Dossier d’œuvre architecture IA26000485 | Réalisé par
  • inventaire topographique, Inventaire du Parc naturel régional des Baronnies provençales
Village de Barret-de-Lioure
Œuvre étudiée
Copyright
  • © Parc naturel régional des Baronnies provençales
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Espace patrimonial et paysager du Bassin de Montbrun-les-Bains - Nyons
  • Commune Barret-de-Lioure
  • Lieu-dit
  • Cadastre 1813 B2  ; 1987 B2  ; 2016 B2

Origines de l'implantation du village

Pendant l'antiquité romaine, l'habitat du vallon de l'Anary, est organisé autour d'un site majeur situé au Génisseau et de quelques autres lieux d'occupation : Col de Macuègne, quartiers du Grand Pré, de Clef de Boyer, etc. Le site de l'actuel cimetière est peut-être utilisé dès cette époque à des fins funéraires.

Localisation des sites historiques de la vallée de l'Anary, sur la carte IGN au 1/25 000e.Localisation des sites historiques de la vallée de l'Anary, sur la carte IGN au 1/25 000e.

Au cours de l'antiquité tardive, l'habitat se perche aux deux extrémités de l'échine rocheuse dominant le site du Génisseau à l'ouest. Il est possible que le site de Fontenelle, situé entre les sites antiques du Génisseau et du Col de Macuègne, ait également été brièvement utilisé à cette époque ; ce quartier est nommé « Chastellaras » dans le cadastre de 1788.

Le site castral est aménagé sur l'éperon oriental, à côté du cimetière et d'un possible cloître ou prieuré dont témoigne le toponyme cadastral « la Clastre » dès le 18e siècle. Le rocher est taillé en trois petites plate-formes, encore nettement visibles. Après avoir possiblement subsisté un temps au niveau de la source du Génisseau, protégé par le site castral, le village s'installe finalement au pied occidental de l'éperon occidental, à environ 250 mètres du site castral. Cette disposition en deux pôles concorde avec un acte de 1180, où Barret est désigné comme « lo castel e la villa » (M.-P. Estienne, 2004)

Le quartier du Génisseau, dominé par le site castral de Barret-de-Lioure. Vue prise de l'est.Le quartier du Génisseau, dominé par le site castral de Barret-de-Lioure. Vue prise de l'est. Site castral de Barret-de-Lioure. Plate-forme orientale, vue prise du nord-est.Site castral de Barret-de-Lioure. Plate-forme orientale, vue prise du nord-est.

Le village de Barret-de-Lioure et le quartier du Terron, en 1890. Vue prise du nord-ouest (photographie noir et blanc, Saint-Marcel Eysseric).Le village de Barret-de-Lioure et le quartier du Terron, en 1890. Vue prise du nord-ouest (photographie noir et blanc, Saint-Marcel Eysseric).Village de Barret-de-Lioure. Vue d'ensemble prise du nord-ouest.Village de Barret-de-Lioure. Vue d'ensemble prise du nord-ouest.

Un village fortifié

Au cours du 14e siècle ou au début du 15e siècle, époque à laquelle de nombreuses agglomérations ont été fortifiées, le village se dote d'une enceinte maçonnée. Il ne subsiste aujourd'hui qu'une partie du tronçon nord, constitué de maisons-rempart accolées en enfilade, avec une maçonnerie nord (côté extérieur du village) d'une épaisseur d'environ 120 cm, en petit moellon parfois équarri. On note la présence de quelques partie d'assises en appareil oblique. Ce tronçon nord conserve une porte, formant un passage couvert d'une voûte, qui est nommée « portail haut » dans les documents d'état civil du 19e siècle, et elle était accompagnée d'une autre porte côté ouest, sur la route de Montbrun, nommée « plus bas portail », ainsi que d'une probable porte sur le chemin de Génisseau. L'existence d'un tronçon sud de ce rempart est attestée par ces mêmes actes d'état civil , qui nomment un quartier « du Barri ».

