Dossier d’œuvre architecture IA01000596 | Réalisé par
Dandel Elisabeth (Contributeur)
Dandel Elisabeth

Chercheuse indépendante depuis 2003 auprès des services régionaux de l'Inventaire et de collectivités. A réalisé ou participé en tant que prestataire aux opérations suivantes : " Patrimoine des lycées " (avec la collaboration de Frederike Mulot), 2010-2015, " 1% artistiques ", 2019-2020 (avec la collaboration de Valérie Pamart), " Inventaire topographique de deux communes de l'ancien canton de Trévoux " (Pays d'Art et d'Histoire Dombes Saône Vallée, pour la communauté de communes Dombes Saône Vallée), 2019.

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Delavenne Magali (Rédacteur)
Delavenne Magali

Conservatrice du patrimoine, chercheure au Service de l'Inventaire (2014- ).

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  • inventaire topographique, Pays d'art et d'histoire de Trévoux Dombes Saône Vallée
Château-fort d'Ambérieux-en-Dombes (vestiges)
Œuvre monographiée
Auteur
Copyright
  • © Communauté de communes Dombes Saône Vallée

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Pays d'art et d'histoire de Trévoux Dombes Saône Vallée
  • Commune Ambérieux-en-Dombes
  • Adresse montée Claude-Donis
  • Cadastre 2019 AC 49, 50, 51, 52
  • Dénominations
    château fort
  • Parties constituantes non étudiées
    donjon, tour

Au Moyen Age

La place d'Ambérieux, siège de châtellenie, est une possession ancienne des sires de Villars, remontant peut-être à la fin du 10e siècle. Elle est fortifiée sans doute depuis le 12e siècle, mais les vestiges conservés paraissent dater du 14e-15e siècles. La tour sud-est, ruinée, est une construction du 3e quart du 14e siècle : une analyse dendrochronologique a révélé une fourchette chronologique comprise entre 1371 et 1375 (date d'abattage des arbres).

En 1402, la châtellenie d'Ambérieux est acquise par le duc de Bourbon et le château devient un enjeu des guerres opposant les ducs de Savoie et de Bourbon en Bresse. En 1408, le château est pris et incendié par les troupes de Viry au service du duc de Savoie, et c'est avec le plus grand mal que les troupes du duc de Bourbon réussissent à les déloger. D'après les Mémoires pour servir à l'histoire de Dombes de Louis Aubret (tome 2, p. 446), les hommes de Beaujeu conduits par le seigneur de Chateaumorant durent brûler les maisons situées dans l'enceinte pour contraindre les troupes savoyardes à se réfugier dans la tour, puis à se rendre. Par la suite, le roi de France Charles VI ordonna une enquête au sujet de cette bataille d'Ambérieux le 23 avril 1412 (AN P 1392/2, c. 765, cité par H. de Varax).

En 1451, une campagne de fortification et reconstruction est diligentée en prévision de la reprise des hostilités. Dans un premier temps, le duc de Bourbon autorise Claude Gaspard, receveur d'Ambérieux, à construire une tour au lieu dit La Goujonnière, proche du donjon, pour défendre la place et lui servir d'habitation (AD Côte d'Or, B 759, cité par H. de Varax). Bien qu'appartenant à l'enceinte du château, cette tour située au sud-ouest, demeure la propriété privée des Gaspard, seigneurs du Breuil et du Buisson, puis passe par mariage en 1615 aux seigneurs de Damas, marquis d'Antigny et comtes de Ruffey, qui seront gouverneurs de la souveraineté de Dombes de père en fils. La tour présente de larges baies moulurées à traverses et meneaux (remaniées), attestant un caractère résidentiel ancien. La même année, Antoine de Gletteins capitaine d'Ambérieux fait asservir un pré et une place près de la tour de Claude Gaspard pour la cuisine du château. Une autre tour, dite La Raffinière, est également mentionnée à cette occasion (Archives Jarnioux, cité par H. de Varax). Ainsi renforcé, le château d'Ambérieux résiste à l'assaut de 1 500 hommes du duc de Savoie en 1460 : "Le 10 mai 1460, les efforts combinés des garnisons de Pérouges, Miribel et Montluel vinrent se briser contre la solidité de ses murs et la bravoure de ses défenseurs" (Guigue, Topographie historique, p. 6, d'après Aubret, tome 3, p. 28).

