Dossier d’œuvre architecture IA69000217 | Réalisé par ;
Ducouret Bernard
Ducouret Bernard

Chercheur au service régional de l'Inventaire Rhône-Alpes jusqu'en 2006.

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  • inventaire topographique, Inventaire de la Ville de Lyon
Ville de Lyon
Œuvre étudiée
Copyright
  • © Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Ville de Lyon

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Lyon Confluent
  • Commune Lyon
  • Dénominations
    ville

Chronologie de l'occupation du site et urbanisation

L´occupation de la ville de Lyon, que les découvertes archéologiques de ces dernières années font remonter à l´époque gauloise sur la rive gauche de la Saône, se concentre sur cette rive entre Saint-Jean et Vaise, sur la colline de Fourvière et au pied de celle de la Croix-Rousse.

Au Haut Moyen Age cette occupation se restreint, du fait en grande partie de la chute importante de la population et se resserre autour de quelques églises protégées par une enceinte : St-Jean, St-Just, St-Irénée, St-Paul pour la rive gauche de la Saône, Notre-Dame de la Platière et St-Nizier pour la presqu’île.

C´est à partir de ces pôles que l´urbanisation de la ville va se développer, sous-tendue par deux lignes conductrices : les circulations entre le pont de Saône et celui de Rhône, et les lotissements des propriétés religieuses, cédées au fur et à mesure des besoins financiers de ces institutions.

Telle qu´elle est actuellement connue l´urbanisation de la ville connaît plusieurs phases à l´intérieur des enceintes successives.

Au Moyen Age, l´enceinte court au bord de la colline de Fourvière de Saint-George à Pierre-Scize, ferme la ville au nord à la hauteur des Terreaux, et au sud probablement à la hauteur de la rue Grenette. Dans ce périmètre les axes principaux relient le pont de Saône au niveau de Saint-Nizier, au pont du Rhône (La Guillotière) : dans la presqu´île, rue Mercière, rue Confort ; ou ouvre la ville vers l´extérieur : rive gauche, axe rue du Bœuf, rue Tramassac, montée du Gourguillon vers St-Just et le Forez, axe de Bourgneuf vers le Beaujolais ; dans la presqu´île, montée de la Grande Côte vers l´Ain ; rive gauche du Rhône, grande rue de la Guillotière vers le Dauphiné.

Des lotissements vont s´établir de part et d´autres de ces axes : par ex. au nord de la rue Port-du-Temple vers 1235, le long de la rue Neuve vers 1285, au nord de Notre-Dame de la Platière sans doute au début du XIVe s.

Au XVIe siècle, les limites de la ville vont s´étendre : les murs sont repoussés en haut des pentes de la Croix-Rousse au nord et à la hauteur d´Ainay au sud ; un rempart bastionné englobe le quartier de l´Observance rattaché à la ville en 1586 ; au delà de cette enceinte, les faubourgs adoptent diverses configurations : soit petits villages comme Vaise ou Saint-Irénée, soit faubourgs liés au trafic des hommes et des marchandises, comme à La Croix-Rousse ou à La Guillotière, ou encore formation de hameaux diffus comme Choulans en face de la porte Saint-Georges, ou Serin devant la porte d´Halincourt.

Les lotissements vont se poursuivre, poussés par la volonté consulaire : par ex. après la construction de la nouvelle enceinte de la Croix-Rousse, des privilèges sont accordés à ceux qui construisent entre cette enceinte et l´ancien murs des Terreaux. Au sud de Bellecour, le lotissement de la Villeneuve-du-Plat est dessiné dès 1560, mais les constructions ne débutent qu´au XVIIe siècle. Ce siècle connaît une intensification de la construction entre 1640 et 1680 : lotissements de la rue Émile-Zola (clos des Célestins) ou de l´extrémité de la rue Mercière (clos des Jacobins). Dans le même temps, de nouvelles institutions religieuses s´implantent dans la ville, en particulier sur les pentes de la Croix-Rousse. De grandes opérations urbanistiques voient alors le jour : l´aménagement de la place des Terreaux avec la construction de l´hôtel de ville et du couvent Saint-Pierre, et celles de la place Louis le Grand (Bellecour).