Le village de Barret-de-Lioure, dans les années 1900. Vue prise du nord (carte postale, 1er quart 20e siècle).Le village de Barret-de-Lioure, dans les années 1900. Vue prise du nord (carte postale, 1er quart 20e siècle). Passage couvert du "Haut Portail", vue de volume prise du nord.Passage couvert du "Haut Portail", vue de volume prise du nord.

Sur la base du cadastre de 1788, I. Magnaudeix (2015) relève, outre la désignation du « Rempard », le toponyme « Ravelin » situé près du chemin de la fontaine, terme désignant « un ouvrage de fortification en demi-lune », qui correspond à la tour nord-ouest du rempart. Cet auteur relève également l'existence des deux portes, la « plus-basse » et la « plus-haute », cette dernière également appelée « Bachus ».

L'angle nord-ouest de la fortification est constituée par un grand bâtiment, datant probablement de la fin du 14e siècle ou du début du 15e siècle, qui prolonge l'enceinte des maisons-remparts et lui fourni une petite tour pleine hors-œuvre, semi-circulaire. Le parement de l'enceinte appartenant à ce bâtiment, que la tradition orale nomme « le Château », est beaucoup plus soigné que celui des maisons-rempart conservées. La construction de ce bâtiment pourrait correspondre à un délaissement du site castral du premier Moyen Âge, au profit d'un nouveau bâtiment au village (cf dossier sur la fortification d'agglomération : IA26000461).

La partie ouest du rempart du village.La partie ouest du rempart du village. La tour nord-ouest.La tour nord-ouest.

Cependant, A. Lacroix (1901), citant un acte de 1658, indique que « le seigneur habite une maison en face de l'église, donnant sur la place et la grand'rue et confrontant la maison de la Viguerie ». Il précise que « cette demeure existe encore » en 1901, « mais modifiée ou reconstruite au XVIIIe siècle », et que « d'après des titres plus récents, elle aurait été reliée au rempart du nord-est et par lui à la maison qui se trouve à gauche du village, en entrant par la porte de Montbrun ». Une viguerie se trouve alors sur la place de l'église et le village abrite environ 500 personnes. Cette description pourrait correspondre à l'ancienne maison de maître, manifestement datable de la seconde moitié du 18e siècle, dont la dernière façade ruinée tourne le dos au pignon de l'église.

L'explication à ces deux résidences seigneuriales réside peut-être dans le partage du fief en co-seigneurie, en 1620, situation qui a pu entraîner l'édification d'un nouveau siège de pouvoir et de résidence.

Par ailleurs, il faut encore mentionner l'existence d'un autre « quartier du Château », mentionné dans les actes du 19e siècle, situé au sud-est de l'église (G. Picron, 2007), même si cette appellation peut simplement indiquer le départ du sentier menant à l'ancien site castral. Le village de Barret-de-Lioure, dans les années 1930. La grande maison au centre du cliché correspond très probablement la « maison du seigneur », citée par A. Lacroix en 1901 (photographie noir et blanc).Le village de Barret-de-Lioure, dans les années 1930. La grande maison au centre du cliché correspond très probablement la « maison du seigneur », citée par A. Lacroix en 1901 (photographie noir et blanc).

Quartiers et aménagements spécifiques

La présence d'un « Hopital » au village est mentionnée dans les documents cadastraux et d'état civil. Sur le cadastre de 1813, il correspond à un petit bâtiment (26 m² au sol ; parcelle B2 858), mentionné à l'état des sections de 1824 comme « hopital maison », appartenant à la commune de Barret. I. Magnaudeix (2015) précise que le terme « hopital » indique une maison d'hospitalité à l'époque médiévale, puis un asile pour les voyageurs aux époques moderne et contemporaine. G. Picron (2004) suppose que ce bâtiment devait servir à « soigner les personnes contagieuses, les orphelins ou les personnes sans famille », et il précise que le registre communal des décès renseigne des mortalités dans l’« hôpital » au moins jusqu’en 1872 ».

On notera également l'existence d'un petit quartier de la « Juiverie », situé à l'ouest du « portail haut », indiquant un probable ghetto, et donc une certaine spécialisation des quartiers urbains.