Pendant la période où la Dombes a été confisquée par François Ier, le château est vendu au riche lyonnais Thomas de Gadagne en 1537 et passe rapidement de mains en mains, avant d'être racheté et réuni au domaine. A l'occasion de sa réintégration, un procès-verbal rédigé en 1561 par le sieur Fergon, officier royal, et édité par l'abbé Longin en 1903 (annexe 1), décrit le château décrit comme une forteresse en relativement bon état et encore convenablement armée et équipée. Le château possède alors quatre tours dont la tour de la Goujonnière au sud-ouest appartenant à un particulier (l'héritier du sieur du Buisson). Le donjon possède trois étages affectés au stockage des grains, la tour ronde sert de prison et la tour sud-est renferme l'artillerie et les armes. Le bâti du château est complété par "des appentis qui ne valent guère". L'enceinte est composée "de doubles fossés et de belles murailles de briques", ouvrant par un pont-levis. Cette première description connue mentionne également l'église paroissiale, construite dans l'enceinte du château.

L'abandon progressif à l'époque moderne

Malgré cette description positive, des documents de même époque indiquent que le château était en bon état vingt ans auparavant, mais que les engagistes l'ont laissé tomber en ruines (enquête sur l'état des domaines aliénés, Aubret tome 3 p. 329) : c'est donc à cette période d'aliénation au privé que remonterait la dégradation progressive du château, confirmée ensuite par toutes les descriptions postérieures. En 1567, des réparations sont ordonnées et financées à la fois par les habitants et les engagistes, en particulier au massif d'entrée et au pont-levis. Situé à l'est, le massif d'entrée comportait en 1706 une grande porte surmontée d'une tour, et une petite porte à côté, chacune dotée d'un pont-levis. A proximité de l'entrée, un bâtiment servant de corps de garde est également mentionné en 1706 (il s'agit probablement d'un des appentis mentionnés en 1561).

L'escalier du donjon, qui avait été décrit comme praticable mais dangereux en 1561, tombe en ruine dans le dernier tiers du 17e siècle. En 1706 (annexe 2), les planchers des trois étages du donjon sont ruinés et seul son rez-de-chaussée est utilisé comme prison. L'ensemble des bois du pont-levis et des portes sont pourris, la maçonnerie du puits et du corps de garde est ruinée. La tour ronde n'a plus ni planchers ni toiture. La tour sud-est est simplement dite "en très mauvais état" ; en 1715 (annexe 3) il sera dit qu'elle n'a plus de planchers et que sa couverture de tuiles est pourrie aux deux tiers. Le presbytère, implanté à l'ouest accolé à la tour de la Goujonnière, est construit avant 1706, ainsi qu'une autre maison également bâtie dans l'enceinte.

Les murailles sont encore en bon état en 1715, malgré une brèche du côté ouest. Mais en juillet 1774, la démolition des murs d'enceinte jusqu'à la hauteur de 7 pieds et demi (soit environ 2,4 m) est ordonnée, afin d'améliorer l'éclairage du presbytère et de l'église : cette mesure concerne probablement particulièrement la muraille ouest (AN E 2784/2). Le marquis de Ruffey, propriétaire de la tour sud-ouest, est alors autorisé à prélever les briques de la muraille afin de restaurer son château du Breuil (commune de Monthieux), ainsi qu'il est expliqué dans le procès-verbal de 1787 (annexe 4). A cette époque, la quasi totalité des bâtiments ou des terrains du château sont mis en location, principalement au bénéfice du curé pour les bâtiments, de particuliers riverains pour les terrains des fossés.

Le château devenu Monument historique au 19e siècle

La commune achète les ruines du château le 14 juillet 1870 pour 500 Frs. Après son classement au titre des Monuments historiques le 21 juin 1905, le château fait l'objet de campagnes de restauration. Entre 1907 et 1910, l'architecte des monuments historiques Georges Darcy dresse le plan général et restaure (travaux conservatoires) les quatre tours.

