Dossier d’œuvre architecture IA63002628 | Réalisé par
Renaud-Morand Bénédicte (Contributeur)
Renaud-Morand Bénédicte

Conservatrice du patrimoine, chercheure de 1994 à 2023 au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel (Clermont-Ferrand).

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Lycée de Montferrand, actuellement lycée d’enseignement général et technologique Ambroise-Brugière
Œuvre recensée
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Auvergne-Rhône-Alpes
  • Commune Clermont-Ferrand
  • Adresse 44 rue des Planchettes
  • Cadastre 2017 MO 397
  • Dénominations
    lycée
  • Précision dénomination
    enseignement général et technologique
  • Appellations
    Ambroise Brugière
  • Parties constituantes non étudiées
    gymnase, stade, cour, cantine, immeuble

L'emplacement réservé pour le lycée, un terrain de plus de quatre hectares ayant appartenu aux hospices de la ville, est situé au nord de Clermont-Ferrand, le long de la route nationale menant à Paris ("la sortie naturelle de la Limagne vers les plaines du Bassin parisien" comme l'a qualifiée l'urbaniste André Pointet chargé du Schéma de structure de Clermont-Ferrand1).

Entre le coeur de Clermont et le lycée Ambroise-Brugière se trouve l'ancien centre de Montferrand, d'où l'appellation primitive du lycée ("de Montferrand"), et d'où l'ambition du maire, en faisant ce choix, de stimuler le commerce et l'activité de cet ancien centre. En outre, les villes de Clermont et de Grenoble partageant cette caractéristique du plus grand nombre de permis de construire déposés dans l'année 19582, une ZUP est programmée de part et d'autre de cette route, devant accueillir plus de 2000 logements, au nord de l'emplacement réservé pour le lycée. Il s'agirait, selon les conclusions du commissariat général du Plan d'équipement et de la productivité, rapportées par le quotidien La Montagne, de prévoir une "extension harmonieuse" de ce secteur pour les douze ans à venir3. L'éloignement du centre, en revanche, devra être compensé par une desserte de cars.

La limite constituée par la route nationale, "zone bruyante", a conduit l'architecte à en "éloigner au maximum les bâtiments [...] groupés à l'angle le plus élevé du terrain" et à disposer "une zone de verdure d'une vingtaine de mètres" entre eux et la route. Sur cette zone prend place le plateau sportif. L'avantage de cette solution est de dégager "les prospects [les gabarits,] et leurs volumes différents brisent la monotonie du paysage de banlieue environnant". Autrement dit, le lycée joue et assume un rôle de repère dans le paysage urbain. De plus, en s'imposant dans le quartier, les bâtiments bénéficient d'une "vue dégagée à l'ouest et au sud"4. Autant, au 19e siècle, les élèves devaient restés "cloîtrés", tout en bénéficiant d'air et d'ensoleillement, autant au 20e siècle l'ouverture sur la ville et sur le monde est recherchée (cela passe par des grillages transparents comme par des vues panoramiques).

Ajoutons que du point de vue de son inscription urbaine, l'édifice présente la particularité d'une tour d'escalier implantée dans l'angle nord-ouest de la parcelle. Cette tour est d'ailleurs mal documentée (elle n'apparaît pas sur les plans d'origine de G. Noël mais elle semble contemporaine de l'ensemble de la construction). Il s'agit d'une originalité que l'on serait tenté de rapprocher du gymnase du lycée contemporain d'Ambert construit dans le pan coupé de la parcelle. Cette façon de ne traiter l'angle de rues qu'accessoirement (une tour d'escalier ajoutée dans un cas, un gymnase imposé dans l'autre) est bien significative d'une époque où l'implantation des édifices en général et des équipements publics en particulier, se désolidarise du tracé viaire. En opérant un raccourci, un siècle auparavant, Charles Le Coeur, par exemple, disposait l'entrée du lycée de garçons dans l'angle de deux rues de Montluçon, disposant comme en majesté l'édifice dans un carrefour de la ville. L'orientation des bâtiments, à Ambroise-Brugière, prend le dessus sur le "branchement" au réseau viaire de la ville ou sur une manière d'articuler démonstrativement les formes urbaines, et c'est ce que l'inspecteur d'académie met au crédit du projet : "les architectes tirent un heureux parti du terrain qui avait été retenu et résolvent adroitement les problèmes d'orientation des différents bâtiments en fonction de leur usage"5.