La ville va se développer dans ces limites jusqu´au milieu du XVIIIe siècle ; A cette date, elle est encore décrite comme une « cité étroite, dense, resserré ». Plusieurs grands projets vont voir le jour pour gagner des terres sur le Rhône : projet de Soufflot et de Morand sur la rive droite du Rhône, à Saint-Clair ; projet de Morand sur la rive gauche du fleuve, aux Brotteaux ; projet de Perrache au sud de la presqu´île. Seul le projet Saint-Clair sera réalisé avant la Révolution.

Le projet Saint-Clair se situe dans un vaste projet d´urbanisme le long du Rhône avec un aménagement des quais depuis l´hôtel-Dieu, dont la façade est réédifiée par Soufflot en 1739, et la destruction de l´enceinte le long du fleuve : la façade de l´hôtel-Dieu est ouverte vers l´est, vers les terrains de l´autre rive à gagner sur le fleuve. Plus au nord, le nouveau quartier est créé par le comblement d'un bras du Rhône et le rattachement d'une île à la rive ; l´opération d'urbanisme spéculatif conçue par J.G. Soufflot est mise en œuvre par une société composée de deux architectes, Soufflot et M. Munet, et d'un négociant L. Milanais, créée en 1749 ; les travaux ne commencent qu'en 1758 ; l´espace est distribué en 7 lots à bâtir ; en dehors du nivellement des rues, de leur quadrillage, et de la construction d'un quai, il n'y a pas de contrainte architecturale ; cependant Soufflot, l´opération se singularise par l´uniformisation des façades, leur rigoureux alignement, et leur hauteur (R+6).

En 1735, le consulat avait acquis l'île Mogniat, au sud du confluent ; dès 1739 Delorme propose un plan d'aménagement qui est repris par Perrache en 1772 ; mais les difficultés financières empêchent tout aménagement avant la Révolution.

La rive gauche du Rhône est un vaste espace marécageux, les brotteaux, propriété de l´hôtel-Dieu, ravagé régulièrement par les inondations. Seul le village de La Guillotière, indépendant de Lyon, s´était développé au sud. En 1764, Morand dépose son projet. Il constitue la société Morand, Ballet & Cie et, soutenu par Soufflot, obtient en 1771 l'autorisation de construire un pont à péage (pont Morand) en remplacement des trois bacs exploités par l'Hôtel-Dieu. Les travaux commencés en 1772 s'achèvent en 1774, mais le pont n'est ouvert à la circulation générale qu'en 1776. Un plan en damiers, mis au point par Morand et Decrénice, découpe 59 emplacements à construire, en 4 quartiers :

Sur le quai sont les emplacements de 1ère classe, face au nouveau quartier Saint-Clair, destinés à la noblesse et aux négociants.

En retrait, des emplacements de seconde classe pour la bourgeoisie et les marchands.

Enserrés parmi les autres, des établissements de 3e classe pour les ouvriers et petits artisans.

Ce projet qui est un des premiers plans d´urbanisme dominé par les problèmes de circulation, avec une hiérarchisation des voies, conserve ainsi un des principes de la ville, le mélange des populations reparties spécialement selon leur origine.

Le XIXe siècle

Cette opération va être stoppée à la Révolution, d´abord parce que la vente des biens nationaux libèrent de vastes réserves foncières dans la ville ancienne (avant la Révolution, 90 000 laïcs occupaient 53 ha, et 30 000 religieux en occupaient 184), ensuite parce que l´activité constructive s´est concentrée sur la reconstruction des immeubles détruits au moment du siège, enfin parce que Napoléon était plus favorable au projet Perrache.

Ce sont donc les pentes et le plateau de la Croix Rousse qui vont être l´objet des opérations d´urbanisme, le plus souvent sur des initiatives privées ; l´urbanisation touche d´abord les pentes dans la première moitié du XIXe siècle, avec tout un réseau de traboules entre les immeubles ; c´est en particulier à l´est, le quartier du Griffon, lieu d´implantation de la Fabrique. Le plateau, séparée de la ville par les fortifications jusqu´au 2d Empire, est rattaché à la commune de Lyon en 1852 ; il est urbanisé plus tardivement ; les jardiniers y sont encore nombreux à la fin du XIXe siècle.