La tour sud-ouest est restaurée entre 1916-1920. En 1916, l'architecte Henry-Edmond Moreau commence la consolidation de cette tour, mais ne peut l'achever faute de matériaux disponibles. Seul un étaiement d'attente est mis en œuvre, que retrouve P. Vorin dès 1919. Ce dernier achève la restauration de la tour en 1920. L'architecte Gélis assure le drainage général en 1936.

En 1955, un projet de remise en état et de consolidation des tours est porté par l'architecte Lotte.

Le donjon a fait l'objet d'une rénovation conséquente en 2010-2012 par Olivier Naviglio, architecte en chef des monuments historiques. Les travaux ont principalement consisté dans la consolidation du donjon par sa mise hors d'eau, en restituant le plancher du dernier niveau, en aménageant l'escalier intérieur, en créant quatre bretèches et une toiture à charpente apparente.

Le château-fort d'Ambérieux est une place forte importante appartenant aux sires de Villars depuis le 11e siècle, puis aux Thoire-Villars. La tour sud-est (ruinée) a été datée par dendrochronologie du 3e quart du 14e siècle (abattage des arbres entre 1371 et 1375). Acquis par le duc de Bourbon en 1402, le château est un enjeu des guerres de Bresse au début du 15e siècle. Il est pris et incendié par les troupes du duc de Savoie en 1408. Par la suite, les ducs de Bourbon engagent une campagne de reconstruction au milieu du 15e siècle, en prévision de la reprise des hostilités. La tour sud-ouest est construite en 1451 par Claude de Gaspard et demeure propriété de ses descendants. Par ailleurs, le châtelain construit la même année la cuisine du château pour le compte du duc. Le document mentionne également le donjon et une troisième tour, dite La Raffinière. Ainsi renforcé, le château d'Ambérieux résiste à l'assaut de 1 500 hommes du duc de Savoie en 1460. Cent ans plus tard, le château est décrit comme une forteresse en relativement bon état et convenablement armée et équipée (cf annexe 1). Il possède alors quatre tours : le donjon compte trois étages affectés au stockage des grains, la tour ronde sert de prison et la tour sud-est renferme l'artillerie et les armes. Pendant la période où la Dombes a été confisquée par François Ier, le château est vendu et passe rapidement de mains en mains en 1537 et 1561, ce qui semble avoir engagé le processus de dégradation qui se poursuit au 17e et au 18e siècle. Après la guerre franco-savoyarde de 1600-1601, la place d'Ambérieux perd définitivement toute importance stratégique.

La commune achète les ruines du château le 14 juillet 1870 pour 500 Frs. Après son classement le 21 juin 1905, le château est restauré par le bureau des Monuments historiques, en 1916-20 (tour sud-ouest), 1936 et 1955. Le donjon a fait l'objet d'une rénovation conséquente en 2010-2012 par Olivier Naviglio, architecte en chef des monuments historiques. Les travaux ont principalement consisté dans la consolidation du donjon par sa mise hors d'eau, en restituant le plancher du dernier niveau, en aménageant l'escalier intérieur, en créant quatre bretèches et une toiture à charpente apparente.

  • Période(s)
    • Principale : 3e quart 14e siècle , daté par dendrochronologie
    • Principale : 3e quart 15e siècle , daté par source
    • Secondaire : 20e siècle , daté par source
    • Secondaire : 1er quart 21e siècle
  • Dates
    • 1375, daté par dendrochronologie
    • 1451, daté par source
    • 1920, daté par source
    • 1936, daté par source
    • 1955, daté par source
    • 2010
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Darcy Georges
      Darcy Georges

      Architecte des monuments historiques au début du 20e siècle.

