Une scierie appartenant à Joseph Glaisat-Blanc et à son frère est visible sur la mappe sarde de 1732 (parcelle 3954).
Le 24 janvier 1861, Joseph Lassiaz qui est propriétaire de la scierie, demande l'autorisation de la maintenir en activité. Dans un bâtiment accolé se trouve un pressoir à huile entrainé par une roue verticale. La scierie est équipée d'une roue de coté.
L'autorisation de maintien est accordée par arrêté préfectoral du 13 mai 1865. Le site est en ruine sur le premier cadastre français de 1876 (section H, feuille 2, parcelles 606 et 607). Toutefois, la scierie de Joseph Lassiaz est mentionnée dans l'État statistique des irrigations et des usines sur les cours d'eau non flottables et non navigables de 1879 (FR.AD073, 35SPC7).
Sur le cadastre rénové de 1963, le site n'existe plus mais un autre bâtiment a été construit juste en amont. Celui-ci est actuellement à l'état de vestiges.