Les cadastres de 1788 et de 1813-1824

Le dépouillement du cadastre de 1788, effectué par G. Picron (2016), montre que le village, contenu dans ses remparts, est alors constitué de 56 maisons complétées par huit passages couverts (appelés « soustets »). Une petite vingtaine de bâtiments sont en multipropriété : « écurie », « grenier » à foin ou « chambre ». Les maisons sont adossées à une forte pente, et près de la moitié d'entre elles possèdent alors un « pontin » ou « pountis », escalier de distribution extérieur permettant l'accès à un rez-de-chaussée surélevé ou à un étage. Quelques bâtiments sont désignés comme « cazal » (ruine), montrant déjà un début d'abandon. Une citerne est installée dans l'enceinte du village, et un four à pain collectif est situé à l'extérieur du village.

Le cadastre de 1813-1824 montre les trois portes d'enceinte, avec leur passage couvert. Cinq autres passages couverts existent dans le village, et leur partie supérieure, généralement habitable, est nommée « le dessus de la rue ». Ce document indique un « four » à pain privé, situé à l'extérieur du village, le long du chemin menant au Terron. A l'intérieur de l'enceinte, tous les bâtiments sont mentionnés comme « maison ».

Outre l'« hopital » déjà mentionné plus haut (B2 858) et l'église (B2 562), on relève un « plaçage » appartenant à « La Commune », situé au niveau de l'enceinte sud (B2 846), ainsi qu'une « maison » (B2 818) qui correspond au presbytère (appelé « maison curiale » sur d'autres actes de cette époque), et un premier étage d'une autre maison (B2 885) servant probablement de maison commune.

Ce cadastre montre également une forte multipropriété pour les maisons du village. Ainsi, 29 bâtiments, soit un tiers des maisons intra-muros, sont partagés entre deux propriétaires (trois-quarts des cas) ou trois propriétaires (un quart des cas). Le plus souvent, l'un possède un « rez-de-chaussée » parfois accompagné d'un « premier » étage, et l'autre « le surplus ». Sont également mentionnées des parties de bâtiments : « écurie », « cave », « galetas », « grenier à foin », etc., et ces pièces sont parfois elles-même l'objet d'une copropriété. On note même la présence d'un « escalier » extérieur, commun à deux propriétaires, qui fait l'objet d'une petite parcelle de 4 m² : l'un possédant « le dessous de l'escalier » et l'autre « le dessus ».

Dynamique urbaine du 18e siècle au 20e siècle

Les photos anciennes du village attestent d'une manifeste et importante réfection du bâti au cours de la seconde moitié du 18e siècle, avec des façades de maisons pourvues de fréquents encadrements en arc segmentaire.

Le village de Barret-de-Lioure, dans les années 1920 (?). Vue prise de l'est (photographie noir et blanc).Le village de Barret-de-Lioure, dans les années 1920 (?). Vue prise de l'est (photographie noir et blanc). Maisons du village de Barret-de-Lioure, dans les années 1960 (photographie noir et blanc).Maisons du village de Barret-de-Lioure, dans les années 1960 (photographie noir et blanc).

Au cours du 19e siècle, la physionomie du village continue d'évoluer. La lecture des documents cadastraux (matrice, table des mutations, etc.) renseigne sur de nombreuses démolition, reconstruction et/ou changement d'affectation des bâtiments. Ainsi, entre 1826 et 1879, seulement trois bâtiments sont détruits et non reconstruits, mais en revanche huit bâtiments sont déclarés comme « construction neuve », remplaçant des constructions déjà existantes, et deux font l'objet d'extensions.

Une petite dizaine de bâtiments font l'objet d'un changement d'affectation, passant de « maison » à « grenier à foin » ou « bâtiment rural ». Dans deux cas, cette mutation précède une reconstruction à neuf. Un seul bâtiment (qui pourrait correspondre à la résidence seigneuriale mentionnée au 17e siècle) fait l'objet d'une mutation de « bâtiment rural » vers une « maison ».