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      architecte des Monuments historiques attribution par source
    • Auteur :
      Vorin Paul
      Vorin Paul

      École des arts et métiers, élève de Magne et de Boeswillwald, élève de A. Baudot au Centre d'Études Supérieures d'Histoire et de Conservation des Monuments Anciens. Concours ACMH de 1920. Il est dessinateur chez A. de Baudot jusqu'en 1911. En 1912, il obtient le prix Paquin puis un an plus tard réalise une étude de l'ancienne rose du transept nord de la collégiale de Saint-Quentin (Aisne) ainsi qu'une étude analytique de l'appareil de la sacristie de la cathédrale d'Évreux. En 1918, il est chargé des fonctions d'Architecte en chef dans les départements de l'Ain, de la Haute-Savoie puis de la Haute-Saône et de la Mayenne (1918-1920). Il est nommé Architecte en chef des monuments historiques (1920-1943) et est chargé des Côtes-du-Nord, de la Sarthe et de la Mayenne, de la Vendée et, à partir de 1933, de la Savoie et des Alpes, du Jura, du Doubs, de la Vendée (1926). Il est relevé de ses fonctions d'Architecte en chef pour faute professionnelle en 1933 et réintégré en 1937. Il est alors chargé de la Haute-Savoie, de la Savoie, des Hautes et Basses-Alpes, puis du Jura, du Doubs et de la Haute-marne (1939). En 1942, il est chargé de la restauration de l'église de Montier-en-Der mais, le 15 mars 1943, il est suspendu de ses fonctions d'Architecte en chef pour négligence sur les travaux de cette église. Source : PERROT, Alain-Charles. Les architectes en chef des monuments historiques, 1893-1993. Centenaire du concours des A.C.M.H. H.M. Éditions, Levallois-Perret, 1994, p. 68).

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      architecte des Monuments historiques attribution par source
    • Auteur :
      Lotte Pierre
      Lotte Pierre

      Architecte en chef des Monuments historiques

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    • Auteur :

L'ensemble comprend quatre tours inégalement conservées, une de plan circulaire (au nord) et trois de plan carré (le donjon au nord, une tour sud-ouest et une autre au sud-est). L'intérieur de l'enceinte trapézoïdale est occupé par l'église paroissiale et le presbytère. Les anciens fossés sont comblés et occupés par des maisons ou des jardins privés adossés aux murs, soubassements ou tours. L'ensemble des fortifications est construit en briques cuites dites carrons savoyards, à l'exception de surélévations en maçonneries de galets (tour sud-ouest). La tour sud-est est partiellement conservée (parties basses). La tour sud-ouest et le donjon, ainsi que la tour nord circulaire sont conservées en élévation. La tour sud-ouest, carrée, comprend deux niveaux, matérialisés par un plancher moderne (restitué) ; l'accès est possible par un escalier en charpente droit à retour. Le niveau inférieur est éclairé par des meurtrières, le niveau supérieur par de larges baies occultées par des fenêtres modernes à verre transparent. Le donjon compte quatre niveaux, déterminés par quatre planchers soutenus à l'origine par des poutres dont subsistent les trous - carrés - d'ancrage. Alors que le niveau 0 semble aveugle, les niveaux 1 et 2 sont éclairés seulement sur le côté sud, par une baie à coussiège ; ces niveaux sont chauffés chacun par une large cheminée aménagée dans le mur est. Une troisième cheminée est encore visible sur le mur nord du niveau 3. Le niveau 4 est aujourd'hui coiffé d'une charpente supportant une toiture en pavillon couvert de tuiles plates vernissées (restituées).

  • Murs
    • brique
    • galet
  • Toits
    tuile plate mécanique, tuile plate plombifère
  • Étages
    4 étages carrés
  • Couvertures
    • toit en pavillon
  • Escaliers
    • escalier intérieur
  • État de conservation
    vestiges, restauré, reconstruit à l'identique
  • Statut de la propriété
    propriété de la commune
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    tour
  • Protections
    classé MH, 1905/06/21
  • Référence MH
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Documents d'archives

  • AD Ain. C 519. Domaine. Procès-verbal dressé par Louis Aubret, contenant visites des Domaines de la Souveraineté, lors de la fin du bail du sieur Carton et à l’entrée du sieur de Saint-Hilaire, nouveau fermier. 1706.

    AD Ain : C 519
    Description du château, cf annexe 2.
  • AD Ain. C 520. Intendance de Dombes. Domaine. Visite et rapport fidèle de l’état des maisons, bâtiments, étangs et fonds dépendant des domaines de son Altesse sérénissime en la Souveraineté de Dombes et des réparations qui y sont nécessaires. 1714.