1"Schéma de structure" comportant plusieurs options pour la ville. Version provisoire, octobre 1964, version définitive, mars 1965. AD Puy-de-Dôme. 1709 W 334 et AC Clermont-Ferrand. 881 W 2.2AC Clermont-Ferrand. 884 W 3.3"Un lycée mixte va être construit à Montferrand". La Montagne, 11 août 1962. Le préfet du Puy-de-Dôme et le sénateur-maire G. Montpied auraient mandaté ledit commissariat sur cette question en 1960.4Rapport justificatif des dispositions proposées et description sommaire, par G. Noël, sans date (AC Clermont-Ferrand. 496 W 2/2-2).5Avis de l'inspecteur d'académie sur le projet, 11 mai 1960 (AC Clermont-Ferrand. 496 W 2/2-2).

Le 16 janvier 1958, l'inspecteur général de l'académie de Clermont-Ferrand alerte sur l'urgence à créer une annexe mixte de premier cycle aux lycées du centre-ville. En fait, l'année précédente, le conseil municipal avait voté en faveur d'une réserve d'emplacement pour le troisième lycée de la ville sur le PUD (Plan d'urbanisme directeur), dans le secteur de Montferrand.

Le 28 novembre 1959, une première étude d'avant-projet sort de l'agence de l'architecte Georges Noël. Elle est reprise le 8 janvier 1960. A l'analyse des deux documents, on voit que les modifications essentielles portent sur le regroupement des bâtiments d'internat (filles et garçons), sur le changement d'orientation du bâtiment des logements de fonction (de nord-sud, le bâtiment est orienté comme les bâtiments d'internat est-ouest), le gymnase est alors déporté dans l'angle sud-est du fonds.

Le rapport justificatif du projet définitif et sa description sommaire sont datés du 29 avril 1960. Un dossier d'exécution (28 pans) sort le 1er mars 1961. L'appel d'offres aux entrepreneurs est lancé le 9 décembre de la même année.

La presse relate que les travaux de terrassement de la parcelle (acquise des hospices) commencent le 2 octobre 1962. Les travaux de la première tranche durent un an et demi. Le lycée est ouvert aux élèves le 21 septembre 1964.

Une seconde tranche concerne les gymnases : les plans de G. Noël également datent du 18 mai 1967 (modifiés le 22 septembre). Ils sont ouverts aux élèves en 1969.

En 1970, l'architecte meurt (A. Verdier, l'architecte d'opération, meurt en 1971) et son fils, Georges Gilbert Noël prend sa suite, sous la forme d'un avenant à la convention signée à l'origine.

La maquette de l'oeuvre du 1% artistique du lycée est présentée en commission du 26 septembre 1973. Elle suit les recommandations de G. Noël-fils, édictées dans une note du 17 mai 1972 : sur une pelouse située vers l'entrée principale de l'établissement, une sculpture de Mario Di Teana, en acier corten, présentera "des formes basses et très allongées s'harmonisant avec la façade [du bâtiment d'externat]". Elle est installée en 1975, et en place encore en 2019.

Entre 2003et 2008, divers aménagements sont réalisés, dont la restructuration du bâtiment d'externat.

En 2018 , le bâtiment des logements de fonction est démoli. Il est prévu de démolir également les bâtiments d'internat (en début d'année 2023, ils sont encore en place).

  • Période(s)
    • Principale : 3e quart 20e siècle
    • Secondaire : 1er quart 21e siècle
    • Principale : 1er quart 21e siècle , (détruit)
  • Dates
    • 1961, daté par source
    • 1967, daté par source
    • 2003, daté par travaux historiques
    • 2008, daté par travaux historiques
    • 2018, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Noël Georges Marie
      Noël Georges Marie

      D'après l'ouvrage : Georges G. Noël. Georges Noël.Georges G. Noël, Paris/Chiasso (Suisse) : éd. Score S.A., s.d.

      Né le 1er juillet 1907 à Fécamp

      Élève de M. Laloux et de M. Lemaresquier à l'ENSBA de Paris

      Diplômé par le gouvernement en 1934

      1er Second Grand prix de Rome en 1936

      1er Grand prix de Rome en 1937

      Pensionnaire de l'Académie de France à Rome en 1938

      Architecte en chef des Bâtiments civils et des Palais nationaux

      Architecte des Postes et télécommunications

      Mort le 31 mai 1970

      En termes de lycées, auteur :

      du lycée Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand (1953-1959), et gymnases (1965-1969),

      de l'extension du lycée de jeunes filles Jeanne-d'Arc de Clermont-Ferrand (1960-1970 ; architecte adjoint : M. Depailler),

      du lycée de jeunes filles du Puy-en-Velay, devenu lycée Simone-Weil (1961-1963 ; architecte adjoint : M. Bachelier), ainsi que du "nouveau lycée de jeunes filles" (un externat), réaffecté en collège avant même sa première mise en service (1965-1968),

      du lycée Ambroise-Brugière de Clermont-Ferrand (1961-1964), et gymnases (1967-1969 ; architecte associé : André Verdier),

      du lycée La Fayette de Brioude (1965-1967), et gymnases (1965-1967 ; architecte associé Jean-Louis Douat),

      du CET de jeunes filles Sidoine-Apollinaire (1967-1971), devenu lycée Sidoine-Apollinaire (avec le CES, par son fils), de Clermont-Ferrand.

      Contact ayant été pris avec sa veuve en mars 2022, il est avéré qu'aucun document de l'agence n'a été conservé concernant les projets auvergnats de Georges Noël.

      Apparaît comme maître d'oeuvre sur un fascicule réalisé par "Architecture et Construction", édité en décembre 1976, présentant "202 logements HLM locatifs réalisés avec modèles tridimensionnels industrialisés en béton de procédé VARIEL, à Nogent-sur-Oise" (un de ces fascicules est conservé au Centre des archives de l'architecture contemporaine, sous la cote 133 ifa 198/7.

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      architecte des Bâtiments civils attribution par source
    • Auteur :
      Verdier André
      Verdier André

      Architecte DPLG, domicilié à Clermont-Ferrand, 6, rue des Prés-Bas (en 1951).

      Né à Chamalières en 1906, mort à Clermont-Ferrand en 1971. Etudes d’architecte à l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, diplômé en novembre 1934. En 1936, il dessine les plans de la villa sise au 6 rue des Prés-Bas sur un terrain appartenant à Paul Verdier (entreprise de matériaux de construction, dont le site se trouve sur une parcelle voisine, au 42-46 boulevard Cote-Blatin). Le rez-de-chaussée comprend un studio qui pourrait être affecté au bureau de l'architecte. En 1949, les plans d'extension de cette villa sont encore plus explicites puisqu'ils comprennent une salle d'attente et un bureau de dessinateur. Cet édifice a été détruit ou profondément remanié dans la seconde moitié des années 1970.

      Il est l'auteur d'un maison d'habitation au 74 boulevard Lavoisier vers 1935, détruite vers 2007 pour laisser place à une résidence. La maison du 21 boulevard Jean-Jaurès, dont il livre les plans en 1938, est toujours en élévation et vaut qu'on s'y arrête. En 1953, il s'associe à Antoine Fustier pour l'édification de la barre d'immeuble du 1-7 avenue d'Italie. Probablement issu de la famille d'industriels Verdier (fabriquant de matériaux de construction), il dresse les plans de la résidence Hélios, en 1966, à l'emplacement du siège de l'entreprise, au 42-46 boulevard Cote-Blatin, cette dernière déménageant en 1968 dans la zone industrielle du Brézet.

      Notamment :

      Auteur, en 1944, d'un plan d'aménagement de la place de Jaude de Clermont-Ferrand impliquant un déplacement de l'hôtel de ville. Voir l'article en ligne : "Un projet d'aménagement urbain méconnu (Clermont-Ferrand, 1944)". www.auvergne-inventaire.fr/Les-inventaires/Villes-en-Auvergne

      Le Plan d'aménagement du Mont-Dore (63) de 1947 est présenté au conseil municipal de la station le 20 juin de cette année-là, par "M. Verdier, architecte".

      Auteur, entre 1951 et 1956, des plans pour le "Centre d'apprentissage féminin de Montferrand", devenu lycée professionnel Marie-Curie (Clermont-Ferrand, 63).

