Dossier de présentation du mobilier IM74000836 | Réalisé par ;
Guibaud Caroline (Rédacteur, Enquêteur)
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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  • inventaire topographique, Inventaire du Parc naturel régional du Massif des Bauges
Le mobilier de l'église paroissiale Notre-Dame de la Visitation, Eglise paroissiale Notre-Dame de la Visitation
Auteur
Copyright
  • © Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
  • © Parc naturel régional du Massif des Bauges

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Hauts de l'Albanais
  • Parties constituantes non étudiées
    plaque commémorative, verrière, fonts baptismaux, bénitier, tabernacle, chandelier d'autel, chandelier pascal, croix d'autel, patène, chasuble, étole, voile de calice, statue

Certains objets présentés dans l'opuscule Notre-Dame de la Visitation. Doyenne... en 2015 n'ont pas été vus lors de l'enquête en 2017 :

- un calice de l'orfèvre Pierre Paraud, portant des poinçons de la période 1798-1809

- un ciboire de l'atelier Favier, milieu 19e siècle

- un ostensoir de l'atelier Favier, fin 19e siècle

- un encensoir, milieu 19e siècle

- une chasuble noire, avec un décor brodé au dos (croix ornée d'une couronne, rameaux)

- deux reliquaire en bois doré contenant les reliques de saint François de Sales, Prime, Constant, Antoine abbé, et des saintes Claire, Généreuse et Pacifique (?), dont la logette à relique est fermée par un parchemin portant la date 1853

Mobilier monumental et verrières

Plaque commémorative des morts de la guerre de 1914-1918, marbre blanc, inscriptions et décors gravés, 2e quart 20e siècle ; h=190,5 ; la=108. En forme de d'arcature gothique géminée à colonnettes avec chapiteaux à crossettes surmontées d'un gâble en accolade bordé de crossettes et d'une croix sommitale. Décor gravé : palmes, croix de guerre (arcature de gauche).

Inscription : dans le gâble, AUX / ENFANTS / DE / QUINTAL / MORTS POUR LA FRANCE ; arcature de droite, 1914 / 1918 ; CEUX QUI PIEUSEMENT SONT MORTS POUR LA PATRIE / ONT DROIT QU'A LEUR CERCUEIL LA FOULE VIENNE ET PRIE. Noms et prénoms des morts répartis dans les deux baies (8 noms par baie), sans doute dans l'ordre chronologique des décès (pas d'ordre apparent). Un nom ajouté au bas de la baie de droite, sous l'inscription 1939-1945.

Historique (monumentsmorts.univ-lille.fr) : monument réalisé en 1920 (décision du conseil municipal et approbation du projet en janvier-février 1920), par le marbrier Joseph Peterlongo, pour 700 F. La citation est tirée d'un poème de Victor Hugo, Hymne (Les Chants du crépuscule, 1835). La plaque était à l'origine fixée en façade de l'église, elle a été déplacée à l'intérieur lors des travaux de 1963.

Ensemble de trois verrières géométriques (baies n°1, 2 et 4). Baies en plein-cintre, abside et absidiole sud. Verre coloré. 3e quart 20e siècle. Verre coloré en dégradé de rouge, orange et jaune, monté dans un réseau de plombs dessinant une quadrillage irrégulier. Ces verrières ont sans doute été réalisé par le même auteur que celles de la nef, l'atelier Thomas, dans les années 1960. Selon Notre-Dame de la Visitation. Doyenne... des verrières ont été achetées en 1964 à Georges Thomas, peintre-verrier à Valence (5 159,07 F), après les travaux de 1963 durant lesquels des fenêtres ont été agrandies (voir aussi baies n°5, 7, 9, 10, 12 et 14).

Ensemble de trois verrières géométriques (baies n°3, 6 et 8). Baies en plein-cintre, transept. Verre coloré. 2e quart 19e siècle. Décor : fond blanc, rayons dans le cintre, bordure à frise de de carrés ; au milieu, baies 3 et 6 : deux croix superposées, baie 8 : une croix, une étoile dans un losange.

