Des éléments de l'ancienne église paroissiale sont transférés dans la nouvelle chapelle lors de sa démolition : clôture de choeur et maître-autel dont les statuettes ont disparu. Au 19e siècle, l'église ruinée et son cimetière deviennent un lieu de dévotion populaire et de pèlerinage, comme l'indique l'inscription conservée dans l'église : de nombreuses lithographies y sont déposées en ex-voto, représentant sainte Marguerite, le Sauveur du monde, le Sacré-Choeur, la Sainte Face, le Jugement du Christ, saint Jean-Baptiste, saint Pierre, saint Roch, saint Joseph, saint François-Xavier, le Sacré-Choeur de Marie, Notre-Dame du Rosaire, ste Hortense, sainte Antoinette, sainte Isabelle, sainte Philomène, le curé d'Ars. Le pèlerinage est actif jusqu'à une date assez avancée dans le 20e siècle, à Pâques, Pentecôte, sainte Marguerite et saint Roch : la chapelle conserve de nombreux dépôt de bijoux, photographies, chaussons ou chaussures d'enfant et bouquets.