A la fin du 19e siècle, une brèche est ouverte dans l'enceinte, au niveau de l'ancien quartier de la Juiverie. Ce passage sera pérennisé au début du 20e siècle et fournit à l'heure actuelle l'accès automobile au centre du village. L'existence d'un tilleul « de la Liberté », placé devant l'église, est mentionnée dès 1841.

En 1851, date du maximum démographique, le village abrite 310 habitants, contre 297 habitants dispersés dans les campagnes. Jusqu'en 1872, le village a accueilli la majorité de la population, date à laquelle onze maisons inhabitées sont mentionnées au village, présageant du futur abandon total.

A partir du début du 20e siècle, peu à peu désertées, les maisons du village tombent en ruine et leurs matériaux sont pillés. L'église a été classée Monument Historique en 1926. Cependant, très ruinée, elle a été entièrement rebâtie au cours des années 1950 par des bénévoles belges (étudiants et religieux), et elle a finalement été déclassée en 2016 (voir IA26000500). A partir des années 1950-1960, les maisons encore debout sont restaurées, voire entièrement reconstruites.

Le village de Barret-de-Lioure, dans les années 1950. Vue prise du nord-ouest (carte postale, milieu 20e siècle).Le village de Barret-de-Lioure, dans les années 1950. Vue prise du nord-ouest (carte postale, milieu 20e siècle). Le village de Barret-de-Lioure, vers 1959-1960. Vue aérienne prise du nord-ouest (carte postale, 3e quart 20e siècle).Le village de Barret-de-Lioure, vers 1959-1960. Vue aérienne prise du nord-ouest (carte postale, 3e quart 20e siècle).

L'origine du village de Barret-de-Lioure semble remonter au début du Moyen Âge. L'enceinte formée de maisons-rempart, ne parait pas antérieures au 14e siècle ou au début du 15e siècle. La fortification qui occupe l'angle nord-ouest de l'enceinte date de cette même époque.

Progressivement abandonné à partir de la seconde moitié du 19e siècle, il est aujourd'hui très ruiné. Près de 90 bâtiments y sont mentionnés au début du 19e siècle alors que seulement une petite quinzaine subsistent à l'heure actuelle, dont la moitié ont été partiellement ou totalement reconstruite dans la seconde moitié du 20e siècle. L'église a été entièrement rebâtie dans les années 1950.

  • Période(s)
    • Principale : Moyen Age , (incertitude)
    • Principale : Temps modernes
    • Principale : 18e siècle
    • Principale : 19e siècle
    • Secondaire : 20e siècle

Le village de Barret-de-Lioure est un village perché, fortifié par une enceinte de maisons-rempart complétée par un ouvrage défensif au nord-ouest, qui possède les caractéristiques des petites unités urbaines de Provence : présence de l'église et d'une place centrale, d'un hôpital, d'un ghetto juif, etc.

  • Statut de la propriété

Documents d'archives

  • AD Drôme. série E Dépôt : 15-2 - Cadastre de Barret-de-Lioure, 1788, 131 fol.

    AD Drôme : E DEPOT 15-9
  • AD Drôme. série 3 P : 3276. Etat des sections du cadastre de Barret-de-Lioure, 1824.

    AD Drôme : 3 P 176
    Section B.

Bibliographie

  • ESTIENNE, Marie-Pierre. Châteaux, villages, terroirs en Baronnies, Xe-XVe siècle. Publications de l'Université de Provence, 2004.

  • LACROIX, A. Histoire de l'arrondissement de Nyons. Nyons : Ed Chantemerle, 1973 (réédition de l'ouvrage de 1901).

  • MAGNAUDEIX, Irène. Barret-de-Lioure, toponymie. Parc naturel régional des Baronnies provençales, Sahune, dactyl., 2015.

  • PICRON, Gilbert. La municipalité de Barret-de-Lioure de 1789 à nos jours. Comité des fêtes de Barret-de-Lioure, 2004.

  • PICRON, Gilbert. Barret-de-Lioure, histoire et habitants. Comité des fêtes de Barret-de-Lioure, 2006.

