauche, des traces de semelles et des marques noires sur la face en bas à droite. Présence d’une planche de bois en décomposition au sol, elle a peut-être été placée pour surélever l’œuvre ou pour la placer."