L´ensemble de ce quartier se caractérise par la hauteur des immeubles (les appartements destinés à accueillir les métiers Jacquard devaient avoir plus de 4 m sous plafond), hauteur accentuée par l´étroitesse des rues.

Le bourg de Vaise profite également des transformations sociales. En 1789, il ne compte que 129 maisons et 1350 habitants. Sa prospérité va lui venir de ses 4 ports sur la Saône, en dehors des limites de l´octroi. Le village devient un entrepôt très actif avec sous la Monarchie de juillet la construction d´une gare d´eau, d´un marché à bestiaux , de la Compagnie du gaz. Les inondations catastrophiques de 1840 ne remettent pas en cause cette prospérité, bien que 239 maisons soient détruites. Un règlement de 1844 décide que tous les bâtiments seront construits en pierre jusqu´à la hauteur du 1er étage, et plus haut encore dans les zones inondables (un règlement semblable sera pris à La Guillotière après les inondations de 1856). Une campagne de grands travaux est lancé après le rattachement de Vaise à la commune de Lyon, en 1852 : achèvement de la gare ; construction des abattoirs à proximité du marché aux bestiaux ; en 1856, endiguement de la Saône et construction des quais plantés d´arbres. Enfin sous la IIIe république, création du quartier de l´Industrie entre Vaise et Saint-Rambert.

L´urbanisation de la rive gauche du Rhône se fait de 2 façons différentes, autour de la Grande rue de La Guillotière et aux Brotteaux.

L´urbanisation des Brotteaux reprend à la fin de la Restauration, en liaison avec le plan d´alignement pris en 1824 par Henri Vitton, maire de La Guillotière : le cours Bourbon (cours de la Liberté) est ouvert, et l´avenue de Saxe est projetée.

Cette opération va être bloquée par la construction d´une barrière de fortifications N.-S. / E.-O. qui empêche toute expansion à l´est. A l´ouest de cette barrière, 22 ha sont cédés pour la construction de la caserne de la Part-Dieu ; ce mur va former une césure dans le tissu urbain jusqu´à la fin du XIXe siècle (déclassement de cette ceinture en 1884 après la construction d´une nouvelle ligne de forts en 1874, Meyzieu, Bron, Corbas, Feyzin).

En 1845, Chritophe Crépet, du service de la vicinalité, propose une liaison entre le quartier du Plâtre et celui des Brotteaux, à l'aide d'îlots rectilignes, jusqu'aux limites des fortifications ; ce projet est en partie réalisé. Les grands axes rectilignes sont ouverts, mais les rues transversales, en particulier de part et d´autre de la Grande rue de La Guillotière, subissent peu de modifications.

Les Hospices, propriétaires des terrains, imposent dans leurs règles de construction que des cours communes soient ménagées au centre des îlots.

De grands travaux sont engagés après les inondations de 1856 qui détruisent une grande partie des habitations : endiguement du Rhône et création du Parc de la Tête d´Or. La fin du XIXe siècle et le début du XXe voient de nouvelles extensions de la ville :

Le long du Parc : un traité est passé entre le maire Gailleton et le préfet en avril 1897 ; des hôtels particuliers, des villas d´agrément, des maisons bourgeoises, sans commerce, ni industrie, ni enseigne, peuvent être édifiés en bordure du Parc, sur une hauteur maximum de R + 3, avec droit de vue sur le parc, et accès direct aux jardins aux heures d´ouverture ; cela va former le côté impair du boulevard du Nord (boulevard des Belges) ; en même temps, l´hippodrome et le Tennis Club de Lyon sont installés à Grand Camp (la Doua, Villeurbanne). Les institutions scolaires suivent : construction du lycée du Parc et d´un établissement pour les jeunes filles tenu par les Petites Sœurs de l´Assomption, place d´Helvétie ; après sa fermeture en 1906, une école privée, le cour Diot, ouvre place Morand.