  • PICRON, Gilbert. Habitat et chemin, Barret-de-Lioure. Comité des fêtes de Barret-de-Lioure, 2007.

  • PICRON, Gilbert. Gens de Barret-de-Lioure. Comité des fêtes de Barret-de-Lioure, 2016.

Documents figurés

  • AD Drôme. série 3 P : 3276. Plan cadastral de la commune de Barret-de-Lioure, 1813.

    AD Drôme : 3 p 3276
    Section B2.
  • [Le village de Barret-de-Lioure et le quartier du Terron, en 1890. Vue prise du nord-ouest] / Saint-Marcel Eysseric (photographe). 1 photogr. pos. : tirage argentique n. et b. 4e quart 19e siècle (AD Alpes-de-Haute-Provence. 31F1 : 1409).

    AD Alpes-de-Haute-Provence : 31F1 : 1409
  • Barret de Lioure (Drôme) - Altitude 960 m. J. Brun et Cie, Carpentras Cliché Lestros, Barret-de-Lioure / Lesbros, Marius (abbé) (photographe). J. Brun et Cie (éditeur, imprimeur). 1 impr. photoméc. (carte postale) : 1er quart 20e siècle (Collection particulière).

    Collection particulière
  • Barret-de-Lioure (Drôme) - Vue générale Cliché Julien / Julien (photographe). 1 impr. photoméc. (carte postale) : 1er quart 20e siècle, a voyagé en 1914 (Collection particulière).

    Collection particulière
  • BARRET-de-LIOURE (Drôme) Altitude 960 m. - Bacchus - Le Portail Est Hôtel Richieu - Maison curiale Cliché Lesbros - Barret-de-Lioure / Lesbros, Marius (abbé) (photographe). 1 impr. photoméc. (carte postale) : 1er quart 20e siècle (Collection particulière).

    Collection particulière
  • [Le village de Barret-de-Lioure. Vue prise de l'est] / 1 photogr. pos. : tirage argentique n. et b. 1ère moitié 20e siècle (années 1920 ?) (Collection particulière).

    Collection particulière
  • [La probable "maison du seigneur" au village de Barret-de-Lioure, dans les années 1930] / 1 photogr. pos. : tirage argentique n. et b. 2e quart 20e siècle (Collection particulière).

    Collection particulière
  • Barret-de-Lioure (Drôme) - Vue générale / 1 impr. photoméc. (carte postale) : 2e quart 20e siècle (Collection particulière).

    Collection particulière
  • CIM [Le village de Barret-de-Lioure, dans les années 1950. Vue prise du nord-ouest] / CIM [Combier imprimeur à Mâcon] (éditeur, imprimeur). 1 impr. photoméc. coul. (carte postale). Milieu 20e siècle (AP Podevin).

    Collection particulière
  • [Le village de Barret-de-Lioure. Vue prise de l'est] / 1 photogr. pos. : tirage argentique n. et b. 3e quart 20e siècle (années 1960) (Collection particulière).

    Collection particulière
  • LA PIE SERVICE AERIEN [Le village de Barret-de-Lioure, vers 1959-1960. Vue aérienne prise du nord-ouest] Edition LAPIE – St-MAUR – 125, rue Garibaldi / Lapie (éditeur). 1 impr. photoméc. (carte postale) : N&B. 3e quart 20e siècle (collection particulière).

    Collection particulière
  • [L'entrée nord-est du village de Barret-de-Lioure, à la fin des années 1960. Vue prise du nord-est] / G. Augier (photographe) 1 photogr. pos. : tirage argentique n. et b. 3e quart 20e siècle (années 1960) (Collection particulière).

    Collection particulière
  • [Maisons du village de Barret-de-Lioure, dans les années 1960] / 1 photogr. pos. : tirage argentique n. et b. 3e quart 20e siècle (années 1960) (Collection particulière).

    Collection particulière
Date(s) d'enquête : 2016; Date(s) de rédaction : 2016
© Parc naturel régional des Baronnies provençales
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel