Dossier d’œuvre architecture IA63002721 | Réalisé par
Renaud-Morand Bénédicte (Contributeur)
Renaud-Morand Bénédicte

Conservatrice du patrimoine, chercheure de 1994 à 2023 au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel (Clermont-Ferrand).

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  • enquête thématique régionale, Patrimoine des lycées
Collège communal, puis collège mixte classique et moderne, puis lycée municipal, puis lycée nationalisé, actuellement lycée polyvalent Blaise-Pascal d'Ambert
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Auvergne-Rhône-Alpes - Ambert
  • Commune Ambert
  • Adresse 23 rue Blaise-Pascal
  • Cadastre 1836 E 1526 Section dite de Combry. Levée par Dabzol, géomètre du cadastre. Terminée le 5 août 1836.  ; 2017 AN 94
  • Dénominations
    lycée
  • Appellations
    Blaise Pascal
  • Parties constituantes non étudiées
    cour, gymnase

En 2020, lors de notre passage à Ambert, les archives communales n'étaient pas classées, ne permettant aucune consultation. La documentation dont il est rendu compte ici provient des Archives nationales (fonds du Conseil général des bâtiments de France) et des Archives départementales du Puy-de-Dôme (fonds du rectorat et fonds de l'architecte André-Vital Blanc).

D'après un article paru dans La Montagne le 7 novembre 1966 à l'occasion de l'inauguration des nouveaux locaux, le "collège communal d'Ambert aurait été créé le 12 vendémiaire de l'an XI (octobre 1804)". À cette date, le terme de "collège communal" renvoie bien à ce que l'on dénommait et dénomme encore aujourd'hui "lycée", à la différence près que l'État n'ayant pas les moyens de garantir la totalité de l'enseignement secondaire, les municipalités avaient la possibilité d'administrer des collèges (le titre de "lycée" ne leur était pas accordé) dont les enseignants étaient nommés par le ministère et le plan d'étude le même que celui des lycées (voir Solenn Huitric et Alain Prost sur cette question générale). Comme l'écrit Anne-Marie Châtelet (dans "Imaginer un lycée, un exercice aux Beaux-Arts", In situ, n°44, [en ligne]), il est "d'autant plus regrettable de les dissocier qu'en matière architecturale les frontières sont plus perméables qu'en matière administrative".

Dans des documents datant de 1820 dans lesquels il est fait état de l'acquisition d'un "local destiné à l'établissement du collège de cette ville", acquisition grâce à laquelle "la commune serait dégrevée d'une dépense annuelle" correspondant au versement d'un loyer, on comprend qu'aucune construction spécifique ne lui a été encore consacrée mais on ne sait rien non plus de l'emplacement de l'institution dans la ville. Dans le nouveau local acquis, des travaux sont entrepris . Des réparations et aménagements sont régulièrement programmés (1830, 1848, 1859, 1904-1905... ), parmi lesquels le blanchiment des murs de façade et de la chapelle, un nouveau dortoir... En 1866, un devis d'un préau en pisé est à signaler, signé de l'architecte-voyer Vars. De gros travaux avaient été aussi entrepris (toiture en 1886, par l'architecte-voyer Derrode, reconstruction partielle entre 1898 et 1903, par l'architecte départemental B. Sauzet).

On note en particulier que d'après un extrait du Registre des délibérations du conseil municipal, en 1868, un devis avait été également donné par Vars d'une porte à "l'entrée principale du collège" donnant sur un "chemin d'intérêt communal", et à moins que des jalons nous manquent, il semblerait que la porte dont il s'agit soit bien celle que l'on distingue sur une petite gravure utilisée dans un courrier en 1905, puis sur un dessin de 1932 de la façade sur rue, enfin sur une photographie que l'on peut dater entre 1938 et 1957, et donc que l'emplacement du local acquis en 1820 puis modifié et agrandi, est celui sur lequel se situe le lycée actuel.

D'après l'Enquête sur l'enseignement secondaire pour l'année 1899 destinée aux députés, le collège communal d'Ambert se distinguait par une croissance forte de ses effectifs depuis 1894. Dans le même rapport, en matière d'écoles secondaires situées dans le département du Puy-de-Dôme, on voit qu'Ambert partage avec Issoire, Riom et Thiers, d'avoir un collège communal, quand Clermont-Ferrand est l'unique à disposer d'un lycée. Ambert et Clermont sont les seules à avoir, en plus, une "école primaire supérieure" (qui annonce en quelque sorte la polyvalence du lycée actuel de la première).

D'après un extrait du registre des délibérations communales, un bâtiment du collège communal d'Ambert est démoli en 1931, puis reconstruit "et pour remédier au chômage, une somme sera prélevée sur le plan des grands travaux contre le chômage". Des plans sont produits par l'architecte Béal, datés du 15 novembre 1932 (conservés aux archives départementales du Puy-de-Dôme en 33 Fi 3/106-107-108), indiquant des maçonneries conservées et des maçonneries à construire, où l'on comprend que c'est le corps de bâtiment sur rue qui est reconstruit (il abrite les logements de fonction) : on en a une représentation sur deux dessins (des façades sur rue et sur cour) et sur un cliché conservé dans le dossier de la reconstruction postérieure, conservé aux archives nationales.

Par arrêté du 20 février 1957, André-Vital Blanc est désigné par le MEN (ministère de l'Education nationale) afin de concevoir une "extension du collège" (désignation confirmée par un courrier daté du 26 juin 1964). Les plans et le texte de présentation que l'architecte produit le 12 février 1958 sont particulièrement éclairants. Mais il semblerait que le budget ne puisse pas être dégagé aussitôt. Puis lorsque le projet est ré-actualisé en 1961 (pour figurer au budget de 1963 seulement), le conseil municipal fait le choix de laisser la maîtrise d'ouvrage à l'Etat (alors que le décret du 27 novembre 1962 lui donnait la possibilité d'en tenir le rôle), et réitère sa confiance à A-V. Blanc.

Dans le premier avant-projet une partie des bâtiments anciens étaient conservés, puis lors de la reprise (1963), il semblerait que l'idée retenue était de les raser. De même, l'avant-projet évolue sur le positionnement de l'entrée principale : elle devait se trouver dans l'angle sud-ouest de la parcelle, sous forme d'une rampe d'accès, et finalement, son emplacement reste le même qu'à l'origine : sur la rue Blaise-Pascal, et l'angle sud-ouest de la parcelle est occupé par le gymnase. Au 29 janvier 1965, les entreprises sont à nouveau consultées, sur les nouvelles bases : les bâtiments existants seront donc à remplacer. L'entreprise Barrat avait d'abord proposé un procédé traditionnel tandis que Delbigot, le concurrent, proposait du préfabriqué (procédé Barets), puis Barrat propose le procédé Costamagna, qui est retenu. Entre 1963 et 1965 est construite la grande barre orientée nord-sud, à l'extrême est du terrain, "sans interruption du fonctionnement du collège". Lors de la seconde tranche de travaux sont démolis les anciens bâtiments et élevés le bâtiment aligné sur la rue Blaise-Pascal contenant les services de l'administration et les logements de fonction, la barre située au nord et le gymnase. La densification du fond s'accentue ainsi avec l'implantation d'un gymnase à l'angle sud-ouest de la parcelle, empiétant copieusement sur le jardin.

Sur les plans de 1958, l'établissement est dénommé "collège mixte", puis "collège mixte classique et moderne" sur une élévation de 1961, et "lycée municipal mixte" en 1962, finalement "lycée nationalisé mixte Blaise-Pascal" en 1985, au moment de la mise à disposition des bâtiments à la région Auvergne.

Hormis l'inscription "COLLÈGE COMMUNAL" gravée, démontée de la porte d'entrée construite en 1868, ainsi que son amortissement en forme de statue en pied de Blaise Pascal, plus rien ne semble donc subsister du collège communal. Ces deux éléments font l'objet d'une mise en valeur sur et au pied d'un socle au sommet d'un premier emmarchement menant au lycée. Par ailleurs, le fonds semble avoir été agrandi de manière à construire des bâtiments d'ateliers au nord, en coeur d'îlot (correspondant à un centre de formation des apprentis). Ces bâtiments ne sont pas visibles depuis l'espace public, nous ne les avons donc pas pris en compte dans ce dossier problématisé autour de la question de l'inscription urbaine de l'établissement.

La consultation des archives régionales reste à faire si l'on voulait documenter les travaux entrepris depuis 1985, date de la mise à disposition de la Région. Les réhabilitations et restructurations du 21e siècle (2003, 2009... jusqu'en 2013) semblent avoir concerné principalement l'isolation acoustique et thermique. Un bâtiment a été intercalé entre le gymnase et la barre orientée nord-sud, en 2003 probablement.

  • Remplois
    • Remploi provenant de Commune : Ambert Adresse : 23 rue Blaise-Pascal
  • Période(s)
    • Principale : 3e quart 20e siècle , daté par source
    • Secondaire : 1ère moitié 21e siècle
  • Dates
    • 1963, daté par source
    • 2003, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Blanc André-Vital
      Blanc André-Vital

      Architecte DPLG, qualifié d'"ancien auditeur au conseil général des Bâtiments de France" le 20 février 1957 dans l'arrêté ministériel qui le désigne comme l'architecte de la construction du collège mixte d'Ambert et le coordinateur de l'aménagement des bâtiments existants. Qualifié d'architecte des Bâtiments civils et palais nationaux sur les plans de l'agrandissement du collège d'enseignement technique devenu lycée Roger-Claustres (1971-1972). Domicilié à Paris (au 110 rue Michel-Ange en 1954 ; au 26 rue Claude-Lorrain en 1971).

      En matière de lycées : auteur des plans du lycée municipal mixte, devenu lycée Blaise-Pascal d'Ambert, 1958-1965 (63), du centre d'apprentissage masculin devenu lycée professionnel Roger-Claustres de Clermont-Ferrand, 1954-1956 (en association avec Albéric Aubert) puis 1971-1972, et du lycée Jean-Monnet du Puy-en-Velay, 1960-1963.

      Un fonds de l'agence d'architecture Blanc a été déposé aux AD du Puy-de-Dôme. La famille Blanc serait-elle originaire de ce département ?

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Sauzet Barthélémy
      Sauzet Barthélémy

      Architecte départemental du Puy-de-Dôme (ancien élève de l'école des Beaux-Arts). Il dresse les plans de la villa du 50 avenue d'Italie - 29 avenue Albert-et-Elisabeth en 1897 (AC O216 686 12A). La villa sera remplacée par la construction de la Caisse régionale de la Sécurité Sociale (actuellement résidence) au cours de la seconde moitié du XXe siècle. Architecte départemental du Puy-de-Dôme, en 1898-1903 (cf. dossier sur le lycée municipal d'Ambert, AD 63, 2 O 1830 ; 33 Fi 3/28, 3/31).

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      architecte départemental attribution par source
    • Auteur :
      Béal
      Béal

      Architecte "EETP", domicilié à Ambert : chargé de l'agrandissement et de la transformation des bâtiments du collège municipal en 1932-1938. Voir plans en 33 Fi 106 et suivantes (AD 63).

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Vars Joseph ?
      Vars Joseph ?

      Architecte voyer de la ville d'Ambert ayant signé un devis pour le "mobilier classique" du collège communal en 1865 et un devis descriptif et estimatif pour un préau du même collège en 1866, ainsi qu'un devis pour une porte d'entrée principale au collège en 1868 (AD 63, 2 O 1830).

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      architecte voyer attribution par source

Le plan du lycée actuel peut être dit à cour centrale, cette cour ayant été constituée en quelque sorte après l'adjonction d'un bâtiment en 2003, fermant une composition irrégulière.

Il est composé essentiellement de deux grandes barres formant un angle presque droit : une barre orientée nord-sud à l'est de la parcelle, de deux étages-carrés sur rez-de-chaussée, et une barre orientée est-ouest située au nord, de deux étages carrés également, complétée à l'ouest par un bâtiment aligné sur la rue Blaise-Pascal, de trois étages-carrés sur rez-de-chaussée. Un bâtiment semi-enterré situé à l'angle sud-ouest constitue le gymnase dont la couverture en terrasse est utilisée comme terrains de jeux ; côté rue, une cour-anglaise en éclaire les vestiaires et permet d'y accéder directement.

A l'aile est a été accolé un bâtiment en retour au sud, le long de la rue des Frères-Angeli.

Par rapport au premier plan connu du collège communal -représenté sur le cadastre ancien de 1836 et dont les derniers vestiges ont été rasés en 1964-1965, le lycée actuel a conservé l'alignement sur la rue Blaise-Pascal ainsi que l'effet de barre parallèle à la limite parcellaire nord. A l'origine, comme on le voit sur des plans de 1869 et 1886 conservés aux Archives départementales (en ligne), et sur une gravure antérieure à 1905, le sud du fonds était occupé par un vaste jardin délimitant une cour (dite d'hiver) en façade de l'établissement. C'est ce jardin qui a servi de réserve foncière pour l'implantation des nouveaux bâtiments.

Selon toute vraisemblance, le gros-oeuvre de l'établissement est constitué tel que le devis le prévoyait : une ossature en béton armé avec un remplissage de briques creuses (c'est le principe du procédé de préfabrication Costamagna), planchers en hourdis de céramique, escaliers préfabriqués en béton armé.

Le décor sculpté extérieur constitué de la statue en pied de Blaise Pascal, au sommet d'un emmarchement, est une récupération de la porte d'entrée de l'ancien établissement où elle faisait office d'amortissement du tympan.

Intérieur non visité : en matière de circulation verticale, seul le degré d'accès au terre-plein de la cour depuis le niveau de la rue peut être signalé. Sur les plans de 1958, les circulations verticales semblent assurées par des escaliers rampe-sur-rampe situés aux extrémités de chacun des bâtiments, sans que l'on sache s'ils ont été remplacés au cours des restructurations du 21ème siècle.

Les modifications entreprises depuis la construction de l'établissement en ont transformé sa perception depuis l'espace public, surtout sur son flanc sud.

  • Murs
    • béton béton armé
  • Toits
    béton en couverture
  • Couvrements
    • dalle de béton
  • Élévations extérieures
    élévation à travées
  • Couvertures
    • terrasse
  • Escaliers
    • escalier de distribution extérieur : escalier droit en maçonnerie
  • Techniques
    • sculpture
  • Représentations
    • personnage profane
  • Précision représentations

    Statue en pied de Blaise Pascal.

  • Mesures
  • Précision dimensions

    Dimensions non prises.

  • Statut de la propriété
    propriété de la région

Sélectionné pour un croisement de critères concernant son emplacement et sa relation à la ville. Sa situation précocement en lisière de la ville (à l'origine), à l'extrémité de la promenade dite "Les Allées", qui lui permettait de bénéficier de la qualité de l'air venant des montagnes (elles constituent un fond sur lequel se détachent les bâtiments du lycée depuis l'ouest). Il fait également partie de ces lycées s'affichant dans un groupement d'équipements publics symboliques : le tribunal, la prison, une école primaire le rejoignent au cours du 19e siècle (dans cet esprit, le cas du lycée de jeunes filles du Puy-en-Velay est le plus significatif puisqu'il rejoignait la préfecture, le théâtre, le musée, le tribunal et le foirail). Sélectionné aussi parce que l'emplacement adopté pour le collège municipal en 1804 (collège précoce) est conservé au prix d'agrandissements successifs, et conservé encore pour la reconstruction du lycée au 20e siècle. Par ailleurs, le collège affichait en façade un décor parlant (la statue de Blaise-Pascal en amortissement du portail d'entrée), à la manière du lycée de garçons de Moulins, dont le portail (1804-1805) était orné des médaillons de Descartes et Cicéron. Le lycée est en partie aligné sur la route devenue rue. Autre élément de composition urbaine : traitement d'angle original (le gymnase semi-enterré et dont le toit est aménagé en terrain de jeux).

Argument complémentaire en faveur de la sélection de l'édifice : mise en valeur du fonds de l'architecte André-Vital Blanc, déposé aux Archives départementales du Puy-de-Dôme.

Documents d'archives

  • Archives départementales du Puy-de-Dôme. 2 O 1830. Ambert. Collège, 1820-1938.

    Sont extraits des plans conservés en 33 Fi [numérisés, en ligne sur le site des AD Puy-de-Dôme].

    AD Puy-de-Dôme : 2 O 1830
  • AD Puy-de-Dôme. T 2578. Enseignement. Fonds du rectorat. Établissements. Puy-de-Dôme. Collège de garçons d'Ambert. 1871-1937. Boursiers, surveillants, locaux (1904-1922).

    Lettre du principal du collège au recteur de l'Académie de Clermont, 14 juillet 1905. Dans lequel il est fait état des travaux "exécutés fin septembre" et des "travaux restant à exécuter" qui devraient pouvoir être finis à la rentrée.

    AD Puy-de-Dôme : T 2578
  • AD Puy-de-Dôme. 141 J 33. Fonds André Blanc. 1941-1978. Correspondance, devis, plans.

    Figurent notamment :

    -arrêté de nomination de M. Blanc, pour l'opération du collège mixte d'Ambert, par le secrétaire d'Etat aux arts et lettres, 20 février 1957

    -courrier du secrétaire d'Etat aux arts et lettres à M. Blanc indiquant les pièces à fournir en fonction du programme pédagogique joint, 16 mars 1957

    -description de l'avant-projet, brouillon d'A-V. blanc, 20 juin 1958

    -tableau comparatif des devis des entreprises Delbigot et Barrat, par le service technique de l'équipement scolaire, pour être présenté au conseil général des bâtiments de France, 11 octobre 1962

    - ...

    AD Puy-de-Dôme : 141 J 33
  • AN Pierrefitte-sur-Seine. F/21/6629. Conseil général des Bâtiments de France. Avis et rapports sur les travaux soumis au CGBF, par département, 1959-1966.

    Puy-de-Dôme. Ambert. Extension du collège municipal mixte Blaise-Pascal, 1958.

    Plans d'A-V. Blanc, clichés de l'état existant, procès-verbal de la séance du 2 juillet 1958 du Conseil général des bâtiments de France, section spéciale des bâtiments d'enseignement/ Enseignement secondaire (rapporteur : Sand, architecte).

    AN Pierrefitte-sur-Seine : F/21/6629
    Puy-de-Dôme. Ambert. Extension du collège municipal mixte Blaise-Pascal, 1958.
  • AD Puy-de-Dôme. 32 J 132. "L'inauguration du nouveau lycée Blaise-Pascal à Ambert", La Montagne, 7 novembre 1966.

    Éléments concernant l'histoire du collège communal et concernant la construction du lycée. Photographie montrant la statue de Blaise Pascal à l'arrière-plan du groupe de personnalités inaugurant l'établissement.

    AD Puy-de-Dôme : 32 J 132

Documents figurés

  • Archives départementales du Puy-de-Dôme. 33 Fi 3 15. Plan d'une portion de la ville d'Ambert comprenant [...] l'enclos Depaillet [...] acheté par la commune [pour l'agrandissement du collège], [1869], par J. Vars, architecte.

    Extrait de la cote 2 0 1830.

    [En ligne sur le site des AD Puy-de-Dôme.]

    AD Puy-de-Dôme : 33 Fi 3 15
  • Archives départementales du Puy-de-Dôme. 33 Fi 3/16. Projet de reconstruction d'une partie de la toiture des bâtiments composant le collège communal. Plans d'ensemble et des toitures de l'aile ouest, de la chapelle et de l'étude. Elévations des fermes, par Derrode, architecte,1886.

    Extrait de la cote 2 O 1830.

    [En ligne sur le site des AD Puy-de-Dôme.]

Date(s) d'enquête : 2019; Date(s) de rédaction : 2022
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
Renaud-Morand Bénédicte
Renaud-Morand Bénédicte

Conservatrice du patrimoine, chercheure de 1994 à 2023 au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel (Clermont-Ferrand).

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