Ensemble de six verrières géométriques (baies n°5, 7, 9, 10, 12 et 14). Baies en plein-cintre, nef. Verre coloré ; h=150 ; la=85. 2e moitié 20e siècle. Verre coloré en dégradé de bleu et gris, avec quelques pièces de jaune, monté dans un réseau de plombs dessinant une quadrillage irrégulier. Signature peinte en grisaille dans le carré inférieur droit des baies 12 et 14 : ATELIER THOMAS / VALENCE "DROME" / 1964.

Meuble religieux

Fonts baptismaux. Cuve en pierre calcaire monolithe, engagée dans le mur (angle nord-ouest du vestibule, rez-de-chaussée du clocher). Temps Moderne ? h=78 ; d=90. Cuve de plan circulaire. Traces de scellement au plomb et de béton sur le rebord.

Bénitier. Cuve en pierre calcaire monolithe, engagée dans le mur en revers de façade, décor de godrons. Couvercle en bois, trou d'évacuation.

Bénitier. Fonte, doublure en étain. Monté sur une socle en bois surmonté d'une croix. Limite 19e siècle 20e siècle. La=44,5. Bénitier en forme de coquillage reposant sur une tête d'angelot. Un exemplaire de ce bénitier est scellé en façade de la chapelle des Vernettes.

Tabernacle. Bois sculpté (demi-relief), peint, doré. Milieu 19e siècle. H=50 ; la=45,5 ; pr=30. Plan rectangulaire. Décor : porte encadrée de colonnettes avec chapiteaux à crossettes, arc brisé, feuilles d'acanthes dans les écoinçons. Décor sur le vantail : arc trilobé, calice à godrons, hostie crucifère, épi de blé, rameau de vigne.

Objets religieux

Croix de sacristie. Christ en bois peint polychrome (en plusieurs éléments), rapporté sur une croix en plâtre. Titulus sur un phylactère, rapporté. Fin 19e siècle. H=55 (Christ : h=28), la=25,5.

Croix d'autel. Bois, en plusieurs éléments, peint doré et peint argenté (base) ; Christ rapporté en fonte d'aluminium, en demi-relief, avec patine dorée. Milieu 19e siècle ; h=67,5 ; la=37,2. Socle trapézoïdal, décor de feuilles, extrémités à feuilles recourbées et bouton terminal à glacis vert ; titulus sur un phylactère.

Chandelier pascal. Bronze doré. Début 20e siècle ; h=106. Base triangulaire à trois pieds lobés, ornement architectural (arcade, colonnettes, gâble trilobé, pinacles, croix fleurdelysée). Fût de section hexagonale, décor : pilastres, arc en plein-cintre, quadrilobes, frises de motifs géométriques ; bague triangulaire, décor de pinacles, gâble trilobée avec rosace. Bobèche hexagonale, décor d'arcatures, fleurs de lys.

5 chandeliers et une croix d'autel. Laiton fondu (pied, croix, volutes), estampé, ciselé, doré. 1ère moitié 19e siècle ; h=77 (chandelier) ; h=105,5, la=36 (croix). Base triangulaire à trois pieds ornés de pattes de lion et feuilles d'acanthe, décor : volutes carrées, coquille, motif en bas-relief (bouquet de raiqin et de blé ; l'agneau sur le livre aux sept sceaux ; le triangle de Jéhovah sur une nuée rayonnante). Frise de perles, tresse, draperie ; balustre : feuilles d'acanthes, frise de perles, tresse, coquille, palmettes, treillage. Bobèche à frise d'acanthes. Croix : palmette à la base, extrémités à motif de vigne et blé, bras lisses avec rebord, Christ et titulus sur phylactère tenu par un angelot rapportés.

6 chandeliers et une croix d'autel (maître-autel). Bronze doré. 19e siècle ; h=51 (chandelier) ; h=78,8, la=23 (croix). Base triangulaire à trois pieds ornés de pattes de lion et de feuilles, décor : coquille, bustes en bas-relief (Jésus, Marie, Joseph) sur fond strié. Balustre cannelé. Fût et bobèche cannelés. Croix : palmettes à la base et extrémités, bras lisses avec rebord, Christ et titulus sur linge porté par un angelot rapportés.

4 chandeliers et une croix d'autel (maître-autel). Bronze doré. 19e siècle ; h=66 (chandelier) ; h=90, la=29 (croix). Base triangulaire à trois pieds ornés de feuilles et d'enroulements, décor : coquille, bustes en bas-relief (Jésus, Marie, Joseph) sur fond strié et amati. Frise de perles, volutes, balustre cannelé. Fût et bobèche cannelés. Croix : palmettes à la base et extrémités, bras lisses avec rebord, Christ, titulus sur phylactère et rayons rapportés.

2 chandeliers d'autel. Bronze doré. 19e siècle ; h=21,5. Base circulaire, fût orné de bagues, bobèche sans décor.

Chandelier d'autel. Bronze doré. 19e siècle ; h=39. Base triangulaire à trois pieds (pattes de lion), décor de cartouches avec têtes d'angelots et nuée. Balustre à tores et godrons, fût cannelé. Bobèche circulaire à bordure striée.

Patène. Argent, intérieur doré, décor gravé. 2e moitié 19e siècle ; d=13,5. Décor : croix grecque trilobée, feuilles recourbées, nimbe. Poinçon : orfèvre Favier, garantie gros ouvrages 1er titre départements 1838-1973 (Minerve, différent de Lyon).

Patène. Argent doré, décor gravé. 2e quart ou milieu 20e siècle ; d=15,2. Décor : couronne d'épis de blé (en réserve, sans dorure), Chrisme encadré d'alpha et oméga. Poinçon : orfèvre Villard et Fabre (atelier actif à partir de 1901), garantie gros ouvrages 1er titre départements 1838-1973 (Minerve, différent de Lyon).

Vêtement religieux ou de confrérie

Ornements. Tissu synthétique. Chasubles de forme antique. 20e siècle.

Chasuble, étole, manipule, voile de calice violets. Décor : galon rapporté jaune à motif de croix et mandorles.

Chasuble et étole réversibles noires/violettes. Décor : galon rapporté.

Chasuble blanche. Doublure jaune. Décor peint : vigne, roses.

Chasuble blanche. Doublure rouge.

Etoles. Tissu principal en soie. Forme étrier.

- étole verte. Fond : gros de Tours, lamé, doublure satinette verte ; galon argent, festonné, à fleurs et feuilles ; croix en galon argent à quadrillage et feuilles. 2e moitié 19e siècle.

- étole violette. Fond : tissu damassé, uni, décor : rubans festonnés, fleurs, damier, doublure toile rose ; galon or, franges en cordonnet. 2e moitié 19e siècle.

- étole blanche. Fond : gros de Tours, doublure satinette rouge ; décor en application : festons en cordonnet lamé, croix en drap d'or, paillettes. Franges en cannetille, cordon et pompons argent. 2e moitié 19e siècle.

- étole double face violette/blanche. Fond : tissu damassé, uni, décor : roses, blé, vigne ; galon or, franges en cordonnet. Fin 19e siècle.

- étole double face violette/blanche. Fond : satin (blanc), tissu façonné à quadrilobes (violet) ; galon or, franges en cannetille. 20e siècle.

Sculpture, peinture, arts graphiques

Statuette : moine franciscain (sain François ?). Bois autrefois polychrome (décapé, teinté), revers non traité et évidé. 19e siècle (?) ; h=54 ; la=22 ; pr=18. Le personnage, doté d'une longue barbe, est vêtu d'une robe de moine ceinturée de la corde à trois noeuds, d'un manteau à capuche rabattue et de sandales ; il est plongé dans un livre dont il s'apprête à tourner une page.

Statues en plâtre (ou terre cuite) peint polychrome et doré.

Statuette : saint François de Sales (sur l'autel de la Vierge). Terre cuite. 2e moitié 19e siècle ; h=66.

Statuette : saint Joseph (sur l'autel de la Vierge). Terre cuite. 2e moitié 19e siècle ; h=66. Attribut : lys.

Statue : saint Antoine de Padoue et l'Enfant. Plâtre. 2e moitié 19e siècle ; h=106. Le saint tient un livre ouvert sur lequel est couché l'Enfant qui lui caresse la joue et tient un lys dans son autre main. Inscription sur le socle (peinte, doré) : ST ANTOINE DE PADOUE.

Statue : saint Thérèse. Plâtre. 2e quart 20e siècle ; h=125. Cachets sur le socle (en creux, côté droit) : cachet ovale avec monogramme OST / DEPOSE, une étoile filante (Office central de Lisieux) ; cachet carré : F.B.M. / EDITEUR / LYON. Le modèle de cette statue a été créé en 1922 par Louis Richomme, dit frère Marie Bernard, trappiste et sculpteur à Soligny-la-Trappe (Orne). Il appartient aux modèles officiels approuvés par le Carmel de Lisieux et diffusés par F.B.M. de Lyon.

Objets disparus :

Aucun des objets listés dans l'Inventaire de 1793 (voir annexe) n'a survécu à la Révolution : ni l'orfèvrerie, ni le tableau de la Visitation suspendu au-dessus du maître-autel, les vêtements religieux ou encore les deux cloches. Le buste de la Vierge en bois polychrome, daté du 14e siècle, réputé provenir de l'église, puis vendu à un antiquaire et acheté par le musée d’Annecy, ne figure pas dans cet inventaire, mais "l’effigie de la sainte Vierge", pour laquelle ce dernier mentionne l'existence d'une robe en "étoffe en dorure" non plus.

Des objets pourtant plus récents ont également disparu dans le 4e quart du 20e siècle : le chemin de croix, acheté en 1847 par Marie Reymondet, veuve de Jean-Louis Mieusset, et Jean-Pierre et Claude Paccard ; la chaire réalisée grâce à un don du comte Pillet-Will en 1853 (utilisé également pour construire le "tambour" à l'entrée de l'église) ; le poêle funéraire offert vers le milieu du 19e siècle par le sieur Gruffy en faveur des confréries du Saint Sacrement et du Rosaire, réclamé par ses héritiers Beauquis (César, Ferdinand, Eugène et Joseph) en 1882 pour non respect des volontés de leur grand-oncle ; le corbillard, fabriqué par M. Vitzikam, carrossier à Annecy, acheté 5 000 F en 1933 (financé par une coupe de bois) ; les 16 bancs réalisés en 1956 par Alphonse Janin, artisan menuisier à Quintal.

  • Auteur(s)
    • Atelier ou école :
      Favier Frères (1824 - 1860)
      Favier Frères

      Atelier d'orfèvrerie lyonnais, raison sociale utilisée de 1824 à avant 1830 par Jean-Marie François Henri Favier (1809-1827 et André Michel Favier (1805- ?), puis de 1850 à 1860 par Jean-Baptiste Favier (1824-av. 1899) et Claude Favier (1824-1861/72). Poinçon : losange horizontal, un soleil encadré des initiales FF.

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      atelier
    • Atelier ou école :
      Villard et Fabre (1901 - )
      Villard et Fabre

      Orfèvres lyonnais, atelier associant Louis François Maurice Fabre et Jean Joseph Villard (+ 1923) de 1901 à 1923, Louis François Maurice Fabre et Robert Benoît Joseph Marcel Villard (fils du précédent) de 1923 à 1938. Après 1938, nouvelle raison sociale Villard et Micha pour Robert Benoît Joseph Marcel Villard et Alexis Pierre Micha (beau-frère). Puis Villard et Cie.

      Poinçon : losange horizontal, une croix encadrée des initiales V F.

      Autres poinçons : poinçon en obus avec VF, 950 (rencontré en 1903, 1904 (?) ; 1920-1973) ; poinçon carré (rencontré en 1935)

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      atelier signature
    • Auteur :
      Peterlongo Joseph
      Peterlongo Joseph

      Marbrier-sculpteur, né à Trente (Italie) le 10 octobre 1891. Fils de François, marbrier-sculpteur installé chemin de la Prairie à Annecy (Haute-Savoie), il succède à son père, décédé en 1919, à la tête de la marbrerie. Mobilisé de 1914 à 1919, il a combattu notamment à Verdun et dans les Balkans. Il a été décoré de la croix de guerre à une étoile de bronze pendant la Première Guerre mondiale, puis de la médaille militaire par décret du 11 avril 1962 (https://monumentsmorts.univ-lille.fr/auteur/724/peterlongojoseph/?elm=3872).

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      marbrier attribution par source
    • Auteur :
      Atelier Thomas Vitraux (1878 - )
      Atelier Thomas Vitraux

      Atelier de peintres-verriers situé à Valence Drôme, fondé en 1878 par

      Atelier de peintres-verriers situé à Valence Drôme, fondé en 1878 par Jean-Pierre Thomas (1840-1918). L'atelier est repris dans les années 1920 par son fils Georges (1901-1974), puis dans les années 1960 par Michel (1935- ) et Jean (1938- ), fils de George, en enfin depuis 2000 par Jean-Bernard, Emmanuel et Laurent, fils de Michel (http://www.thomas-vitraux.com/).

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      peintre-verrier signature
    • Auteur :
      Office central de Lisieux (1923 - )
      Office central de Lisieux

      L'OST est chargé depuis 1923, année de la béatification de sœur Thérèse par le pape Pie XI, de diffuser le message de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus à travers la diffusion d'écrits, d'images et d’objets, à Lisieux même (où il est situé), pour les pèlerins venus visiter le sanctuaire, et plus largement en France. Le cachet de l'Office Central de Lisieux : OST entrelacées, avec parfois une étoile filante, est apposé sur les objets approuvés par cette institution.

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      éditeur signature
    • Auteur :
      F.B.M. Editeur Lyon
      F.B.M. Editeur Lyon

      Marchand de statues établi à Lyon (Rhône), 1ère moitié du 20e siècle.

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      éditeur, fabricant de statues signature
    • Auteur :
      Richomme Louis , dit(e) frère Marie Bernard
      Richomme Louis

      Louis Richomme devient frère Marie Bernard en 1907 après son entrée à la Grande Trappe de Soligny (Orne). Sculpteur autodidacte, il est recommandé en 1917 par l'abbé de la Grande Trappe à la supérieure du Carmel pour la réalisation des statues de sainte Thérèse. Il est ainsi l'auteur, en 1922, du modèle de la "Thérèse aux roses", type iconographique le plus répandu de la sainte (béatifiée en 1923 puis canonisée en 1925).

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      sculpteur attribution par source

Bibliographie

  • CHATILLON, Sébastien. FAVRE, Jean-Paul. PALMIER, Dominique. THIERY-AUDUBERT, Brigitte. VINCENT, Sylvie. Notre-Dame de la Visitation. Doyenne du département. Quintal XIe siècle. Seynod : Photoplan, 2015.

Documents multimédia

  • Les monuments aux morts; France - Belgique - Autres pays. Banque de données sur les monuments aux morts de la Première Guerre mondiale et des autres conflits européens, coordonnée par l'université de Lille (Nord), 2018-. Accès internet : URL<https://monumentsmorts.univ-lille.fr/>

    Pour accéder à la référence documentaire, ajouter la mention à la racine suivante : https://monumentsmorts.univ-lille.fr/monument/

    56481/quintal-dansleglise/

Annexes

  • Inventaire des biens ecclésiastiques de l'abbé Michaud, curé de Quintal, en 1793
Date(s) d'enquête : 2017; Date(s) de rédaction : 2020
© Région Auvergne-Rhône-Alpes, Inventaire général du patrimoine culturel
© Parc naturel régional du Massif des Bauges
Guibaud Caroline
Guibaud Caroline

Chercheur au service de l'Inventaire Rhône-Alpes puis Auvergne-Rhône-Alpes (1999- )

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Édifice
Eglise paroissiale Notre-Dame de la Visitation

Eglise paroissiale Notre-Dame de la Visitation

Commune : Quintal
Lieu-dit : Quintal, le Village de l'Eglise