    AD Ain : C 520
    Description du château d’Ambérieux et des étangs qui en dépendent (cf annexe 3)
  • AD Ain. C 517. Intendance de Dombes. Administration générale. Mémoires, notes, copies de lettres patentes et édits royaux. 1782-1791.

    AD Ain : C 517
    Cahier contenant le détail des droits et domaines de la principauté, 1787 : description du château d'Ambérieux (cf annexe 4).
  • AD Ain. 2 O 49. Biens communaux : acquisition, construction, travaux. 1831-1936. Maison commune, 1831 ; Poids public, 1862-1936 ; Bureau de poste, 1907-1937. Tours de l'ancien château, 1869-1889. Horloge, 1931. Monument aux morts, 1920-1921. Toilettes et urinoirs, 1936.

    AD Ain
    Tours de l'ancien château, 1869-1870) : acquisition (1869-1870) ; transaction (1887) ; reconstruction d'un rempart (1888-1889).
  • AC Ambérieux-en-Dombes. Sans cote. Château : affaire des tours (1838-1887).

    AC Ambérieux-en-Dombes : sans cote
  • AD Ain. 43 T 7. Monuments historiques. Travaux. 1927-1931.

    AD Ain : 43 T 7
  • AD Ain. 43 T 18. Monuments historiques. Tour de l'ancien château d'Ambérieux-en-Dombes.

    AD Ain : 43 T 18
  • MAP. 0081/001/0001. Ambérieux-en-Dombes. Ancien château, tours. Restauration, série générale. Correspondance. 1846-1956. Rapport sur le mauvais état général de l'édifice (1846) ; demande de restauration (1846-1862) ; demande de classement (1865-1866) ; installation de WC (1936) ; travaux de drainage des eaux (1936). Restauration et consolidation des tours, couverture (1907-1956).

    Médiathèque de l'architecture et du patrimoine : 0081/001/0001
  • MAP. 1996/025/0001. Ambérieux-en-Dombes. Château : archives, casier archéologique, documents graphiques.

    Médiathèque de l'architecture et du patrimoine : 1996/025/0001

Bibliographie

  • De VARAX, Humbert. Histoire locale de la principauté et souveraineté de Dombes, Ain. [Francheleins] 1999. 2 vol. 459 et 463 p.

    Tome 1, p. 46-48
  • BERTHET, Jacques, RENOUX, Carine. Richesses touristiques et archéologiques du canton de Saint-Trivier-sur-Moignans. Bourg-en-Bresse, 2000.

    p. 47
  • GUIGUE, Marie-Claude. Topographie historique du département de l'Ain, ou Notices sur les communes, les hameaux, les paroisses, les abbayes, les prieurés, les monastères,... : accompagnée d'un précis de l'histoire du département depuis les temps les plus reculés jusqu'à la Révolution. Trévoux. Imprimerie Damour. 1873. 518 p.

    p. 5-6
  • GUIGUE, Marie-Claude (éd.). Mémoires pour servir à l'histoire de Dombes, par Louis Aubret, conseiller au Parlement de Dombes 1695-1748, publiés pour la première fois, d'après le manuscrit de Trévoux, avec des notes et des documents inédits, par M. C. Guigue, ancien élève de l'école des Chartes. Trévoux, 1868.

Périodiques

  • GUILLON, J.-O. « Châteaux de Trévoux et Ambérieux », dans Châteaux médiévaux en Rhône-Alpes, Cahiers René de Lucinge, n° 6, 1990, p. 21-24.

Documents figurés

  • Plan croquis destiné à être annexé à un traité … / Joseph-Antoine Beaudet, 12 juillet 1887. 1 plan, papier, encre (Archives départementales de l’Ain, 43 T 18).

    AD Ain : 43 T 18
  • Relevé cadastral du château / [1887]. 1 plan, papier, encre (Archives départementales de l’Ain, 43 T 18).

    AD Ain : 43 T 18
  • Plan des remparts et des tours d’Ambérieux-en-Dombes : construction de St Cyr / Genièvre Agent Voyer, 21 septembre 1886. 1:625. 1 plan, papier, encre, couleur (Archives départementales de l’Ain, 43 T 18).

