Dans la seconde moitié du 19e siècle, l'horloger parisien Armand-François Collin, dont la production est à l'origine essentiellement constituée d'horloges d'édifices, entreprend de se diversifier, et fait fait breveter en 1854 un système permettant de contrôler le pointage régulier d'un veilleur en divers points d'un bâtiment, terrain ou tout autre endroit à surveiller.
La date d'installation de ces contrôleurs dans le lycée Ampère est actuellement inconnue.
Chercheuse au service de l'Inventaire général du patrimoine culturel d'Auvergne-Rhône-Alpes (2006-...)