Un moulin et un battoir apparaissent sur le cadastre napoléonien de 1809 (section E, feuille unique, parcelle 406). Ils appartiennent à Jean Granger (feu François).
Le site est visible sur le premier cadastre français de 1870 (Section D, feuille 3, parcelle 661). A cette date, il appartient au meunier Jean Masses et est équipé de trois roues hydrauliques. Actuellement le bâtiment est toujours visible. Il est sans affectation.