    AD Ain : 43 T 18
  • Plan général. Plan de l'étage supérieur et élévation extérieure de la face nord-ouest du donjon. Coupe sur un mur. Plan. Coupe et élévation intérieure d'un angle de l'étage supérieur / Darcy, Georges (ACMH) ; Georges Estève (photographe). 30 novembre 1907. 1 plan. Papier. 1:10 ; 1:400 ; 1:30. (Médiathèque de l'architecture et du patrimoine. 0082/001/2005).

    Médiathèque de l'architecture et du patrimoine : 0082/001/2005
  • Plan des tours de l'ancien château / Darcy, Georges. 21 décembre 1909. 1 plan (Médiathèque de l'architecture et du patrimoine. 0084/001/1001).

    Médiathèque de l'architecture et du patrimoine : 0084/001/1001
  • Croquis du plan d'ensemble / Moreau, Henry-Edmond. 1916. 1 croquis, papier, encre (MAP. 0081.001.0001).

    Médiathèque de l'architecture et du patrimoine : 0081.001.0001
  • [Les tours du château depuis le sud-ouest] / Aimé Vingtrinier, limite 19e siècle 20e siècle. 1 photogr. n. et b. marouflée sur carton (AD Ain. 38 Fi p. 31).

    AD Ain : 38 Fi
  • Extérieur, avant 1864 (épreuve n° 000412) / Anonyme. Avant 1864. 1 tirage photographique n. et b. (Médiathèque de l'architecture et du patrimoine. 0084/001/1001).

    Médiathèque de l'architecture et du patrimoine : 0084/001/1001
  • Tours, vers 1904 / [Darcy ?] vers 1904. 2 tirages photographiques n. et b. (Médiathèque de l'architecture et du patrimoine. 0084/001/1001).

    Médiathèque de l'architecture et du patrimoine : 0084/001/1001
  • Donjon, ruines, 4 vues extérieures et intérieures / Henri Deneux / Henri Heuzé, 1915. 4 nég. n. et b. (plaque de verre) (Médiathèque de l'architecture et du patrimoine. DNX 5294, APDNX5294).

    Médiathèque de l'architecture et du patrimoine : DNX 5294
  • Ambérieux-en-Dombes : la tour ronde. Ancienne résidence des rois Burgondes au VIe siècle / [s.n.] 1 impr. photoméca. (carte postale) n. et b. (Médiathèque de l'architecture et du patrimoine. 0084/001/1001).

    Médiathèque de l'architecture et du patrimoine : 0084/001/1001
  • Ambérieux-en-Dombes. Vue générale des tours. Résidence favorite des premiers rois Burgondes vers l’an 934 / 1 impr. photoméca. n. et b. (carte postale) (Archives départementales de l’Ain. 5 Fi 005/0001).

    AD Ain : 005/0001

Annexes

  • Annexe 1 : Description du château en 1561
  • Annexe 2 : Description du château en 1706 (AD Ain, C 519)
  • Annexe 3 : Description du château d'Ambérieux en 1715 (AD Ain C 520)
  • Annexe 4 : Description du château d'Ambérieux en 1787 (AD Ain, C 517)
Date(s) d'enquête : 2019; Date(s) de rédaction : 2019, 2023
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Communauté de communes Dombes Saône Vallée
Dandel Elisabeth
Dandel Elisabeth

Chercheuse indépendante depuis 2003 auprès des services régionaux de l'Inventaire et de collectivités. A réalisé ou participé en tant que prestataire aux opérations suivantes : " Patrimoine des lycées " (avec la collaboration de Frederike Mulot), 2010-2015, " 1% artistiques ", 2019-2020 (avec la collaboration de Valérie Pamart), " Inventaire topographique de deux communes de l'ancien canton de Trévoux " (Pays d'Art et d'Histoire Dombes Saône Vallée, pour la communauté de communes Dombes Saône Vallée), 2019.

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Delavenne Magali
Delavenne Magali

Conservatrice du patrimoine, chercheure au Service de l'Inventaire (2014- ).

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