En 1982, Maurice Parant interpelle l’inspecteur général, chef du département de la création artistique, Bernard Anthonioz, sur sa situation matérielle. B. Anthonioz attire l’attention du DRAC de la région Rhône-Alpes sur son cas. L’artiste avait fait une proposition pour le 1% du C.E.S. de Chabeuil (Drôme) qui avait reçu un avis défavorable de la commission nationale des travaux de décoration des édifices publics. M. Parant avait fait également des projets pour le C.E.S. d’Oyonnax et un autre établissement à Gex, tous deux refusés. Il est intervenu également à Montmélian en 1981. (AN 20020101/88). Deux autres réalisations sont inventoriées : une peinture monumentale au Lycée professionnel Montgolfier à Annonay (IM07001467) et un revêtement de sol au lycée Claude Lebois à Saint-Chamond (IM42002663).

L'installation des 24 miroirs a lieu en 1991. Six miroirs ont été décrochés avant 1996. L’œuvre a été très mal acceptée par l’établissement, jugée de qualité médiocre, car présentant des problèmes d’échelle, de rapport à l’environnement (modules en béton, etc.). Selon Claire Peillod, l’œuvre avait été proposée à Maurice Parant en compensation d’une destruction survenue sur un autre site. En 2010, un miroir était encore déposé dans le bureau du proviseur. En 2019, il était introuvable.