Se crée ainsi un nouveau quartier résidentiel où l´élite hésite cependant à s´installer, car le vrai quartier résidentiel reste Ainay. Parmi les nouveaux occupants, on trouve de grands bourgeois libéraux comme le président de la chambre de commerce Édouard Aynard, catholique dreyfusard, ou son ami Auguste Isaac.

La barrière des fortifications est reprise par celle de la voie ferrée qui reprend leur tracé. A l´est et au sud de cette ligne s´implante de Gerland au sud à Villeurbanne au nord une banlieue diversifiée :

Lotissements planifiés encouragés par des initiatives privées : Montchat en 1858 par Richard-Vitton qui lotit son domaine de 78 ha en construisant 12 km de rues.

Bourgs digités édifiés le long de voies de communications (Monplaisir aujourd´hui très remanié, tout comme Gerland).

Agglomérations désordonnées de maisons ouvrières autour des usines.

Cette zone conserve cependant un certain nombre de points communs :

Réseau viaire inachevé

Conditions d´hygiène très précaires (inondations au quartier Saint-Jean de Villeurbanne)

Mélange d´espaces agricoles et d´usines jusqu´à la 2e guerre mondiale

Habitat formé de maisons basses en pisé : à l´est de la voie ferrée, moins du ¼ des immeubles ont plus de 4 étages

Homogénéité sociale : population d´ouvriers et de manœuvres avec une forte représentation de migrants.

Cette zone supporte l´augmentation de la population : à la fin du XIXe s., la partie ancienne de la ville est trois fois plus peuplée que la banlieue ; à la veille de la Seconde Guerre mondiale, les deux zones ont la même population, et sans doute plus pour la banlieue car ces estimations sont faites sur les listes électorales qui ne prennent pas en compte les immigrés.

Bibliographie

  • CLAPASSON, André. Description de la ville de Lyon avec des recherches sur les hommes célèbres qu'elle a produits. Lyon : impr. A. Delaroche, 1741. XVI-283 p. ; 17 cm. [Réimpr. Lyon, 1761 ; rééd. annotée et ill. par G. Chomer et M.-F. Perez. Seyssel : Champ Vallon, 1982]

  • BAYARD, F., CAYEZ, P., (ss la direction). Histoire de Lyon, des origines à nos jours. Tome II, du XVIe siècle à nos jours, Ed. Horvath, 1980

  • PELAGAUD, F., SEIVE, F. Lyon en avion. S.l.n.d. [1926]. 21 pl. (BM Lyon : 210529)

Documents figurés

  • Civitates Orbis Teatrum. Théâtre des cités du monde / [Georg Braun]. Cologne : ca 1575-1587, 2e éd. (BM Lyon, Rés. 27731)

    BM Lyon : Rés. 27731
  • Lugdunum [dit : Grande Vue] / Simon Maupin del., David van Velthem fecit. 1625. Lyon : Claude Savary et Barthélemy Gaultier, 1626. 1 est. (gravure sur cuivre) ; 63,4 x 123,2 cm (Musée Gadagne. [9] 60.6.1)

    Musées Gadagne Lyon : [9] 60.6.1
  • Description au naturel de la Ville de Lyon et paisages alentours d'icelle / [Simon] Maupin, cuivre original 1659. 3e édition corrigée vers 1714. Froment (éditeur) marchand imagier, rue Mercière, Guigout (V.) graveur. Grav. sur cuivre. 8 f.pap. collées en une 1,355 x 0,840. 1 ; 4.320 (150 toises de roi = 0,063) (AC Lyon. 1 S 171)

    AC Lyon : 1 S 171
  • Plan général de la ville de Lyon, levé et gravé par Claude Séraucourt, vérifié et orienté par R.P. Grégoire de Lyon religieux du Tiers-Ordre de Saint-François en 1735, augmenté et rectifié en 1740. 1 : 3000. Grav. (AC Lyon : 1 S 0010a)

    AC Lyon : 1 S 0010a
  • Plan géométral et proportionel de la ville de Lyon où sont désignés ses 28 quartiers ou pennonages avec deux tables : l'une alphabétique et numérale qui indique le nom et emplacement de chaque rüe, l'autre les maisons qui limitent les quartiers / C. Jacquemin, 1747. 100 toises pied de roi [= 2,9 cm]. Grav. (AC Lyon : 0003 S 00693)