      Auteur, avec les sculpteurs Raymond Coulon et Marius Petit, du monument à la gloire des combattants et des victimes de la Guerre, à Clermont-Ferrand : voir délibération du conseil municipal du 1er février 1952 (par laquelle la municipalité fixe à 10°% du prix des cartes postales dudit monument par la Librairie Hachette, éditrice, les droits que la ville percevra, ces droits lui ayant été cédés par les artistes).

      Il est associé, comme architecte d'opération, à Georges Noël, pour la construction du lycée Ambroise-Brugière de Clermont-Ferrand, 1962-1964, puis 1967-1969 (le prénom Jean qui lui est donné dans le rapport justificatif des dispositions proposées du ministère de l'Education nationale serait une erreur). Associé à l'architecte J. Pérol pour le projet d'agrandissement du lycée de Saint-Flour en 1967.

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      architecte attribution par source

D'après le descriptif sommaire daté du 29 avril 1960 (signé de G. Noël et A. Verdier) :

L'établissement est conçu pour recevoir 2000 élèves. Les fondations étaient assurés par des pieux de 6 m. Les mur du sous-sol sont en béton banché de 0, 30 d'épaisseur. Les murs des élévations et ossature sont construits avec des poteaux, poutres, planchers et escaliers en béton armé. Les façades sont constituées de murs-rideaux, et les allèges sont en panneaux métalliques. Les murs-pignons sont élevés en béton banché, leur revêtement extérieur est en grès-cérame. Comme au lycée Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand, dont G. Noël est aussi l'architecte et dont le chantier est achevé en 1959, les dispositions suivent le principe d'une trame de 1,75 m. La couverture était décrite à faible pente, en "aluminium manganèse type Conval" et les sols des circulations couverts de mosaïque de carreaux en grès cérame 5 x 5.

Il convient de rectifier, après observation sur place : la couverture est une terrasse bitumée (avec gravier). Et contrairement à ce qui est indiqué dans ce devis, les menuiseries ne sont pas métalliques mais en bois. S'agit-il de transformations postérieures au premier chantier ?

Par ailleurs, après analyse des plans du dossier d'exécution du 1er mars 1961, la tour d'escalier située au nord-ouest de la parcelle a été ajoutée : elle figure (mais sous une forme simplifiée ?) sur le plan destiné à situer les gymnases, daté de 1967. Sur le plan de 1961 également un gymnase avait été prévu (en F) sous une forme (évoquant un mastaba) et à un emplacement non retenus. Ce sont ceux dessinés sur le plan de 1967 qui ont été réalisés (deux gymnases accolés de 40 m x 20 m), à l'angle sud-est de la parcelle.

  • Murs
    • béton béton armé carrelage mural en céramique
  • Toits
    bitume
  • Plans
    ensemble concerté
  • Étages
    6 étages carrés, sous-sol, 4 étages carrés
  • Couvrements
    • dalle de béton, en béton armé
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • terrasse
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur : escalier tournant à retours sans jour cage ouverte
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours sans jour
    • escalier de distribution extérieur : escalier tournant à retours avec jour cage ouverte
  • Autres organes de circulation
    ascenseur
  • Énergies
  • Techniques
  • Statut de la propriété
    propriété de la région

Dossier ponctuel d'urgence, avant restructuration et démolition partielle.

Documents d'archives

  • AC Clermont-Ferrand. 496 W 2/2. Lycée Ambroise-Brugière, 1957-1960.

    Notamment : courrier ministère Education nationale au maire, du 16/1/1958 (urgence de créer une annexe mixte du 1er cycle dans la région de Montferrand, et en vue d'une éventuelle transformation en lycée, il conviendra d'acquérir un terrain dont la surface ne saurait être inférieure à 6 ha...veuillez proposer à mon agrément le nom d'un architecte), p-v du comité départemental des constructions scolaires, 5/2/1959, courrier du maire au directeur de l'équipement scolaire, du 21/7/1959 (terrain des hospices réservé), courrier du maire à G. Noël, du 9/2/1960 (l'ensemble qui nous semble judicieux, bien groupé et commode de surveillance), avis de l'inspection académique, du 11/5/1960 (les architectes tirent un heureux parti du terrain retenu), arrêté ministériel portant création d'un lycée d'Etat (JO du 11/3/1965).

    Dossier concernant la commande de l'oeuvre au titre du 1% artistique (notamment, note de G. G. Noël du 17 mai 1972).

    AC Clermont-Ferrand : 496 W 2/2
  • Archives communales de Clermont-Ferrand. 496 W 2/1. Lycée Ambroise-Brugière. Documentation variée (notamment : construction des gymnases, malfaçon peinture gymnases, 1967-1974 ; aménagement d'un CDI, 1974 ; p-v conseil d'administration du 10 mai 1977).

    AC Clermont-Ferrand : 496 W 2/1
  • Bailly, Julien. La préfabrication dans l'architecture française. Quel avenir pour les façades préfabriquées en béton des Trente Glorieuses ? Mémoire des techniques de l'architecture du patrimoine habité urbain et rural, ENSA Clermont-Ferrand, dir. Brigitte Floret et Mathilde Lavenu, 2 vol., avril-mai 2015.

    Ecole nationale supérieure d'Architecture de Clermont-Ferrand
    p. 41-47

Bibliographie

  • Centre de documentation du service régional de l'Inventaire général. Georges Noël. Par Georges G. Noël, Paris/Chiasso (Suisse) : éd. SCORE S.A., s.d. [Plaquette de présentation des travaux de l'agence ; 300 exemplaires éditées "peu après le décès [du] père, survenu en 1970"].

    Envoi du fils, Georges Gilbert Noël, au service, le 4 octobre 2007.

    a) 1941 à 1967 : oeuvres de G. Noël

    b) 1967 à 1970 : oeuvres de G. Noël en collaboration avec son fils

    c) 1970 à 1972 : oeuvres de G. G. Noël

    d) additif dactylographié pour 1973

    En matière de lycées, G. Noël-père (Georges Marie), auteur de :

    Lycée Blaise-Pascal, à Clermont-Ferrand (1953-1959).

    Collège moderne technique de jeunes filles, devenu lycée Simone-Weil, au Puy-en-Velay (1961-1963).

    Lycée de Montferrand, dit lycée Ambroise-Brugière, à Clermont-Ferrand (1961-1964).

    Lycée municipal féminin et lycée classique mixte, dit lycée La Fayette, à Brioude (1965-1967).

    G. Noël-fils (Georges Gilbert), co-auteur de :

    CES Sidoine-Apollinaire, devenu lycée Sidoine-Apollinaire (avec le CET), à Clermont-Ferrand (1967-1971). Architectes associés : Lanquette et Espinasse.

    Région Auvergne-Rhône-Alpes, SRI, site de Clermont : ARC. 544
    non paginé ; une double-page de photos documente le lycée : une vue générale depuis l'est, une vue sur "l'administration, logements de direction et internats", une vue sur "cuisine et réfectoires" et un détail d'escalier extérieur

Documents figurés

  • Archives communales de Clermont-Ferrand. 496 W 1. Lycée de Montferrand. Avant-projet du 31/1/1960, projet d'exécution du 1er mars 1961.

    AC Clermont-Ferrand : 496 W 1
  • A Lycée Ambroise-Brugière. Bureau de l'intendance. Dossier non coté. Lycée d'enseignement général et technologique Ambroise-Brugière [et cité ouvrière Michelin de Grandsaigne], carte postale couleur, s.d. [après 1971].

    Au dos de la carte : Edition (c) Flying Camera- [n°tél] 71420 Genelard-n.6334_Photo Compère, [n°tél] Clermont-Ferrand

    Et aussi : Lycée A.Brugière [...] : Baccalauréats ABCDG, Diplôme préparatoire aux études comptables et financières, Laboratoire de langues, Salle audiovisuelle, Salles d'informatique, Internats garçons et filles, Meilleurs résultats sportifs de l'Académie.

    A Lycée Ambroise-Brugière Clermont-Ferrand : Bureau de l'intendance
Date(s) d'enquête : 2020; Date(s) de rédaction : 2023
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Renaud-Morand Bénédicte
Renaud-Morand Bénédicte

Conservatrice du patrimoine, chercheure de 1994 à 2023 au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel (Clermont-Ferrand).

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