    AC Lyon : 0003S00693
  • Projet d'un plan général de la ville de Lyon et de son agrandissement en forme circulaire, dans les terrains des des Brotteaux... / Jean-Antoine Morand, 1768. 150 toises [= 2,9 cm]. Grav., lavis (AC Lyon : 0003 S 00115)

    AC Lyon : 3 S 115
  • Plan général de la ville de Lyon, assujetti aux nouveaux alignements augmenté des quartiers neufs et enrichi des bâtiments principaux, année 1773 / Louis-Martin-Roch Joubert, impr. Daudet et Joubert. 125 toises du roy [= 3,5 cm] (AC Lyon : 0001 S 00090)

    AC Lyon : 0001S00090
  • Nouveau plan géométral de la Ville de Lyon, année 1789. 1 : 8240 [150 toises = 3,5 cm]. Grav., lavis. 43,2 x 41 cm. Leg. (AC Lyon : 0003 S 00117)

  • Nouveau plan géométrique de Lyon, seconde ville du royaume de France, avec ses projets d'agrandissement et d'embellissement / Laurent Dignoscyo, 1821. 1 : 6250. Pap., encre, lavis, aq. (AC Lyon : 0002 S 00020)

    AC Lyon : 0002S00020
  • Plan général des travaux projetés pour l'endiguement du Rhône / Dausses, 10 août 1830. 1 : 20000. Pap., encre, lavis, aq. (AC Lyon : 0001 S 00098)

  • Nouveau plan topographique et pittoresque de la ville de Lyon / J.-B. Noëllat, 1844. 1 : 8300. Lithogr. (AC Lyon : 0003 S 00125)

  • Plan topographique de la Ville de Lyon... / Dardel, 1853. 1 : 10000. Lithogr. (AC Lyon : 1541 WP 030)

  • Plan topographique de la Ville de Lyon et de ses environs / Eugène Rembielinski et Laurent Dignoscyo, 1847. 1 : 10000. 1 est. : lithogr. ; 65 x 89,9 cm (AC Lyon : 2 S 574)

    AC Lyon : 2 S 574
  • Plan de Lyon[Périmètre des inondations de 1840 et 1856 dans l'agglomération lyonnaise]. 1936. 1 : 15000. Impr. (AC Lyon : 0963 WP 082)

  • Plan topographique de la ville de Lyon et de ses environs, en 6 feuilles / Laurent et Claude-Joseph Dignoscyo, 1861. 1 : 5000. Lithogr. 140 x 165 cm (AC Lyon : 1541 WP 015)

  • Lyon pittoresque et monumental publié par Félix Devaux, avec les dessins de Pierre Reithofer. 1892. Impr. J. Alex Dumont et Chauvet (AC Lyon : 0002 S 00333)

    AC Lyon : 2 S 333
  • Ville de Lyon : avant-projet relatif à l'établissement de tramways à voie étroite : des gares de la rue Terme et des Brotteaux au quartier Perrache / [s.n.], [début XXe siècle]. Lithographie (Musées Gadagne, Lyon : 1346.8)

    Musées Gadagne Lyon : 1346.8
  • Lyon. Nouveau plan topographique de la ville de Lyon, comprenant et indiquant toutes les améliorations en projet et en voie d'exécution / Ehrard Frères grav. Agence Fournier, [vers 1918]. 1 : 10000 (AC Lyon : 0002 S 00332)

    AC Lyon : 2S00332
  • Plan de la ville de Lyon, dressé en 1958, année du bimillénaire, sous la direction des Services techniques de la ville / Paul Gsell et Louis Bavozet. Société nouvelle Photoplan impr. 1 : 10000 (AC Lyon : 0001 S 00013)

    AC Lyon
  • Camille Perrichon protégeant Lyon. Huile sur toile (Musée Gadagne, Lyon : Inv. 173)

    Musées Gadagne Lyon
Date(s) d'enquête : 2001; Date(s) de rédaction : 2001
© Région Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Ville de Lyon
Ducouret Bernard
Ducouret Bernard

Chercheur au service régional de l'Inventaire Rhône-Alpes jusqu'en 2006.

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